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    Free Zone
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    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 août 2024
    Excepté la sublime intro, un road-trip croisant le destin de 3 femmes qui se délite rapidement dans une histoire de dette foireuse. 1,25
    maxime ...
    maxime ...

    250 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juillet 2022
    Un visage qui pleure derrière la vitre d'une automobile, voilà comment débute Free Zone. A voir le carreau, on s'imagine la pluie, son humidité nous berne car lorsque la fenêtre s'ouvre le soleil est présent, le jour entre, les larmes de cette si belle figure continue de grouiller, les sanglots deviennent donc les nôtres. Had Gadia n'a que plus d'écho ...

    De cette longue première scène, intervient une autre prière, là encore à cheval entre vitre ouverte et fermé. On prend le temps pour parler, il faut véritablement attendre le " Je suis prête " pour belle et bien entreprendre le périple.

    Comme pour tout voyage à quatre roues, on passe un temps considérable dans l'habitacle. Alors, lorsque l'on en descend, on ne perd pas une miette de cet espace. Mais avant de prendre le thé ( un autre passage obligée lorsque la route s'impose ) et tout le reste, d'autres semi échappatoire viennent se superposé au chemin. Les deux scènes de flashbacks ne sont pas totalement semblables, même si les motivations explicatives s'en ressentent. Le premier, consacré à Rebecca chevauche l'histoire dans le temps réel, métaphore du songe et de l'analyse, comme celui d'un regard extérieur qui cherche à comprendre. " Peut-être que je suis à ma place nulle part " dira t-elle un peu plus tard dans le récit. La superposition est fabuleuse aussi ne serait-ce que formellement, on se pense à éluder la rupture tout en gardant contact avec sa tension de base. Le jeu du cadre et du hors cadre se percute et équilibre les balances. Le second est aussi foudroyant. De cette image de traite surgit un son que le devine et que l'on souhaite pourtant autre. Le parcours présent de Hanna s'acte dans se passé récent, définit le motif et la situation du jour après une question annoncée quasi " normalement ". Mortier ou Roquette ? "

    Près d'une heure de voyage passe, on prend tout, pas une miette ne doit s'exfiltrer. Les paysages, conversations anodines ou plus poussées, tout se doit d'être assimilé. Le mélange des langues, Anglais, Hébreu, Arabe se rencontrent et se partagent, la encore une citation s'impose pour bien tout comprendre à ce manège. " Il est important de parler la langue de ses ennemis ! ". C'est aux abords de la Free Zone que cela se dit, dans une voiture, dans un échange qui à tout d'un drame avant coureur. Il y'a dans le parcours de ces trois femmes une autre dimension, l'absence de l'homme qu'elles ont quittés, " souffrant " comme elles le disent. De ce point là aussi le film est remarquable, dans son avancée, à hauteur digne et humble ( pour ne pas dire fière ) Free Zone d'Amos Gitai redonne les cartes des enjeux géopolitiques et sociétales à une éclaircie philosophique prenant place à la colère et à la rage des hommes pour qui le feu est un héritage pour piller ... Le regard porté est néanmoins plus visionnaire encore que cela, car comme la fin l'indique, l'héritage est universelle !

    Puisque l'on évoque le feu, l'incendie en est sa suite logique. La terre brulée sonne comme une perte, elle aussi provenant de loin et qui resurgit par période, un héritage, encore une fois. Leila, Rebecca et Hanna en font l'expérience et tissent un lien magnifique et destructeur pour la suite. La musique encore une fois invoqué n'a plus rien de triste, elle amène avec elle des sourires, une joie entrecoupé d'un flash qui change tout. Ou alors peut-être pas ? Je n'en sais rien. La fuite ou l'énième tractation autour de spoiler: l'argent
    , symbole d'une guerre de possession se nichant dans un corps ou les vives brulures se raniment à la manière des braises qui volent encore et toujours sur un sol qui a connu le feu.

    Amos Gitai signe ici un film perspicace et engagé sur les rapports humains. La force de ses objectifs sont stupéfiants et relaté avec un discernement réfléchis et édifiant des situations, il ne perd en rien la portée spirituelle de sa démarche et œuvre avec un conflit intérieure pour changer la donne, sans le pouvoir ...

    Un mot aussi pour les interprètes de Free Zone, de ces trois femmes notamment, incroyable. J'en reviens à la scène qui les réunit dans la voiture, cette scène sera juste inoubliable pour moi ! Mon passage ultime.

