Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Shawn777
598 abonnés
3 488 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 30 octobre 2023
Sixième mission pour l'agent britannique 007 qui est pour la première fois interprété par une autre personne que Sean Connery (du moins dans la série officielle puisque les deux "Casino Royale" étaient déjà passé par là). C'est en effet George Lazenby qui prête ses traits à James Bond pour la première et dernière fois dans cet opus, réalisé par Peter Hunt (également première et dernière incursion dans la saga en tant que réalisateur) et sorti en 1969, et si le film divise énormément les critiques, je l'ai personnellement bien apprécié ! En effet, je dirai même qu'il fait partie des meilleurs de la franchise car il a une aura particulière, une ambiance propre qui le démarque des autres. James Bond fait la rencontre fortuite de Tracy qui le mènera, malgré elle, sur la piste Ernst Stavro Blofeld, disparu des radars depuis pas mal de temps. Bon, je fais des gros raccourcis mais en gros c'est ça et je trouve d'ailleurs tout ce début d'intrigue assez grossier. En effet, à la manière de "Opération Tonnerre", James Bond tombe sur ses ennemis de manière hasardeuse qui n'en est à aucun moment crédible. Mais bon, une fois passé ce détail, on peut se plonger dans cette histoire quand même d'une durée de deux heures vingt, le plus long jusqu'à présent et j'avoue que ça me faisait un peu peur. Car oui, on ne peut pas dire que les "James Bond" des années 60 soient très bien rythmés. Ce n'est pas vraiment un défaut en soi car ils correspondent avant tout à leur époque et les codes du film d'action/espionnage n'étaient pas les mêmes qu'aujourd'hui. Pourtant, je dois dire qu'à part quelques temps morts (notamment un ventre mou dans la clinique), je ne me suis pas ennuyé car le tout est bien rythmé ! Certains effets ont bien-sûr vieillis mais le tout reste très plaisant, notamment de par l'ambiance que le film dégage. En effet, j’apprécie beaucoup le cadre du film, à savoir la Suisse et les sports d'hiver qui donnent lieu à de très bonnes scènes d'action, comme la course-poursuite en voitures ou en skis. De plus, le tout est rythmé par l'excellent morceau composé par John Barry que l'on retrouve à plusieurs reprises dans le film. spoiler: Le film se démarque également de ses prédécesseurs car, pour une fois, James Bond tombe amoureux de sa James Bond Girl, par ailleurs une des meilleures de la franchise ! Néanmoins, le film n'en est pas plus niais pour autant puisque nous avons au contraire une des fins la plus pessimiste de la saga, contrairement au traditionnel happy ending (encore une fois, pour l'époque) dans lequel James Bond couchait souvent avec la James Bond Girl . Concernant le casting, Lazenby fait le taff même s'il n'a pas le flegme ni le charisme d'un Sean Connery, Diana Rigg est excellente dans ce personnage de femme forte (qu'elle incarnait déjà dans l'avant-gardiste "Chapeau melon et bottes de cuir") et Telly Savalas fait un N°1 convainquant même si on regrette Donald Pleasence. "Au service secret de sa majesté" est donc un "James Bond" un peu à part dont le charme opère toujours aujourd'hui !
Un opus intéressant même s'il manque de rythme par moment avec sa durée plus longue !! Le dernier acte est bourré d'actions avec de sacré courses poursuite et une scène finale surprenante !! George Lazenby n'égale pas la classe d'un Sean Connery mais il se défend plutôt bien !! A noter une très bonne BO !!
