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    Mon Fils à Moi
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    104 critiques spectateurs

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    valerie flor
    valerie flor

    3 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 février 2022
    Le thème peu abordé, promettait et Nathalie à l'affiche, ce ne pouvait être que bon... et bien non, les dialogues sont nian-nian, la mise en scène est une catastrophe et à part les deux acteurs principaux, les autres sont au mieux mal dirigés et au pire mauvais. Déjà la première présentation de la mère est ambigüe, on pense à de l'inceste mais ce n'est absolument pas le cas en fait. Puis tous les personnages satellitaires vont à tour de rôle avoir la même attitude ; on laisse faire, on s'insurge puis on laisse à nouveau faire (que ce soit le père, la sœur, la grand-mère, les copains, jusqu'aux flics... Et puis rien ne tient debout dans cette histoire, je veux bien que le cinéma soit du cinéma, mais enfin la mère devient possessive d'un seul coup au 12 ans de son gosse ou alors ce dernier l'a bien accepté avant puis plus du tout à 12 ans et idem pour toute la famille ! Et après par deux fois une volée de gifles il ne reste aucune marque sur le visage car ni les flics, ni à l'école on ne remarque quoi que ce soit ! Le fils craint sa mère mais lui désobéie de manière à énerver n'importe quel parent... La copine est drivée par la mère, son attitude envers l'enfant ne peu s'expliquer autrement, a mère a des comportements de malade devant tout le monde mais les manipule quand même ! Et le scénario ; il ne suffit pas de faire croire à un dénouement par balle et finalement le faire au couteau pour créer un suspens, il est inutile de nous montrer une douzaine de fois pour qu'on le comprenne bien, le fils se relissant les cheveux en arrivant chez lui, ni 'enfant badant 4 fois seul devant son assiette : une seule fois suffit ! Les gifles de la fin passent à 30 centimètres de l'enfant et le font tomber... Non trop c'est trop et en plus quand on veut dénoncer un fait de société, ça fout tout en l'air. Que vient faire notre Nathalie nationale dans ce navet belge ? sa prestation très bonne comme toujours ne sauve en rien le film alors qu'elle sait les choisir les bons réalisateurs comme le canadien Xavier Dolan (Juste la fin du monde) et bien d'autres. Et le gamin aurait été formidable avec un vrai scénario et une meilleure mise en scène. Là la déception est à la hauteur de la promesse et même le rand Bécaud est ridiculisé par les paroles de sa chanson trop évidente. Enfin que dire de la fin ; alors tout va recommencer ? Ou même pire vu que la mère croit dur comme fer au factice de l'arme à feu. Quel gâchis ! On rêve au film qu'aurait fait une Emmanuelle Bercot sur ce sujet... il n'est sans doute pas trop tard pour effacer ce triste 1er essai raté. Je mets une demi étoile pour le titre, la seule bonne trouvaille du film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 juin 2018
    un trés bon film j'ai bien aimé le rôle qu la mére a joué et aussi le garçon, l'acte était trés rèaliste mais le père n'avais pas trop d'emotion, durant le film j'ai èprouvè trop de peine pour l'enfant et j'ai detèstè la mère, j'ai ètè très en colère pour le garçon parce qu'il n'avais pas parler a personne l'abus que la mère execute sur lui, c'est gènant je dèteste le sentiment de la vulnerabilitè et du manque de force pour affronter un certain abus, j'ètais très dècue de la manière dont la quelle le film est fini, après tout l'abus qu'il a recut il vont tous les deux se comporter comme rien est passè mais sûrement un certain raison artistique et vertuese qui a menè a ce finale
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 février 2016
    Une vipère au poing dissimulée derrière le calme apparent d'une vie banale propre à une famille de classe moyenne. Je viens tout juste d'achever ce film dramatique éprouvant. Nathalie Baye pour laquelle je n'ai vu que des rôles plutôt sympathique jusqu'à maintenant est bien évidemment remarquable pour la rage froide qui émane d'elle au premier abord avant qu'elle ne se manifeste dans une violence choquante et pourtant si réaliste. Le premier constat de ce film est son refus d'échappatoire à travers l'isolement progressif de cet enfant, brillamment incarné par ce jeune acteur, qui va porter sur ses frêles épaules l'amour haineux de sa mère jusqu'à manifester les premiers signes de révoltes. C'est un film mentalement douloureux mais essentiel pour le traitement de son sujet. Il est peut-être important de voir des drames qui fassent éclater le silence derrière certains faux-semblants.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 novembre 2017
    Sans remettre en cause la qualité des acteurs, Mon fils à moi se tire une balle dans le pied avec un scénario et une réalisation qui manquent de pep's et d'ambition. Que dire de cette fin mauvaise ? L'histoire d'une mère qui refuse de voir son fils grandir ne méritait pas une adaptation au cinéma, pas en grand format et pas de cette manière A éviter.
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    Cela aurait pu être malsain et désagréable : c'est en définitive intense et souvent captivant. C'est qu'à travers cette relation dangereuse entre une mère et son fils, quelque chose d'extrêmement complexe et fort se dégage, ne cédant jamais à la facilité ou au racolage. Il est d'ailleurs difficile de mettre des mots sur « Mon fils à moi » tant ce dernier se ressent avant tout, à travers la violence des situations, des dialogues, pouvant être aussi bien physique que psychologique. Le propos est dur, mais la démonstration est implacable, provoquant un malaise profond durant 80 minutes, voire plus. Il faut dire que l'excellent Victor Sévaux et l'impressionnante Nathalie Baye forment un duo extrêmement marquant, apportant une crédibilité, une justesse, une force rare à un film qui n'en manquait déjà pas. Pour son premier long-métrage, Martial Fougeron, malgré un léger manque d'émotions, frappe un grand coup.
    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2013
    Maltraitance,

