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Alexarod
291 abonnés
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2,0
Publiée le 27 novembre 2010
Roh, le bon nanar, celui qu'on attend et dont on n'est pas déçu car il tient toutes ses promesses. En c'est tellement prévisible que c'en est drôle, dès le début j'aurais pu parier sur le nombre de bastons, la façon dont Van Damme se battrait, ce qui allait arriver à son pote et au méchant... Non tout vraiment. Je m'attendais pas, par contre, à voir Van Damme tenter le mélo suite au décès de sa femme, mais les moments dans le noir où il joue l'attristé c'est... rigolo. Comme c'est le film d'action par excellence, banal et prévisible, j'aurais du mettre 1 étoile (j'adore quand tout se passe comme je le devine, ça fait prédicateur), mais quand j'ai entendu JCVD tenter d'impressionner un mec qu'il a chopé en sortant "on est de Marseille nous, des vrais truand" genre Chicago au temps de Capone, alors là j'ai trop rigolé, et c'est pourquoi ça monte à 2étoiles. Jean Claude, t'as habité en France, alors joue pas l'américain moyen qui place Strasbourg en Italie...
Ah ouais, les caïds de la pègre de Marseille, ah qu'est-ce que j'ai rigolé, on voit que notre JCVD n'y a pas mit les pieds depuis un moment, sauf si 2-3 loulous qui tombent sur une arme, comme une poule avec un couteau, ça devient de la mafia sinon c'est ridicule. En dehors de ça juste un film d'action typique de notre Belge préféré, quelques punch lines involontaires, des coups, une trame connue, une histoire pourrie, pas de scénario... Il s'est bien intégré aux USA lui.
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2,5
Publiée le 5 janvier 2014
Vengeance, action, cascades millimitrèes, cette petite sèrie B est loin d'être mauvaise mais elle sent terriblement le dèja vu! C'est dommage car Jean-Claude VanDamme montrait là une belle prèsence, toute de noirceur et de larmes! La faute peut-être à la rèalisation de Philippe Martinez! Heureusement le « JCVD » de Mabrouk el Mechri n'est plus très loin où VanDamme y trouvera le rôle de sa vie en prouvant qu'il avait aussi une sensibilitè, un peu comme dans ce "Wake of Death" où il incarne avec conviction un ancien membre de la mafia! Une ascension pareille demande aussi un doigt de jugeote, et ce message il l'a fait passer comme une lettre à la poste! D'où la fiertè lègitime qu'il peut arborer aujourd'hui quand on sait qu'il y a quelques annèes il n'ètait encore aux yeux d'une bonne partie du monde qu'un cogneur dècèrèbrè...
L'un des derniers films avec Jean-Claude Van Damme à sa période "Aware" a avoir réussit à sortir en salles en 2005, "L'empreinte de la mort" co-scénarisé et réalisé par Philippe Martinez a connu un bide commercial. Ce long métrage ne vole pas bien haut par une mise en scène avec quelques ralentis tirés par les cheveux mais il y a des choses à sauver ici. Van Damme incarne un ancien videur de boite de nuit qui a décidé de changer de vie, accompagné de son épouse et son fils Nicolas. La mère ramène à la maison une jeune Chinoise par son travail d'assistante sociale mais se fera sauvagement tué par des assassins qui connaissent bien leurs travails, l'heure de la vengeance a sonné. Quand on lit le synopsis, on se dit qu'on a vu ça cent fois au cinéma, notamment avec Van Damme mais ce dernier livre une composition sobre inédite le voyant même pleurer de douleurs ce qui est une chose inédite dans sa filmographie. Les scènes d'actions sans karaté mais aux révolvers sont assez violentes. Les acteurs sont bons, a voir par curiosité.