Il y a dans ce sixième volet, un air de révolution. Prestation unique d'un George Lazenby qui avait sur ses épaules la lourde tâche de remplacer l'iconique Sean Connery. Et qui plus est, sans aucun autre long-métrage crédité à son actif, c'est fort. One-shot également pour celui qui est derrière la caméra, Peter Hunt. La scène pré-générique, sur ce clair-obscur au ton bleuté de bord de mer, sublime. Bond retrouve une certaine fraîcheur : des combats à mains nues, longs et crédibles. Quelques maladresses le rendent imparfait et viennent apporter un regard neuf sur le personnage. Après une incartade portugaise, on visite les Alpes Suisses une seconde fois, en restant toujours aussi moderne dans les décors, mais en étant beaucoup moins soporifique que les précédents. L'épreuve du temps est passée avec succès. Audace dans la production, plus minimaliste mais beaucoup plus efficace, le clin d'oeil l'espace d'un instant aux cinq premiers volets est très pertinent. Première opus qui finit mal également, ce qui donne au tout un charme fou. La transition avec Diana Rigg est toute trouvée : très en retenue, un air insaisissable, elle fait partie intégrante de la mue opérée par la franchise qui calme le jeu avec la femme objet. Indéniablement, un des épisodes les plus sous-côtés.
Même si l'acteur n'est pas le plus convaincant en James Bond, cet opus autour du Piz Gloria en Suisse est une réussite avec des scènes qui sont rentrées dans la légende. On y voit les meilleures scènes de ski des James Bond. La méchante issue des années de guerre froide, proche de Lotte Lenya de Bons Baisers de Russie est une pure merveille.
Même s'il n'a ni le charisme, ni les épaules de Sean Connery, ce George Lazenby (dont le rôle de James Bond est le seul éclat de sa carrière d'acteur) reste un bon remplaçant. L'histoire se laisse plutôt bien suivre. On retrouve également l'humour so british ainsi que de bonnes scènes d'action. Un film sympa.
Certainement le meilleur James Bond chronologiquement depuis Bons Baisers de Russie, Lazemby reprend avec brio le rôle laissé par le déserteur Connery. Ici pas de quartier: on reprend "enfin" le rôle de l'agent qui frappe fort, qui n'a pas besoin de gadget à tout va et qui traverse le monde à la poursuite de l'ennemi N°1 Blofeld. Lazemby dés l'ouverture vanne très comiquement son prédécesseur tombeur de femme,vanne également Q pour l'inutilité de ses gadgets, n'hésite pas à vouloir démissionner choisissant sa vie (sa vengeance!) au boulot, ouvre ses tiroirs et fait l'inventaire avec un sourire des objets des films précédents...un scénario donc rappelant que l'on repart ici de zéro: sorte de Casino Royal en son époque! Les scènes d'action sont les meilleurs du moment ayant pour cadre essentiellement la montagne: course en skis, avalanche, téléphérique, bobsleigh, course Trophée Andros etc Les interprètes sont parfaits avec un Lazemby très différent donc intéressant, un Telly Savalas des plus méchants et le meilleur pour la fin, la deuxième Chapeau Melon Girl en Bond Girl, certainement la plus fascinante du moment, la plus belle et la plus tonique (son combat à la fin!) Le mariage suivi d'un deuil à la fin font définitivement de ce scénario un bon cru, laissant notre héros comme à la fin de Casino Royal... Un des meilleurs James Bond de la série à ce jour et peut être le meilleur de l'époque. Connery parti les scénaristes avaient du mettre les bouchées doubles: dommage qu'il ne l'ait fait avec lui!
