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    Une grande année
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    2,4
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    298 critiques spectateurs

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    rocky6
    rocky6

    31 abonnés 1 728 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 août 2024
    Une très belle surprise que ce film que j'ai beaucoup aimé. Ridley Scott change de registre et adapte un roman de Peter Mayle. On suit donc l'histoire d'un trader britannique assez cynique (Russel Crowe) qui hérite d'un vignoble en Provence. Il décide de s'y rendre pour le vendre. Mais une fois sur place, les choses changent. C'est un film frais qui sent bon la Provence et qui bénéficie de la très belle mise en scène du talentueux Ridley Scott. Outre Russel Crowe, excellent dans un rôle un peu à contre-emploi, le casting s'appuie aussi sur de très bons acteurs tels que : Marion Cotillard, Didier Bourdon, Abbie Cornish, Albert Finney, ... tous parfaits dans leur rôle. Bref une comédie romantique et dramatique très réussie et qui plaira à un très large public.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juin 2024
    « Une grande année » avec « Les associés » (2003) fait figure d’OVNI dans la prestigieuse filmographie de Ridley Scott (28 films en 2024). Une comédie romantique un peu nunuche d’un côté, centrée sur un couple formé par Russel Crowe et Marion Cotillard et de l’autre une comédie déjantée avec Nicolas Cage et Sam Rockwell à la manœuvre dans un numéro de cabotinage jouissif. Dans les deux cas, le réalisateur d’ « Aliens » , « Blade Runner » « Thelma et Louise » et « Gladiator » est très loin de ses domaines d’expression favoris. Si « Les associés » a été à juste titre soutenu par la critique en raison d’un scénario inventif et iconoclaste mais aussi grâce à la complémentarité de son duo d’acteurs explosif, « Une grande année » a lui été jugé comme un film à l’intrigue paresseuse et à la réalisation bizarrement relâchée d’un Ridley Scott ne semblant que moyennement impliqué. Un Russell Crowe en roue libre additionné à un Didier Bourdon complètement hors sol en vigneron de supermarché attestent de la désinvolture générale qui teinte l’ensemble du récit. Les deux films s’ils n’ont pas été de francs succès commerciaux n’ont toutefois pas fait perdre d’argent au studio. Beaucoup de comédies françaises actuelles à côté desquelles « Une grande année » peut faire figure de grand cru aimeraient pouvoir en dire autant. Heureusement l’organisation du système de production cinématographique français veille au grain. Il convient de préciser que l’idée du film est née de l’association entre Ridley Scott et Peter Mayle (cadre dans la publicité reconverti romancier), voisins de vacances dans le Lubéron. Peter Mayle se chargeant d’écrire un roman de terroir local que Scott adapterait pour le cinéma. Un peu faiblard comme motivation ! Max Skinner (Russell Crowe) est un trader londonien pour le moins peu sympathique écrasant tout son petit monde au sein de la City où il gagne un « pognon de … » comme dirait l’autre. Modèle paroxystique de « l’argent qui monte à la tête ». Pourtant, enfant Skinner a été à une tout autre école auprès de son grand-oncle propriétaire un peu bohème d’un domaine viticole dans le Lubéron qui lui a enseigné les valeurs de partage, du temps donné au temps loin de la recherche du profit comme seul but d’une vie. Le vieil homme est interprété par le grand Albert Finney qui n’apparaissant que lors de courtes scènes sera le fil conducteur du retour aux sources de Max quand il héritera du domaine qu’il songera tout d’abord à vendre avant de rencontrer l’amour en la personne d’une Marion Cotillard à la veille de tourner « La Môme » d’Olivier Dahan qui lui apportera la notoriété que l’on connaît. Les clichés s’enchaînent mais les images toujours somptueuses de Ridley Scott finissent par faire passer une potion quelque peu éventée. La jolie idée de la légende du « vin perdu », grand cru dont personne n’a jamais su la provenance aurait sans doute pu être mieux et davantage exploitée. Mais il ne fallait pas en demander trop à Ridley Scott qui faisait là son film de vacances de l’été 2006. Le reste de sa filmographie permet toutefois de lui pardonner cette petite escapade buissonnière.
    Nisan21
    Nisan21

    8 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mai 2024
    Je n'ai pas compris ces mauvaises notes récurrentes.

    Effectivement, si on s'attend à un film de l'importance du reste de l'oeuvre du réalisateur, on va tomber de haut.

