Si le scénario de The Woods est très différent du premier long-métrage de Lucky McKee : May, il n'en est pas moins terrifiant. En effet le réalisateur affectionne tout particulièrement les atmosphères angoissantes. Dans May, il proposait une relecture glacée du mythe de Frankenstein, un hommage aux gialli transalpins. Et dans The Woods il arborde la peur ancestrale des bois et du noir.
La forêt et ses mystères ont toujours inspirés les réalisateurs. The Woods s'inscrit dans une mouvance où l'on trouve des classiques du genre comme : Le Village, Promenons-nous dans les bois, Haute tension ou Le Projet Blair witch.