    Un long métrage puissant de failles, sans vernis, au firmament de ses moyens.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 avril 2021
    Free Zone est l'un de ces films vraiment mauvais. En fait il n'y a pas grand-chose à dire. Il y a un scénario ennuyeux, des personnages stéréotypés et superficiels et des scènes interminables. C'est le film d'art dans toute sa splendeur et dans ce qu'il a de pire. J'ai trouvé ce film déroutant et j'ai pensé qu'il aurait pu être bien mieux fait. J'ai compris une partie de l'intérêt du film le rapprochement de 3 femmes de 3 cultures vivant dans des pays impliqués dans des périodes périlleuses. Mais la durée pendant laquelle le spectateur a été soumis à des pleurs au début du film était trop longue et l'histoire revenait sur un point qui avait été facilement compris dans les dix premières minutes. La superposition des scènes est devenue ennuyeuse et a nui à la qualité du film, les flashbacks étaient mal faits et n'ont fait qu'ajouter à la confusion générale. La fin laisse le spectateur sur sa faim sans donner le moindre sens ou plus d'intérêt a cette histoire...
    mx13
    mx13

    249 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juin 2018
    Intéressant mais trop politique et lent. Des images qui laissent à désirer, film israélien qui finit en douceur, mais qui étonne. Natalie Portman pas mal dans cette œuvre sélectionnée à Cannes 2005. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    297 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 juin 2016
    Attirant sur le papier, deux ou trois scènes captivantes et musique envoûtante mais dans l'ensemble c'est trop mou et surtout trop difficile à suivre. Un film d'auteur agaçant avec des dialogues interminables sans queue ni tête et voilà un sacré moment de solitude !!
    Buzz063
    Buzz063

    79 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 juin 2012
    Première scène du film : une jeune femme pleure à l’arrière d’un taxi puis convainc la femme qui le conduit de la laisser l’accompagner en Jordanie. Durée : 9 minutes. 1 plan fixe. Deuxième scène : les deux femmes passent la frontière. Durée : 7 minutes. 1 plan. Mais là au moins la caméra bouge un minimum. Troisième scène : un interminable flash-back de 8 minutes en surimpression, aussi laid que lourd. Tout le film est comme ça. Faussement naturaliste et lourdingue.
    Amos Gitaï transforme tous ses personnages et toutes ses séquences en métaphores ou en paraboles pachydermiques. La seule chose à sauver se sont les trois actrices du film qui parviennent à donner de la consistance à leurs personnages.
    La fin est particulièrement caractéristique du film dans son ensemble. Le cinéaste semble se rendre compte qu’il trimballe le spectateur depuis 1h30 et qu’il est temps de finir son film. Il fait alors une chose que je DETESTE au cinéma, il largue ses persos au milieu de nulle part en ne résolvant aucun des enjeux qu’il a posé au cours de son histoire. Passe encore pour les enjeux matériels. On peut voir les 30.000 $ que cherche Hanna Laslo comme une sorte de McGuffin. Quant au fils disparu de Hiam Abbass, c’est un alibi comme un autre pour qu’elle reste dans le taxi. Mais aucun enjeu humain n’est résolu non plus. On a droit à la place à une conclusion aussi lourdement métaphorique que tout ce qui a précédé. On a donc le personnage israélien et le personnage palestinien dans le taxi, espace exigu où les deux doivent cohabiter. Ils s’engueulent, il fait jour. Cut. Ils s’engueulent toujours, il fait nuit. Subtil, non ? Quant au personnage de Portman c’est encore mieux, elle sort du taxi et part en courant. Où va-t-elle ? Que lui arrive-t-il ? On ne le saura jamais et apparemment on s’en fout.
    Gitaï nous balade donc au final durant 90 minutes pour nous expliquer que si Palestiniens et Israéliens se parlaient au lieu de se mettre sur la gueule il y aurait une meilleure ambiance dans la région. Bref l’amour c’est beau et la guerre c’est pas bien.
    Guillaume182
    Guillaume182

    133 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2012
    Je découvre le cinéma du réalisateur Israelien Amos Gitaï qui signe ici un film très humain sur le communautarisme et la guerre au moyen orient.

    Tout commence sur un long plan-séquence ou la caméra est fixée sur le visage de profil d'une Natalie Portman en larme qui cherche à quitter Israel à cause de son violeur de copain.

    A partir de ce moment commence son voyage qui sera fait de rencontre et ou ces gens lui racontent leurs histoires jusqu'à ce qu'elles parviennent à rejoindre la free zone.

    Je retiens aussi la scène au début du voyage dans la voiture ou il y a une superposition d'images, présent du voyage et du passé, de toute beauté.

    Admirablement filmé, c'est simple et beau à la fois.

    Ce film est aussi l'occasion pour nous Français de découvrir un peu les problèmes qui rongent les pays qui sont visités dans ce film.

