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TheManWhoLovesCinema
39 abonnés
112 critiques
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3,5
Publiée le 27 janvier 2013
Faire un film sur le skateboard ne doit pas vraiment être facile mais faire un film sur les Z-Boys, je n'imagine pas. Mais le paris est réussi car Les Seigneurs De Dogtown est un très bon film sur le skate. Avec son casting révélateur ( Emile Hirsch ou même Heath Ledger ) - certains apprécieront les apparitions de Tony Hawk, Johnny Knoxville, Jeremy Renner ou même celle des trois légendes du film à savoir; Jay Adams, Tony Alva et Stacy Peralta - et son scénario très bien ficellé, "Les Seigneurs de Dogtown" possède quelque chose que les autres films du genre n'ont pas; peut-être le fait que l'ont ressent parfaitement la passion qu'on les personnages pour ce qu'ils font ou cet aspect 70's de la Californie qui fait partie des charmes du film, celui-ci orchestré par une superbe B.O. Ce film est pour moi une très belle déclaration d'amour au skateboard et à son histoire.
Excellent film sur les début du mouvement skate aux Etats-Unis, et le passage de sport de jeunes excentriques, à celui de véritable sport business.. Emile Hirsch toujours impeccable, les autres étant tout aussi bons.
Le film est d'abord tout ce qu'il a de plus cool avec cette bande de jeunes californiens qui ne pensent qu'à skatter et à s'amuser. Cette manière de filmer très intimiste et rapide de Catherine Hardwicke et la bande originale très rock accentue cet effet. Puis, la réalisatrice montre très bien comment la gloire et l'argent peuvent monter à la tête. Mais j'ai surtout trouvé la fin très belle avec la réunion des anciens amis autour de la maladie d'un des leurs. Dans le fond, j'ai suivi avec plaisir la naissance du skate en tant que sport, c'était très sympa de voir ces évolutions. Emile Hirsch et Heath Ledger sont les stars du casting et pour le coup se sont vraiment les deux meilleurs acteurs, leur jeu est vraiment excellent.
Difficile de remettre dans son contexte la création d'un sport devenue anarchique et à la mode qu sein d'une jeunesse en pleine recherche de ces bases, ce film réussit parfaitement la transposition à l'écran et régale le spectateur de belle sénes de skate.
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2,0
Publiée le 4 janvier 2017
Un film surcotè! Et une Catherine Hardwicke qui n'en finira pas de dècevoir par la suite en ètant finalement la rèalisatrice que d'un seul bon film ("Thirteen"). C'est tout le langage explicite et osè, et les substances illègales qu'on n'a pas pu montrer dans la version moins de 13 ans! il faut croire que des choses assez folles se sont passèes au conseil de l'audiovisuel! Qu'importe, "Lords of Dogtown" est un film dèsillusionnant qui englobe le sud de Santa Monica, Ocean Park et Venice Beach, sur la côte californienne! Toute rèvolution commence dans la rue et Hardwicke tente de nous le faire savoir à travers ce deuxième long-mètrage derrière la camèra! il faut savoir que dans les seventies, Venice Beach ètait bien plus minable! Dogtown, c'ètait un style agressif adoptè par tous! Ce n'ètait pas vraiment une plage pour passer ses vacances en famille! C'ètait un territoire dur, confinè pour les surfeurs! L'interprètation frise la mèdiocritè et s'il n'y avait pas le toujours excellent Emile Hirsch, "Lords of Dogtown" serait bien plus mauvais que ça! Cabotinage èhontè de Heath Ledger et Rebecca De Mornay, sans parler du jeu particulièrement irritant de Nikki Reed (on commence à avoir l'habitude) et Michael Angarano! Du surf, du skate-board, des roues en urèthane (les puristes apprècieront) des terrains de jeu à murs inclinès, des piscines vides à cause de la sècheresse...Tout ceci est bien observè par Hardwicke avec cette manière de faire du skate à la verticale! il est dommage que les acteurs soient aussi critiquables, voire parfois mal doublès dans les scènes de glisse...
