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    L'Au-delà
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    Shawn777
    Shawn777

    586 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2023
    Lucio Fulci reste un reste un réalisateur avec lequel j'ai toujours un peu de mal, mis-à-part ses giallos que je trouve toujours maitrisés. Mais alors dès qu'il s'attaque à du fantastique pur et dur, ça donne toujours des trucs bordéliques auxquels je n'arrive pas à accrocher, comme "Frayeurs" ou "La Maison près du cimeterre". Je ne partais donc pas vraiment confiant avec cette histoire de zombies (parce-que Fulci, il aime bien les zombies) et d'hôtel hanté mais j'ai finalement été captivé, avant tout par son ambiance. Effectivement, on reconnait bien là les productions de genre italiennes des années 70 et 80 avec une mise en scène toujours très kitsch qui vieillit assez mal (comme tous ces zooms par exemple) mais que j'affectionne particulièrement et qui est surtout ici, quoiqu'on en dise, particulièrement maitrisée ! C'est donc ici l'histoire d'une femme qui hérite d'un vieil hôtel qu'elle décide de retaper. Mais les morts étranges s'enchainent et là-dessus apparait une femme aveugle qui lui dit de quitter les lieux. Dans un même temps, une horde de zombies envahit les environs (enfin l'hôtel et un hôpital quoi). Alors oui voilà, c'est bordélique mais c'est à l'image des productions italiennes de ces années-là. C'est-à-dire qu'il y a toujours trente-six idées à la minute mais, pour une fois, l'histoire ne part pas vraiment ici dans tous les sens et reste focalisée sur cette histoire de porte de l'Enfer (oui c'est encore un autre truc que j'ai pas mentionné mais tout est lié). Ainsi, on ne s'ennuie pas vraiment car l'histoire parvient à retenir l'attention du spectateur, de même, encore une fois, que l'ambiance, aidée par la musique, elle aussi représentative de ces productions. Bien que les effets spéciaux aient prit un sacré coup de vieux, certaines scènes restent très marquantes et très efficaces, notamment les nombreuses scènes sanglantes ou encore celle avec les araignées qui ferait frissonner n'importe quel arachnophobe. "L'Au-delà" est donc un bon film de genre italien et fait même partie des références en la matière.
    Redzing
    Redzing

    1 118 abonnés 4 470 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2023
    Amis du bon goût et de la dentelle fine, au revoir ! Ce soir, vous êtes invités chez Lucio Fulci, parrain du gore dont le savoir-faire n’a d’égal que sa générosité.
    Le maestro vous proposera en apéritif une crucifixion à l’émulsion de chaux vive, sur lit de flashback. Histoire de bien comprendre où vous avez atterri. En hors d’oeuvres, énucléation et ravalement facial à l’acide seront inévitables. La soirée se poursuivra par divers massacres, zombies et araignées prêtant main forte, jusqu’au final dantesque.
    Et pas la peine de regarder la rediffusion, vous n’aurez plus d’yeux pour cela. Ceux qui ont échappés à l’énucléation auront été frappé de cécité…

    Voilà, voilà… Plus sérieusement, le film ne brille pas par son scénario des plus légers : un hôtel construit sur une porte des Enfers, prétexte à enquiller toutes les apparitions morbides. Ni par ses acteurs très moyens.
    Non, Lucio Fulci c’est avant tout l’ambiance, la générosité, l’audace. De nombreuses séquences horrifiques très réussies, aidées par une jolie musique et des décors travaillés.
    Et bien évidemment, des trucages incroyables, qui permettent au réalisateur un jusqu’au boutisme délirant. Là où d’autres se contenteraient de couper ou de faire un plan large, Fulci affiche sans arrêt des gros plans sur ses créatures putréfiées, et ses victimes massacrées. Avec un vrai sens du spectacle.
    Je ne m’étonne guère que de nombreux réalisateurs de genre se soient fortement inspirés de ses films, et de celui-ci en particulier.
    Cinoche
    Cinoche

    1 abonné 53 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2023
    J ai mis 5 étoiles pour les musiques. Somptueuses.

    Après, du gore violent, cru

    🔥 SPOILE 🔥

    Lorsque le monsieur tombe au début, et que le sang coule de sa bouche, ça m à dégoûtée, moi, l amatrice des series the walking dead et slasher, Wolf creek 2 et autres horreurs.

    Non franchement les vieux films d horreurs des années 80 sont les plus dégueulasses, froids, putrides et violents dans leurs effets sanglants.

    Du bon boulot. Et les musiques des joyaux artistiques.
    Roub E.
    Roub E.

