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    Cinq pièces faciles
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    DanDan
    DanDan

    87 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2023
    Classique des années 70, et de la période nouveau hollywood Bob Rafelson signe une révélation avec Jack Nicholson dans son premier vrai rôle..la scène dans le deli ou jack Nicholson commande son breakfast est culte..le film est très beau et l'histoire se lasse voir avec curiosité...à revoir..période BBS productions..dont easy rider et five peaces east
    Pseudofile
    Pseudofile

    9 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 octobre 2022
    Nous voilà embarqués à suivre les pérégrinations peu emballantes d'un type promis à une carrière de pianiste et issu d'une famille de musiciens mais qui a tout abandonné pour vivre d'expédients au jour le jour et copuler dès qu'il en a l'occasion sauf avec sa copine la seule qui tienne vraiment à lui et on se demande bien pourquoi, tant ce gars est désagréable et peu engageant. et on se demande aussi ce qui a pris aux scénaristes pour nous pondre une histoire autocentrée sur un type dont il n'y a rien à raconter. Il s'agit probablement d'un film mineur dans la carrière de Jack Nicholson et on comprends pourquoi, c'est tellement insipide qu'il n'y a rien à en dire. Un pur gaspillage.
    Y Leca
    Y Leca

    33 abonnés 1 003 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2022
    Un pianiste en rupture de ban avec son instrument, sa famille, sa petite amie et finalement lui-même. Le mal de vivre à l'américaine dans les seventies. Le jeu naturel de Nicholson sur qui tout repose ne suffit pas à éviter l'ennui.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 juin 2021
    Le plus gros problème de Cinq pièces faciles est tout simplement qu'il ne se passe rien. Nous sommes juste obligés de regarder Robert Dupea (Jack Nicholson) essayer de se trouver. Pendant qu'il se trouve nous allons étouffer des bâillements. Le fait que le personnage principal que nous suivons soit un irrécupérable n'arrange pas les choses non plus. Il traite tous ceux qui l'entourent en particulier sa fidèle petite amie comme des ordures. Il est complètement imbu de sa personne ce qui est plutôt étrange pour quelqu'un qui occupe un emploi subalterne sur une plate-forme pétrolière. Comment ce type peut-il se permettre d'être aussi hautain et puissant. Qui est-il pour penser qu'il est tellement meilleur que ceux qui l'entourent. Vers la moitié du film nous voyons d'où vient cette attitude lorsqu'il retourne dans sa maison d'enfance pour renouer avec la personne qu'il est vraiment ou du moins qu'il était. C'est à ce moment-là que l' étude de caractère prend tout un sens. Il s'avère que Robert Dupea n'est pas exactement ce qu'il semble être au départ et c'est un personnage très complexe. Mais au fond c'est toujours un être humain horrible et c'est toujours un film ennuyeux...
    Rémi P.
    Rémi P.

    28 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2020
    "Cinq pièces faciles" raconte l'histoire de Robert, un ouvrier foreur anciennement prodige de piano, qui décide de renouer avec sa famille après l'annonce de la maladie de son père...
    L'intrigue peut paraître minimaliste au premier coup d’œil mais il n'en est rien ! Ce film est au contraire très complexe tant dans sa construction scénaristique que dans les sentiments qui y sont dévoilés. En effet, après une première partie qui introduit la vie de Robert et la banalité de son quotidien, on découvre mieux ce personnage, tous ses sentiments et ressentiments, à partir de son départ pour rejoindre la maison familiale. A la fois colérique, sensible et tranchant (les scènes avec la serveuse ou avec l'amie séminariste de la famille sont de vrais moments de comédie !), on s'attache à ce personnage si profondément humain qui arrive à un moment charnière de son existence, la quête de son identité. Celle ci passe par la déception d'une amourette vouée à l'échec, d'un sentiment de gâchis des talents de l'enfance ou encore de la séparation avec les personnes qui l'aiment, notamment sa compagne Rayette. C'est Jack Nicholson qui incarne le rôle de Robert dans ce qui est pour moi, sa meilleure performance. Roger Ebert disait de ce personnage qu'il est "l'un des plus mémorables de l'histoire du cinéma" et on ne peut qu'acquiescer tant celui ci nous bouleverse par sa mélancolie et par le doute qui l'habite en permanence. La scène de fin est une merveille car elle est absolument représentative de la sincérité du héros, de sa volonté de quitter les autres afin de trouver, dans sa solitude, la sérénité qu'il cherche tant. Ce film est donc pour moi un véritable coup de cœur mais c'est avant tout un coup de maître de la part de Bob Rafelson qui signe un film inoubliable et troublant d'humanité, porté par des musiques magnifiques (Chopin en tête) et par un Nicholson au sommet de son art... Bravo !
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    Portrait d'un anti-héros, un film subtil qui traduit le mal être profond dans l'Amérique à la fin des années 60, avec un Jack Nicholson énorme.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2018
    Un classique de la nouvelle vague américaine sur le désir ou regret d'une autre vie. Le film est intelligent et le traitement sert bien le sujet. Nicholson crève déjà l'écran même si le film comporte quelques longueurs.
    Prad12
    Prad12

