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Votre avis sur Instincts meurtriers ?
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Le souci c'est que le scénario n'est pas bon ! Je m'explique en mettant très tôt l'accent sur Ashley Judd, on se doute bien que ce n'est probablement pas elle, maintenant si quelqu'un trouve dans le film un élément conduisant au vrai coupable, je lui paye un Bounty ! Un whodunit n'est pertinent que quand le spectateur peut trouver, là c'est impossible ! Reste une réalisation correcte, une bonne photo, une très bonne interprétation d' Ashley Judd et d'Andy García. Samuel L. Jackson étant pour sa part sous-exploité. C'est bien la première fois que je suis déçu par Kaufman… Mais que voulez-vous quand le scénario est en carton…
Bon thriller, encore une fois classique, mais on passe un bon moment de bout en bout….samuel lee jackson offre une prestation légère, quand à andy garcia ces kilos en trop ce font ressentir dans son jeu…
Caine78
Un bon petit thriller, sans génie certes mais bien fait, avec un scénario correcte et de bons acteurs. Très regardable.
Instincts meurtriers : Un thriller policier des plus prenants et bien construit. Vraiment, on suit avec intérêt et réflexion car on cherche on cherche pendant tout les films qui peut être le meurtrier. Et c’est pour ça que le film est bien construit car on nous laisse suffisamment d’indice subtil pour que l’on avance en même temps que les personnages et qu’on se fasse notre propre enquête. Bon heureusement, le mystère reste entier et le suspense est maintenu, il y a que vers les 15 dernières minutes que on commence à avoir des doutes bien fondés. Car pour l’enquête, c’est une série de meurtre directement en lien avec la nouvelle inspectrice qui a couché avec tout les victimes, et chaque personne de son entourage est suspecté et même elle car c’est un personnage assez complexe, un peu brute, alcoolique qui aime les hommes… dur dur pour une policière qui début, l’image va pas être glorieuse mais elle ne lâche rien. Donc voila, scénario qui assure le suspense et les rebondissements et l’ambiance est plutôt pas mal, ça fait très polar urbain. Après, le casting est bien sympa et les acteurs convaincants même si des fois, leur personnage peuvent être agaçant mais on a quand même le droit a : Ashley Judd, Samuel L. Jackson, Andy Garcia… Pour finir, la mise en scène est académique mais c’est propre et stylé à des moments. Donc voila, une enquête qui tient bien à l’haleine.
Un polar plutôt classique de Philip Kaufman, dopé par l'ambiguïté de son héroïne. Ça se regarde mais aucune originalité et c'est très prévisible.
Un petit thriller pas très original. On devine assez vite qui est le tueur. Se laisse regarder mais s'oublie très vite.
Voila un bon petit polar bien interpreté par Ashley Judd, en grande forme. Le scénario est bien ficelé et nous reserve son lots de surprises pendant toute la durée du métrage. Même si la réalisation n'enchantera personne, l'intrigue et les acteurs font le reste du boulot de manière très satisfaisante...
ça s elaisse voir ! C'est vrai que le scénario est plutot bancal ! la fin est prévisible est décevante ! Donc, à voir pour la très vénéneuse Ashley Judd qui est ici avec Samuel L. Jackson à la place de Morgan Freeman son partenaire habituel.
Un beau casting, mais le tout reste beaucoup trop prévisible. Les acteurs jouent bien mais malheureusement c'est tout! Dommage
Malheureusement, le casting du film est des plus trompeur, que sont allés faire Ashley Judd, Samuel L. Jackson et Andy Garcia dans cette nullité ?
On nous ressert tous les clichés sur les flics et en particulier sur les femmes flics, c'est d'une originalité ! On ne nous épargnera pas les pseudo-suspects et le retournements de dernière minute (dixit le titre anglais du film "twisted") des plus minables.
Aucun des personnages n'est développé suffisamment pour s'y intéresser, même pas le personnage de Jessica, pourtant sensée être le pivot du film...
Vous n'éviterez pas les cadavres mutilés, le serial killer trop fortiche pour les poulets (et poulettes), les hangars désaffectés et les docks, les bars miteux, les bouteilles d'alcool trop rapidement vidées...
Tout est beaucoup trop simple, trop facile, trop bâclé. Cela devient ennuyant à force.
Visionner plutôt "Soleil Levant", du même réal, polar plus complexe et nettement plus réussit.
On nous ressert tous les clichés sur les flics et en particulier sur les femmes flics, c'est d'une originalité ! On ne nous épargnera pas les pseudo-suspects et le retournements de dernière minute (dixit le titre anglais du film "twisted") des plus minables.
Aucun des personnages n'est développé suffisamment pour s'y intéresser, même pas le personnage de Jessica, pourtant sensée être le pivot du film...
Vous n'éviterez pas les cadavres mutilés, le serial killer trop fortiche pour les poulets (et poulettes), les hangars désaffectés et les docks, les bars miteux, les bouteilles d'alcool trop rapidement vidées...
Tout est beaucoup trop simple, trop facile, trop bâclé. Cela devient ennuyant à force.
Visionner plutôt "Soleil Levant", du même réal, polar plus complexe et nettement plus réussit.
C'est vraiment mauvais. Comme film de tueur en série, j'ai déjà vu beaucoup mieux.
Même en tentant de mélanger "Seven" à "Basic Instinct", ce policier n'impose pas son style. On est tellement agacé de voir toujours les mêmes histoires et les mêmes rebondissements que même la fin ne nous surprend pas. Ce qui est encore plus blasant, c'est d'avoir sacrifié un casting de luxe (Ashley Judd, Andy Garcia et Samuel L Jackson) pour en faire un "produit standardisé". Un film qui ne fera pas date...
