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Alexarod
Encore un film culte dont on m’a fait une montagne, c’est peut-être en cela qu’il m’a déçu. Faut avouer aussi que j’ai d’abord vu un épisode de Code Quantum lui rendant hommage, donc j’ai fait le parallèle sans cesse, et la série gérait mieux le rythme…
En effet, c’est un vrai long métrage en ce sens qu’il comporte trop de longueurs, trop de passages inutiles, des lourdeurs, qu’il se déroule lentement et il ne dure qu’1h40 pourtant (l’aspect vieux déjà évoqué auparavant ?). Certes entre l’époque et le lieu où ça se passe on pourrait comprendre, mais pas le fait de ne pas aller au fond des choses. En effet, on parle de racisme ordinaire, de ségrégation mais sans qu’il y ait de discussion à ce propos, pareil pour les affres de la vieillesse ou de Martin Luther King, juste des courts passages en traitent. Puis finir sur cette difficulté à mettre ses parents en maison quand ils perdent la tête, l’amitié, pour moi ça ne colle pas, un peu facile, pas trop vu avant dans le film, et ça mélange les genres alors que ce n’est pas abordé d’une quelconque façon.
Par contre il faut souligner que des films sur ces temps-là et ce thème sont trop rares. Celui-ci est un des premiers et des plus connus, puis Morgan Freeman convenait tout à fait à ce rôle. La musique colle bien au style, pas de mélo, la trame reste appréciable même si elle se devine aisément, on l’oublie un peu, les dialogues sont très sobres (trop ?), mais l’ambiance est là grâce à des décors et des costumes soignés. Au final c’est agréable à voir une fois, mais sans plus car ça manque de propos ou d’avancée dans la psychologie des personnages, à part une belle amitié on ne voit rien d’autre.
En effet, c’est un vrai long métrage en ce sens qu’il comporte trop de longueurs, trop de passages inutiles, des lourdeurs, qu’il se déroule lentement et il ne dure qu’1h40 pourtant (l’aspect vieux déjà évoqué auparavant ?). Certes entre l’époque et le lieu où ça se passe on pourrait comprendre, mais pas le fait de ne pas aller au fond des choses. En effet, on parle de racisme ordinaire, de ségrégation mais sans qu’il y ait de discussion à ce propos, pareil pour les affres de la vieillesse ou de Martin Luther King, juste des courts passages en traitent. Puis finir sur cette difficulté à mettre ses parents en maison quand ils perdent la tête, l’amitié, pour moi ça ne colle pas, un peu facile, pas trop vu avant dans le film, et ça mélange les genres alors que ce n’est pas abordé d’une quelconque façon.
Par contre il faut souligner que des films sur ces temps-là et ce thème sont trop rares. Celui-ci est un des premiers et des plus connus, puis Morgan Freeman convenait tout à fait à ce rôle. La musique colle bien au style, pas de mélo, la trame reste appréciable même si elle se devine aisément, on l’oublie un peu, les dialogues sont très sobres (trop ?), mais l’ambiance est là grâce à des décors et des costumes soignés. Au final c’est agréable à voir une fois, mais sans plus car ça manque de propos ou d’avancée dans la psychologie des personnages, à part une belle amitié on ne voit rien d’autre.
Cinéphiles 44
L ’un des plus beaux rôles de Morgan Freeman est aux côtés de Jessica Tandy dans « Miss Daisy et son chauffeur » réalisé en 1989. Entre autre Oscar du Meilleur Film, le film raconte la rencontre entre Miss Daisy, une vieille dame de confession juive très caractérielle contrainte de ne plus conduire et Hoke, un afro-américain, recruté par son fils pour conduire sa mère à ses promenades. Les débuts de leurs relations sont houleux et prêtent à la rigolade pour le spectateur. Peu à peu, le long-métrage va gagner en profondeur grâce à l’évolution du personnage féminin qui apprend à connaître son chauffeur. La thématique raciale est abordée avec délicatesse et l’amitié avec une grande humanité. Comédie dramatique douce-amère, « Miss Daisy et son chauffeur » est une œuvre simple, vraie et touchante.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Miss Daisy est un film agréable, bien qu'un peu trop douçâtre et convenu. L'histoire et la mise en scène manquent singulièrement de rythme. On s'ennuie parfois un peu. Dans le rôle de la vielle femme acariâtre, Jessica Tandy est loin de la performance d'une Tatie Danielle. Morgan Freeman, comme d'habitude, crève l'écran. Heureusement, il y a un vrai fil conducteur et les thèmes abordés (vieillesse, racisme, argent) le sont avec une certaine subtilité. Le réalisateur dresse le portrait de deux personnages que tout oppose et qui finissent par se comprendre et s'apprécier, au crépuscule de leur vie. Il met en évidence que la richesse ne fait pas forcément le bonheur et que les hommes, quelque soit leur éducation, leur couleur de peau ou leur niveau social, sont égaux devant la mort. C'est une belle leçon de morale que tout le monde, hélas, ne percevra pas.
