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Alolfer
125 abonnés
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3,5
Publiée le 12 mai 2024
Le début au Cinéma de la grande Romy Schneider dans un de ses rôles les plus emblématiques : Sissi. Outre le film à l'eau de rose, j'ai été impressionné par les decors, les paysages mais surtout les costumes ! C'est d'une richesse visuelle pour l'époque afin que l'on puisse être immergée dans ce monde de la royauté. Un bon film pour un debut de trilogie
Tout y est, le décor les costumes et d'une certaine manière l'Histoire. Je ne vois ps l'intérêt de noter ce film sans avoir le "truc" pour les films de ce genre. Sissi, Romy ....
Avec cette trilogie Sissi, on a à faire à du vieux film d'époque avec tout ce que ça comprend de positif et de négatif. Les décors et la variété de costumes sont très soignés et fidèles à l'époque, avec certaines scènes avec de nombreux figurants impressionnantes. Mais on alterne aussi avec des fonds peints et des pièces qui font très studio. Les dialogues en VF sont plutôt corrects mais prêtent parfois à sourire en raison de quelques répliques cinglantes et de situations cocasses. Pour le remaster, la qualité d'image est assez bluffante pour le poids des années. Côté scénario, c'est certes assez mièvre et surtout peu respectueux de l'histoire de l'impératrice d'Autriche, bien loin des tragédies. Mais ça n'en reste pas moins un bon plaisir coupable de Noël à regarder pour avoir sa dose de romance tout en rigolant de certaines répliques et du kitch de l'étiquette.
Ce film culte, souvent critiqué pour son côté "nunuche", mérite pourtant amplement ce statut. Il est très agréable de voir une jeune Romy Schneider de dix-sept ans, qui démontre déjà un beau talent de comédienne malgré son manque d'expérience à ce moment-là (elle n'est dans le métier que depuis deux ans et ce n'est alors que son sixième film !). Elle joue en effet joliment les tourments de la jeune fille, qui ne veut pas causer de chagrin à sa sœur Hélène. Magda Schneider (mère de Romy) et Vilma Degischer se sont parfaitement fondues dans leurs rôles respectifs de la duchesse Ludovica (mère de Sissi) et de l'archiduchesse Sophie (mère de Franz) tout comme Karl-Heinz Böhm dans celui du jeune empereur Franz. L'histoire d'amour entre Franz et Sissi, bien que beaucoup trop romancée, est très agréable à regarder, tout comme les scènes comiques avec le duc Max et le maladroit Bockl. Disons le simplement : Romy Schneider porte le film à merveille et affiche déjà un avenir radieux de grande actrice.
Joli conte de fées sous l'empire austro-hongrois du 19eme siècle. Une jeune fille amoureuse du prince charmant. Romy Schneider avait eu une enfance heureuse auprès de sa mère à proximité du nid d'aigle d'Hitler, trop jeune pour comprendre qu'elle doit son confort à des crimininels de guerre . Sa mère avait bénéficié de nombreux privilèges réservés aux proches du régime et était proche d'Hitler. Elle aurait même eu une liaison avec lui. En tournant Sissi avec sa mère qui jouait son propre rôle de mère de Romy (Sissi), Romy devait transposer son bonheur d'enfant privilégié sous le troisieme Reich en Bavière en celui de Sissi duchesse de Bavière puis impératrice . Sissi redore le blason de l'Autriche. Elle tourna en tout huit films avec sa mère dont les trois Sissi. Mais Romy Schneider se reveilla lentement de son rêve qui se transforma en cauchemar . Elle pris conscience de l'atrocité des crimes nazis , ne joua plus avec sa mère et tourna ensuite des films où elle etait victime du nazisme.
Cela aurait pu être une série historique intéressante si ce n'est l'apport de scènes de sexe qui veulent faire tendancexet racoleur. Assumez de faire des scénarios intéressants sans y rajouter du cul parce que cela prétend plaire......
4 521 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 9 octobre 2021
Sisi est le film qui a marqué la (trop courte) carrière de Romy Schneider. Les acteurs de l'histoire sont si unidimensionnels que regarder ce film trop longtemps disons plus de 5 minutes donne la nausée sans compter que l'histoire est si ennuyeuse que l'on court le risque de devenir suicidaire si la durée dépasse 15 minutes. Il n'y a aucun intérêt dans ce film pour moi a part voir Romy Schneider a cette époque la...
