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weihnachtsmann
Un très joli film sur l'amour, le désir et les sentiments. Un film coupé en deux: la joie de vivre, l'autre qu'on apprend à aimer, l'amitié, la joie, la vie en positif avec un Bacri qui sourit beaucoup...... Et la chute, c'est dur, c'est terrible, la vie c'est du cinéma
ferdinand75
Un bon film , exercice de style réussi, même si parfois c'est un peu long. Sur un marivaudage classique , deux couples de voisins se croisent et se séduisent, Le récit se veut distancié et revu au 2e degré. certain s'en sorte mieux que d'autres. Comme d'habitude Isabelle Carré est rayonnante, lumineuse , sensuelle, il est même difficile de dire pourquoi elle est l' actrice la plus sexy du cinéma français ? Ce n'est pas sa beauté pure, pas sa sensualité ( à la Monica Belluci) , pas sa perversité ( comme le joue souvent Huppert ) , mais il y a quelque chose de troublant en elle , une fêlure intérieure qui lui donne une grâce folle et une sensualité sauvage. Oui c'est bien l'actrice la plus troublante , la plus "excitante" du cinéma français ( dans le sens littéraire du terme "qui suicite l'émotion et le désir" )..Et elle porte ,encore une fois, ce film sur ses épaules..
Marrant de voir le décalage entre les critiques presse et celles des spectateurs. Pour ma part, je n'ai pas accroché. Certains ont été agacés par la multi-intrusion d'une chorale. En ce qui me concerne, cela a été de voir les protagonistes toujours la clope au bec et la bouteille facile. Seul le côté lumineux d'Isabelle Carré (20 ans de moins que Bacri, excusez du peu, ce qui ôte tout réalisme à l'histoire) remonte un peu la note. Le film de Truffaut, "La femme d'à côté", certes traité d'une manière dramatique, était nettement plus accrocheur.
Encore un film sur l’adultère, ici version voisin-voisine, la femme d’à côté, etc… Et encore un film sur ce sujet, ô combien original, qui n’amène strictement rien de nouveau. C’est gentiment tourné, léger et bien dialogué, correctement interprété, et après ? Le charme d’Isabelle Carré, et après ? Jean-Pierre Bacri dans son rôle habituel, et après ? Après… on l’oublie !
Un amour, une amitié, le voisinage et un adultère...
L’amour incontrôlable.
Une histoire qui serait ordinaire si elle n’était traitée de façon extraordinaire !
Une vraie expérience cinématographique puisqu’il s’agit, me semble t’il, d’un nouveau genre : un oratorio filmé, ou un film oratorio…
Une chorale intervient à l’image ou en arrière plan, à la manière d’un chœur antique en soutenant l’action, en résumant la situation….
Cela double souvent l’image mais sans redondance car cela permet une distanciation qui peut prendre des allures burlesques …
Cette idée originale, inattendue, me semble très apaisante et en même temps utile puisqu’elle amplifie tantôt les instants de bonheur, tantôt les moments tragiques.
Ca swingue parfois, à d’autres moments c’est je l’avoue, légèrement énervant…
Mais au moins ça a le mérite de l’or...iginalité et de l’intelligence !
Niveau paroles et dialogues ça dépote dur niveau cul cérébral…
D’aucuns, bien sûr, trouveront à redire question moralité ou prendront appui sur la forme pour critiquer ce joli film frais, spirituel, fluide, jeune, beau, sympa…
Tou(te)s les actrices/acteurs sont ici à leur top niveau…
Ce n’est pas un film habituel. Certes !
C’est doux, humain et sentimental.
DONC UN TRES BON/BEAU FILM ORIGINAL…
Et Bacri génial, intelligent, émouvant et humain comme d'habitude!
Un grand acteur dans la lignée de Louis Jouvet, tout simplement.
Et critiqué par les crétins comme le fut en son temps Jouvet, justement...
L’amour incontrôlable.
Une histoire qui serait ordinaire si elle n’était traitée de façon extraordinaire !
Une vraie expérience cinématographique puisqu’il s’agit, me semble t’il, d’un nouveau genre : un oratorio filmé, ou un film oratorio…
Une chorale intervient à l’image ou en arrière plan, à la manière d’un chœur antique en soutenant l’action, en résumant la situation….
Cela double souvent l’image mais sans redondance car cela permet une distanciation qui peut prendre des allures burlesques …
Cette idée originale, inattendue, me semble très apaisante et en même temps utile puisqu’elle amplifie tantôt les instants de bonheur, tantôt les moments tragiques.
Ca swingue parfois, à d’autres moments c’est je l’avoue, légèrement énervant…
Mais au moins ça a le mérite de l’or...iginalité et de l’intelligence !
