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    Taking Off
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    koolma
    koolma

    1 critique Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 avril 2024
    La plus longue et ennuyeuse audition filmée de chanteuses sans talent de l'histoire du cinéma.

    A par ça deux ou trois scènes comiques, celle (convenue) où les effets de la marijuana sont découverts in situ par des membres d'une association de parents en recherche de leur enfant disparu, celle où une fille de cette association prétend pouvoir dire à chaque parent qui le désire, si elle a vu leur enfants disparu ... et zéro sur toute la ligne etc.

    Zéro suspens, émotion, ou personnage auxquels s'attacher.

    Musique omniprésente mais inaudible et stressant - pour qui aime la musique- celle des auditions.

    Bref proche du navet, avec en plus l'ennui.

    Ps : Spécial dédicace au sosie de George Harrison ( période barbe et cheveux longs) qui s'avèrera être en toute fin de film le spoiler: petit ami de la jeune fille disparue
    Pascal
    Pascal

    163 abonnés 1 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2022
    Grand prix du jury au festival de Cannes en 1971, cette première réalisation du réalisateur Tchécoslovaque Milosz Forman aux usa, reçu un bon accueil en Europe. Fait avec un budget limité, il nous propose un regard sur les oppositions entre générations, la difficulté d'être parent, l'importance de profiter de l'existence et de s'affranchir des conventions sociales. Tous ces thèmes sont abordés à partir d'une histoire minimaliste qui nous raconte la figure d'une adolescente et la rencontre par ses parents d'un couple qui connait le même problème avec leur fille. Le style de la réalisation est voisine de celle des films de Cassavetes et des films d'europe de l'est qui mêlaient parfois l'aspect réaliste, quasi documentaire dans un film de fiction. Une curiosité, mais à mes yeux aujourd'hui un peu anecdotique et datée dans l'oeuvre de Forman. La période hippie décrite dans le film n'a rien perdu de son charme.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2021
    Taking Off est très lent sans histoire et pas du tout divertissant. Il est difficile de croire qu'il a été réalisé par l'homme qui nous a donné Hair et Amadeus. Cependant j'ai apprécié les vingt dernières minutes où l'on peut clairement voir le paradoxe des parents s'inquiéter du comportement de leur enfant tout en se comportant eux-mêmes comme des décadents. Et puis le dîner avec le petit ami de leur fille où l'on peut à nouveau voir que les têtes ne sont pas forcément vide juste parce qu'on a beaucoup de cheveux. Le problème c'est que les début qui été lent et bizarres. J'ai l'impression que le film a repris mais j'étais déjà à mi-chemin de faire autre chose...
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    123 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 décembre 2020
    Inspiré par une chanson des Beatles et ayant bénéficié d'une liberté artistique générale accordée par les studios après la réussite d'Easy Rider, Taking Off est un film né sous une bonne étoile. Ce n'était pas gagné d'avance vu l'époque de doute dont il s'agissait, mais l'œuvre a confiance en elle, transpirant l'esprit hippie d'où elle se dresse comme une évidence.

    Forman prend un plaisir sans malice à représenter la génération des parents avec des personnages "petits" sous toutes les coutures, et tandis que la révolution sociale fait rage, la sienne est en douceur alors même que les deux "camps opposés" sont mis en scène. Bien que parodique, le film n'est pas une utopie d'amour sous acide ; il est même très sobre, au contraire. C'est avec une modération étonnante qu'il devient à l'image des rêves de cette jeunesse qui a tant inquiété ses géniteurs.

    Grâce à des pauses superbes, Taking Off est un film qui paraît court et ne pas dire grand chose, mais il dit tout ce qui compte. Mimant la direction prise par une Amérique au bord de la métamorphose, il n'a pas de fin, laissant flotter les possibilités dans les mots d'une chanson. En attendant, il aura donné ses deux sens au terme “taking off” : d'abord se déshabiller (aussi bien métaphoriquement que littéralement afin de renouer à travers le gouffre générationel), et puis décoller. Car si l'on ne sait pas où l'on va, on sait qu'il faut y aller.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    69 abonnés 779 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2019
    Une comédie (humaine) en troisième film d’affilée dans la journée: le reflet du basculement de notre génération version USA – au travers d' une série de portraits inénarrable de jeunes candidates à la Star Academy de l’époque. Agrementé d'une séance d’essai de joints par l’association des parents fugueurs qui se termine en strip poker. Et enfin Ike and Tina Turner en vedettes..américaines pour rappeler notre jeunesse. Enlevé, joyeux, ne prétend pas donner la solution ni indiquer la porte de sortie. Festival Lumière 2010
    SerialBob
    SerialBob

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2019
    Premier film de la période américaine de Milos Forman après ses films tchèques, « Taking off » évoque la contre culture hippie du début des années 70, moins du côté d’adolescents tentés par ce mouvement que de parents désemparés par la fugue de leur fille (phénomène décrit comme une véritable épidémie).

