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    10e chambre – Instants d'audience
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    42 critiques spectateurs

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    lamaindeDieu
    lamaindeDieu

    6 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 novembre 2010
    Dapardon nous livre là un témoignage précieux sur la justice française, sur cette machine implacable qui broie ceux qui tente d'exister face à elle. Et ce qui demeure du visionnage de ce documentaire, ce sont ces visages de personnes derrière la barre, ces regards perdus, effondrés, révoltés, provocateurs... ce sociologue maladroit exécuté sous nos yeux par une juge pressée, peu disposé à lui faire le moindre cadeau; ce jeune jugé pour conduite sans permis et qui est venu au tribunal en voiture, et qui affirme bien haut, un brin provocateur, trop réaliste, qui prendra sa voiture pour aller travailler le lendemain; ce jeune dealer qui se décompose en apprenant qu'il est condamné à une peine de prison ferme...
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    43 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 septembre 2009
    Un document. Là où Depardon aventure sa caméra, personne n'avait eu le droit de le faire.
    La justice mise à nue ça fait froid dans le dos. On se rend compte que le glaive de la justice française a une nette préférance pour les blacks et les beurs ; qu'il vaut mieux adopter une position soumise fataliste à la barre plutôt que d'essayer de se défendre. Ne pas prendre un avocat et assurer ses arrières soi-même semble être délictueux. Il faut caresser le procurer dans le sens du poil, flatter son égo et sa soi-disante supériorité ; des juges d'un moralisme froid quand il s'agit de rabaisser un quidam ayant un cl d'alcool de trop dans le sang, ou considèrant les fumeurs de cannabis comme des gens souffrant d'une maladie.
    Un bon point cependant, que j'ignorais, les amendes infligées sont proportionnelles au salaire de l'accusé, ce qui est une bonne chose.
    Pour toutes ses lumières, et cette fabuleuse leçon de psychologie qu'il dresse, "10e chambre... vaut tous les films de procés du monde.
     Kurosawa
    Kurosawa

    585 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 juin 2019
    Un tribunal est un lieu inspirant pour le cinéma et filmer des moments d'audience d'une chambre correctionnelle semble sur le papier passionnant. Par l'incongruité de certaines affaires et l'opposition entre une juge charismatique et des accusés souvent mal à l'aise, le film possède par moments un certain intérêt; toutefois, "10e chambre – Instants d'audience" souffre de redondances qui dénotent d'un manque de rigueur dans les exemples choisis, certains se ressemblant beaucoup trop, et s'en tient du même coup à des registres émotionnels limités : la stupéfaction la plupart du temps, l'amusement parfois. Il est en effet difficile de rester impassible devant la virulence des réquisitoires et la difficulté criante qu'ont les accusés à se défendre mais le caractère répétitif des affaires et surtout d'un dispositif de mise en scène simpliste rendent l'ensemble en fin de compte inopérant. Outre une écriture décevante, c'est aussi la réalisation de Depardon qui pose problème en exerçant un découpage du lieu pour le moins manichéen; par les angles de caméra choisis, la distance entre, d'un côté, le procureur et le juge qui sont mis sur un pied d'égalité et, de l'autre, l'accusé et son avocat semble exagérée de manière à renforcer une opposition pourtant évidente. Raymond Depardon propose ainsi un documentaire sporadiquement percutant, le plus souvent inconséquent.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    694 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2017
    10ème Chambre est film documentaire tout simplement incroyable qui s’immisce dans les coulisses des procès d'une cours d'assise française. Le long métrage est d’un réalisme saisissant, Raymond Depardon est allé au plus près du système juridique français. Il en a mis en avant les rouages et le fonctionnement, légitime ou non. Le cinéaste ne prend jamais parti, il se contente de raconter des faits, des histoires, des procès, avec rythme et lucidité, laissant au spectateur le soin de trancher. Le réalisateur laisse l’auditoire décider si les décisions prisent par la justice sont équivoques ou non, légitimes ou non. Le spectateur devient lui-même juge, se prend d’empathie pour certains prévenus, et ne peut s’empêcher d’intervenir face aux affaires qui défilent sous son nez, il se retrouve à prendre parti, à donner lui-même son avis, jusqu’au traditionnel cliffhanger qui ne fait qu’appuyer cet état des choses. Le réalisateur ne fait ni l'apologie de la justice, ni sa discréditation, il manie juste les émotions du spectateur et ses avis transgressifs au travers d'un montage simple et terriblement prenant.
    10ème Chambre d’Audience est un film instructif, présentant le fonctionnement d’une justice souvent discréditée. Mais au-delà d’un concept technique matérialisant nos cours de droit en un visuel concret, le film est également une porte vers des concepts moraux inébranlables. Depardon nous renvoi à notre propre humanité, nous démontre les petites habitudes des êtres humains, les confrontations qui peuvent avoir lieux au sein d’un tribunal, un rapport de force parfois inégal, la peur, l’erreur, la culpabilité, le regret, l’amertume, et la responsabilité ? par un réalisme saisissant l’artiste a utilisé ce décor pour présenter une humanité suffocante, en perpétuel questionnement, cherchant désespérément à obtenir une réalité effective, une vérité étique.
    stillpop
    stillpop