    Mais la naïveté du film est rafraîchissante, pour un divertissement atypique où on pourra voir assemblés Russell Crowe, Didier Bourdon et Alizee !
    Marc Lejon
    Marc Lejon

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2023
    Très déçu par ce film. On est loin, très loin des films de Ridley Scott. Pareil pour Russel Crowe. On a du mal à imaginer que c'est le même acteur qui a tourné Gladiator. Comme quoi il ne suffit pas d'avoir un grand réalisateur et des grands acteurs pour faire un grand film.
    Anne S.
    Anne S.

    20 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2023
    Belle ode à la Provence la lumière est magnifique même si les dialogues sont parfois un peu clichés.
    aldelannoy
    aldelannoy

    40 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2022
    Excellente comédie, exercice de style réussi tout à fait hors norme pour Ridley Scott. Un cinéaste anglais qui montre à quel point il aime la France. L'occasion de voir une Marion Cotillard que l'on ne reconnaît pas.
    On rit, c'est beau, c'est naïvement sympathique comme un film du géniallissime Philippe de Broca. Gouttons notre plaisir !
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    234 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2022
    Ce n'est pas le meilleur de Ridley, certainement pas. Un de ses moins bons, en fait. Je voulais donner encore moins mais bon, c'est regardable, et puis, j'aime beaucoup le vin, alors... Mais cette comédie romantique sur un Anglais reprenant malgré lui l'exploitation viticole de son défunt papounet, en Provence, et tombant amoureux de Mariard Cotillon (euh...), c'est pas trop le genre de truc que j'attends, que j'espère, de la part du réalisateur de "Blade Runner" et "Gladiator". Une anomalie dans sa filmographie. A Ridley, hein, pas à Cotillard.
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juin 2022
    Un film romantique écrit réaliser par Ridley Scott c'est pas forcément ce qu'on aurait pu attendre du réalisateur car c'est un peu une surprise de l voir réaliser ce genre de film mais il baser sur un roman d'un de ses amies donc c'est plus compréhensible. Mais ce n'est pas le seul dans ce cas a être surprenant a voir ici
    car Russell Crowe qui fait des gros blockbusters d'action ou aventure donc dans un film beaucoup plus calme c'est plutôt surprenant mais c'est une belle surprise car il est très convaincant dans ce rôle, et Marion Couillard qui lui donne la réplique est excellente aussi elle lui permet de briller et lui donne tre bien la réplique. En revanche le reste du casting est plutôt surprenant et aussi pas très fortiche Didier bourdon fait le job mais il deparaille vite face à Russell Crowe et Marion Cotillard, le film a quelque scène un peux bateaux et pateaux, certains disent que c'est des clicher sur les française ainsi que sur la France mais c'est juste la vérité il faut être honnête un peux et arrêter detre aveugle et de croître que nous les français on est le meilleur , ce qu'il disent sur nous et notre pays c'est juste la vérité on est tellement comme cela . Après ce qui surprenant c'est de entendre certaine chanson dans ce film ça ne colle pas trop avec ces dommage car en général les chanson colle bien ou sinon on s'en fichent un peux mais la sa va pas du tout ensemble c'est abuser presque . Le film pas trop long mais seule la prestation de Crowe et Cottilard valent le coup sinon le reste pas grand chose à garder.
    Antoine P
    Antoine P

