Les Cavaliers
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Lionel33000
Lionel33000

38 abonnés 398 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 27 novembre 2024
Bonjour,
Un grand classique de film sur la guerre d indépendance et la cavalerie ou deux personnes s opposent, le militaire John Wayne et le médecin William Holden sous la caméra de John Ford en 1959
Un must de western, a voir sans modération
Hotinhere
Hotinhere

590 abonnés 5 044 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 20 février 2024
Un western sécessionniste divertissant et prenant malgré quelques longueurs, porté par la belle opposition John Wayne/William Holden.
White Fingers
White Fingers

17 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 24 septembre 2023
Merci à Arte de diffuser de temps en temps des chef-d’œuvres du western intemporel. Il y a bien longtemps que j’avais vu ce « Les cavaliers » à la télé et j’avoue l’avoir revu avec un immense plaisir. Me sont revenues à la mémoire quelques magnifiques scènes émotionnellement fortes : l’attaque suicidaire des sudistes qui se font massacrer allègrement, ces enfants de l’école militaire qui partent la fleur au fusil se frotter à des « bleus » expérimentés, toutes les scènes médicales… L’essentiel du film repose sur l’opposition entre John Wayne, un officier issu du rang, et William Holden, le chirurgien. A la tension due à cause de la guerre s’ajoute des tensions humaines. Jamais voyeur, John Ford filme les atrocités avec une forme de pudeur. Constance Towers est fantastique en confédérée obtuse et tête-à-claque, qui va s’interposer entre les deux mâles dominants. La scène du repas est l’une des plus réjouissantes du film avec un John Ford légèrement coquin dans sa façon de filmer. Encore un excellent « John Ford ».

Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
fabrice d.
fabrice d.

27 abonnés 1 538 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 22 septembre 2023
Je n'ai pas été impressionné par de film de J. Ford. Peut-être que la Guerre de Sécession ne me parle pas assez. Peut-être que les charges épiques ne m'intéressent pas. Peut-être que le jeu de Wayne n'est pas mon truc, son personnage de héros bourru est peut-être dépasse. Ou peut-être que le film a simplement vieilli.
La rivalité entre Wayne et Holden, son médecin et l'histoire d'amour qui se met en place entre la sudiste et Wayne ne m'ont pas non plus marqué.
Fabios Om
Fabios Om

56 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 septembre 2023
Indéniablement, il ne s'agit pas du meilleur western de J. Ford. La mise en place est certes rapide, les péripéties sont assez divertissantes mais sa mise en scène est parfois un poil poussive et les scènes d'action manque de rythme et de souffle malgré une envergure assez impressionnante. 
Un rapport de forces encore stimulé par le personnage de Hannah Hunter (impeccable Constance Towers), intéressante en ce qu'elle va permettre de révéler la fragilité insoupçonnée du protagoniste incarné par "The Duke". Les cavaliers n'est ni le plus connut ni le meilleur film de John Ford cependant il possède des personnages forts. Un western intéressant que j'ai trouvé un peu long à démarrer qui fait la part belle au duo des vainqueurs. L'affrontement est un respect mutuel.
Ici pas d'envolées ou de grandes chevauchées mais une tension palpable. "Les cavaliers" reste classique mais bien divertissant. Que ce soit au niveau de la mise en scène ou du scénario,c'est du classique de chez classique. Mais on notera les détails que Ford a apporté au récit,confirmant qu'il s'est bien documenté sur le sujet. Un western sans surprises,mais solide.
L'homme sans nom
L'homme sans nom

159 abonnés 1 014 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 21 septembre 2023
Un John Ford de très bonne facture, qui entreprend encore de filmé l'armée pour mieux la critiquée. John Wayne incarné un personnage assez détestable dont le récit et les rencontres vont peu à peu transformé. Un schéma classique à une époque où le western commençait sérieusement à patiner (avant que Leone renouvèle le genre), mais bien exécuté.
ManoCornuta
ManoCornuta

294 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 21 septembre 2023
Si le film présente un certain intérêt par la narration de cet épisode singulier de la guerre de Sécession, il n'est pas le meilleur exemple du talent de John Ford comme de ses interprètes. Réalisation carrée sans fioritures, une écriture et des dialogues bien calibrés, mais l'impression de voir les acteurs comme engoncés dans un uniforme trop corseté, laissant peu de respiration pour l'émotion et les sentiments. Pas désagréable mais un poil trop académique.
Topaze87
Topaze87

8 abonnés 439 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 21 septembre 2023
Un western de John Ford glorifiant l'armée américaine qui se laisse regarder mais reste loin de ses meilleures réalisations.
chrisbal
chrisbal