    81 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2011
    C'est vrai, arriver en retard dans un documentaire n'est pas la meilleure manière d'aborder un film, cependant, c'est l'un des rares films où il n'y a aucun début ni fin, ouf !
    C'est juste un flot continu d'images filmés sans mise en scène (et souvent floues) de séances judiciaires, avec l'audience et le résultat.
    Bref, le contraire d'un spectacle à la Michael Moore, un truc sérieux et chiant s'il n'y avait le choix des "acteurs", on passe un bon moment à voir les folies, les utopies et la mauvaise foi de certains de nos compatriotes et immigrés francophones.
    Bien sûr, on rit, on est un peu indigné, mais cela ne va pas plus loin que la lecture de la rubrique "carnets de justice" de Libération. Et c'est bien le problème. On attendait peut-être plus d'un documentaire.
    En un mot comme en cent, c'est plus drôle que le précédent Depardon, mais c'est moins émouvant. Puisque c'est déjà une représentation, donc moins spontané que l'élaboration d'une défense entre un prévenu mal à l'aise et un avocat mal réveillé.
    Une anecdote pour finir, la présidente est l'une des juges qui a permis à Battisti d'être extradé en Italie...
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    46 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Pourquoi Depardon est-il encore aujourd'hui le meilleur documentariste français? Parce que, à rebours de la plupart de ses confrères, il ne s'empare pas d'un sujet pour que celui-ci vienne valider ses vues personnelles, politiques ou autres. Il pose sa caméra à hauteur d'hommes et se contente d'essayer le plus possible d'ouvrir le champ des possibles, de ne pas enfermer les faits dans une simple casuistique, une sociologie prosaique, ou un discours philosophique abscons. Il laisse le spectateur responsable de son point de vue, responsable et conscient du travail nécessaire à l'élaboration d'un jugement, d'une pensée. Traiter le spectateur en adulte, voilà qui est déjà digne.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mai 2014
    J'ai visionné un très bon documentaire sur les audiences les plus courantes (d'après-moi) d'un tribunal correctionnel où des actions de la justice font loi, sans jeux de mots, l’alcool au volant, les insultes à des agents de l'ordre, des (petits) vols et autres faits ne nécessitant pas les assises. Les peines ne dépassent pas en règle générale 5 en d'emprisonnement, au-delà du délit d'oit-être plus grave pour aller aux assises. Donc boire ou conduire il faut choisir, sinon gare à la répression justifiée par la loi. Le reste est à voir et entendre la juge, le procureur, les justiciables, et leurs avocats. Je note 5 étoiles sur 5.
    Degrace
    Degrace

    31 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2008
    Très bon documentaire. Mensonge, insoumission, misère, ironie, mépris, inconscience, mauvaise foi... tout ce qui fait la beauté de la justice est là. On ne s'ennuie pas une seconde face à ces douze histoires. Que le métier de magistrat est fantastique ! Apprécier le danger qu'une personne occasionne pour la société ; protéger le groupe social tout en ménageant ce qui fait l'humanité de chaque "client". Ce documentaire permet de souligner que la justice n'est jamais totalement impartiale. Le juge s'énerve, a des critères qui lui sont en partie propres pour apprécier la situation et la personnalité du mis en cause... les avocats sont mauvais, et en tout cas largement inférieurs, dans leurs argumentaires, au réquisitoire du procureur. Les moyens de défense soufflés aux accusés sont souvent minables (je n'ai pas dealé : on m'a donné 50 euros qu'on me devait et j'ai au même moment dépanné du shit). Souvent, les mis en cause sont à peine capables de comprendre ce que dit le ministère public. Le réquisitoire se rapproche parfois de l'envolée lyrique face à des personnes qui ont très peu fréquenté l'école. Très intéressant pour comprendre le fonctionnement concret de la justice.
    cinono1
    cinono1

