Comme Gestes et fragments en 1982, Le Mal a été présenté en sélection officielle à la 58ème Mostra de Venise.
Le réalisateur Alberto Seixas Santos souhaitait que Le Mal s'inscrive dans la lignée de ses précédents longs métrages Douces moeurs et Gestes et fragments, et pousse un peu plus loin l'expérience de la discontinuité narrative. Celui-ci s'explique : "Il s'agissait de construire une narration en mosaïque où différentes vies se déroulent tantôt sur des plans parallèles, tantôt en se croisant."