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2021
    Visionné à de nombreuses reprises, ce film demeure toujours autant agréables à regarder. Alors oui il y a de nombreux clichés accentués (la dégustation du vin, Marion Cotillard en vélo, jupe avec sa corbeille de fruits), mais il ne faut pas oublier que cela reste un point de vue idyllique d'un réalisateur de cinéma.
    Qui aurait pensé un jour voir Russel Crowe et Didier Bourdon réunis ? Nous qui nous plaignons souvent d'avoir des acteurs qui ne percent pas à l'international.
    Bien réalisé, "A good year" vous fera passer un bon moment, mêlant humour et beaux paysages provençaux.
    Le casting est cohérent et donne lieu à une rencontre de cultures différentes devant la caméra.
    Même si le scénario semble couru d'avance, il donne lieu à un film agréable, à voir.
    Petit plus même si ça fait cliché : les chansons vintages françaises (Charles Trenet, Johnny Hallyday...)
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2021
    Sous ses airs de carte postale racoleuse, A Good Year décline les thématiques chères à Ridley Scott, à savoir la quête d’un Paradis perdu, ici symbolisé par le domaine viticole provençal au sein duquel le personnage principal a grandi en compagnie de son oncle. Max est un être dénaturé, en ce qu’il a perdu le lien qui l’unissait à la nature humaine et extérieure : il apparaît enfermé dans des bureaux et des tours froides, aux couleurs gris bleu, occupé à tricher en bourse comme il trichait autrefois aux échecs. Au mensonge, Scott – par le biais de l’oncle – oppose la vérité, tout entière incarnée par le vin, ce « nectar pur et incapable de mentir ». Dès lors, il donne à récit des allures de parabole biblique, faisant de Max un fils prodigue qui, en retrouvant la terre de son enfance, se raccorde à la vie véritable, loin des chimères boursières et de la solitude. Nul hasard, par conséquent, s’il introduit une rivale dans l’héritage, à savoir Christie Roberts, tout aussi éligible à la succession : il recompose une famille et confronte le personnage principal à des dilemmes moraux. De même, Francis Duflot – interprété par Didier Bourdon – représente la loyauté à l’égard d’un terroir et d’un art de vivre, soucieux de préserver « les derniers moments d’éternité » que menace de lui ravir « Maxi-millions », comme aime à l’appeler son oncle Henry alors que celui-ci n’est qu’un gamin. A Good Year se propose ainsi d’« embouteiller la vérité » et de l’étiqueter « Le coin perdu », appellation qui confère à la bouteille et à ceux qui la possède un prestige important, déplaçant aussitôt le moyeu autour duquel gravitent les intérêts de Max, depuis l’Angleterre urbaine vers la France rurale. Il y trouve une forme nouvelle de sacralité : son insertion dans une grande famille, sa rencontre avec Fanny, sa « déesse », sa réconciliation avec un passé qu’il actualise à mesure qu’il dépasse les photographies pour réécrire l’histoire et rattraper le temps perdu – la rédaction d’un faux testament, à terme. Le long métrage conjure le faux par une somme de clichés qui se concrétisent et prennent vie sous nos yeux, non sans lourdeur de la part d’un Scott que l’on a connu plus gracieux. Si la comédie est affaire de « timing », comme il l’affirme à plusieurs reprises, force est de constater que ce genre n’est pas naturel pour lui : les gags tombent plutôt à plat, là où le drame intimiste d’un homme qui se reconstruit en se ressourçant au contact d’un passé revivifié séduit davantage. Un film mineur qui se regarde avec plaisir.
    L. Lawliet
    L. Lawliet

    20 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 avril 2021
    J’peux vous dire que c’est rare que j’arrête un film !

    Aujourd’hui on s’attaque à:" Une Grande Année", un film avec Marion Cotillard qui devait la faire un succès. Mais finalement non...
    Alors comme j’ai dis, j’ai arrêté le film, et autant dire que c’est rare quand j’arrête un film. Mais c’est la première fois que je fais une critique sans avoir vue le film a 100%...
    Et surtout j’ai été vite soûlé, car sur le Site Disney+, la plateforme de steaming ou il diffusé le film, il y avait que an Vf...
    En proposition, ça m’étais que Français ! Et c’est vraiment n’importe quoi Merde ! Je vais pas y rester longtemps car je fais une critique sur Une Grande Année et pas sur les site de Steaming.
    C’est pas le film nul, je l’aime pas trop mais j’ai vue bien pire...
    Si je les arrêter c’est juste car c’était en Vf car j’en pouvais plus de supporter cette atrocité de Vf.
    La mise en scène, dialogues, musique, on peut oublier, il y en n’a jamais !
    L’intro est bonne mais sans plus, la fin est pour moi inconnue. Malgré que je vais essayer de l’acheter pour le finir en regarder dans sa version English.
    La scène d’intro de Marion Cotillard est très réussie. Pas spectaculaire, en serveuse, juste normal. La façon d’on le perso principal la regarde est rigolote, et le pire, c’est que ça se fait beaucoup en vrai.....
    Et même si le film n’est pas entrainment clichés, il est assez prévisible et par contre, les phrases quand le mec principal parle à Marion Cotillard (que ce soit pas la séduire ou comme ça) il a de mauvaises lignes de Dialogues.
    Et je trouve qu’on voit pas assez souvent Marion Cotillard. La ou dans Inception, ça marche et il a un sens qu’elle soit pas dans le film souvent. (Seulement dans les rêves.) celui la, c’est mal fait.
    Et les personnages autres que j’ai parlé juste à présent, sont pas forcément intéressant. J’les apprécie pas beaucoup.