De tous les acteurs s’étant glissés dans la peau de 007 après le pionnier Sean Connery, l’australien George Lazenby est sans nul doute celui qui se fit le plus descendre par le public. Pourtant, sans vouloir entrer dans le cruel jeu des comparaisons, Lazenby s’en sort honorablement en James Bond. Là où il n’a clairement pas eu de chance par contre, c’est d’abord de succéder à Sean Connery et à son capital sympathie engrangé auprès du public lors des cinq premiers épisodes, ensuite de débuter dans un sixième opus qui mine de rien prenait un sacré virage par rapport à ce qui se faisait avant. Résultat, le public n’a absolument pas suivi ce brusque changement de cap. Comparé à ses prédécesseurs, On Her Majesty’s Secret Service est un bide monumental. Une optique romantique qui en dérouta plus d’un puisque l’agent secret va tomber amoureux et même se marier après avoir tenté de démissionner, rien que ça. Ce romantisme on le retrouve d’ailleurs dans la chanson titre interprétée par Louis Armstrong, « We have all the time in the world », qui signifie clairement cette volonté de calmer le jeu de la surenchère. Ainsi, aux antipodes du romantisme, on peut également voir un 007 étudiant minutieusement un Playboy avant de s’envoyer tout le harem de Blofeld. Des combats qui continuent à être de plus en plus violents d’épisode en épisode, et des poursuites pour le moins originales dans ce film là puisqu’elles se font majoritairement sur glace (du stock-car) ou sur neige, à ski (avec une très belle séquence d’avalanche), avant une course-poursuite finale entre Bond et Blofeld qui se déroule en bobsleigh. Ca casse un peu le mythe mais ça reste très efficace. Sinon, le récit souffre forcément un peu de cette nouvelle approche. Un Blofeld cette fois ci campé par Telly « Kojak » Savalas qui ne restera pas dans les anales par manque de consistance. Résultat, un James Bond un peu plus mou et un peu plus long (2h20) , mais qui a au moins le mérite d’oser quelque chose de nouveau.
"Au service secret de sa majesté" marque le premier changement d'acteur pour endosser le costume de James bond. En effet, avec ce film nous passons du charismatique et iconique Sean Connery au un peu moins célèbre Georges Lazenby qui est surtout connu pour avoir été un mannequin britannique. Ainsi, que vaut ce film qui a fait tend décrier les critiques de l'époque et faillit remettre en question cette saga qui avait si bien commencé malgré '"on ne vit que 2 fois" qui est selon moi l' un des pires de la saga. Bref, ce film est en réalité une vrai réussite, s'expliquant par une histoire développée de bout en bout jusqu'à un final des plus intense. L'histoire est très plaisante à suivre et enfin nous tombons dans le quotidien et la vie privée de james bond qui nous permet de mieux comprendre le personnage. De plus, du point de vue du scénario, Blofeld a eu enfin le traitement qu'il méritaiit avec une réelle relation avec james bond le rendant réellement iconique et charismatique. On sent bien que ce personnage et james bond arrivent à se porter tout les 2 dans le film avec des dilemmes et des relations entre les 2 quasi onirique et permettant de remettre en question l'un et l'autre. La musique aussi est très bonne et met en place une réelle ambiance. C'est souvent le même thème qui se répète mais il est orgasmique et arrive même à sauver la plupart des scènes d'action qui sont pour le coup mal chorégraphiés provoquant une récession vis à vis du précédent film. Cela s'explique par des plans trop coupés, la photographie trop sombre par moment lors des phases de combat ce qui empêche de tout comprendre. Cependant la scène de la course-poursuite en ski et celle en voiture avec Tracy étaient très sympa.
Le film se rattrape largement avec tout le reste. Le petit hommage à Moneypenny à la fin spoiler: avec le lancer de chapeau et la mort de spoiler: Tracy de la main de Blofeld sont vraiment des éléments magnifiques et significatifs de l'évolution du personnage de bond. De plus, le film nous transmet de réelles émotions avec notamment la scène où James Bond dit: "On a toute la vie devant nous" qui faut écho à certains autres films. Bref de la grande écriture. Concernant George Lazenby. Honnêtement, il méritait de faire au moins une suite. Je l'ai trouvé très convaincant dans le rôle. Je préfère Sean Connery mais lui aussi est très charismatique et est par moment beaucoup plus attachant que Sean, vu qu'ils ont bien plus humanisé sa version. Dommage que ce film n'est pas trouvé son public à l'époque... Bref pour conclure, un des meilleurs films de la saga James Bond.