Un oscar du meilleur film qui sera vite oublié. Ici on retrouve une Tatie Danielle et son larbin qui vont se lier d'amitié pendant 25 ans. Les rôles principaux de petites vieilles sont souvent considérées comme de belles interprétation. Il y a une performance normale... pour une petite vieille. Le film est très simple, le fond est sans surprise, et le tout suscite relativement peu d'intérêt, à l'image de ce qu'est devenu le film auprès des cinéphiles : rien. Seuls les maquillages et les jolis décors évoluant dans le temps sont sympathiques, sans plus.
Santu2b
Sorti en 1989, "Miss Daisy et son chauffeur" est sans doute le fiml le plus connu de Bruce Beresford, grand vainqueur des oscar avec quatre récompenses dont celles du film, de l'actrice et du scénario adapté. C'est aussi le long-métrage qui révéla Morgan Freeman au grand public qui s'impose déjà dans un rôle lié à la sagesse et à la bienveillance. Le synopsis de "Miss Daisy et son chauffeur" le classe d'emblée dans la catégorie des films à oscars : une personne âgée, incapable de conduire qui se voit assigner un chauffeur par son fils. Une sorte de "Green Book" avant l'heure sur la construction d'une amitié. "Miss Daisy et son chauffeur" est un film tout mignon, porté par de bons acteurs ainsi que quelques répliques bien senties. S'y passe-t-il grand chose cependant ? Pas vraiment. C'est là où l’appellation "film à oscars" prend tout son sens car en dépit d'un certain charme, l'ensemble reste conventionnel et gentillet.
C'était pétri de bons sentiments mais je trouve que ce qui était censé faire rire tombait à plat ou faisait à peine sourire et que Morgan Freeman en faisait trop, dommage car le maquillage était très réussi, tout comme l'interprétation de Jessica Tandy.
TAXI. Meilleur film , meilleur actrice, meilleur, meilleur, 4 Oscars..stop. Effroyable classicisme américain. Un fantôme avec chauffeur qui a pris de l'age ou alors en 1990 il n'y avait rien de passionnant à sauvegarder.
Dans les années 50, Tatie Danielle euh Tatie Daisy, acariâtre mamie juive de son état, se voit confier un chauffeur de couleur (insérer quelques clichés raciaux -discrets- de part et d'autre) pour se faire conduire à l'insu de son plein gré, car Mémé a la vue qui baisse et un défaut d'attention embarrassant.
C'est l'occasion pour Tata Daisy qui s'est fait forcer la main par son gros lourdaud de fils (un Dan Akroyd devenu bien gras comme un beau porcelet) de nouer une nouvelle relation avec ce vieux monsieur conducteur qui a presque son âge et qui supporte stoïquement ou presque toutes les manies et les humeurs de Tata Gaga.
Ils se marièrent alors et eurent beaucoup d'enfants... et... non ce n'est pas ça, me dit-on dans l'oreillette. Ils n'ont pas poussé la niaiserie jusque là. Mais presque !... Cela dit, notre Tatie Danielle à nous avait -au moins- quelques moments drôles, ce qui n'est pas du tout le cas ici : on reste dans le gnangnan moralisateur et donneur de leçons à la petite semaine.
Et on s'ennuie à deux balles de l'heure. Le film a le mérite je suppose d'avoir fait connaître Morgan Freeman, l'excellent acteur réduit ici au chauffeur-majordome obséquieux qui renâcle rarement sous le joug de sa vieille maîtresse. Il faut bien débuter quelque part, comme on dit. Mais on compâtit.