    955 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2023
    Si on a une forme de fascination/attirance pour le macabre, l’au delà est le film parfait. Même s’il est ostensiblement freiné par un budget limité, les maquillages très impressionnants n’en soufrent pas. Le scénario est basique et c’est vraiment l’esthétique qui vaudra ici le détour. J’ai trouvé en revanche la caméra de Fulci trop statique presque zombiesque on me dira que c’est raccord avec le thème mais ça peut finir par être lassant.
    Fred E
    Fred E

    10 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2022
    On ne sort pas indemne cette œuvre horrifique. Fulci a vraiment sa propre empreinte : le goût du détail malsain, des notes de piano intenses,... Certes, des incohérences notables dans le scénario mais la mise en scène reste relativement prégnante.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 182 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2021
    « L’au-delà » tourné et sorti sur les écrans en 1981 est le troisième opus de ce que les exégètes de l’œuvre de Lucio Fulci dénomment comme son « carré d’as ». Commencé en 1979 avec « L’enfer des zombies », il est complété par « Frayeurs » pour se clore en 1982 avec « La maison près du cimetière ». Pour l’écriture du scénario, Lucio Fulci sera accompagné encore une fois de Dardano Sacchetti et de Giorgio Mariuzzo. Réputé à juste titre pour être le plus gore de ce fameux « carré d’as », « L’au-delà » emmène le spectateur à la Nouvelle-Orléans où en 1927 des habitants sortent des bayous pour mener une expédition punitive à l’encontre d’un artiste peintre logé dans une pension huppée (l’hôtel des 7 portes) et soupçonné de pratiquer la magie noire. Horriblement torturé, son livre de chevet « Eibon » est retrouvé sur place par une femme aux yeux révulsés indiquant que l’emplacement de l’hôtel est en réalité la septième porte de l’enfer. Cet incipit tourné en couleur sépia, parfaitement maîtrisé par Lucio Fulci, donne immédiatement le ton de ce qui va suivre, s’inscrivant dans la continuité de « Frayeurs » qui ouvrait déjà les portes de l’enfer. La jeune femme interprétée par Catriona MacColl déjà présente sur « Frayeurs » (1980) qui 54 ans plus tard, hérite de l’hôtel en quasi-ruine et décide de lui redonner vie, va se heurter aux forces démoniaques qui hantent le lieu désormais devenu le sanctuaire de morts-vivants. L’intrigue qui va suivre ainsi que les personnages ne sont bien sûr qu’un prétexte à la recherche visuelle de Fulci qui n’aura jamais été aussi loin dans l’exposition des corps en décomposition, énucléant à tour de bras et convoquant tout le bestiaire (vers, tarentules) propre à faire frémir un spectateur venu en connaissance de cause. Inutile donc de chercher une cohérence parfaite entre les scènes (cela lui sera souvent reproché) et encore moins espérer des rebondissements spectaculaires. Le cinéma de Lucio Fulci, fervent catholique, est tout autre qui mise sur la lenteur inexorable de la mort qui avance tout au long de son film mais aussi tente avec un certain succès l’impossible pari de marier horreur et poésie. Epaulé par Sergio Salvati son directeur de la photographie et par le compositeur Fabio Frizzi qu’il connaît parfaitement, le réalisateur envoûte par une ambiance qu’il est à l’époque l’un des seuls à savoir créer. D’où le succès international de ses films et notamment de « L’au-delà » jugé par beaucoup comme son travail le plus abouti. Se mettre en condition sera néanmoins nécessaire pour ceux qui ne connaissent pas l’univers de ce réalisateur italien qui à côté des Dario Argento et Mario Bava est l’un des petits maîtres du cinéma de genre de cette période féconde du cinéma transalpin devenu depuis un peu apathique.
    Vinz1
    Vinz1