    304 abonnés 2 056 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juin 2010
    Passionnant. Encore un documentaire qui vérifie que la vie est plus surprenante que n'importe quel scénario. Car les personnages et les situations qui peuplent ce tribunal sont hauts en couleurs, butés, provocateurs, parfois stupides ou drole (l'affaire du couteau, le chaffeur qui ne veut pas etre en retard), souvent de mauvaise foi ou inconscient voire inquiétants. Et le film vérifie aussi que la justice francaise, si elle est parfois arrogante (l'emportement de la juge quand on tente de remettre en cause son savoir) tente avant tout d'etre conciliante avant d'etre répressive. Une beau témoignage de démocratie contradictoire à la poursuite d'une vérité insaissisable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Très intéressants moments; parfois carrément surréalistes ...
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    157 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2020
    10e chambre, Raymond Depardon pose sa caméra en 2004 dans une chambre d'audience du tribunal de Paris.
    Tranches de vie de français du quotidien, d'étrangers sans papiers, de gens qui ne comprennent pas ce qu'on leur veut, d'autres qui font semblant de ne pas le comprendre et d'autres qui font leur mea culpa.
    Sincérité et mauvaise foi partagée par tous les acteurs.
    Du voleur à la tire qui se cherche des excuses, du toxico qui fait des promesses qu'il tiendra ou pas, de la dame, qui a simplement été manger chez des amis, à l'artisan qui s'est garé là où rien n'est prévu pour eux pour pouvoir faire un chantier, de l'avocat commis d'office peu convaincant, à celui qui demande où sont les charges réelles retenues contre son client. De celui que l'on accable inutilement à celui qui s'en sort pas trop mal. Une plongée dans l'intimité de ceux qui ont acceptés d'être filmés. La vie privée est étalée en public. De la justice souvent, mais aussi de l'injustice parfois, spoiler: notamment avec le sociologue savoyard, que l'on infantilise bêtement alors qu'il a simplement un opinel dans sa poche, comme tous les provinciaux, et à qui on voudrait faire croire qu'il est un criminel.

    C'est parfois juste, parfois ridicule, parfois malaisant, parfois révoltant, mais c'est la vie dans un tribunal d'instance.
    Tranches de vie, simplement filmées par Raymond Depardon, sans voix-off, ni artifices, ni conclusion.
    alexdelaforest
    alexdelaforest

    38 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2014
    Combien de documentaires interrogent ainsi les institutions et la société française. Une oeuvre exceptionnelle. Même si l'esthétique est mise en retrait, la prouesse technique et humaine est extraordinaire.
    Gregory S
    Gregory S

