Sylvester Stallone s'offre la lourde tache de donne une suite au film de John Badham, je parle bien entendu de La fièvre du samedi soir. Après le carton populaire tout comme sa BO du fameux groupe Bee Gees sans oublier l'acteur John Travolta, voici Staying Alive. Bon ça craint cette suite n'a aucune valeur, John Travolta lui-même s'enlise ou vais-je dire plutôt qui se foule la cheville. Il perd toute force de sa première prestation qui était tout simplement accrocheuse et energisante, il y avait de l'impact venant de lui tout comme l'histoire. Ici oublier tout, c'est plat, au point de vous rappellez qu'il fut nominé au Razzie Awards comme pire acteur et il y a de quoi. La seule chose qui soit valable sont les deux dernières minutes de la fin ou l'on retrouve le panache tant oublier. En gros ce Fame de Stallone ne brillera pas.
Cette fausse suite de "La fièvre du samedi soir" se contente de reprendre le personnage de Tony Manero mais change tout le reste(contexte,musique,style de danse...). "Staying Alive"(1983) est réalisé par Sylvester Stallone,ceci expliquant beaucoup de choses. On y retrouve son personnage à la Rocky qui vit son rêve américain,les pistes de dancing remplaçant le ring de boxe. On y établit un parallèle avec son culte du corps,Travolta ayant les pectoraux saillants et la chevelure sous influence Rambo. Même la musique,sorte de disco finissante,semble échappée de Rocky III . En dehors de ça, ce concurrent à Fame ne fait pas le poids artistiquement. Un triangle amoureux cousu d'avançe avec la danseuse chipie trop talentueuse et gâtée,l'amoureuse fidèle mais un tantinet fade,et le beau gosse qui va là où son opportunisme le mène. On assiste à un long clip,qui ne nous épargne aucun effet eighties et qui expédie toute psychologie au profit d'une recherche effrénée de réussite de Manero. Le long final sur les planches de Broadway dans un opéra disco-pop d'un goût douteux provoque la stupeur!
C'est un mythe ,un classique,une légende,une référence bref une comédie musicale et des acteurs dont john travolta trés sure de lui.Les décors les musics sont incroyables ,c'est un film à voir absolument.
Rochy qui passe à la comédie musicale? Heureusement seulement derrière la caméra quoique il fait une toute petite apparition comme passant. "Staying Alive" mérite son déplacement.
Six ans après La Fièvre du Samedi Soir, Tony Manero a quitté Brooklyn pour Manhattan où, devenu professeur de danse pour vivre, il enchaîne les castings dans l'espoir de se produire sur une scène de Broadway. De manière assez surprenante, c'est Sylvester Stallone, qui officie ici comme réalisateur coscénariste et coproducteur, qui est aux manettes de cette suite du chef-d'oeuvre de John Badham. S'il reprend dans les grandes lignes l'intrigue du premier film, Staying Alive s'inscrit dans le cinéma des années 1980 en faisant de Tony Manero un personnage prêt à tout pour réaliser son rêve, à l'image d'un Rocky Balboa. Staying Alive est aussi un film sur le culte du corps : ainsi, si Stallone n'incarne pas Tony Manero (mais fait une apparition en passant dans le rue), il fait du personnage un de ses avatars; de fait, John Travolta arbore une chevelure à la Rambo et présente une musculature impressionnante, là où il affichait une minceur athlétique dans le premier film. Néanmoins, cela ne l'empêche pas d'être toujours aussi gracieux et virevoltant lors des scènes de danse superbes bien que par moment filmées comme un clip. Tony a une rage en lui qui va lui servir à briller à Broadway et ce, malgré des déboires amoureux avec deux femmes, Jackie et Laura. L'une est sa collègue et l'aime depuis toujours, l'autre est une sorte de Stéphanie qui aurait réussie et n'en apparaît donc que plus dangereuse. Si ce triangle amoureux n'est pas le point le plus intéressant du récit, elle sert pour rappeler les contradictions de Manero. Si Staying Alive souffre des excès de son réalisateur, trop marqué par l'influence eighties, et n'atteint pas la qualité du chef-d'oeuvre de John Badham, les scènes de danse valent leur pesant d'or et la BO rythmée des Bee Gees font du film un moment très agréable, même s'il reste très loin de son prédécesseur.
