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    Keoma
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    3,8
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    45 critiques spectateurs

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    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    32 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 août 2024
    Une œuvre culte pour certains un navet pour d'autres, ce western spaghetti à petit budget comporte tous les clichés du genre : ralentis excessifs ,des comédiens qui surjouent, des dialogues qui prêtent à rire, de très (trop) longues scènes et le tout est accompagné d'une chanson qui tape vite sur les nerfs. J'avoue que je ne suis pas un fan de ce genre de réalisation (ce n'est pas du Sergio Leone) je ne serais donc pas honnête avec moi même si je dépassais la note de 3/10 (pour la présence de Franco Nero et de Woody Strode ).
    Redzing
    Redzing

    1 118 abonnés 4 470 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2024
    « Keoma » a une réputation flatteuse. Il serait le dernier western spaghetti majeur, sorti alors que le genre avait déjà largement décliné. Pour autant, ne vous attendez pas à un schéma de western classique. Certes, le pitch est ultra conventionnel : Keoma revient de la Guerre de Sécession, et découvre sa ville presque morte, tombée sous la coupe d’un funeste propriétaire terrien.
    Mais passé cela, « Keoma » demeure un film singulier. D’abord par l’ambiance étrange qu’il dégage, fantastique, infernale et lyrique. Entre l’épidémie de peste et la ville ravagée, on a presque l’impression de voir un film post-apocalyptique, un enfer enclavé entre des vallées étonnement verdoyantes.
    Et puis il y a les apparitions récurrentes de cette sorcière. Ou ces flashbacks sur l’enfance de Keoma, dont les images sont souvent mêlées à celles du présent. Cela permet en tout cas de bien développer le protagoniste, un homme mi-indien (oui oui, on parle de Franco Nero et ses yeux bleus !) qui va retrouver son père adoptif, et affronter les fils de celui-ci. De quoi rajouter des tensions, et des rebondissements intéressants.
    spoiler: Un court flashback suggèrera subtilement que le père adoptif de Keoma est en réalité son père biologique, d’où la haine de ses frères et ses origines métis.

    Par contre, au-delà des personnages, le scénario est primaire. Les méchants sont tous d’infectes crapules, les protagonistes font des allers-retours. De plus, la BO en mode rock progressif ne m’a pas entièrement convaincu. De belles mélodies, mais trop de chants décrivant ce qui se passe à l’écran. C’est un peu lourd.
    Néanmoins, le film bénéficie de deux autres très bonnes qualités. D’une part, sa distribution sympathique. On retrouve une nouvelle fois l’iconique Franco Nero en pistolero au passé douloureux. Je salue d’ailleurs l’ingéniosité des costumiers, qui arrivent à chaque western qu’il tourne à lui trouver un accoutrement qui le distingue des précédents ! Ici, il est en mode barbe et cheveux longs…
    A ses côtés, l’habitué des western William Berger dans un rôle plus profond que d’habitude. Le charismatique Woody Strode. Et plusieurs accoutumés des films de Castellari, dont beaucoup sont également dans « Il grande racket », sorti la même année.
    Et justement, c’est l’autre qualité du film : sa mise en scène héritée du poliziottesco. Les fusillades et cascades sont nombreuses et nerveuses à souhait. Castellari sait placer ses caméras pour assurer un découpage efficace, tout en proposant quelques plans vraiment originaux. Il a tendance à beaucoup utiliser de ralentis, parfois c’est très bien pensé, parfois un peu gratuit.
    Un petit mot sur la fin quand même, assez étonnante.
    spoiler: Keoma, qui n’a plus rien, s’enfuit en laissant un nouveau-né seul dans les bras de la sorcière. Il s’agit de l’enfant de la femme qui s’est sacrifiée pour lui. « Il n’a pas besoin de moi. Il survivra, car un homme libre ne peut pas mourir ». Mouais… Pas très responsable quand même ! Je me suis dit qu’il y a peut-être un sens caché. Keoma s’enfuyant seul, sans rien, refusant la « suite » (l’enfant) représenterait le western spaghetti qui se sait terminé. Le successeur indéterminé du genre étant libre de faire ce qu’il veut, et sera lui-aussi immortalisé par la pellicule. Bon, je vais sans doute chercher trop loin…
    chrisbal
    chrisbal