Niveau paroles et dialogues ça dépote dur niveau cul cérébral…
D’aucuns, bien sûr, trouveront à redire question moralité ou prendront appui sur la forme pour critiquer ce joli film frais, spirituel, fluide, jeune, beau, sympa…
Tou(te)s les actrices/acteurs sont ici à leur top niveau…
Ce n’est pas un film habituel. Certes !
C’est doux, humain et sentimental.
DONC UN TRES BON/BEAU FILM ORIGINAL…
Et Bacri génial, intelligent, émouvant et humain comme d'habitude!
Un grand acteur dans la lignée de Louis Jouvet, tout simplement.
Et critiqué par les crétins comme le fut en son temps Jouvet, justement...
Un film pas très gai mais une grosse performance des acteurs, en particulier Jean-Pierre Bacri.
C'est la seule chose que je retiens de ce film a l'ambiance assez malsaine. Voyez éventuellement par vous-même.
C'est la seule chose que je retiens de ce film a l'ambiance assez malsaine. Voyez éventuellement par vous-même.
Nicolas V
beaucoup trop de temps morts : de dialogues vides plombant le rythme déjà fragile au début du film. Même si jean pierre bacri figure au casting, l'ensemble du film sur les relations entre deux couples ne convainc pas à cause de ces grandes longueurs. dommage.
Jonathan M
Postulat de départ qui ronfle le déjà vu. Une mise en scène qui ne supporte plus le poids de la modernité. Une issue plus que probable, un jeu soporifique, le tout conditionné au fait qu'on ne croit pas au jeu des acteurs, c'est un rendez-vous manqué.
J' ai revu récemment " Les sentiments" qui, à priori, ne m'avait pas marquée. Or c'est un joli film avec d'excellents acteurs, très bien dirigés par la réalisatrice. Isabelle carré est rayonnante dans ce rôle de femme enfant, Baye exceptionnelle, toute en nuances malgré ce grain de folie, Bacri est terriblement émouvant. On vit cette adultère avec intensité. A noter, ce très joli cadre, la déco intérieure et les costumes ravissants mis en valeur par les deux actrices. Seul gros bémol: ces chants qui n'en finissent plus, cette chorale insupportable qui plombent le film. Sur ce point, Noémie Lvovsky plagie " Le rêve de Cassandre " de Woody Allen et ce n'est pas ce qu'il avait fait de mieux malgré la qualité du film.
En 2003, Noémie Lvovsky signe un long-métrage qui s’inspire de la trame scénaristique de « La femme d’à côté » de François Truffaut. Un couple établi rencontre ses nouveaux voisins. Des liens d’amitié se nouent jusqu’à la passion et l’adultère. Le déroulé du film, ponctué par l’intervention d’une chorale, possède une certaine fantaisie. Mais c’est surtout du côté de l’interprétation des acteurs qu’il convient de se laisser emporter. Nathalie Baye, Jean-Pierre Bacri et Isabelle Carré sont parfaits. Car pour le reste, l’histoire demeure plutôt banale et sans grande originalité. Bref, une œuvre qui se voudrait une comédie de mœurs sans en avoir l’étoffe.
Un film sympathique, mais loin d'être vraiment intéressant. Les acteurs sont plutôt bons, mais le scénario est des plus moyens. Et cette insupportable chorale, que fait-elle là? Une déception tout de même.
Assommante chorale, mais quelle idée de la remettre sur le tapis sans cesse ! Autre bémol, le côté excessivement nunuche d'Isabelle Carré, on n'a qu'une hâte c'est qu'elle redescende de son cocotier. Un peu de ce surjeu aussi chez Nathalie Baye jouant l'épouse de l'ours Bacri. La réalisatrice Noémie Nvovsky a des choix musicaux et des outrances qui saccagent son propos et c'est ce qui conduit à hérisser le poil en découvrant le film car on voudrait gommer ces parasites insensés. Donc, je l'ai beaucoup mieux goûté à la deuxième lecture, sur dvd, en accélérant tout ce qui me portait sur les nerfs pour arriver à la question cruciale : comment faire le moins de dégâts quand quelqu'un d'autre que sa douce moitié s'installe dans votre périmètre et vous tape dans l'oeil. Bacri fend le coeur ici en forçat de l'amour...
maxime ...