16 abonnés 696 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 21 août 2023
Inspirée d'une histoire vraie, "Les cavaliers" est une reconstitution historique d'un raid nordiste sur les positions stratégiques des Confédérés pendant la guerre de sécession.
John Wayne (Colonel nordiste) est en parallèle confronté à William Holden (médecin militaire qui lui est imposé) et à Constance Towers (une aristocrate sudiste pouvant compromettre la mission), les relations conflictuelles entre ces 3 personnages (remarquablement interprétés) évoluant au fil du récit.
Il n'y a pas de parti pris pour un camp ou pour un autre malgré la victoire nordiste, mais une plongée dans la guerre civile avec toute la violence mais aussi les traits d'humanité qu'elle génère.
John Ford, fidèle à lui même, assure une réalisation de qualité et nous offre notamment des prises de vue impressionnantes lors des différentes batailles.
videoman29
videoman29

256 abonnés 1 845 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 19 octobre 2021
Réalisé en 1959 par John Ford (un des grands spécialistes du genre), « Les cavaliers » est un western de facture très classique. Il nous raconte l'incursion d'un bataillon de cavalerie « Yankee » en territoire ennemi, en pleine guerre de Sécession. On se retrouve d'ailleurs très vite plongé au cœur de l'action... même si quelques batailles supplémentaires auraient sans doute donné un peu plus de vigueur à l'ensemble. Certes, l'accent est volontairement mis sur les relations humaines et, de ce côté là, on est servi par les faces à faces orageux entre le Colonel Marlowe (John Wayne, excellent) et son médecin militaire (William Holden, tout aussi parfait). Leurs disputes sont un vrai régal et on s'amuse beaucoup à compter les points entre eux. Quelques baisses de rythme en milieu de parcours ternissent tout de même la qualité du visionnage empêchant « Les cavaliers » d'accéder au Panthéon des films cultes. Il reste tout de même d'excellente facture, les unités de cavalerie passant toujours très bien à l'écran. Convaincant !
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 3 mai 2021
Ce film de John Ford se déroule durant la guerre de secessiion. Basé sur des faits authentiques il retrace l'expédition d'une troupe de nordistes chargé des détruire une gare d'approvisionnement importante au sein des lignes des confédéres. AA travers cette expédition John Ford met en évidence l'affrontement entre la colonel Marlow chef de la troupe, interprète par John Wayne autoritaire et obtu et le médecin major interprète par William Holden souple et humain. À cela s'ajoute une aristocrate sudiste au caractère bien trempé qui rajoute du piment à la sauce. Tout cela est assez caricatural si bien que les personnages frisent parfois le ridicule et certaines scènes en pâtissent faute de nuance et de subtilité. Le film comporte aussi certaines longueurs. C'est dommage car Ford nous montre une fois encore son talent tant au niveau de la mise en scène que dans le recul pris par la caméra. Jonh Wayne à décidément du mal à se renouveler au niveau de son personnage, et c'est je trouve William Holden qui sauve la mise.
weihnachtsmann
weihnachtsmann

1 228 abonnés 5 250 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 29 janvier 2021
Un western intéressant que j'ai trouvé un peu long à démarrer qui fait la part belle au duo des vainqueurs. L'affrontement est un respect mutuel.
Ici pas d'envolées ou de grandes chevauchées mais une tension palpable.
soniadidierkmurgia
soniadidierkmurgia