    15 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    "Keoma" de Enzo Castellari n'a rien à envier aux westerns de Sergio Corbucci que sont "Le grand silence" ou surtout "Django", mettant également en vedette Franco Nero.
    Ce dernier incarne une nouvelle fois un personnage solitaire de retour de la guerre de sécession qui se retrouve confronté à une bande dirigée par un riche propriétaire et composée notamment des 3 fils de son père adoptif.
    Une histoire de conflit au sein d'une fratrie avec son lot de trahisons parfaitement orchestrée par le réalisateur qui multiplie les figures de style faisant de ce western spaghetti un des derniers "dinosaures" du genre, définitivement en voie d'extinction.
    A noter la présence de Woody Strode, toujours excellent mais presque anecdotique, qui fait le lien avec les westerns américains.
    Starwealther
    Starwealther

    75 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 avril 2023
    Enzo G Castellari nous envoie un western spaghetti crasseux et sans concession. Tout comme il l'était dans "Django" de Corbucci, il joue très bien son rôle de cowboy, c'est la brebis galeuse, le mal aimé de ses frères. Une rivalité terrible va naître entre les membres de la famille sous fond d'épidémie dévastatrice de peste, ce spaghetti ne fait dans la dentelle c'est clair et net. La BO est intéressante et singuliere mais dommage qu'elle soit répétitive et au bout d'un certain temps agaçante. Un western agréable mais qui ne révolutionne pas le genre non plus.
    tuco
    tuco

    2 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2022
    Très très bon western spaghetti !! La réalisation est très bonne et très efficace voir même très audacieuse pour l époque , les acteurs sont excellents et la musique colle parfaitement au film. Les décors sont quand à eux sublimes . Belle surprise ce keoma
    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juillet 2021
    Keoma nous est présenté très vite avec un look façon Rahan du far-west qui vaut surtout pour le regard bleu acier de Franco Nero, toujours un temps d'adaptation dans ces cas très répandu dans le western où un héros peau-rouge est blond aux yeux bleus. Mais ce qui laisse perplexe c'est bien la Peste ! Plutôt anachronique et involontairement drôle. Le film manque surtout de subtilité avec les trois fils/demi-frères qui n'ont pas la moindre once d'humanité et/ou de sentiments même quand il s'agit de leur père, par là même le père n'a jamais un égard pour ses "vrais" fils. Trop caricatural pour convaincre. Malheureusement Castellari abuse des ralentis à des moments inopportuns, essentiellement pour les hommes abattus qui tombent donc au ralenti, un peu plus et il y manquerait de grands râles de douleur ! En conclusion cet ultime spaghetti sent surtout le réchauffé, pas catastrophique mais peu attrayant et assurément très surestimé.
    Site : Selenie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juillet 2020
    Superbe western spaghetti à découvrir absolument avec un acteur sensationnel Franco Nero au top de ces performances dans une histoire de vengeance à ne pas manqué !
    coperhead
    coperhead

    23 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2018
    Western spaghetti surestimé vu la note et qui a bien vieilli. Le scénario est basique avec des dialogues creux et sans intérêt .Tout est prétexte à enchainer des fusillades et des scènes d'action souvent réussies mais plomber par de trop nombreux ralentis et par de multiples invraisemblances ( notre héros s'en sort toujours sans blessure qu'ils soit trois ou trente en face ) .De plus la musique entrecoupée de chansons sont exaspérantes. J'ai visionné dans la foulée un western de 1962 Géronimo de Laven qui a mieux vieilli et qui reste intéressant et plus réaliste . J'inverserait bien les notes 2.7 pour Keoma et 3.8 pour Géronimo.
    babidi
    babidi

    5 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2018
    un petit bijou de western de Monsieur Castellari

    un Franco Nero comme a son habitude dans les western de ce genre

    des idées très interessante avec des plans de camera vraiment bien trouve ( la premiere scene avec la porte ou la conversation avec le père en entre autre ....

    un scenario qui respecte les grand code des western spaghetti et qui plus est une belle partition musicale pour agrémenter ce petit bijou

    en bref un western qui vaut plus que le detour
    gregbox51
    gregbox51

    37 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 juillet 2017
    Western spaghetti crépusculaire, noir, crasseux et lent. Scénario poussif, il faut entendre la profondeur des dialogues pour le croire !! Les scènes de luttes multiples, répétitives et finalement inutiles ne valent pas tripette. Il fallait vraiment que le genre s'achève, le style étant usé jusqu'à la corde...
    Wagnar
    Wagnar