Enquête policière assez originale qui arrive à nous tenir en haleine jusqu' à la fin. Pas si mauvais !
l'un des rares thriller que je ne me lasse pas de regarder....Avant se film, Andy garcia me manquait, tout comme sameul L jackson.
Mais la révélation,c'est Ashley Judd.Magnifique tigresse indomptée et indomptable, cette femme flic vit avec l'impression doulouresue, quelle n'est que ça, une flic, même pas une femme. Les bons rôles de femmes torturées sont assez rares pour être soulignés.c'est le cas ici. Sa mémoire la trompe, son esprit lui joue des tours, elle est colérique, agressive, mais intelligente, et douée dans ce qu'elle fait,peut être trop.
enchainements de quiproquo magistarlement orchestrée en machination diabolique par un tueur en serie tout droit sorti du passé de l'héroine. Les pièges sont bien tendu, on ne remet nullement en cause le fait qu'elle y soit tombée, on comprend qu'elle se soit faite avoir malgré son intelligence et son flair. Rien n'est surjoué, rien n'est exagéré, rien n'est faux, juste un bon thriller
Mais la révélation,c'est Ashley Judd.Magnifique tigresse indomptée et indomptable, cette femme flic vit avec l'impression doulouresue, quelle n'est que ça, une flic, même pas une femme. Les bons rôles de femmes torturées sont assez rares pour être soulignés.c'est le cas ici. Sa mémoire la trompe, son esprit lui joue des tours, elle est colérique, agressive, mais intelligente, et douée dans ce qu'elle fait,peut être trop.
enchainements de quiproquo magistarlement orchestrée en machination diabolique par un tueur en serie tout droit sorti du passé de l'héroine. Les pièges sont bien tendu, on ne remet nullement en cause le fait qu'elle y soit tombée, on comprend qu'elle se soit faite avoir malgré son intelligence et son flair. Rien n'est surjoué, rien n'est exagéré, rien n'est faux, juste un bon thriller
soniadidierkmurgia
« Instincts meurtriers » est le dernier long métrage de la douzaine qu’aura réalisée Philip Kaufman qui s’était fait remarquer en 1978 avec « L’invasion des profanateurs », remake très réussi du film de Don Siegel et inspiré du roman de Jack Finney et sorti en 1956. En 1983, il atteint l’apogée de sa carrière avec « L’étoffe des héros », relatant les premiers pas de la conquête spatiale américaine. Puis sans que l’on comprenne très bien pourquoi, son inspiration faiblit ne donnant plus une ligne directrice très claire à son travail. « Instincts meurtriers » qui tente de relancer la carrière d’Ashley Judd un peu encalminée après des débuts très prometteurs doit aussi permettre à Andy Garcia et Philip Kaufman de rebondir. Le scénario original, fait d’une jeune inspectrice de police ambitieuse (Ashley Judd) récemment promue à la Brigade Criminelle de San Francisco, la cible d’un tueur en série qui élimine tous les hommes qui approchent de trop près une jeune femme à la libido insatiable.
spoiler:
On s’apercevra très vite que le joli minois à la Judy Garland que prête Ashley Judd à Jessica Shepard cache des tourments intérieurs liés au passé trouble d’un père lui-même inspecteur de police avant de se suicider
. Dans la lignée esthétique très papier glacé des thrillers des années 1990, le film n’arrive pourtant pas à convaincre à force d’accumuler tous les poncifs du genre sans parvenir à les articuler harmonieusement. Les retournements de situation sont de fait souvent attendus. Le tout déteint négativement sur le jeu des acteurs qui peinent à convaincre, notamment Andy Garcia qui avait pourtant été quelques années auparavant une valeur sûre dans le domaine du thriller (« Affaires privées » de Mike Figgis en 1990, « Dead Again » de Kenneth Branagh en 1991, « Jennifer 8 » de Bruce Robinson en 1992, « Dernière heures à Denver » de Gary Fleder en 1995) et qui ne semblant pas trouver sa place, appuie ses effets plus que de mesure. On ne parlera pas de Samuel L. Jackson qui frôle la surchauffe dans le twist final. Reste Ashley Judd dont la sensualité de femme-enfant parvient à sauver cette production qui n’a certainement pas dû convaincre Philip Kaufman qu’il s’était remis sur de bons rails.
. Dans la lignée esthétique très papier glacé des thrillers des années 1990, le film n’arrive pourtant pas à convaincre à force d’accumuler tous les poncifs du genre sans parvenir à les articuler harmonieusement. Les retournements de situation sont de fait souvent attendus. Le tout déteint négativement sur le jeu des acteurs qui peinent à convaincre, notamment Andy Garcia qui avait pourtant été quelques années auparavant une valeur sûre dans le domaine du thriller (« Affaires privées » de Mike Figgis en 1990, « Dead Again » de Kenneth Branagh en 1991, « Jennifer 8 » de Bruce Robinson en 1992, « Dernière heures à Denver » de Gary Fleder en 1995) et qui ne semblant pas trouver sa place, appuie ses effets plus que de mesure. On ne parlera pas de Samuel L. Jackson qui frôle la surchauffe dans le twist final. Reste Ashley Judd dont la sensualité de femme-enfant parvient à sauver cette production qui n’a certainement pas dû convaincre Philip Kaufman qu’il s’était remis sur de bons rails.
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