    26 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juin 2019
    Fin du triptyque de Raymond Depardon sur les audiences correctionnelles. Autant le 1er de 1983 semble d'une époque révolue, autant celui de 2003 nous semble encore très familier.
    Des instants de vie qui se laissent voir et qui montre une certaine réalité de la France. On notera comme d'habitude des procureurs assez froids présentant peu d'intérêt contrairement à la juge et à certains avocats.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 072 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2011
    Depardon a le droit de filmer dans des endroits inédits, et il ne s'en prive pas. Alors filmer l'intérieur d'un tribunal, je dois avouer que je n'avais pas vu ça dans un documentaire et c'est saisissant. Non seulement le film n'est pas ennuyant une seule seconde (grâce à un montage bien senti), mais il est très vrai, ces gens transpire la réalité (tant mieux pour un docu), du coup ça en devient limite gênant de les voir avec leur mauvaise foi, leurs mensonges, leurs idées de défenses tordues, par moment on peut penser que justement la justice est injuste, ou trop clémente ou ceci ou cela, mais le film ne sert pas à ça, remettre en cause la justice, chacun l'appréciera selon sa sensibilité, mais pour montrer ce qui se passe. On voit cette juge, au demeurant très sympathique, se casser la tête, voir limite perdre son calme face à des gens qui auraient rendu fou n'importe qui d'autre, tellement l'absence de réponse, la mauvaise foi évidente peut-être énervante.
    De plus Depardon arrive à capter la personnalité des prévenus, c'est un lieu où malgré le mensonge ils sont mis à nu, certains ont limite les larmes aux yeux, d'autres crient, d'autres se taisent. c'est vraiment très intéressant je pense d'un point de vue sociologique.
    Le film se passe d'être didactique tout en étant abordable. J'ai vraiment aimé, même si j'ai été gêné par l'attitude de certains prévenus, criants de vérité. Bien qu'ils ne soient pas filmés de manière impudique.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    184 abonnés 2 270 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 mai 2020
    On en apprend beaucoup sur les français en regardant ce film : en effet, en plus de ce que l'on voit dans le film, il y a ce que l'on entend comme réactions dans la salle car de nombreux spectateurs réagissaient de manière spontanée pendant la projection. C'est ainsi que j'ai pu entendre, pendant le film, des "c'est honteux !", des "Incroyable !" ou encore des "n'importe quoi !" prononcés à haute et intelligible voix.
    J'ai ainsi pu me rendre compte que les spectateurs - la salle était quasiment pleine -, sûrement davantage proches du français moyen que du spécialiste de l'embrouille, faisaient une distinction entre 2 sortes de "délinquants" (par "délinquant", j'entends l'auteur d'un délit, quel qu'il soit). J'ai ainsi pu comprendre que les gens ne comprennent pas les sanctions qui touchent des gens comme eux spoiler: (l'artisan qui se gare dans un couloir de bus et traite de "Salope" les contractuelles, la femme qui boit chez des amis et qui prend sa voiture ensuite bien qu'elle ait dépassé le seuil autorisé d'alcoolémie et l'homme qui porte toujours son couteau sur lui par "tradition familiale")
    mais sont en revanche sans pitié et prêts à se moquer de délinquants professionnels spoiler: (dealers, voleurs dans le métro...)
    .
    Cette projection au Cinéma d'un documentaire permet donc une plus grande interactivité que la projection à la télé où vous ne pouvez observer que les seuls membres de votre famille qui regardent le documentaire avec vous.
    Mais revenons à l'essentiel, le film en lui-même. Il est merveilleux et il m'a vraiment conquis. La forme est des plus sobres (une mise en scène minimaliste pour faire oublier la (ou les) caméra dans le tribunal) mais le fond est E-NOR-ME ! Sociologiquement, assister à de telles audiences nous en apprend beaucoup sur le comportement des français, face à la justice et face aux autres (car c'est pour le danger qu'ils représentaient pour autrui qu'ils sont jugés) ... mais aussi sur la justice en elle-même. Certains avocats ne sont pas des lumières et leur argumentaire est vraiment limité. A trop voir des films de procès où un avocat arrive à retourner l'auditoire sur quelques effets bien sentis, on en oublierait presque que, dans la réalité, les avocats ne sont pas tous aussi brillants et certains prévenus, qui s'enfoncent eux-mêmes par leurs paroles et leur mode de pensée, ne sont pas des "cadeaux" quand on en assure la défense.
    On devine aussi les limites du système judiciaire français spoiler: (certains multirécidivistes - le pickpocket du métro par exemple - ont un casier énorme et certaines condamnations ne sont jamais appliquées (un immigré en situation irrégulière a ainsi été condamné à plusieurs reprises à une interdiction de territoire français de 10 ans mais il est toujours là))
    .
    Mais le plus intéressant dans ce film, c'est le choix de chaque prévenu pour sa défense : certains optent pour un profil bas en reconnaissant les faits, certains nient effrontément, certains reportent les fautes sur les autres spoiler: (ce qu'un tel a fait et que j'ai vu est bien pire que ce que j'ai fait)
    , certains veulent - est-ce l'influence américaine ? - profiter de leur audience pour changer tout le système spoiler: (les fonctionnaires passent leurs journées à ne rien faire, les lois sont à réécrire, la prise d'empreinte doit être décidée par le prévenu et non par l'autorité policière, etc.)
    , certains font preuve d'une mauvaise foi évidente spoiler: ("je ne bois jamais" ... quand on est arrêté pour conduite en état d'ébriété, "je ne sais plus combien je gagne" pour éviter l'amende qui est proportionnelle aux revenus, etc.)
    .
    Si j'avais du temps, j'irai bien assister, en "vrai", à ces audiences de la vie de tous les jours pour en apprendre encore davantage sur les français, sur leur façon de penser et sur leur façon de considérer leurs propres délits. Enfin, il ne faut pas oublier que l'on peut tous un jour ou l'autre se retrouver devant la justice pour de tels délits car nul n'est au dessus des lois et surtout nul n'est parfait !
    Le pouvoir de ce documentaire, qui ne comporte aucun commentaire ajouté de l'auteur, est vraiment impressionnant : on ne peut pas rester indifférent devant un tel panel d'infractions et de comportements. A voir de toute urgence !
    Un film qu'on devrait montrer dans les écoles pour expliquer les lois et "démonter" certains comportements dangereux.
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