    82 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mars 2022
    Keoma est sorti à une époque où le western était en pleine agonie. Chant du cygne du western spaghetti, il est souvent considéré, à juste titre, comme l'ultime réussite de ce genre. Le réalisateur Enzo G. Castellari assume dans ce film tout un héritage : celui de John Ford pour les impressionnants panoramas et la façon de présenter les personnages, et celui de Sam Peckinpah pour la violence et les ralentis. Ce qui saute le plus aux yeux dans ce film c'est son atmosphère très particulière : poussiéreuse, fantomatique, désenchantée et même fantastique. Le côté surnaturel est renforcé par les apparitions de la vieille femme, véritable personnification de la Mort.. Keoma est aussi une oeuvre profondément pessimiste : le héros, interprété par un Franco Nero au sommet de son art, est une sorte de Messie, cherchant un sens à sa vie, et venu pour sauver l'humanité, représenté par les villageois, de ses péchés. spoiler: Mais la mort des trois seuls êtres de valeur à savoir son père, George et Lisa, achève de détruire ses derniers espoirs ainsi que le peu d'humanité qui lui restait, d'autant qu'aucun villageois ne lève le petit doigt pour le secourir lors de sa crucifixion. Il ne pourra sauver l'humanité puisque celle-ci demeure toujours corrompu et pourrie de l'intérieur. Ses dernières paroles ("Personne n'a besoin des autres, c'est un homme libre et qui est libre n'a besoin de personne") retranscrivent bien son dégoût et dédain pour l'humanité. La fin enfonce le clou avec son symbolisme : l'enfant libre est confié à la Mort, ce qui signifierait que l'on ne pourrait trouver la liberté que dans la mort.