    Et le acteur sont OK. Marion Cotillard, qui joue dans plein de films comme: Taxi1-2-3-4, The Dark Knight, Les Petit Mouchoirs, Nous Finiront ensemble, Alliés, Contagion, Ennemi Public, et aussi récemment Le Voyage du Dr Dolittle, n’a pas de super jeu dans ce film en rôle de Fanny.
    Russell Crowe, apart dans Glatiator ou Momie ou Superman, connaissais pas trop. Et bien c’est pour moi le meilleur acteur du film. Son jeu n’est pas extraordinaire mais est bon.
    Rafe Spall, qui joue l’écrivain dans Life of Pi, joue dans ce film est pas un non-plus un super jeu malgré son rôle. (Ça rappelle MEN In Black 4😭)
    Et pour finir, je vais parler de la version Française.......
    Comme j’ai fais que de le dire dans la critique, je suis beaucoup déçu de pas avoir pue regarder le film en Vo.
    Vois le savez sûrement, je déteste la Vf, elle peut-être utile quand on regarde un film avec un enfant ou quand on n’est fatigué, a t-elle point qu’on arrive plus à lire. Mais sinon, la je voulais voir en Version Original. Et malheureusement c’est encore raté. Car moi, même si je regarde tout le temps en Vo, a la fin du film je re écoute des moments pour voir comment est la Vf et faire un avis.
    Bref, la Vf est horrible, ce qui l’a fait arrêter de voir le film. Et c’est relou car il y a plus de favoritisme pour la Vf que Vo.
    Donc c’est un film que je déconseille si vous, vous
    Êtes pour la Vo, mauvaise histoire d’amour, pas dynamique etc.
    Même si l’humour est bonne à certains moments, je suis pas fan du film.
    Bref
    4//10
    Thibault Titi B.
    Thibault Titi B.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2021
    Excellente surprise, ne pas se fier à la critique bien trop dure en vers se film visuellement très beau.
    Il nous emmène dans cet France du sud, la Provence qui fait rêver le monde par sa douceur de vivre.
    Un casting étonnant mais se mariant très bien, russel crowe toujours excellent et touchant.
    De la mélancolie, du rêve mais aussi de la réalité avec des sujets comme la déconnexion au travail et le retour au terroir et aux belles choses
    DanielOceanAndCo
    DanielOceanAndCo

    3 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 octobre 2020
    Entre deux superproductions épiques, Ridley Scott revient à un genre plus léger avec plus ("Les Associés") ou moins de réussite. Malheureusement pour Sir Ridley, "Une grande année" s'inscrit dans la seconde catégorie : entre une France de carte postale, un Russell Crowe qui râle plus que les français (ce qui est quand même un exploit) et à la garde robe pour le moins douteuse ou un Didier Bourdon qui se voit déclamer des répliques tellement cons (Palme d'or pour "Mes vignes sont le sang qui coule dans mes veines" ou un truc du genre) qu'il a du se dire qu'il faisait du Molière dans "Madame Irma", ce film est une succession de maladresses plus incroyables les unes que les autres. Étonnant de la part de Ridley Scott, dont on attend le prochain film ("American Gangster") avec impatience.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 mai 2020
    Pause ! "Une grande année" l'est pour Ridley Scott comme pour nous. C'est un film relax, un peu superficiel certes mais bigrement agréable à voir.
    On comprend mal le ton acerbe des critiques dont ce film a fait l'objet. Carte postale (la Provence), clichés (le trader qui découvre la vraie vie) invraisemblances, sans doute, mais quelle comédie romantique n'en recèle pas ?
    Une grande année ne procure de frustration que si l'on attend un film profond ou à thème, alors que ce n'est qu'une récréation
    pas si mal tournée, au sens propre comme au sens figuré.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    186 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2020
    Ce que je retiendrais surtout de ce film ce sont quelques bonnes répliques spoiler: (exemples : « En France, souvenez-vous que pour les réclamations, le client a toujours tort ! » ou « Ce n'est pas ce pays qui n'est pas adapté à votre mode de vie mais votre mode de vie qui n'est pas adapté à ce pays !»)
    . Le début du film fait craindre le pire (que de clichés et de personnages croqués sans finesse !) mais le film se rattrape ensuite pour être, au final, globalement honnête ... d'où ma note très généreuse. On est quand même très loin, en terme de qualité et de finesse, des meilleures comédies romantiques et je pense, personnellement, que cette adaptation d'un livre d'un écrivain britannique (Peter Mayle, l'auteur du roman éponyme mais aussi de « une année en Provence ») aurait gagné à être produite par des anglais plutôt que par des américains.
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