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reymi586
479 abonnés
2 444 critiques
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3,0
Publiée le 3 août 2010
David J. Burke nous livre ici un scénario poussif, aux personnages caricaturaux, à la psychologie primaire et plutôt mal interprétés, ce qui donne un film très moyen.
Ce film relate l'enquête d'un jeune journaliste qui va démasquer une brigade policière très célèbre mais évidemment complètement corrompu. Il tentera tout pour faire démasquer la vérité. Et le gang ne se laissera forcément pas faire. Ce film est franchement peu intéressant dans le contenu malgré l'apport d'acteurs au talent confirmé. Mais la faiblesse du scénario prend le dessus sur le reste. Et malheureusement, Justin Timberlake est vraiment décevant. Bref : un film oubliable et sûrement oublié de tous.
. Le film est à peine commencé que Justin se fait foutre à la porte par son patron. Pas rancunier, le soir venu, le Justin sonne chez le patron qui le fait entrer et ils taillent la causette ce qui permet de constater que son très grand studio est décoré avec d'immenses posters montrant les atrocités des khmers rouges au Cambodge. Comme voulez-vous que l'on croie une seconde à ce qui va se passer après avoir maté cette ineptie ? Sinon, c'est confus, c'est convenu, pudibond, pas très intelligent, mal monté et surtout mal joué, prix spécial à Timberlake aussi charismatique qu'une chaussette abandonnée.
Un film qui ne brille pas par son originalité, ni vraiment par linterprétation des acteurs tels que Justin Timberlake, Kevin Spacey, Morgan Freeman et LL Cool J. Un goût de déjà vu règne tout au long du film. Comme quoi, il ne suffit pas davoir un casting original, il faut aussi (et cest préférable) avoir un scénario solide et un réalisateur confirmé, car pour un premier film, celui-ci est vraiment raté. ce qui nest pas vraiment étonnant de la part de David Burke, habitué aux séries télé depuis plus de dix ans.
Polar absolument immonde, à peine digne d’une mauvaise série B des années 80, tout est dans la caricature et dans le superficiel. N'est p’s Sidney Lumet qui veut et amonceler des stars ne fait pas le succès d’un film, preuve en est.
Petit film policier platounet digne de n'importe quel téléfilm du samedi soir. Une intrigue sans surprises servie par un casting en or. Malheureusement, on s'ennuie ferme. Le scénario n'a rien à proposer au spectateur. Tout a été archi rabaché. Une petite aberration dans la filmo des acteurs.
Je suis surpris par la note de ce film, qui m'a bien plu. Morgan Freeman et Kevin Spacey sont égaux à eux même : de grands acteurs, comme toujours. L'histoire n'est pas si mal, même si elle manque d'originalité et reprend beaucoup de références et codes du genre. Je mettrais deux ou trois étoiles en temps normal mais vu la note allociné, je vais mettre quatre étoiles rien que pour la remonter, car ce film mérite d'être vu, rien que pour passer un bon moment.
Impossible de voir Edison sans y sentir Southland Tales : un État dans l'État, un arrière-goût d'Apocalypse, une violence qui surprend en sortant directement des coulisses... tout y est, jusqu'à Justin Timberlake (LL Cool J remplacera Dwayne Johnson). Ce sont deux films contemporains avec en commun leur thème et le fait qu'ils ont été mal reçus.
Il faudra donc aussi partir sur la base d'une ambiance aussi discontinue que sordide, mais ce n'est pas le problème. Au contraire, cette ambiance était pour moi symptomatique de ce qui était sous-coté chez Southland Tales et je ne cracherai pas sur la manière qu'ont les deux films de contourner les écueils du gros thriller en substituant une malsanité contrôlée à l'apparatus hiérarchico-administratif qui fait souvent grincer la machinerie scénaristique policière.
Le problème, c'est avant tout le casting sous-utilisé. Freeman et Spacey sont invisibles et Timberlake trop chouchouté, ce qui se sent dans le rapport de force ridicule avec son mentor, le personnage de Freeman. L'idée de faire passer de son plein gré le jeune gratte-papier à travers un enfer mafieux afin qu'il mérite son titre de journaliste, voilà qui aurait dû être le procédé d'une histoire initiatique, et pas le moteur d'un film d'action. Edison se retrouve à n'être ni l'un ni l'autre.
Edison est au cinéma hollywoodien hyperurbain ce que le hot dog est à New York : un symbole un peu marrant mais sans aucune classe, la caricature d'une culture qui essaye de s'assumer en se prélassant dans les exagérations d'elle-même. Ça passe une fois, et le genre peut devenir culte ; le film, non.