Après la performance de Sean Connery en James Bond, il était temps de changer de visage en la personne de George Lazenby, qui a l'air de s'en sortir à moitié : il ne surpasse évidemment pas Sean Connery mais il rentre bien dans le rôle, par contre j'ai l'impression qu'il imite plus Sean Connery que James Bond lui-même. Heureusement, le reste du casting est convaincant : entre un Blofeld au caractère menaçant et aux méthodes surprenantes et une James Bond Girl mémorable, l'ensemble du casting fait bonne figure. Pour ce qui est du scénario, je le trouve très en avance sur son temps car je trouve critique l'idée de spoiler: manipuler des jeunes femmes. Mais ce qui est le plus réussi, c'est d'offrir une intrigue autour de la vie amoureuse de James Bond. La musique est très bien adapté : elle est agréable, accompagne bien les scènes, comme à son habitude, et peut avoir l'air surprenante. Les scènes d'action sont, quant à elles, toujours divertissantes et, malgré les vieilles incrustations, m'ont gardé éveillé.
"Au Service secret de sa Majesté" est un film offrant un bon retournenement et changement pour la franchise, parvient, à mon goût, à se démarquer et nous montre une bonne reconversion dans le rôle de James Bond.
Premier et dernier film avec George Lazenby dans le rôle de 007. Le scénario tient la route mais pèche avec quelques lourdeurs, le film est trop long. spoiler: Notre ami Bond se retrouve dans une histoire qui le dépasse un peu, obliger de pendre des congés forcés par M, il va devoir se mettre au service d'un mafieux Corse qui veut que l'on surveille sa fille avec qui la comédie va se transformer en une histoire d'amour. Draco le mafieux va ensuite fournir des information pour trouver Blofeld le pire ennemi de Bond qui est le chef du SPECTRE qui dans son quartier général en Suisse prépare un plan machiavélique. Lazenby est le roi du changement de costume et de boxe dans ce film, au grand jamais il n’utilise son arme à part à la fin une mitraillette où est passé le Walther PKK et les gadget de Q inexistant, c'est bien dommage. Le scénario est un peu délirant on peut le dire, utiliser spoiler: des jeunes filles allergiques manipulés mentalement pour répandre une maladie mortelle dans le monde, un James Bond infiltré dans le rôle d'un généalogiste. Les scènes d'actions bien que nombreuses et bien tournés, poursuite en ski, attaque de la base, poursuite de Blofeld paraissent trop longue et ayant peu d'intérêt pour le film et enfin que dire de l'improbable mariage de Bond à la fin du film tout ceci est irréaliste un agent du MI6 marié cela parait impossible. Cet opus n'est pas le pire James Bond mais n'est pas de loin dans les meilleurs que j'ai vu.
Tout à fait plaisant à suivre ce James Bond, même Lazenby tient bien le rôle, et dire qu il a renoncé aux opus suivants pour lesquels il pensait qu il n y avait pas d avenir ... on passera sur les effets spéciaux et actions un peu dates pour le reste le scénario assez classique passe bien.
La seule interprétation de Bond par George Lazenby, qu'il a immortalisée par sa turbulence, reflet par la même de ses qualités. Sa durée (cent trente minutes) nous en dit déjà long sur l'ambition du réalisateur, qui se met parfaitement dans la lignée de ses prédécesseurs tout en restant à l'avant-garde technique, d'une manière toutefois qui trahit le progressisme artistique. Les gagdets sont mis de côté - non sans une délicate apparition du très culte Desmond Llewelyn qui les fournit à Bond dans dix-huit de ses films - et cèdent leur place à des activités diverses et impressionnantes : ski, bobsleigh, course automobile, entre autres scènes physiques et d'action.
Pour la mise en oeuvre de ce contenu épique, Peter R. Hunt a fait avec le tout-venant, ce qui va avec beaucoup d'avantages... et beaucoup d'inconvénients. C'est sans doute le film de Bond où l'acteur principal joue le moins son propre rôle, tant il est doublé par des sportifs et des cascadeurs. Mais l'illusion est convaincante.
Le montage est de type mosaïque : les scènes sont composées d'une multitude de prises de vue qui durent parfois moins d'une demi-seconde. Très fatigant à la longue, quoique très bien réglé. Mais là aussi, l'innovation et la réussite ne vont pas sans leur corollaire : attendez-vous à un film tellement truffé de faux raccords qu'il pourrait servir de démonstration à ceux qui ne les remarquent d'ordinaire pas.