    Nathalie Baye est époustouflante de retenue et de folie maternelle. Elle joue avec finesse l'amour exclusif et obsessionnel pour son fils. Olivier Gourmet est dans l'absence et la lâcheté , il joue la passivité. Le gamin n'est pas très expressif et on aurait aimé plus de relief sur son rôle. Emmanuelle Riva est d'une grande beauté et joue bien le contraste avec la folle de sa fille.

    Un premier film délicat et simple sur un sujet fort : le harcèlement moral , la maltraitance ordinaire et la relation quasi incestueux d'une mère névrosée. Nathalie Baye est parfaite et le film est réalisé avec justesse, seule la fin est peu vaseuse.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 septembre 2012
    D'abord intriguée par ce film, et complètement révoltée par la violence morale et physique de cette mère tortionnaire, mais très déçue par la fin qui n'a pas vraiment de sens je trouve..
    Ti Nou
    Ti Nou

    493 abonnés 3 494 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2012
    Les thématiques du film sont intéressantes et Martial Fougeron a travaillé le fond. Cependant, le personnage de Nathalie Baye est antipathique et pas assez nuancé, et la mollesse du garçon harcelé, son absence de révolte, le rend agaçant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 décembre 2011
    Pas si facile de faire un bon film sur un tel sujet, et "Mon fils à moi" évite deux gros écueils : l'accumulation qui tourne au portrait à charge d'un des personnages, et la tentative de démonstration psychologique qui débouche généralement sur deux bonnes heures minimum d'insipidité. Ici, la réalisation installe très vite un rythme finalement assez efficace : le spectateur est tout de suite plongé dans l'histoire, les détails arrivent à mesure que leur utilité se fait sentir, et on ne perd pas de temps en de trop nombreuses "scènes-de-la-vie-quotidienne". De là naît un crescendo léger mais régulier qui assure l'efficacité du film. Martial Fougeron resserre autant que possible la narration, privilégie les scènes courtes et efficaces – voire en abuse –, ce qui a l'avantage d'éviter la bouillasse sentimentaliste que réservent de trop nombreux films sur l'enfance malheureuse. Par la même occasion, on évite toute impression de déjà vu, ce qui n'était pas gagné au départ, tellement sont nombreuses les histoires de manipulation, de chantage affectif et de matriarcat toxique – on pense à "L'Enfant" de Vallès (1878), à "Vipère au poing" d'Hervé Bazin (1976) adapté au cinéma (2004), aux "Noces barbares" de Queffélec (1985), etc.
    Car ce n'est pas le sujet de "Mon fils" à moi qui fait l'intérêt de ce "Poil de carotte" citadin et modernisé, c'est son traitement : premier critère d'un film réussi. Pour que l'on y croie, il fallait aussi des personnages réussis. Sur ce point, à l'exception de la sœur, peut-être pas indispensable à l'organisation du film, tout va bien : la mère possessive est juste assez folle pour faire peur, mais suffisamment saine d'esprit et calculatrice pour être crédible ; le père se place dans la lignée des MM. Lepic ou Rezeau ; la grand-mère, en adressant à sa fille une réplique que sa dernière aurait tout à fait pu adresser à Julien, introduit quelque chose d'une hérédité tragique qui montre qu'elle n'est pas si accessoire que cela. Quant au personnage de Julien, pris entre amour filial – cet amour qui sert à tous les parents pratiquant le chantage affectif – et désir d'émancipation, il est juste aussi. (Inutile de dire que pour rendre ces personnages crédibles, le jeu de Nathalie Baye, du jeune Victor Sévaux et dans une moindre mesure d'Olivier Gourmet est diablement efficace.)
    Alors, que manque-t-il à "Mon fils à moi" ? Peut-être d'être un peu moins appuyé. Car le titre lui-même annonce la couleur : il s'agira d'une histoire de possession. Et dès le début du film, on sait comment il finira. Le film a le défaut de ses qualités : qui dit resserrement du propos dit aussi une certaine lourdeur, car l'accumulation de séquences même courtes est parfois pesante. D'un autre côté, et paradoxalement, comme on aurait pu vouloir en savoir plus sur ce garçon, quelques scènes supplémentaires en dehors du « cocon » familial auraient pu donner le change.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 novembre 2011
    Film franchouillard plan-plan, qui enchaîne les scènes muettes et décousues : l'enfant marche seul dans la rue, fondu enchaîné, il est assis dans l'escalier sans rien dire, fondu enchaîné, il est face à son assiette et ne mange pas, personne ne parle, fondu enchaîné, il est dans son lit et peine à dormir, etc. etc. etc.