À l'origine, L'Empreinte de la Mort devait signer la quatrième collaboration entre Ringo Lam et Jean-Claude Van Damme. Quittant le navire au bout de quelques semaines de tournage, le réalisateur hong-kongais est remplacé par le Français Philippe Martinez, principalement producteur de petit thrillers de troisième zone. Et c'est fort regrettable tant le scénario de L'Empreinte de la Mort aurait pu donner un excellent polar hard boiled qui pouvait redorer un minimum le blason terni de JCVD... Notez plutôt : un ancien mafieux marseillais vit désormais paisiblement à Los Angeles avec sa femme et son fils quand cette dernière décide de prendre sous son aile une petite immigrante chinoise. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que la gamine est en réalité la fille d'un puissant membre des triades qui est à sa recherche et va zigouiller l'épouse de l'ex-mafieux. À partir de là, le bonhomme ne jure que de vengeance et va exterminer tous ceux qui se mettront en travers de son chemin. Un pitch classique mais suffisamment classe pour nous en mettre plein la vue. Malheureusement, entre cette volonté de réaliser un polar sombre et violent et ce fan-service désolant où Van Damme est obligé d'apparaître dans un vulgaire film d'action, le long-métrage est une œuvre hybride, un produit calibré pour les amateurs de nanars mais qui garde en lui tout un potentiel inexploité. Maladroit, le film l'est indéniablement, de la musique techno dans les séquences d'action aux ralentis télévisuels foireux en passant par un rythme peu avantageux, c'est surtout face à un montage catastrophique que le spectateur grincera des dents. Pourtant, le film arrive à sortir des habituelles productions ratées de Van Damme grâce à une interprétation haut de gamme (de l'acteur belge, touchant, mais aussi du priceless Simon Yam). De plus, la violence est ici généreuse et sans fioritures, entre les giclées de sang éclaboussantes et une scène de torture à la perceuse bien mafieuse, le genre est sauf. Dommage donc que le résultat final ne propose qu'un simple action movie dénué de style, chose qu'aurait pu réparer Ringo Lam ou – on a le droit de fantasmer – John Woo.
DTV avec J-C Van Damme qui se laisse regarder. Tourné avec un budget ridicule mais avec S. Yam dans le rôle du méchant, le film est un petit divertissement mal filmé, blindé d'action mais aussi trop sérieux et pas très fun. C'est mal écrit, pas toujours très bien joué et c'est souvent ridicule. La grande histoire de vengeance promise ne se distingue jamais des autres et la violence est souvent gratuite et sans aucune réflexion derrière. Si vous avez du temps à perdre...
L'empreinte de la mort permet à Van Damme d'explorer une facette qu'on lui connaissait peu : l'émotion. En effet, dans ses derniers direct-to-dvd roumains, c'est plutôt son côté inexpressif qui domine car il en a rien à foutre. Là, il n'hésite pas à se mettre à nu, peut être moins que dans JCVD quand même, mais j'ai été surpris. Surpris également par le ton glauque du film, avec pas mal de violence gratuite qui peut déranger un peu : fusillade dans un restaurant où sa femme et les parents adoptifs de sa femme y passent, scène de la torture à la perceuse. Fallait-il aller jusque là ? Pas sûr. Après, quand on voit les conditions dans lesquelles se sont tournées le film, on est encore plus surpris par sa bonne qualité : un réalisateur débutant ne s'y connaissant rien en film d'action, un scénario écrit au jour le jour mais malgré tout ça marche.
Apres l'excellent replicant voila le nouveau van damme:realisation original,scenario deja vu mais bien fluide,et enfin une prestation d'acteur epoustouflante.bravo mr jean claude van damme...
Ce film est plutot très bon !!! bon Van damme, bonne photographie et histoire linéaire mais bien faite!! du bon travail que l'on prend plaisir à regarder.
Van Damme restera toujours Van Damme, et de façon plutôt assumée d'ailleurs. Visiblement plus en âge de jouer les premiers rôles à Hollywood, JCVD se contente désormais de petites productions américaines, avec une histoire d'une indescriptible banalité, le tout à base de méchants chinois, de vengeance et de violence propre à l'acteur. C'est lourdingue, primaire, souvent indigent et on a même droit à une scène totalement « what the fuck » de complaisance bouchère. Mais cela a au moins le mérite d'être clair : c'est de la grosse série B qui tâche et fière de l'être, n'ayant pas peur de faire tomber les morts par dizaines et en définitive pas si ennuyeuse. Crétin donc, médiocrement conclu (plus de budget pour un combat final, visiblement) et presque divertissant.
Jeu d'acteur... Non en fait on peut même pas dire qu'il y en a. Réalisation se voulant stylé... Juste se voulant. Scènes d'action... Horriblement mauvaises...
Par pitié, évitez-vous de vous infliger le supplice de le regarder.