    Si ce point de départ pouvait orienter le film vers le drame, ce n’est que rarement le cas, car, bien souvent, il prend le chemin inattendu de la comédie. Par exemple, lors de la séquence culte et hilarante de formation à la fumette de grands bourgeois en smoking afin de leur permettre de se sentir en empathie avec leurs enfants fugueurs, supposés consommateurs de chichons. Durant celle-ci, Forman fait montre de de son art du montage puisqu’il alterne des plans sur des parents en plein trip et sur des tableaux, qui sont dans la pièce, appartenant à l’école puritaine américaine du type « American gothic », contraste assurée...

    Ce type de montage alterné est présent durant tout le film : beaucoup de scènes sont interrompues, de manière un peu déconcertante au départ, par des plans d’audition de jeunes gens (parmi lesquels la jeune Kathie Bates) qui présentent à un jury leur prestation de chanteur de protest songs. Tout cela permet à Forman, discrètement ironique et cruel, de faire défiler des trognes pas possibles et des interprétations de qualité... diverses…. Ma chanson préférée est « You can fuck the lilys » qui vaut son pesant de cacahuètes…

    L’interprétation est dominée par Buck Henry (le père de la fugueuse), cacochyme, maladroit, pas très courageux mais aussi épicurien, bref, bienvenue dans les seventies avec sa mode des anti héros.

    Que veut nous dire Forman ? Une des interprétations est que malgré l’incommunicabilité qui règne entre parents et enfants (la jeune fugueuse adressera peut-être trois mots à ses parents dans le film), la contre culture devrait pouvoir se dissoudre aisément dans l’ordre bourgeois et libéral comme le montre des parents tentés par les pétards et la liberté sexuelle et certains jeunes hippies tirant une fortune de leur activité d’artiste tout en se demandant s’ils ne sont pas complices du système...

    Une belle lucidité (le film a été réalisé en 1971) et une belle réussite, annonciatrice des chefs d’oeuvre à venir de Forman (« Vol au dessus d’un nid de coucou » sortira quatre ans plus tard).
    Max Rss
    Max Rss

    202 abonnés 1 806 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2019
    Alors inconnu aux Etats-Unis, Milos Forman proposait ce film tout de même curieux. Curieux car il ne s'y passe pas grand chose et pourtant, c'est intéressant. "Taking Off" est, il est vrai, un témoignage de l'évolution de la société et de la jeunesse des années 70. Mais il est surtout un témoignage de la difficulté d'adaptation des adultes à tous ces changements. Ainsi, nous voyons ces parents assez impuissants ayant du mal à trouver les mots pour empêcher leurs mômes de fuguer, tout comme nous les voyons avoir du mal à répondre à ces besoins nouveaux qu'ont les jeunes. Je disais que le film était intéressant même s'il ne s'y passait pas grand chose, pourquoi ? Parce que Forman filme tout ça comme s'il était un de ces anonymes dans la rue. De ce fait, son film a des allures de documentaire. Allures que l'on ressent clairement lors de ces passages musicaux où chacun y va de sa petite chanson.
    konika0
    konika0