Pour être honnête, j'ai mis quelques minutes à comprendre que « Staying Alive » était la suite de « La Fièvre du samedi soir », l'ignorant totalement avant de commencer. Résultat : un film d'une grande banalité, pas très excitant et encore moins surprenant, mais se regardant toutefois sans déplaisir. Notre héros a beau être assez tête à claques, la présence de John Travolta et quelques répliques sympas permettent de faire passer la pilule, bien qu'on ne comprenne pas du tout son entêtement à « maltraiter » la petite amie la plus adorable et la plus sexy qui soit. Sans oublier une bande-originale forcément à tomber (Bee Gees oblige) et des chorégraphies visuellement appuyées, mais ayant quand même de la gueule. Bref, je ne retiendrais absolument rien de ce spectacle globalement « léger », sans pour autant regretter d'avoir jeté un coup d'œil à cette improbable association musicale Sylvester Stallone - John Travolta : passable.
Le film est en fait une fausse suite de son aîné, reléguant les paillettes du disco et la veine sociologique dans les oubliettes, pour narrer un classique parcours du combattant d'un prolo sorti de l'ombre pour les lumières de Broadway. La présence (incongrue de prime abord) de Stallone aux manettes donne naissance à un Rocky de la danse, auquel Travolta apporte une énergie incroyable pour sublimer dans de frénétiques numéros dansés une histoire qui peine à décoller autrement, ayant décalqué du premier film les éléments les plus basiques pour les réemployer sans trop se fouler. Il y manque une dose d'éclat ou d'inspiration (la bande-son, honnête sans plus) à part dans la partie finale qui vient boucler la boucle dans une furie chorégraphique et une référence terminale à point nommé.
On a du mal à imaginer Rambo donnant le rythme à un danseur de disco en tenue moulante et flashy...et pour cause. Sylvester Stallone ne brillera par cette suite du culte " La Fièvre du Samedi Soir" qui nous offrait des chansons des Bee-Gees et des pas de danse hallucinants de John Travolta. Ici, les chansons ne sont que les restes de ce qui n'a pas trouvé sa place dans le premier opus, ou pire à mon humble avis, sont des créations commerciales pour la promotion du film (mis en valeur au début du générique comme propos alléchant). Les pas de danse quant à eux ne sont pas innovants par rapport au premier film, et le générique de fin arrive sur cette impression d'avoir vu deux fois le même film, mais la surprise t la fraîcheur de traitement en moins sur le second visionnage. John Travolta qui perdait sa compagne lors du premier opus était réellement à fleur du peau sur le tournage et cela sublimait son jeu, ici rien ne l'a inspiré. Une suite bien fade qui n'égale jamais le premier film qu'elle copie ouvertement.
Je lis ici que pratiquement tous les critiques croient que c'est la suite de la Fièvre Du samedi soir. Ils n'ont rien pigé du tout. On voit bien qu'ils n'ont pas regardé jusqu'à la fin où l'on voit Tony décoincé et adopte la démarche célèbre du crooner avec la fameuse musique des bee gees. C'est un prequel! Allo? L'histoire de danse dans le domaine de la comédie musicale se déroule avant ! Certes, c'est moins décontracté, moins disco mais l'histoire de séduction avec les 2 danseuses dont celle qui l'envoi ballader et celle qui l'aime se tiens. Il souffre et s'en prends plein la poire en aspirant rejoindre la troupe du spectacle. J'ai bien apprécié et j'ai compris que Tony s'est métamorphosé à la fin. Je conseille pour les nostalgiques de ces années là.
Je dois reconnaître qu'en dehors du déhancher de John Travolta, il n'y a pas grand chose à voir. L'histoire d'un danseur qui lutte pour exercer son métier. Énormément de chorégraphies, il faut aimer la danse, John Travolta et les années 80. Les amours du personnage principal sont assez pathétiques et sa jalousie est quasi maladive. Finalement, mon passage préféré est la "frime" de John Travolta spoiler: A la toute fin : "Qu'est-ce que tu vas faire ?" "Frimer !" sous l'excellente musique titre des Bee Gees qui signe une très bonne BO.
Une suite qui n’en est pas vraiment une si ce n’est que John Travolta reprend, devant l’objectif de Sylvester Stallone, le rôle de Tony Manero, héros de « La Fièvre du Samedi Soir ». A par quelques chorégraphies, ce film est totalement inutile.