1 221 abonnés 4 201 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 22 janvier 2021
En 1959, John Ford tout comme John Wayne est au sommet de sa gloire hollywoodienne. Âgé de 64 ans, il tourne en qualité de réalisateur depuis 1917, comptant déjà plus de 120 films à son actif. Avec John Wayne qu’il a croisé en qualité de figurant à quatre reprises dès le temps du muet, il entame à l’occasion des « Cavaliers » leur dixième pleine entière et collaboration. Malgré l’éclectisme réciproque des deux hommes, leurs noms restent encore aujourd’hui solidement attachés au western. Ensemble, ils en tourneront huit dont au moins cinq chefs d’œuvre unanimement reconnus («Le Massacre de Fort Apache », « La Charge Héroïque », « Rio Grande », « La Prisonnière du Désert », « L’Homme qui tua Liberty Valance »). « Les Cavaliers » souvent considéré comme mineur en raison de sa relative faiblesse esthétique et de son manque de profondeur psychologique occupe une place inconfortable dans la filmographie des deux hommes. Grand spécialiste de la Guerre de Sécession sur laquelle il est incollable, John Ford décide au crépuscule de sa carrière d’enfin traiter le sujet sur toute la longueur d’un film. Pour ce faire, il s’empare de l’histoire authentique du colonel Benjamin Grierson qui durant la campagne de Vicksburg fut chargé de s’enfoncer dans les lignes sudistes sur plus de 1000 kilomètres (de La Grande à Baton Rouge) afin d’y saboter les appuis logistiques (lignes ferroviaires, bases de ravitaillement…) dans le but de favoriser les percées à venir du général Grant. Le sujet lui a été apporté par les scénaristes John Lee Mahin et Martin Rachin qui seront aussi producteurs sur le film. Ce sont en effet six compagnies de production qui investissent dans l’entreprise. Ce qui ne manquera pas de compliquer le bon déroulement du tournage. Tout d’abord Wayne et William Holden obtiennent chacun 750.000 dollars de cachet plus 20% des bénéfices alors que Ford devra se contenter de 180.000 dollars et 10% des bénéfices. Les acteurs ont désormais pris le dessus dans le système hollywoodien ce que Ford qui a grandement contribué à la construction du statut de star de John Wayne, supporte assez mal. Un Wayne qui de son côté est déjà très impliqué dans la préparation d’« Alamo », le film fleuve qu’il compte mettre en scène lui-même. Pour achever d’entamer la motivation du réalisateur, celui-ci assiste impuissant à la mort du cascadeur vieillissant Fred Kennedy lors de l’une des dernières scènes tournées en extérieurs. C’en est fini pour John Ford qui se désintéresse progressivement du film. Ces avatars parvenus aux oreilles des critiques, il n’en faut pas plus pour que « les Cavaliers » soit assez promptement rangé dans la catégorie des films mineurs de la foisonnante filmographie de John Ford. S’il est clair que le contexte historique dans lequel se déroule l’action ne favorise pas la magnificence visuelle des westerns de Ford ayant pour cadre Monument Valley, son intrigue s’inscrit parfaitement dans la geste fordienne qui s’intéresse aux tourments de l’homme confronté à l’histoire et glorifie les valeurs du collectif au nom duquel se transcendent les individus. Le Colonel Marlowe, officier sorti du rang, interprété par John Wayne devra faire face à plusieurs dilemmes qui se surajoutent tout au long du film. Sa mission tout d’abord qui consiste à détruire des voies ferrées alors qu’il est lui-même dans le civil, chargé de les construire. Ensuite, son acceptation progressive de la présence du capitaine Nathan C. Brittles (William Holden), médecin militaire qui l’oblige à concilier autant que faire se peut sa mission suicidaire avec la préservation de ses hommes. L’amour enfin qui le surprend en la personne d’une prisonnière sudiste (Constance Towers) qui ne pense qu’à donner des renseignements à ceux de son camp. Avec le manichéisme naïf qui le caractérise et grâce à un John Wayne qui ne fait que se bonifier avec les ans, John Ford parvient à émouvoir en dépit de l’absence de personnages secondaires marquants comme dans ses tout meilleurs films. Un John Ford dont on peut affirmer qu’il filme comme il respire au contraire de cinéastes plus cérébraux tels Frank Capra, Joseph Mankiewicz ou George Cukor. La vie coulant dans les veines de ses films, le spectateur ne sera jamais complétement déçu par un film de Ford, leur vérité et leur fraîcheur finissant par l’emporter sur toutes les imperfections d’un réalisateur qui aura passé sa vie sur les plateaux de tournage. Pour l’aspect esthétique et épique du film sans doute trop sévèrement critiqué, le spectateur ne pourra oublier la charge suicidaire, sabre au clair des cadets de l’Académie militaire de Jefferson avec à leur tête un vieil officier campé par Basil Ruysdael. Une charge que le colonel Marlowe esquivera impressionné par l’héroïsme des confédérés ayant si vaillamment résisté malgré une infériorité numérique flagrante. L’humanisme encore et toujours chez le grand John Ford.
velocio
velocio

1 339 abonnés 3 174 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 20 septembre 2023
Pour une fois, j'ai réussi à aller jusqu'au bout d'un film de John Ford. Cela étant, tout est quand même bien trop lourd et beaucoup trop surligné !
soulman
soulman

96 abonnés 1 241 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 décembre 2020
Rythmé et remarquablement mis en scène, "Les Cavaliers", sans être un des dix meilleurs westerns de Ford reste un film captivant, où l'opposition entre William Holden et John Wayne atteint des sommets, les deux comédiens étant dirigés à la perfection. L'évocation des combats entre Yankees et armée sudiste ajoute un intérêt historique à cette oeuvre que l'on revoit sans se lasser.
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