    94 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2017
    La route. Pourquoi prendre la route ? le film explique un peu les raisons, le dégoût de soi, le refus de l'engagement, le rejet de son milieu.... de graves problèmes pour la jeunesse dorée quand même..... bref, Jack Nicholson est parfait pour ce rôle et pour l'époque mais le scénario ou bien l'énervante Karen Black empêche de déguster pleinement ce road trip de la belle époque.....
    Alasky
    Alasky

    358 abonnés 3 453 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2017
    Belle performance du grand Jack Nicholson, incarnant l'anti-héros dans cette Amérique intime, qui nous plonge dans les seventies du fin fond des Etats-Unis. Le film n'a certes pas un scénario des plus excitants mais est plaisant à regarder.
    AMCHI
    AMCHI

    5 902 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2021
    Cinq pièces faciles fait partie de ses films importants du Nouvel Hollywood pour autant je ne trouve pas que ce soit l'un de ses films les plus emblématiques ; il offre un de ses meilleurs rôles à Jack Nicholson qui en effet est très bon (je précise qu'il n'a jamais été un de mes acteurs fétiches), mais malgré une histoire intéressante qui montre une Amérique qui se fait des illusions sur le rêve américain, Cinq pièces faciles ne parvient jamais vraiment à nous happer.
    Bob Rafelson s'inspire de son propre vécu, il a fui son milieu bourgeois pour vivre une vie moins facile mais il se retrouve dans un autre milieu qui ne lui convient pas non plus (énervé par la prétentieux de l'un mais trop prétentieux pour l'autre), malheureusement je ne trouve pas qu'au niveau de la réalisation Rafelson nous bluffe, ne parvenant pas à rendre la rage et l'agacement de son personnage.
    Ce n'est pas un mauvais film, il est à découvrir mais Cinq pièces faciles ne me semble pas au niveau d'autres films similaires de la même époque.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 janvier 2016
    Rayette : - "You love me, baby?". Bobby, hésitant : - "What do you think?". Vraisemblablement le personnage de Jack Nicholson semble peu enclin à s’étendre sur ses sentiments. On retrouve en lui un peu de l’insolent Han Solo sur le point d’être cryogénisé dans l’Empire contre-attaque, lorsqu’il répond "I know" à une princesse Leïa elle aussi amoureuse. Bref, la figure de l’homme aventureux et macho avait pas mal de succès dans ces décennies-là à Hollywood. En l’occurrence, dans Five Easy Pieces, Bob Rafelson entend nous initier dans un voyage en quête de l’origine de ce "What do you think ?" prononcé par Bobby Dupea. Le film nous donne alors à pénétrer, non sans effort, dans l’intimité d’un homme qui ne se dévoile jamais, par crainte de décevoir sans doute.
    Bobby travaille sur un site de forage pétrolier en tant qu’ouvrier. Il mène une vie sans grand intérêt au milieu de nulle part. Il gagne quelques dollars, les joues aux cartes avec ses collègues ou au bowling avec ses amis, puis rentre le soir auprès de sa femme, une serveuse un peu cruche amatrice de programmes télévisuels niais interprétée à merveille par une Karen Black au strabisme déconcertant. On apprend très vite qu’il n’est pas qu’un simple ouvrier, mais qu’il fût aussi pianiste de talent. D’ailleurs, un matin, sur la route du travail, alors bloqué par des embouteillages, il découvre un piano chargé sur le camion qui le précède et décide d’en jouer. Alors, pris par ce souvenir, il est porté, avec le camion, hors des embouteillages en même temps qu’il sort de son corps et s’élève vers son ancienne vie. Il quitte alors la route qu’il s’est tracé bien malgré lui, au bout de laquelle quelques dollars lui auraient pourtant permis de survivre en attendant la prochaine paie…
    Plus tard, son ami Elton lui apprendra que Rayette est enceinte et cherchera à le convaincre de s’en réjouir. Cette seule évocation d’entrave à sa liberté le fait se braquer et il l'envoie se faire voir. Alors, le chant métallique et brut de l’acier des foreuses prend le relais, marqué par la violence de la réaction du héros. Il ne peut plus penser, comme les foreuses, son cerveau est au bord de l’explosion. Puis, Bobby assiste finalement à l’arrestation pour vol de l’ami qui le sermonnait avec raison plus tôt… Tu parles d’un exemple. C’est à ce moment-là qu’il décide donc de tout plaquer, une nouvelle fois, pour rendre visite à son père, gravement malade, et rentrer "à la maison".
    Arrivé sur l’île où réside son éminente famille, on le sent errer entre deux mondes qu’il connait : celui d’où il vient et celui qu’il veut se créer. Il y rencontre alors une femme (Catherine) plus sophistiquée (celle de son frère) et la désire instantanément. Cela semble réciproque. Evidemment... il respire l’aventure ou seulement… une autre routine, celle qui vient d’ailleurs. Et puis, il est frustre et naturel, beaucoup plus versatile que son frère, lui-même entravé jusque dans son corps par une minerve, à moitié paralysé comme l'est, en revanche, totalement leur père. On comprend alors que c’est cet immobilisme familial qui a fait fuir Bobby. Avec du temps, il risquait de devenir comme son frère, pour finir comme son père… L’image est parlante.
    Depuis, il cherche donc à donner un sens à sa vie. Il ne parvient d'ailleurs pas à comprendre que l'on puisse décider irrévocablement de vivre une vie qu'il juge banale. C'est pour cela que lorsque Catherine admet préférer sa vie ennuyeuse à l'amour et l'aventure qu'il lui propose, c'est une claque qu'il se prend en pleine figure. On entre alors en plein paradoxe: lui-même ne sait pas ce qu'il veut, mais pense savoir ce qui serait mieux pour les autres. Or, ce qu'il leur propose finalement, c'est la même déconstruction mentale que celle qui l'habite... la même confusion. Alors oui, Catherine refuse de l'aimer, car elle a fait un choix conscient : celui de la constance et de la stabilité, celui d'une vie dont elle aura la maîtrise, et qu'elle ne laisse pas à la merci du hasard et d'une personnalité aussi déséquilibrée que celle de Robert.
    Pour toutes ces raisons, Five Easy Pieces est d'une force étonnante, très juste dans ses propos. Il suggère en effet nombre de solutions, mais son personnage principal n'en emprunte aucune. Il appartient à ces films qui éduquent le spectateur à défaut de son héros. En effet, on ne peut s'empêcher de juger Bobby et de le comparer à ce que la raison nous dicterait dans sa situation. En cela, le film et très touchant, et rappelle The Graduate de Mike Nichols, par cette confusion terrible dans laquelle nagent leurs protagonistes respectifs, tous deux issus de milieux bourgeois symboliques de l'establishment. Alors, eux qui souhaitent reprendre le contrôle de leur vie, ne peuvent s'affranchir de leur situation que par une rupture brutale avec le dogme institué par leur histoire familiale et sociale. Le cinéma américain de la fin des années 60 et du début 70s est remarquablement marqué par cette désorganisation psychique, très politico-sociale à cette époque, chaque fois incarnée par des personnages denses et puissants. Ce film joue alors le rôle d'observateur d'une jeunesse en perte totale de repères, et le fait avec plus de sens et d'intelligence que le cinéma des années 2000 n'a pu le faire via Into the Wild par exemple.
    Eselce
    Eselce