Premier volet d'une trilogie "Sissi" revisite un poile à la "sauce Disney" sans que cela n'en soit un, la véritable histoire de la plus grande impératrice d'Autrice interprétée par la pétillante Romy Schneider qui nous marquera à jamais dans le rôle. A ses côtés, Magda Schneider est vraiment bonne dans le rôle de sa mère, et Karlheinz Bonhm est véritablement parfait. Un conte de fée tourné dans de splendides décors qui saura séduire les plus jeunes, quand les plus vieux reprendrons plaisir à découvrir ce classique incontournable. A défaut d'être indémodable, car le rose bonbon s'évapore un peu avec l'âge.
Bravo, c'est excellent. Chef d'œuvre si la fin n'était trop longue malgré les décors incroyables, les figurants par centaines et le réalisme des scènes. L'histoire est belle est prenante, parfois comique, tout en légèreté, avec Romy Schneider pure et innocente en Sissi. Le cinéma d'aujourd'hui manque de beauté et de simplicité comme ce premier film de cette trilogie mythique.
Ma grand-mère a du le voir plusieurs fois et toujours avec passion. Une autre époque et un autre style de cinéma que les superproduction américaine. Beau, mais évidemment un peu kitsch. Romy Schneider y donne un belle image pour laisser ce film et ses suites parmi les gros classiques du genre.
Ces films ont été mainte fois programmer comme chaque année à la même période mais jamais je n’en est regardé un seul. Il fallait donc bien que j’en vois un dans ma vie, surtout que je n’ai jamais vu Romy à l’écran. Ou alors je m’en suis jamais rendu compte. En ce Jeudi 4 Janvier 2018 c’est donc chose faite avec ce premier volet. Esthétiquement parfait au niveau des décors intérieurs et des costumes, la qualité pelliculaire n’à cependant pas pris une ride malgré l’année de production, mais il y à forcément dû y avoir un relooking de la couleur, sinon j’imagine l’état global du contenu. Et ce n’est pas pour rien que chaque année avec mon père, on ironise sur le fait que cette pellicule doit être usée à force d’être programmée sur les chaînes.
spoiler: Au niveau interprétation, Romy est bonne et le caractère bien trempé d’une jeune femme ne voulant pas se soumettre à la trop grande bourgeoisie de la famille de sa tante car il faut le dire franchement, c’est plus du côté de sa mère qu’il fait bon vivre. On ne se pli pas autant aux règles et on n’est pas sens arrêt poli mais pas non plus dans la vulgarité… Et c’est ce que j’ai trouvé intéressant de constater que même à l’époque, les jeunes commençais à en avoir marre de cette bonne conduite. Et il faut dire qu’il n'avaient pas franchement tord. Son père lui est d’une cool attitude assez déconcertante. Refusant également de s’y plier car pour lui comme pour sa famille, il peut être très facile de vivre sans attitudes bourgeoises et être convenable même pour des hauts gradés de l’état.
spoiler: Et c’est le futur mari de Sissi qui va bien le comprendre. Entre sa mère n’étant autre que la tante de Sissi et Sissi elle-même qui “bouleverse� leur quotidien via ce “comportement� déplaisant, va par sa propre conscience se forcer à épouser une autre femme qu’il n’aimait pas plus que ça. Mais juste pour les affaires de sa famille et de l’état. Son véritable engouement pour Sissi et son “comportement� dont il est peut habitué va le faire radicalement changer d’avis sur le rôle qu’est celui d’empereur. 2 personnages m’auront bien interpeller. L’un des soldats qui s’est lui-même charger de surveiller Sissi comme étant une terroriste, une catastrophe ambulante ainsi que le mari de la tante en tant que sourd qui déforme tous ce qu’on lui dit. Ces 2 là sont de vrai perles. Après il est vrai que la marque de fabrique de ces films n’est autre que la non-présence de musique sur le long terme, ce qui fait qu’il se fait plus long au ressenti. Donc pas franchement d’artistique mais seul les situations cocasses et interprétations font le boulot.
Avec bien sûr décors et costumes à la bien belle clé. Un premier bon film loin d’être révolutionnaire mais je dont je suis de même ravi de découvrir. Autant ne pas se coucher bête non ? Aller, au prochain…