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BlindTheseus
294 abonnés
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4,0
Publiée le 28 septembre 2009
Un week-end festif tourne au cauchemar pour six jeunes, prisonniers de la Maison de Cire : Carly, Paige et leur copains ont pris la route pour assister au plus grand match de foot de l'année. Le groupe décide finalement de camper dans la nature, et les ennuis commencent avec l'intrusion nocturne d'un mystérieux routier venant là par hasard. La tension et l'angoisse montent rapidement, et Carly aura fort à faire pour tenter de désamorcer une bagarre entre son petit ami Wade et son frère Nick ainsi que d'autres. Le lendemain, les jeunes découvrent gracieusement que leur voiture a en effet été sabotée. Un autochtone offre de les conduire à Ambrose, la seule ville à des kilomètres à la ronde: L'attraction locale est un musée à nul autre pareil, peuplé de statues de cire d'un réalisme stupéfiant, qu'on jurerait VIVANTES. Cary et ses amis ne vont pas tarder à comprendre pourquoi, et à découvrir les noirs secrets d'Ambrose et son sculpteur "fou."
Un bon slasher avec forcément tous les codes, toutes les grosses ficelles, toutes les incohérences et toutes les invraisemblances inhérents à ce genre de film! Une fois tous ces éléments pris en compte, on passe finalement un assez bon moment. Pas de quoi en faire un plat mais pas non plus une vaste daube!
Autant le dire tout de suite, la maison de cire n’est pas un banal slasher movie. Pour un premier film, le réalisateur fait preuve de maitrise pour exploiter au mieux son scénario. Le rythme est constant autant par le suspens que l’impression de malaise dégagée par les apparitions des personnages de cire. De ce fait, la ville devient parc d’attraction. Pourtant, le départ était légèrement inquiétant. Niveau personnages, j’avais l’impression de me retrouver devant une galerie de clichés avec la présence de Bad Boy, Cool Boy, Sportif Boy et Faire-valoir boy… Bon, pour le dernier, j’aurais pu mieux faire. Mais l’histoire continue à se mettre en place et de manière subtile : D’abord, une féroce puanteur porté par le vent comme si, personnifié, le vent leur disait : « Eh, les gars… n’allez pas par là… fuyez ». Mais l’engrenage est fatal et fluide comme de la cire chaude. On monte progressivement en suspens et en meurtre. Les meurtres et je trouve que c’est là que ça devient intéressant. Dans la plupart des films de ce genre, les meurtres sont le but de ce film : On veut faire original et dépasser les limites. Là, on comprend très vite que c’est le plus court chemin vers l’aboutissement d’une œuvre d’art alors le méchant tue vite et bien. Il ne joue pas avec ses victimes. Sauf peut être pour Paris Hilton et la scène relativement drôle où on assiste à une mini parodie de sextape. Eros et Thanatos. Bon, j’exagère un peu mais j’ai trouvé ça réellement drôle. Quoiqu’il en soit, ce film est efficace et maitrisé. Que demander de plus ?
Un film d'horreur avec Paris Hilton, il y avait de quoi être septique. Et pourtant, c'est un très bon film d'horreur. Une bande de copains vont se retrouver dans une ville très étrange et découvrir une horrible vérité dans la maison de cire. Pas besoin d'en dire plus, le scénario se contente de dérouler l'enquête qui est menée en saupoudrant le tout d'une ambiance pesante et stressante. De très bonnes scènes bien réalisées m'ont marquées.
ça fera peut-être peur à une nana peu habituée à ce genre de film, ou a votre mère. Les autres resteront de marbre devant cette superproduction commerciale à souhait. Même pas un bon nanar, ce film se noie dans la masse des films classiques, sans aucun charme ni personnalité. Mention spéciale à Paris Hilton, qui n'apporte rien à un film qui n'a déjà rien pour lui. C'est tout dire ...
Allez, on va dire qu'une certaine angoisse se dégage de cette histoire, on ressent l'horreur des victimes, la folie des bourreaux. Mais on reste sur l'impression que ce film avait pour seul véritable but de faire tourner Paris Hilton et d'en faire, éventuellement, une star de grand écran. Pari raté. On a en outre compris dès le départ comment tout cela va se terminer ; certains mourront et d'autres pas, comme la vaillante heroine. Vu et revu.
Dans le genre "ados décérébrés paumés vs tueurs psychotiques dans un lieu isolé", ce remake de "House of wax" n'apporte rien de nouveau. Bourré de clichés, le film offre des personnages inutiles et/ou irritants, des péripéties prévisibles et un scénario qui flirte parfois avec le ridicule. Seul le final, qui utilise assez esthétiquement l'idée du film, est regardable.
film indigent à la réalisation plate, personnages stereotypés fade et sans reliefs, scénarion basique avec un surplus de cliché et bien entendu de grands effets. Le film divertit mais au final, ce film n'apporte rien au genre, et pourrait même endormir les habitués au film d'horreur tellement le scénario est semblable à tant d'autres avec ses dialogues tout droits sortis des années 80. Le genre de film américain tipyque diffusé en salles obscures pour attirer l'ado stupide et se faire une fortune sans trop se casser la tête. Et le pire, c'est que lens gens marchent dedans à fond! 1 étoile parce que le film aurait put être pire.
Un autre genre de "Massacre a la tronçonneuse", enfin un bon film d'horreur pas du style "rec" ou autre... Le film n'est pas longuet et il y a de l'action tout au long du film. A conseiller.
Un bon film d'horreur même si certains acteurs ne sont pas bon, par exemple: que fait Paris dans ce film ? quel plaisir de l'a voir se faire massacrer ! humour noir... pour un film avec un scénario loin d'être en cire, malgré un début de mise en scène pénible
Produit par Dark Castle, responsable de petits films d’horreur fort sympathiques à défaut d’être renversants, LA MAISON DE CIRE est un savoureux film d’horreur. Le scénario (un groupe de jeunes se retrouvent bloqués dans une ville étrange où un tueur sévit) frôle la banalité et là où d’autres serial killers régleraient leurs comptes à coups de hachettes, de poignards et autres ustensiles de cuisines, celui-ci use de la cire pour tuer et ainsi se créer un village. Parfaitement bien huilé et étrangement efficace LA MAISON DE CIRE ne fait pas comme nombre de ces prédécesseurs (aguicher le spectateur et tourner la caméra au moment fatidique), il dévoile de bonnes scènes sanguinolentes. Il est clair que depuis SAW, la machine à sang a évolué, mais la MAISON DE CIRE aime à torturer ces personnages au grand plaisir du spectateur qui se réjouit de voir à la fois une histoire simple mais rondement bien menée, malgré des dialogues plutôt bêtes et une Hilton tout autant.