C'est l'occasion pour Tata Daisy qui s'est fait forcer la main par son gros lourdaud de fils (un Dan Akroyd devenu bien gras comme un beau porcelet) de nouer une nouvelle relation avec ce vieux monsieur conducteur qui a presque son âge et qui supporte stoïquement ou presque toutes les manies et les humeurs de Tata Gaga.
Ils se marièrent alors et eurent beaucoup d'enfants... et... non ce n'est pas ça, me dit-on dans l'oreillette. Ils n'ont pas poussé la niaiserie jusque là. Mais presque !... Cela dit, notre Tatie Danielle à nous avait -au moins- quelques moments drôles, ce qui n'est pas du tout le cas ici : on reste dans le gnangnan moralisateur et donneur de leçons à la petite semaine.
Et on s'ennuie à deux balles de l'heure. Le film a le mérite je suppose d'avoir fait connaître Morgan Freeman, l'excellent acteur réduit ici au chauffeur-majordome obséquieux qui renâcle rarement sous le joug de sa vieille maîtresse. Il faut bien débuter quelque part, comme on dit. Mais on compâtit.
bsalvert
Un film tout en subtilité grace au jeu des acteurs.
Impayable !
Ti Nou
Une très belle histoire d'amitié entre une vieille dame juive et son chauffeur noir qui brasse de nombreuses thématiques comme le racisme et l'illettrisme. Le duo formé par Morgan Freeman et Jessica Tandy est pour beaucoup dans la réussite du film.
Un film plein de tendresse et original et qui donne aussi une leçon de vie sur les gens fabuleux j ai apprécié cette histoire et passé un moment agréable
Un très beau film sur une vieille dame juive americaine et son chauffeur noir . Jessica Tandy et Morgan Freeman sont très bons dans leurs jeux d'acteurs.
Shawn777
Ce film, réalisé par Bruce Beresford et sorti en 1989, n'est pas mal du tout ! Le film raconte la relation entre une vieille dame blanche, autoritaire et aigrie et son chauffeur noir, bourré d'humour. Annoncé comme ça, on a plutôt l'impression de se retrouver devant une comédie potache sans grande envergure mais si on replace l'histoire dans son contexte, le film prend alors une toute autre tournure. Le film se passe sur une période d'environ vingt-cinq ans mais la majeure partie du film se passe dans une Amérique encore profondément raciste. Le scénario est donc plutôt original et sympa à suivre, le film ne joue pas tellement sur le ton mélo-dramatique comme savent si bien le faire les américains mais plutôt sur quelque chose de tragi-comique qui fonctionne ici très bien. Le rythme est quant à lui assez lent mais pourtant on ne s'ennuie pas car on apprend à s'attacher aux personnages et il est surtout intéressant de voir leur relation évoluer. Le film reste malgré tout assez triste mais n'en est pas non plus larmoyant, ce qui est une très bonne chose. La mise en scène est de son côté assez sobre, à l'image du film finalement. En ce qui concerne les acteurs, nous avons principalement Morgan Freeman, Jessica Tandy et Dan Aykroyd qui jouent très bien. On soulignera également la B.O. signée Hans Zimmer qui est très sympathique. "Miss Daisy et son chauffeur" n'est donc pas un film excellent mais il reste tout de même assez bon et attachant dans l'ensemble.
Loïck G.
Aujourd’hui ce film peut apparaitre ripoliné dans la mesure où il aborde des thèmes forts et majeurs comme le racisme, l’antisémitisme ou la vieillesse de manière assez convenue, et en y mettant beaucoup de précautions. Mais les sujets apparaissent malgré tout sur un mode que le réalisateur a choisi je pense en toute connaissance de cause. Sans militantisme aucun, il réussit à faire passer son message. Bien aidé en cela par Morgan Freeman et Jessica Tandy. L’ensemble demeure effectivement agréable, plaisant. AVIS BONUS Comme pour rattraper la discrétion prudente sur l'attitude sociale et humaine de l'Amérique ségrégationniste, les suppléments proposent des documentaires intéressants sur le sujet, avec en prime une interview du réalisateur qui explique bien comment il a abordé l'adaptation, du théâtre au cinéma.
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
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