    C'est finalement une bonne surprise pour moi qui m'attendais à un film peu passionnant, mais c'est tellement bien mis en scène, le sujet intéressant, tout le conflit Israel Palestine est centré dans l'intrigue principale c'est-à-dire cette femme Israelienne qui cherche à empocher ses 30 000 euros en demandant de l'aide à une Arabe.

    Les actrices sont excellentes .

    Un message de paix dans une zone ou la guerre règne depuis des milliers d'années.
    Sebmagic
    Sebmagic

    175 abonnés 1 128 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2011
    Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre avec ce film de Amos Gitaï que j'ai donc découvert avec Free Zone. Le film se situe dans un contexte géopolitique intéressant, celui du conflit israëlo-palestinien, mais je pense qu'il y avait matière à faire passer plus de choses sur le sujet, surtout avec le casting réuni ! C'est clairement le point fort du film, qui fait évoluer pendant 1h30 trois personnages féminins au coeur d'Israël, la Jordanie et la Palestine, dans un genre de road movie façon documentaire. Les 3 actrices représentent chacune une nationalité. Natalie Portman joue une américaine, Rebecca, qui prend un taxi en Israël pour passer la frontière et entrer dans la Free Zone. La conductrice, Hanna (campée par Hanna Laslo), est un israëlienne et les deux femmes vont faire connaissance dans ce taxi. A partir de la moitié du film, un autre personnage entre en scène, Leila (Hiam Abbass), une palestinienne. Commence alors une confrontation entre ces trois femmes d'origines et de cultures différentes. Le sujet aurait pu être passionnant si le scénario avait été plus clair et plus prenant. Lefilm s'ouvre sur un plan-séquence de plusieurs minutes, une excellente scène qui montre le talent extraordinaire de Natalie Portman, avec une belle musique. Cette actrice ne cessera de m'époustoufler dans ses films et cette magnifique scène d'entrée m'a mis en confiance pour la suite. Malheureusement, et malgré tout le talent des comédiennes (Hanna Losla est vraiment géniale dans son rôle), il faut dire que le film souffre d'une trame trop peu passionnante et qui aurait mérité d'être plus développée. J'ai beaucoup aimé le principe du road movie, la caméra à l'épaule étant quasiment toujours à l'intérieur du taxi, malheureusement les discussions et événements ne sont pas toujours intéressants, d'autant que le sujet principal du film (Hanna cherchant à retrouver ses 30000 dollars) n'est pas des mieux choisis pour illustrer ce conflit israëlo-palestinien. Les décors dans lesquels évoluent les personnages sont pourtant démonstratifs, les protagonistes évoluant au milieu de villes délabrées voire incendiées, mais ça ne suffit pas à rendre le propos marquant. Qui plus est, la réalisation est parfois assez mauvaise (à mon goût), notamment pendant la première moitié. Amos Gitaï a choisi de superposer plusieurs scènes pour tenter de nous expliquer un peu mieux comment les personnages en sont arrivés ici. Malheureusement, ces images en surimpression ne font que rendre le récit encore plus confus qu'il ne l'était déjà, si bien qu'à certains moments on ne comprend même pas ce qui se passe, ce qui a fini par m'ennuyer. Heureusement, la fin du film vient rattraper le tout avec une scène absolument sublime. En une seule séquence, le réalisateur pointe du doigt avec brio les relations entre les 3 pays. L'israëlienne et la palestinienne ne cessent de se disputer et on a affaire à un véritable dialogue de sourds, sans fin, tandis que l'américaine fuit la voiture et ce conflit pour ne plus en être témoin. Une scène vraiment magnifique qui résume en quelques secondes toute la fatalité de cette situation géopolitique, l'idée de représenter chaque pays (ou disons plutôt "région") par une seule femme étant absolument géniale. Il est donc dommage que les scènes d'ouverture et de fermeture soient si belles et si justes, tandis que le reste ne suit pas. D'autant plus dommage que les actrices sont franchement fabuleuses.
    Kill-Jay
    Kill-Jay

    70 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 juin 2011
    J'adore Natalie Portman mais là non, je ne peux pas... J'ai tenu 25 minutes, dont 10 minutes (et je peux vous dire que j'ai vraiment lutté) à regarder NP chialer et pleurnicher sans discontinuer au début du film, ça m'a tout simplement paru interminable mais j'ai tenu, un quart d'heure après je n'ai pas pu m'empêcher de mettre un autre film... C'est long, c'est sans intérêt... La suite est sans doute mieux pour que certains mettent des notes aussi élevées pour ce film mais moi je n'ai pas pu continuer !
    Pascal I
    Pascal I