    Ce film a réussi à nous ennuyer au bout de vingt minutes, si bien qu'on a commencé à s'amuser à deviner ce qui allait se passer. Le père a-t-il une maîtresse ? Non, c'est trop évident. En fait il va vraiment au tennis. La prof de piano est-elle la grand-mère de l'enfant ? Bon, on a eu tout juste à tous les coups (tout est tellement téléphoné), mais ça c'est un détail.

    Je ne dirai rien du jeu d'acteur. Il était peut-être bon, je n'en sais rien. Mais je ne vois pas ce que peut signifier un bon jeu d'acteur dans un mauvais film. Un bon film, c'est un tout. Quand tu commences à focaliser sur le jeu d'acteur, c'est qu'il y a déjà un problème. Bref. A noter simplement les gifles qui visent systématiquement à côté. Un minimum d'attention aux détails de ce genre eût été souhaité.

    Pour le reste, les grosses ficelles du drame : silences à répétition (vous aurez noté les différents types de silence : silence pleutre du père, silence rageux de la mère, silence impuissant de la soeur, silence résigné de l'enfant. Une vraie symphonie !), sauts émotionnels de la joie à la haine et de la douceur à la colère, etc.

    On aimerait un peu moins de sentimentalisme, un peu moins de "bourgeoisie de province", un peu moins de "huis-clos familial", un peu moins de "silences qui disent long" et tout ce genre de choses convenues dans un certain cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 août 2011
    M'est avis que l'on peut difficilement faire film plus dérangeant. Cette relation mère/fils diaboliquement mise en image fait par moment véritablement froid dans le dos. Rendons également hommage aux deux acteurs qui performent dans leurs rôles respectifs. Un huit-clos méritant mais qui m'a pourtant et pour des raisons que j'ignore, laissé sur ma faim. Étonnant...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 janvier 2013
    Ce film est le portrait d'une famille très propre sur elle, mère au foyer très chic, père professeur d'université, fille étudiante épanouie, fils mignon et propre sur lui, limite enfant de choeur. Julien est bon élève, joue du piano, bon sa mère est un peu pète-sec, autoritaire, exigeante, mais semble-t-il à bon escient. Fils et mère sont très complices, dansent ensemble sur des vieux standards. Problème, Julien grandit, commence à chercher à protéger son intimité. Ça fait bien rire sa maman, qui dans la 1ère scène troublante du film, lui rappelle mi-amusée, mi-menaçante, qu'elle a déjà vu mille fois sa petite zigounette. À force de moqueries et de menaces, elle parvient à interdire à son fils de cacher son sexe. Malaise, qui ne fera qu'augmenter. Ce qui choque dans le personnage de cette mère, c'est sa conviction absolument inébranlable qu'elle est dans son bon droit. C'est elle qui est choquée, indignée, outrée quand elle rencontre la moindre résistance. Alors se déploie sous les yeux du spectateur ébahi la dissection d'une personnalité redoutablement perverse. Toutes les valeurs sont inversées, tous les stratagèmes réussissent, toute résistance est futile, la colère du spectateur impuissant monte à mesure que la victime plonge sous ses yeux dans l'abyme. Pour justifier le viol moral de son fils, la mère déploie, dans des répliques qui font mouche, une logique perverse absolument stupéfiante. On a plusieurs fois envie d'applaudir tellement c'est inouï. Un grand film sur la violence féminine (Nathalie Baye arrive parfaitement à nous faire détester son personnage), à la hauteur de Lars von Trier, ou du Sonate d'automne de Bergman. Sur l'enfance face à la psychose parentale, on pense aussi à Un Monde à nous de Frédéric Baledjian.
    Juliette-Moins-Clyde
    Juliette-Moins-Clyde

    20 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 juin 2011
    Douleur insondable, difficilement perceptible. Ce qui ressort de ce film, aussi malsain qu’envoûtant, aussi beau que dégoûtant, c’est que Nathalie Baye est vraiment douée, qu’elle est une femme, une mère, une actrice, et qu’elle parvient à être tout ça à la fois. Mais, ce qui laisse également une trace dans l’esprit, c’est ce scénario toute en longueur, en dialogues hypocrites, en scènes d’œillades maladroites et en folie alarmante. Victor Sévaux, perdu de vue depuis, marque une performance pleine de talent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 février 2011
    J ai adore la folie du personnage
    Bien joue... Si réaliste...

    Une Nathalie Baye exceptionnelle ;)
    Irène B
    Irène B

    5 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2011
    Une Nathalie Baye parfaite et juste, entre autorité et amour, un film qui laisse perplexe. Vraiment a voir maltées quelques toutes petites longueurs
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