    29 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 octobre 2017
    Cheveux longs, guitare folk, acide. Premier film américain de Milos Forman après son arrivée aux States et ses expériences dans le milieu hippie. Des parents de runaway kids s’inquiètent des dérives de leurs enfants. Quel beau portrait de cette Amérique fracturée. D’un côté, des gosses du monde nouveau, prêts à toutes les aventures, la mèche au vent. Ils chantent les crises du monde et prennent le parti de s’amuser loin du cocon familial. Mais ils restent des gosses. De l’autre des parents qui flippent à l’idée de voir leurs mômes tomber dans les dérives d’une vie que la morale traditionnelle réprouve. Ils sont prêts à tout pour retrouver leur progéniture. Entre les deux, un manque de communication patent, une incompréhension mutuelle, des aspirations que l’on devine radicalement différentes. Le montage est une des magnifiques surprise de ce film témoignage. On alterne entre des scènes de jeunes qui chantent et des scènes de parents menant l’enquête. La caméra est tantôt pudique et discrète, tantôt présente et imposante. Un magnifique montage en miroir. La forme rejoint le fond. La scène dans laquelle une assemblée de parents se défoncent à la marie-jeanne est du pur culte (ou devrait l’être). En bref, un très beau film, sincère, frais et drôle sur une période qui ne finit pas de fasciner.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2016
    Le générique, très coloré, est typique de la culture pop des années 1970’. Une adolescente de 15 ans se rend à une audition et renonce à chanter au dernier moment devant le jury à cause du trac. On a droit à une succession (un peu longue) d’apprentis chanteurs, un peu à la façon de l’émission « A la recherche de la nouvelle star ». Elle tarde à rentrer chez elle, inquiétant ses parents qui pensent à une fugue (on pourrait traduire le titre par « L’envol »). spoiler: Sur la pression de sa femme, le mari (qui essaye d’arrêter de fumer grâce à l’hypnose) cherche, en vain, sa fille dans les commissariats. Elle retourne à la maison le matin puis en repart. Son père la recherche alors dans les bars et grâce à une photo, avertit les parents d’une autre adolescente qui a disparu. Cette dernière s’enfuit avec des loubards et le père fait la connaissance de sa mère qui fait partie d’une association de parents dont les enfants ont fugué. Le soir, toute l’association participe à un dîner où un psychiatre, afin de les mettre dans la peau de leurs adolescents, les initie à fumer un joint (la scène la plus drôle du film). Les 2 couples de parents, sous l’emprise du cannabis, finissent la soirée chez les parents du début du film en jouant au strip-poker. L’adolescente rentre au moment où son père chante, nu, sur une table, « La donna è mobile » (extrait de l’opéra « Rigoletto » de Giuseppe Verdi)… La fin s’achève par un déjeuner où la jeune fille présente son amoureux, un hippy qui gagne une fortune avec ses chansons et regrette d’en donner une bonne partie au fisc… Scène finale avec le père qui chante « Stranger in paradise », chanson du film « Kismet » (1953) de Vincente Minnelli.
    Malgré la collaboration de Jean-Claude Carrière au scénario, le film est raté car le sujet est traité comme une comédie alors qu’un mode dramatique aurait été plus intéressant. Ici, les parents sont niais, velléitaires, angoissés, grotesques et n’attirent, ni sympathie, ni empathie. Le sujet, celui des parents de la génération du « Flower power » est plus pertinent que celui de leurs enfants, fumant, chantant, rêvant et finalement très ennuyeux. On aurait eu un autre film s’il avait été tourné par Mike Nichols (« Le lauréat ») (1967), Mike Leigh (« Secrets et mensonges ») (1996) ou Robert Benton (« Kramer contre Kramer ») (1979). Etonnant que le film ait eu, au festival de Cannes, le Grand Prix, en même temps que le génial et bouleversant « Johnny got his gun » (« Johnny s’en va-t’en guerre ») de Dalton Trumbo. Comprenne qui pourra ! Pour l’anecdote, une scène se déroule pendant un concert de Tina Turner (32 ans à l’époque) et une autre (lever du jour) est illustrée musicalement par le « Stabat Mater » d’Anton Dvorak. .
    Acidus
    Acidus

    735 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2016
    Bizarre ce film. Il ne s'y passe pas grand chose, le scénario prend des directions inattendues (comme les auditions du début laissant la place au drame familial) et pas toujours compréhensibles mais l'on est comme hypotisé devant celui-ci. Pur film des annes 70, "Taking off" aborde, sous l'angle de la comédie, le malaise social du début des annes 70 aux Etats-Unis: explosion du mouvement hippie (drogue musique,...), conflits et incompréhensions générationnels,... on voit pas toujours très bien où Milos Forman veut nous amener mais sa superbe mise en scène et la superbe bande son nous porte agréablement d'un bout à l'autre de cette histoire. L'aspect humoristique fonctionne bien avec des passages de franche rigolade. A la fois oeuvre atypique et accessible, "Taking off" est une étrangeté qui mérite votre attention.
    Alain D.
    Alain D.

    600 abonnés 3 294 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 décembre 2014
    Le film commence avec une série d'auditions de chant de jeunes filles. Pendant ce temps, des parents inquiets recherchent Jeannie leur fille fugueuse de quinze ans.