    180 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 août 2021
    Pour son troisième film de morts-vivants de suite, Fulci se prend les pieds dans le tapis de ses défauts et nous sort un long-métrage inégal et surtout en deçà de la qualité des précédents classiques que sont « L’enfer des zombies » et « Frayeurs ». Ici, le rythme est encore plus saccadé qu’à l’accoutumée, alternant les scènes d’une lenteur folle et les attaques des zombies purulents, ces derniers semblant encore plus penauds et surtout le scénario est incohérent et sibyllin au possible ! Alors quand en plus un des personnages principaux a des problèmes avec son pistolet (ce dernier est vide, puis rechargé l’instant d’après ou même mieux : le personnage sait pertinemment qu’on vient à bout des morts-vivants en leur tirant une balle dans la tête, mais il persiste à tirer partout ailleurs !), on sent que c’est la fin d’un cycle pour le père Lucio ayant perdu là sa maestria !
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    dire qu'il y a des années, quand j'ai commencé ma collection de films d'horreurs je pensait que Lucio Fulci était une marque de pizzas surgelées... shame on me !
    Lancé par le succés de "l'enfer des zombies" puis "frayeur", notre gars Lucio nous offre en 1981 "l'au delà". Une épatante histoire de paranormals, morts vivants et tout ce qui fait la joie des amateurs de films d'horreur spaghettis (comme les westerns spaghettis que je prefere aux westerns US). A déconseiller aux arachnophobes pour 1 minute un peu stressante, "l'au delà" aligne les masques en careton et les epluchages de peau en latex avec une telle jouissance qu'on ne peut qu'etre conquis devant une telle fête. Pas besoin d'avoir 200 mecs aux effets spéciaux et le PIB du Zimbabwe en budget de départ, Lucio Fulci nous amuse avec 3 lire et demi et on en redemande. Moi je dis MONSIEUR Fulci. 4 / 5
    PS J'en profite pour remercier Artus Film de nous offrir des rééditions aussi luxueuses et documentées ! (non j'ai pas de part dans la boite, juste reconnaissant)
    pierrre s.
    pierrre s.

    429 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2021
    Lucio Fulci repousse les limites du gore et nous en mets plein la vue. Sur ce point son film est réussi. L'ennui c'est qu'il n'y a pas grand chose d'autre à se mettre sous la dent. L'histoire est confuse et les personnages guère attachant.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 avril 2021
    J'aime les films d'horreur du début des années 80 et aussi ringards que soient certains d'entre eux il faut savoir qu'ils ont été réalisés il y a près de 30 ans. Cependant ce film a été douloureux à regarder. Le gore et les effets étaient très bien faits pour l'époque et tiennent toujours la route aujourd'hui mais c'est à peu près tout. La musique de mauvais goût est diffusée aux moments les plus inappropriés et est coupée sans avertissement. Je ne comprends pas comment une scène d'horreur est censée avoir un effet quelconque lorsque de la musique pop ringarde des années 70 sort de nulle part. Le jeu des acteurs est atroce les expressions de choc et d'horreur qu'ils affichent sont hilarantes. Leurs expressions faciales et leurs mouvements corporels exagérés vous distraient totalement de tout ce qui se passe. L'intrigue et bien il n'y en a pas. Sérieusement une femme hérite d'un vieil hôtel et le dit hôtel est construit sur la porte de l'enfer beaucoup de gens meurent sans raison et c'est la fin. Les morts restent allongés là et se font dévorer couvrir d'acide ou déchiqueter par des zombies sans même prendre la peine de bouger ou d'essayer de s'échapper. Du bon sens il n'y en a pas. Dans une scène les deux personnages principaux sont poursuivis par des zombies extrêmement lents et le personnage principal tire sur une dizaine de zombies dans la poitrine et le ventre sans résultat. Puis il en tire deux dans la tête et ils tombent au sol. Frappez les zombies à la tête et vous les tuez frappez-les ailleurs et c'est une balle perdue. Alors pourquoi cet idiot gaspille-t-il les 20 balles suivantes en tirant sur les zombies dans la poitrine et l'épaule. Il n'y a rien d'effrayant dans ce film bien sûr il y a une quantité décente de gore mais rien de tout cela n'est effrayant ou même troublant. La musique, le jeu des acteurs et la caméra de mauvaise qualité y contribuent...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 février 2021
    On pourrait qualifier ce film en trois mots : NUL ET BËTE.
    Ce film cheap est tellement mauvais et ringard qu'on le suit en se demandant si ce que l'on va voir sera pire encore que ce que l'on a déjà vu.
    Ce n'est pas un problème de scénario, qui dans le genre, est conforme; Mais le film mise sur ses effets spéciaux et trucages, à grand renfort d'effets de manche fatigants et vains. Le soucis, c'est qu'un trucage, ça vieillit, surtout quarante ans plus tard. Et quand on que ça à vendre....
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2019
    Troisième et dernier film de la “trilogie de l’enfer� de Lucio Fulci, ‘L’au-delà’ serait, selon certains, le meilleur du lot...et par voie de conséquence, le sommet de la toute la carrière de Fulci. On y retrouve l’incontournable Catriona MacColl qui emménage dans un hôtel en Louisiane où eut lieu le lynchage d’un artiste maudit dans les années 20 et où, bien vite, les événements surnaturels vont commencer à s’accumuler. Parmi ces nombreux phénomènes paranormaux qui surviennent durant la séance, on remarque par exemple que certains personnages, comme le docteur McCabe, semblent rencontrer la jeune femme pour la première fois lors d’une scène, et en sont à Tu et à Toi dès la scène suivante : que d’autres personnages ont un statut tout aussi flou, quand on découvre soudain qu’ils entretiennent des liens très proches avec d’autres, alors que le récit ne précise jamais qu’ils se sont rencontrés auparavant ou même qu’ils se connaissent. Ou encore que lors d’une attaque de morts vivants, Fulci montre clairement les zombies se ramasser les balles sans ciller mais s’écrouler une fois touchés à la tête : le cadrage re-serré autour de l’explosion de cervelle puis sur le visage étonné du tireur indiquent de toute évidence que ce dernier a compris comment neutraliser les créatures...mais non, dans les scènes suivantes, cet abruti continue à leur tirer dans le bras ou l’épaule ! C’est que la désinvolture dont le réalisateur fait preuve vis-à-vis de la cohérence de son travail atteint ici une sorte d’apothéose. Il ne s’en défendait d’ailleurs même pas, considérant la vacuité narrative du film comme une évidence et expliquant à qui voulait l’entendre qu’il avait voulu créer une oeuvre métaphorique, “artaudienne� même, basée sur l’idée que l’horreur intrinsèque à toute existence ne se révèle pleinement que lorsqu’on accepte de la regarder en face. C’est la raison pour laquelle Fulci met toute son énergie dans la représentation de la mort des personnages du film, ici une femme égorgée brutalement par son chien, là un visage qui fond sous l’effet de la chaux vive, qu’il veut la plus répugnante possible. Même pour ces scènes-choc, les moyens restent très limités mais il y a une manière de faire qui n’appartient qu’à Fulci, un style qui renforce l’idée chez moi que ce type était foncièrement un sadique, et qui rend ces visions, si pas traumatisantes, en tout cas mémorables. Même en mettant de côté les effets sanguinolents, la vision de la jeune aveugle et de son chien plantés au milieu de la route ou la divulgation finale de la nature de cet “Au-delà� (dont on voit pourtant très bien qu’il ne s’agit que d’un simple décor de plateau, qui plus est mal éclairé) n’ont rien à envier aux scènes les plus iconiques des classiques de l’épouvante des années 70. Décidément, Fulci mérite bel et bien son statut de “plus grand réalisateur méprisé de films d’horreur méprisables�.
    Horrophile75
    Horrophile75

