Un film sur la culture du skate à travers le succès d'une bande de potes. Réalisation énergique style MTV et sauts à haute voltige : un bon divertissement. Emile Hirsch est au dessus du lot.
Les Seigneurs du skate, j'ai pas accrocher du tout, tantôt on se dit que le film va se réveiller mais la planche de skate se brise. J'ai eu aucune inspiration sauf à me dire vite que le film se termine.
Le meilleur film de glisse que j'ai vu. Et la Bande Originale, une pure merveille... Les acteurs, bien qu'ils soient jeunes, sont vraiment très très bons ! L'histoire est excellent, les trash sont super et on en apprend même pas mal sur les débuts du skate tel qu'on le connait aujourd'hui. J'ai du voir ce film une dizaine de fois, je m'en lasse pas.
Il n'y a pas grand chose à attendre de ce film qui nous plonge dans le monde du skate avec des adolescents. Le film ne bénéficie d'aucune ingéniosité mais reste assez divertissant en en faisant des tonnes. A réserver à la rigueur au passionné de ce milieu là et encore!!
Ce film raconte les débuts des membres fondateurs des Z-Boys, à savoir les premiers à avoir révolutionné le Skate-Board, depuis dans ce sport ces membres, Tony Alva, Jay Adams et Stacy Peralta, restent des légendes... Ce dernier a d'ailleurs réalisé un documentaire "Dogtown and Z-Boys" (2001) primé notamment à Sundance et qui servit également au scénario de ce film... C'est donc l'histoire vraie des pionniers du Skate... Produit par David Fincher ce dernier a préféré laisser la mise en scène à Catherine Hardiwcke qui venait de réaliser "Thirteen" (2003) et qui signera (malheureusement) "Twilight 1" (2008) et "Le Chaperon Rouge" (2011)... Style docu-fiction avec du grain la réalistrice fait montre d'un véritable intérêt pour le skate, les cadrages offrent des scènes magnifiques lors des séances de skate. Les liens entre les protagonistes sont intéressants mais il est dommage que tous les acteurs n'aient pas le même talent ; par exemple le fade John Robinson (déjà vu dans "Elephant" en 2003 de Gus Van sant) qui interprète Stacy Peralta. Le seul et vrai problème reste la seconde partie, l'ascencion des trois "stars" est trop rapide. Etonnament (pour un film mis en scène par une femme) les filles sont toutes plus ou moins niaises ou sans intérêts. Scénario sans réelle surprise et un sport qui n'aura pas prise sur tout le monde mais c'est bien filmé et la BO est excellente. Un très bon film qui aurait gagné à être plus spectaculaire.
Excellent film sur l'explosion de phénomène skateboard avec les emblématiques fondateurs du mouvement moderne. Nul besoin d'être fan pour apprécier la bonne réalisation (malgré quelques facilités pour souligner les caractéristiques des comédiens) et se prendre à cette histoire grandement inspirée de la réalité (les vrais protagonistes ayant collaborés) et intéressante. Une bonne immersion dans cette atmosphère typique et de bons comédiens.
La réalisatrice de l’excellent Thirteen (2003) et plus récemment du film de vampire teenager Twilight : Fascination (2009) a réalisé entre les deux, cette comédie dramatique retraçant les débuts prometteurs des Z-boys, ces surfeurs de Venice (en Californie) qui ont révolutionnés la pratique du skateboard en transposant les plus spectaculaires mouvements du surf sur le béton !! Véritables légendes dans l’univers du skate, Stacy Peralta, Tony Alva et Jay Adams auront connus leurs heures de gloire avant que le côté obscur ne s’en empart (la gloire, le marketing, les coups bas, etc). Fans de skate ou non, on ne peut que tomber sous le charme de ce film, qui accumule de très beaux plans qu’ils soient en steadycam ou en DV, la B.O est parfaite et le point fort du film, sa distribution où l’on retrouve un très bon trio : Emile Hirsch, John Robinson, Victor Rasuk et aussi Michael Angarano et le regretté Heath Ledger.
Biographie retraçant le destin des 3 Z-Boys, 3 surfeurs californiens ayant influencé tous les skaters du monde en révolutionnant ce sport. Mais le film de C. Hardwicke se distingue en dressant non seulement le portrait de 3 jeunes dans le vent mais aussi en s'attaquant au système qui vole l'innocence de ces gamins, les couvre d'or, les monte les uns contre les autres et les sucent jusqu'à la moelle avant de les jeter aux oubliettes sitôt un autre poulain plus frais en vue. Bref, elle démolit le système capitaliste pièce par pièce et tout en radioscopant l'écroulement de ce rêve américain, offre à plusieurs acteurs l'occasion de briller : E. Hirsch, H. Ledger et toute une bande de jolies petites bouilles qui imprègnent la pellicule de leur charisme. La mise en scène donne le tournis, la B.O fracasse tout, le scénario captive de bout en bout et les caméos savoureux (T. Hawk en astronaute, géant) font de ce film une vraie bonne surprise. Un beau moment. D'autres critiques sur
Bien avant qu’elle ne parte réaliser des films mainstream moins ambitieux et critiqués, Catherine Hardwicke se posta comme une cinéaste à suivre après son premier long, Thirteen, salué par la critique. Son deuxième film, Les Seigneurs de Dogtown, était déjà moins ambitieux et chapeauté par une major.
Contant l’histoire de trois surfeurs devenus skateurs pas forcément meilleurs amis du monde au départ du film, Les Seigneurs de Dogtown sent bon les années 70’s, le rock de ces années là et la chaleur de la Californie. En effet, le film bénéficie d’une bande-son efficace et d’une imagerie assez passionnante pour captiver le spectateur, malgré une histoire qui ne casse pas trois pattes à un canard, avec un gentil garçon bien droit dans ses bottes, interprété par l’excellent John Robinson, qu’on regrette de ne plus voir au cinéma, un avide de reconnaissance détestable, joué par Victor Rasuk et un ami loyal un peu niais qui doit faire face à une vie très compliqué, joué par Emile Hirsch, qui montre ici son talent aujourd’hui reconnu. Les jeunes sont ici encadrés par un excellent Heath Ledger en patron/gourou/figure du grand frère constamment bourré, qui rappelle un peu le Joker qu’il jouera 5 ans plus tard et par Eddie Cahill, assez bon dans un second rôle discret mais mémorable. Le film enchaîne les péripéties de façon plaisante, grâce à une réalisation plutôt passe-partout mais efficace et un scénario qui n’évite pas les raccourcis mais qui n’a pas vraiment d’autre défaut si ce n’est de nous coller un rebondissement dans les dernières minutes du film.
Les Seigneurs de Dogtown a été fortement critiqué à cause du manque d’intérêt du film si on a déjà vu le documentaire Dogtown & Z-Boys, réalisé par Stacy Peralta himself. Très sympathique, à défaut d’être essentiel.
La première partie du film m'a vraiment pas beaucoup intéressé alors que la seconde s'est révélée plus sympa j'ai trouvé. Mais ça n'a pas vraiment réussi à me captiver non plus. En plus, la mise en scène est pénible. Ça se veut dynamique, jeune, cool, un peu à l'image du film quoi, mais au final j'ai trouvé ça juste pénible. Après tout n'est pas à jeter. Comme je l'ai déjà écrit, la seconde partie est vraiment plus intéressante lorsqu'on voit comment le skate devient un sport dont on parle de plus en plus et qui devient plus un nouveau phénomène de mode, propice à de nouveaux marchés en fait.