    1 418 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    Je me suis ennuyé tout du long. Pourtant fan de J. Nicholson, sa copine est insupportable et lui est semble tout aussi s'ennuyer que moi. Il ne se passe presque rien dans le film, les dialogues sont sans saveurs en dehors de la scène du café et des toasts et du petit "Attention, je me fâche" à la fin. Ennuyeux et sans intérêt, pour moi.
    Shephard69
    Shephard69

    341 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 septembre 2015
    Un film étrange à placer quelque part entre "Géant" et "Easy rider" sans toutefois en atteindre l'ampleur et la beauté artistique. Jack Nicholson livre là une prestation tout à fait solide, moins folle mais tout aussi profonde qu'à ses habitudes. Quelques très bonnes scènes, une atmosphère prenante. Une découverte sympa.
    Gonnard
    Gonnard

    248 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mai 2015
    Une réalisation commune, une intrigue certes immorale mais qui ne parvient pas à surprendre, un Jack Nicholson éclatant mais dont le personnage finit par écœurer... autant d'éléments à charge selon moi dans le dossier "Five easy pieces". La caricature s'avère en plus omniprésente, que ce soit la bimbo écervelée à gros seins, le manouvrier viril flirtant avec la légalité, la pimbêche pseudo-intello qui plombe les repas. Trop pour moi.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2014
    Ce film peut rebuter au début car il y a une certaine "laideur" mais par la suite on s'attache vraiment au héros et on partage avec amertume ses aventures jusqu'à la scène finale (que je ne raconte pas) qui est assez forte. Les cinq pièces, ce sont les cinq morceaux de piano qui égrènent les moments importants: Chopin sur le piano
    Bach dans le studio
    Mozart lors de la rencontre avec son père
    Chopin pour la femme. Il manque la cinquième pièce qui n'est pas aussi identifiable que les autres.
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