46 bis rue de Belleville est un court métrage assez typique des années 80. Il dégage quelque chose de triste, de mélancolique, et malgré son esthetique plus ancienne (noir et blanc, processus d’animation) il fait pourtant tout à fait son époque de création. Bon, esthetiquement il y a de la recherche, et l’animation de ce ballet humano-mécanique est originale est surprenante. Maintenant, il faut aussi avouer que le noir et blanc n’a ...
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