Un bon film-documentaire sur les jeunes Z-Boys issus du ghetto de Venice Beach qui révolutionèrent le skate pour le mettre sur le chemin de ce qu'il est aujourd'hui. Un retour au source rythmée, bruyant et bien filmé par Hardwicke qui nous entraine à travers 3 destins : Tony Alva, Stacy Peralta et Jay Adams. A travers leur ascension, ce groupe d'apparence si-soudé autour d'un Heath Ledger "guru" complètement déjanté appréhendera le succès différement: LIBERTÉ contre CÉLÉBRITÉ (qu'on retrouve dans beaucoup de sport de glisse). On suit avec intérêt le parcours de ces figures emblématiques du skate. Leurs folies, leurs désirs, leurs passions à un âge où l'on se cherche encore et que tout va trop vite. Les acteurs jouent juste surtout Emile Hirsch dans le rôle du rebelle Jay Adams avec des mimiques qui apporte une énorme présence à son personnage. Des très bonnes musiques rythment efficacement l'ensemble et même si je n'y connais rien de ces années là aux Etats-Unis, les 70's (tout du moins le côté Old-School) sont très bien rendu. A voir pour les curieux, les skateurs et ceux qui s'y sont essayés un jour sans succès comme moi.
super beau film! et super belle preuve d'amitié car même si chacun part chacun de leur coté il se retrouve malgré eux ensemble réuni par l'amitié. les acteurs sont exellent et même le regrétable Heath Ledger est exellent malgré son ptit rôle. et Emile hirsh m'étonnera toujours. a ne pas manqué
Bien avant l’horrible Twilight chapitre un Catherine Hardwick avait réalisé l’excellent Thirteen et ce très bon les seigneurs de Dogtown. Personnellement ma culture skate board se limite à quelques heures passées devant Tony Hawk 2 sur PlayStation et pourtant j’ai vraiment apprécié ce film qui raconte l’émergence des premières stars de ce sport. C’est un film épris de liberté à l’image de cette bande qui n’aspire qu’à se retrouver pour faire ce pourquoi ils sont doués et fuir des carcans familiaux bien lourds à porter. Brillamment mis en scène (les premières scènes de skate sont bluffantes) le film bénéficie également d’une superbe bo qui fait du bien aux oreilles. Le casting jeune a l’époque révèle une très belle troupe, à noter aussi une interprétation très expansive d’un Heath Ledger en grande forme. C’est plein vie, parfaitement mené, c’est un bon film à découvrir même si le skate board vous est indifférent.
Lords of Dogtown est à mi-chemin entre le documentaire et le film. D'un côté, il retrace la naissance du skate, et par-là même des sports extrêmes. Il est impressionnant de se rendre compte que l'histoire relatée pendant ces petites 1h30 a bouleversé le monde du sport à tout jamais! Mais Lords of Dogtown est aussi un film, et en cela pas besoin d'être fan de skate pour l'apprécier. Il retrace l'histoire d'une bande de potes qui va se retrouver propulsée au rang de superstars d'un sport en devenir, ce qui va bien sur mettre à mal l'unité de ce groupe. On se prend très rapidement au jeu et l'on suit les pérégrinations de cette bande avec délectation. Les acteurs sont très bons, Heath Ledger en tête évidemment! La bande son est mémorable avec nombre de groupes cultes de l'époque: Black Sabbath, Deep Purple, etc. Le scénario est parfois un peu basique et convenu mais reste très réaliste en ce qui concerne les dérives publicitaires et le fait de sortir les enfants des rues pour en faire des stars. Au final, Lords of Dogtown est un film émouvant, prenant, sans temps mort, qui permet de se cultiver, et est donc vivement conseillé!
L’histoire de ceux qui ont révolutionné le skateboard ; trois adolescents connus sous le nom de groupe : Z-Boys. Ils ont eu une influence considérable sur ce sport, notamment en utilisant les piscines vides comme module de skatepark durant la période de sécheresse en 1976. Stacy Peralta, Jay Adams et Tony Alva s'imposeront au niveau international et deviendront des pionniers dans le domaine. Voici pour le contexte. Je dirais que le film comprends deux parties. La première partie met en avant la simplicité de ces skaters, qui pratiquent juste pour le plaisir, sans prise de tête. La seconde partie en revanche, traite les aléas de la célébrité ; préoccupation pour l’argent, le succès, les filles… L’atmosphère du film représente bien les années 70 (look, voiture, vêtements…) et les paysages de Californie sont superbes. La BO a simplement le mérite de ne pas être désagréable. La prestation des acteurs est correcte, Emile Hirsch ainsi que les 2 autres acteurs principaux sont plutôt crédibles en skaters et ressemblent étrangement aux personnages qu’ils incarnent. Mais on retiendra surtout l’interprétation de Heath Ledger, parfait dans le rôle de Skip. A noter la présence du fondateur des Jackass, Johnny Knoxville, ainsi que l’apparition paradoxale de Tony Hawk (plus jeune que les Z-Boys). Catherine Hardwicke réalise ici une œuvre sympathique et divertissante mais pousse tout de même dans les clichés de films pour ados. En effet, certains points ne sont pas assez développé tels que la déchéance de Jay Adams ou encore la maladie de Sid. Un bon divertissement donc, sans plus.