Il y'a quelques jours seulement je découvrais le cinéma de Noémie Lvovsky avec Camille Redouble, j'ai été séduit par celui-ci donc je profite de la diffusion de Les Sentiments pour continué d'approfondir le restant de sa filmographie. Le ressentit de celui-ci est bien différent, à mes yeux Nathalie Baye est l'éclairci parmi les nuages. Elle rayonne, elle me fait rire et me bouleverse à la fois, sa mélancolie s'intensifie au fil des minutes, le seul point positif du film ! Mélvil Poupaud s'en sort pas trop mal non plus dans un rôle plus discret certes mais les moments ou il est à l'écran relève un peu le niveau. Jean-Pierre Bacri pour le coup c'est une semi-déception, autant au début on se prend d'affection pour se nigaud ( dans la veine de Le gout des autres ) et puis petit à petit il perd de son charme et certaines de ces répliques sont véritablement ignobles et d'un gout douteux ... Mais le pire de tout reste bien évidemment Edith ( Isabelle Carré, dont je ne me permettrais pas de jugé ces talents d'actrices puisque avant ce film ci je n'ai absolument rien vu d'autre de sa filmographie ), insupportable ! Tout ce que je déteste, j'ai quand même réussi à partir en fou rire lors des 20 dernières minutes grâce à elle ( involontairement bien sur ! ). Pour le coup sa ma un peu refroidis ... Autre point important, la chorale ! Encore pire qu'Edith en fin de compte, une atrocité.
Ca un film sur les sentiments ? Ca une romance ? Un couple de nouveaux voisins déménage : pour faciliter les relations, le nouvel arrivant met sa femme intégralement à poil dehors. Comme c’est Isabelle Carré, les images hautement ludiques sont passionnantes sur le plan de l'anatomie ! C’est où, pourquoi n'ai-je jamais vu ça ? C’est une nouvelle mode ? A moins que ce ne soit une trouvaille de la piètre réalisatrice pour river le spectateur sur son fauteuil ? Dès fois qu'il voudrait se faire rembourser ? Bref, c’est du racolage, plaisant, mais inutile. Quant à l’ancien voisin, on ne met pas longtemps à deviner que le lubrique Bacri ne va pas tarder à épingler la jeune oie blanche au menu de son « petit quatre heures » Bingo ! Et tout le récit est plan-plan, prévisible comme un encéphalogramme plat. Mais il y a pire ! la musique est déjà un purgatoire mais quand des braillards s'y ajoutent en se prenant pour des choristes, ça devient l’enfer plutôt que la fièvre du samedi soir ! Pire que CDG aux heures de pointe. Gardez d'urgence la télécommande à portée immédiate de mains : danger ! "Mute" à la première alerte et tiens faîtes mieux : regardez autre chose, car vous aurez déjà deviné la fin ! Des sentiments ? Oui, de dégoût ! Et ces médecins de bazar devraient, eux, consulter ! Exécrable.
willycopresto
willycopresto
Film mensonger, il n'y a pas d'autre mot. En voyant la bande-annonce, je m'attendais à une comédie sentimentale bidon façon téléfilm... mais certainement pas à un tel pensum. Ayant par excès d'indulgence ou, avouons-le, de sottise, consenti à voir cette fadaise j'ai en effet encore revu mon opinion préalable largement à la baisse.
On subit pendant tout le film les interventions exaspérantes d'une insupportable chorale qui n'apparaissait même pas dans la bande-annonce, bien qu'étant l'un des PILIERS du film (c'est un peu comme si la bande-annonce de "Taxi 4" faisait l'impasse sur les bagnoles )
Dans la même veine pseudo-expressioniste, le spectateur est la proie d'effets visuels consternants comme le dessin animé du "service trois-pièces" qui se transforme en bateau. Quel humour! Quelle poésie...
Quant à l'improbable idylle entre la godiche Isabelle Carré et le lugubre Jean-Pierre Bacri, elle est à peu près aussi émouvante qu'une publicité pour la lessive.
PS : Par pitié, messieurs du "showbiz", arrêtez de faire jouer des rôles de séducteurs à JP Bacri ! Il est aussi crédible en tombeur que feu Pierral dans le rôle de Michael Jordan.
On subit pendant tout le film les interventions exaspérantes d'une insupportable chorale qui n'apparaissait même pas dans la bande-annonce, bien qu'étant l'un des PILIERS du film (c'est un peu comme si la bande-annonce de "Taxi 4" faisait l'impasse sur les bagnoles )
Dans la même veine pseudo-expressioniste, le spectateur est la proie d'effets visuels consternants comme le dessin animé du "service trois-pièces" qui se transforme en bateau. Quel humour! Quelle poésie...
Quant à l'improbable idylle entre la godiche Isabelle Carré et le lugubre Jean-Pierre Bacri, elle est à peu près aussi émouvante qu'une publicité pour la lessive.
PS : Par pitié, messieurs du "showbiz", arrêtez de faire jouer des rôles de séducteurs à JP Bacri ! Il est aussi crédible en tombeur que feu Pierral dans le rôle de Michael Jordan.
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