    38 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2020
    Je comprends les fans de ce réalisateur. Deuxième de ses films que je vois, et je commence à appréhender son esthétique toute particulière, ses œuvres étant de véritables films d'auteur selon moi. En effet, Fulci manie le "macabre" (avis quasiment unanime) comme personne. Je n'ai rien à reprocher à la réalisation ni aux effets spéciaux, artisanaux et gores comme je les aime spoiler: (Toutes ces énucléations... et les mygales, trop bien !)
    ! Et la BO est excellente. Après, le film présente un désavantage notable qui me gène : le manque de scénario. Tout le succès du film repose dans son esthétique, tel "Inferno" de Dario Argento. Mais au niveau de l'histoire, il y a un cruel manque de développement (avec quelques incohérences ici et là à la fin du film). Mais la toute dernière scène est très intéressante. Finalement, il ne manquait qu'un scénario plus recherché pour élever ce film au rang de chef-d’œuvre de l'horreur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 octobre 2018
    Ce film sorti en 1981 a terriblement vieilli mais demeure malgré tout intéressant... De bonnes idées ça et là noyées dans un scénario confus où des acteurs mal dirigés semblent absents... Dommage car certaines séquences, notamment la fin, restent en mémoire...
    willy holden
    willy holden

    3 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juin 2018
    Bien sûr, tout cela a un peu vieilli, mais à l'époque on attendait comme des gosses à Noël la sortie des films de Fulci. L'au-delà est sa meilleure réalisation. L'histoire est un peu secondaire. Le seul but de Fulci était de nous faire flipper et franchement ça marchait. A l'orée des années 80, fin de l'âge d'or du cinéma fantastique italien, Fulci était dans les premiers de la classe, devant Déodato, mais derrière Argento, du moins avant que celui-ci ne devienne nul. L'Au-delà figure parmi les incontournables pour tous les amateur de films d'horreur de cette période fertile.
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