    776 abonnés 4 136 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 février 2011
    Qu'est-ce que Portman fait ici ? Vraiment sans saveur, long à en désespérer, moralisateur outrageant et message comme un épisode qui se veut bonne conscience. 1/5 juste pour quelques ambiances !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 août 2010
    J'ai vraiment beaucoup aimé Free Zone. Le film commence, et quelle émotion à chaque fois qu'en gros s'affiche le nom de Natalie Portman. C'est inexplicable ce sentiment, mais je ressens des frissons puis commence le film. Une première scène absolument fantastique d'au moins 5 minutes sur cette splendide femme, Rebecca, interprétée par Natalie Portman, pleurant intensément... Une musique de fond sublime... Un bon film s'impose... C'est le moment du départ. Ainsi débute le Road Movie avec Hanna Laslo, prix d'interprétation de Cannes - années 2005 - Respect tout de même ! Le film traite de la place des femmes dans le conflit Israélo-palestinien... On voit ces femmes évoluer, se disant que s'il n'y avait pas les hommes pour faire la guerre, la paix serait garantie... On a l'illusion d'un monde meilleur, une sorte d'espoir pour la suite. On est ému, on rit devant l'interprétation absolument parfaite d'Hanna Laslo, on se sent triste par moment... Une fin tout de même qu'on pourrait qualifier de désillusion. Ainsi s'achève ce magnifique film. Sur un conflit Israélo-Palestinien avec la même musique splendide du début. Un film envoûtant de A à Z, musique, décor, langue... tout est parfait ! à se demander pourquoi de si mauvaises critiques dans les journaux ? Bravo à Amos Gitaï pour cet envoûtant moment passé en ce mercredi 9 Novembre. Allez voir ce film, vous passerez un bon moment.

    Matts, webmaster de [www.NataliePortman.fr]
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    242 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2009
    Le plan d'ouverture de «Free Zone» (Israël, 2005) d'Amos Gitaï est anthologique, non pas parce qu'il laisse le loisir d'explorer quasi-plein cadre le visage d'une des plus actrices contemporaines, Natalie Portman, mais parce qu'il contient en une seule surface (un visage) toutes les peines qui parcourent les territoires de Palestine et d'Israël. Cette lecture du visage en pleurs du personnage de Rebecca n'est pas une lubie de cinéphile amoureux, elle est étayé par la suite du film et nourri par toute l'oeuvre de Gitaï. A bord d'un taxi, Rebecca fuit Israël pour se rendre partout ou nulle part. Faisant la connaissance de Hanna (Hanna Laslo), Rebecca, jeune américaine, se lie d'amitié avec cette israélienne. Toutes deux se rendent en free zone, lieu de jonction entre Israël et la Palestine. Là-bas, Hanna rejoint un palestinien, pour conclure une affaire. Elle n'y trouvera que sa femme, Leïla (Hiam Abbas). A travers cette histoire de femmes, Gitaï redispose la condition de la guerre que se livre les deux pays pour Jérusalem. Entre les deux femmes, Hanna et Leïla, une autre femme, une américaine, joue le liant sans savoir précisément où cela les mènera. Sous forme de fuite vers un lieu préservé des conflits, «Free Zone» par la sensibilité de ses actrices, par la discrétion de son procédé métaphorique, par la seule présence des motifs récurrents du cinéma de son auteur (ses travellings latéraux observés aux travers d'un véhicule mobile) exalte l'oeuvre d'un auteur sensible et concerné par la condition de son pays natal. Deuxième partie de ce qui pourrait être considéré comme «la trilogie de la femme» (avec «Land promised» et «Disengagement»), «Free Zone», à travers les trois visages «ethniques» qui le compose, trace la cartographie d'un territoire troublée. En décidant de réduire le conflit israélo-palestinien au rang des femmes, Gitaï donne à la guerre une dimension humaine mais surtout, et c'est toute la charge du premier plan, une dimension sentimentale.
    DimDim72
    DimDim72

    8 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mars 2009
    Ennuyeux et sans intérêt.
    Très décevant de la part d'Amos Gutaï.
    vadorbane93
    vadorbane93

    21 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2009
    Emouvant, ce film dépeint magnifiquement à travers le destin d'une jeune femme le quotidien du peuple israelien. Gitaï n'a pas son pareil pour ce genre de film dont il est l'un des instigateurs avec kiarostami qui lui émancipe l'iran au travers de ses films , souvent réussis.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 septembre 2008
    Amos Gitaï signe un road moovie pour le moins original qui vaut surtout pour son trio d’actrices : Natalie Portman (l’intensité émotionnelle de la première scène est tout bonnement époustouflante), Hiam Abbass et surtout Hanna Laslo (LA révélation de ce film). On se laisse bercer par ce voyage vers la Free Zone, peut-être un peu trop par moment.
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