Superbement mis en scène par Peter R. Hunt, dans les Alpes suisses, “Au service secret de Sa Majesté” est le seul Bond mettant en vedette George Lazenby, qui est tout simplement excellent.
007 enquête sur spoiler: le réseau généalogique de Bleuchamp / Blofeld et retrace ainsi toute la filière du crime, depuis un cabinet d'avocats bernois jusqu'à SPECTRE, qui a investi dans la guerre bactériologique, sous couvert de recherche pharmaceutique, au sommet du Piz Gloria .
Après un spoiler: combat dans ce nid d'aigle, des poursuites à couper le souffle – à skis, en voiture et en bobsleigh – et une lutte à travers les Alpes bernoises, qui laisse Blofeld pour mort, c'est aussi le seul Bond dans lequel James non seulement tombe vraiment amoureux, mais scelle aussi ce respect mutuel par les liens sacrés du mariage .
Alors que spoiler: M. et Mme Bond sont en route pour leur lune de miel, Tracy – merveilleusement interprétée par Diana Rigg – est heureuse d’enfin entrevoir un avenir, « avec trois filles et trois fils » .
Les spoiler: jeunes mariés se sont arrêtés au bord de la route de leur lune de miel, quand une rafale de mitrailleuse déchire soudain la beauté du moment romantique. C’est Blofeld qui a survécu, et qui ainsi vient d’ensevelir le rêve, qui sera devenu réalité l'espace de quelques heures seulement .
James spoiler: pleure avec sa bien-aimée qui vient de mourir dans ses bras .
Son statut, d’agent secret au service de la lutte contre le crime, le spoiler: condamne à ne plus jamais pouvoir vraiment s’attacher à quelqu’un, sans que sa conjointe ne risque le même triste sort .
AU SERVICE SECRET DE SA MAJESTE (1969). Une drôle de dame cette comtesse, Teresa Tracy, pourtant elle et son entourage douteux aideront James Bond à retrouver Blofeld, tête pensante de SPECTRE (organisation mondiale du crime). Un épisode romantique bercé par la chanson " We have all the time in the world", interprétée par l'excellent Louis Armstrong, que l'on retrouvera aussi pour le générique de fin de "Mourir peut attendre"(2021). Sans doute la chanson emblématique d'un amour perdu à jamais, point commun de ces deux opus. James Bond, l'acteur George Lazenby, remplaçant de Sean Connery, un parfait gentleman distingué. D'une grande simplicité, cette classe sans défaut passera très bien à l'écran. Dommage, il ne fera qu'un seul James Bond. Un film d'espionnage intéressant, assez sympa, se déroulant la plupart du temps dans le repère de Blofeld situé sur l'un des sommets enneigés d'une montagne des Alpes Suisses. Une clinique aux bien mauvaises intentions édifiée dans un très joli cadre de vie. Blofeld, l'acteur Telly Savalas (Kojak), le crâne chauve, un regard intelligent, un savant fou très inquiétant secondé par son antipathique assistante, Ilse, aussi démoniaque que son maitre. Cette aventure ne décevra pas, une agitation certes un peu vieillotte mais tout de même très bien réalisée pour son époque. Une James Bond Girl, Teresa Tracy, un personnage au fort caractère interprété par la séduisante Diana Rigg (Emma Peel de Chapeau Melon et bottes de cuir), tellement pétillante que James cèdera à sa beauté. Distrayant par ses actions, agréable par sa B.O, ce film bien maitrisé arrivera même à nous faire oublier notre ami Sean Connery. "Au service secret de sa Majesté" ne sera pas un grand James Bond mais restera très plaisant à regarder.
Génial, ce james bond change radicalement des autres!! Avec George Lazenby qui remplace sean connery pour un seul film , qui est bien dans le role de james bond, et une Diana Rigg superbe et merveilleusement belle, c'est meme , je trouve personnelement, la plus belle james bond girl que j'ai vu de tout les james bond mais c'est vraiment un avis personel! Aprés le film est sans temps mort, action sur action !! La fin est aussi trés "choquante" car on ne s'y attend pas !! Et surtout trés triste. Bref un trés bon james bond