    Des séquences comiques : la réunion au APED (Association des Parents d'Enfants Disparus) ; la partie de strip-poker. A remarquer : la présence scénique de Tina Turner et l'excellente prestation de Vincent Schiavelli dans le rôle du prof de "joint" a l'APED.

    Les images sont belles et le montage est intéressant mais globalement, je trouve certaines séquences trop longues donc quelque peu ennuyeuses. La première moitié du film est vraiment trop lente.

    Belle réalisation de Milos Forman, mais un résultat moyen pour ce scénario trop pauvre.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    138 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 février 2014
    Milos Forman excelle vraiment dans l'art de restituer le parfum d'une époque révolue. Le choc des générations face à l'émergence du Flower Power… Des scènes mythiques (l'initiation à la fumette) , des acteurs fabuleux, tout ici contribue à faire de Taking Off une des grandes comédies identitaires des Seventies.
    Truman.
    Truman.

    233 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2014
    Un pur produit des années 70 ou Milos Forman fait son entrée dans le cinéma Américain ( pour le meilleur quand on voit ses prochains métrages ) .
    Taking off parle d'une jeune ado de 15 ans qui fugue pour "a priori" vivre avec des hippies, a coté ses parents vont la rechercher, pourquoi entre guillemets ? Car bien que le synopsis indique clairement que ça parlera de hippies, de jeunesse perdue, de fugue ou autre ce n'est pas le vraiment cas .

    En effet le film ne se base pas sur l'ado, elle en devient presque secondaire, presque invisible en cour de route, on se concentre sur les parents qui la recherche dans New York .
    Au final ce n'est pas un film parlant de jeunesse perdue mais de parents perdue qui ne savent pas trop quoi faire pour la ramener a la maison .

    De quoi être déçu, bien que les propos soient intéressants le traitement ne l'est pas vraiment . Durant 1h30 on se balade d'un endroit a un autre avec des personnages pas vraiment attachants, quelques chants, une pseudo morale puis dans le fond pas grand chose .

    Ensuite le film est qualifié de "comédie dramatique", et bien c'est sacrément drôle tout ça ... Il y a vraiment que la fin qui semble appuyer une dose d'humour, quand les parents décident de fumer de la marijuana mais c'est pas très drôle au final .

    Par contre la réalisation est très bonne y'a rien a dire, les images sont lumineuses et agréable et la bande son sympa .
    Milos Forman ne semble pas exploiter le thème qu'il veut nous montrer et y arrivera quelques années plus tard avec sa comédie musicale " Hair " . Sympa et agréable mais creux .
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2013
    Un aspect de l'humour de Milos Forman: "Taking Off", rèalisè en 1970-71, est le premier film amèricain du metteur en scène d'origine tchècoslovaque! Une comèdie dètonante qui remporta un certain succès critique à sa sortie en traçant avec une ironie typiquement slave un tableau tendre et rèaliste de la jeunesse amèricaine! Quelques annèes plus tard, c'ètait "One Flew Over the Cuckoo's Nest", son chef d'oeuvre! Mais revenons à ce "Taking Off" qui, à travers la fuite d'une jeune fille, raconte l'affrontement de deux gènèrations! Emigrè de fraîche date aux Etats-Unis, Forman y trouve le terrain idèal pour faire germer le message subversif qu'il a su esquisser par le biais de l'humour dans ce film grinçant! La sèance d'hypnose pour arrêter de fumer restera une scène d'anthologie où le corps tout entier se met à flotter! Soyez à l'ècoute de vos envies! Ne rèflèchissez pas, savourez l'instant...surtout quand cette drôle de sèance est dirigè par l’excellent Vincent Schiavelli! Le tout, bercè par le formidable « The Incredible String Band » de Air! A noter que c'est le premier rôle au cinèma d'une certaine Kathy Bates qui chante « And Even the Horses had Wings »...
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    330 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juillet 2013
    Pantalon patte d'eph', coupes afros, barbes fournies, guitare désaccordés et drogue diverses... Voila un film qui fleure bon les années 70. Pour quelqu'un comme moi qui n'a pas eu la chance de connaitre cette époque mais qui n'a cessé de la fantasmer, "Taking Off" est un bonheur. Une fois n'est pas coutume, ce film générationnel est abordé du point de vu des parents qui découvrent avec effarement la décadence de leur progéniture. Ce qui donne l'opportunité de se payer une bonne tranche de rigolade grâce a des situations comiques qui nous montre un Milos Forman très à l'aise dans la comédie.
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