    Keoma demeure un trésor rare du western spaghetti. Une oeuvre onirique, tragique, d'une poignante mélancolie et qui possède une dimension réellement fascinante.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 février 2016
    Il y a de cela un mois je n'avais jamais entendu parler de ce western. Et Dieu sait que je suis fan du genre. C'est bien simple : voir le désert, entendre le bruit des bottes sur un plancher grinçant ou du cran de sûreté d'un revolver qui s'abaisse, ça me fait triper, un truc de malade. Et ce Keoma, la première chose qui frappe quand on le regarde, c'est qu'il sort vraiment de tout ce style que j'adore. Alors pour autant c'est pas mauvais, mais c'est très différent : on a un héros plus humain qu'à l'habitude, plus dépravé également et un peu moins classe, on a énormément de symbolique, notamment dans les relations entre les personnages et l'évolution de celles-ci, on a une ambiance pessimiste... C'est un film qui ose, et qui parvient à sortir de son intrigue classique de base pour aller au-delà, et notamment dans l'émotion. Bon, faut pas se mentir, ça fait kitch (notamment dans les ralentis des gunfights un peu grotesques), et je suis loin d'être fan de la BO qui me casse plus les oreilles qu'autre chose, mais j'ai passé un bon moment, devant quelque chose qui m'a surpris dans le bon sens.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    592 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2016
    je suis ravi d’avoir aimé ce film car je fais partie des cinéphiles n’appréciant pas les westerns spaghettis et particulièrement ceux de Leone qui se prennent tellement au sérieux.  ‘’Keoma’’est certes un western spaghetti mais grâce à son montage judicieux, ses cadrages baroques, ses ralentis innombrables, ses temps étirés, sa bande son assourdissante, ses extérieurs qui se perdent dans le lointain et son rythme quasiment musical, il représente une réussite d’un  cinéma artistique italien utilisant, sans effets spéciaux, toutes les possibilités que la technique de 1976 met à sa disposition. Castellari fait un travail d’artiste et n’hésite pas comme ses ancêtres du 16 sème siècle à incorporer les mythes les plus représentative des croyances humaines. On ne peut parler ici de belle mise en scène, il s’agit plutôt d’un assemblages de tableaux dont les ralentis exaltent les qualités. Bien entendu, on n’est pas forcé d’aimer le scénario, c'est d'ailleurs sans importance. Il faut regarder ce film comme un rêve éveillé, yeux et oreilles ouverts et apprécier juste les symboles.  Il y en a beaucoup : la résignation, la rédemption, le racisme, la haine mais aussi l’amour et le respect absolu d’un père qui passe au-dessus de tout, l’errance enfin…Ce n’est pas un hasard si Franco Nero a un visage christique.  Le combat pour la liberté contre une trinité menaçante se déroulant durant un accouchement et ne cessant qu’à la délivrance sous le regard du Destin… Il fallait oser, Castellari  l’a fait, qu’il en soit remercié. Keoma est au cinéma classique ce qu’un tableau moderne est à la peinture du passé, il n’appartient qu’à lui en allant au bout des choses.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 août 2015
    Parmi le tas d'immondices que nous a légué le western spaghetti, il existe heureusement quelques trésors qui méritent de figurer au panthéon des meilleurs westerns tel ce Keoma d'Enzo Castellari servi par une très belle musique des frères Guido et Mauricio De Angelis dont la magnifique chanson du générique de départ, un peu dans le style de Joan Baez ou Leonard Cohen. La distribution est à la hauteur avec Franco Nero qui interprète Keoma, le métis fils d'un père blanc et d'une mère indienne. C'est l'un de ses meilleurs rôles au grand écran. Il est accompagné notamment de Woody Strode, un habitué des westerns et l'un des rares acteurs noirs ayant connu le succès dans les années 60-70, ici, dans un rôle secondaire. Ajoutons-y William Berger, l'autrichien, dans le rôle du père adoptif de Keoma et voilà trois acteurs qui figurent parmi les meilleurs artistes des westerns spaghetti. Le fils Keoma revient pour se venger de ses trois demi-frères à la solde d'un propriétaire terrien qui terrorise la région ravagée par la peste.
    Les cadrages sont excellents et certains plans valent d'être soulignés spoiler: comme l'homme qui vient de se faire tuer alors que la caméra montre les bottes de Keoma sortant du saloon et la scène qui suit avec la femme qui tire la charrette
    . Les images à contre-jour magnifient le héros central et les décors naturels renforcent le style crépusculaire de ce western atypique dans l'univers des spaghettis. L'utilisation de flashbacks place astucieusement certaines séquences dans le temps permettant de comprendre les liens entre certains des protagonistes ainsi que les faits qui les lient (ou les délient …). Les voix associées consolident cette impression de mysticisme qui baigne l'atmosphère du film. C'est l'un des très rares westerns italiens qui traite d'un sujet de vengeance sur un ton très particulier avec une certaine dose d'humanisme malgré les inévitables morts qui jonchent çà et là le scénario. Franco Nero, avec son physique de hippie, donne toute la puissance nécessaire à son personnage, solitaire et courageux. Plusieurs thèmes sont abordés dans le film : le racisme avec les injures lancées par les bandits à Woody Strode, l'allusion au nazisme avec le camp des pestiférés encadré par des miradors (se rappeler le terme de "peste brune"), le machisme dans les rapports hommes-femmes, l'aspect biblique avec les apparitions fantomatiques de la vieille femme spoiler: et la scène très particulière où Keoma se retrouve attaché à une roue faisant allusion à la crucifixion, d'autant plus qu'avec sa gueule de hippie, il ressemble à JC (Jésus-Christ, et non Jules César …)
    . Enzo Castellari réussit à instaurer un climat surréaliste qui insuffle toute l'énergie mystique à ce film qui en fait certainement l'un des meilleurs westerns spaghettis de tous les temps avec ceux de Sergio Leone (la trilogie) et Corbucci (avec "Le grand silence"). Ce film est également à rapprocher de "Django porte sa croix" du même réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 septembre 2014
    L'un des meilleurs westerns italiens de tous les temps, avec Franco Nero en incarnation de l'indien des westerns vus jusqu'à présent, mais qui est cette fois-ci le héros du film, pour l'une des premières fois au cinéma (après La Porte du diable de Mann et Little Big Man de Penn), Franco Nero qui revient sur les terres de l'inconscient collectif de son peuple.

    Les transitions du film, sous forme de mouvement de caméra épousant celui de la tête des personnages comptent parmi les plus brillants du genre (avec peut-être la scène de la bougie dans Le Grand silence) et quant à l'arrivée dans la ville, elle est carrément mythique.

    C'est une ville qui, évidemment, n'existe que dans la tête de Keoma. Une ville que crée son imagination, une ville psychique (un peu comme les "projections" d'Inception ou la caverne de Star Wars V) où se retrouve tous les fantômes de son passé dans une atmosphère crépusculaire et baroque au milieu de laquelle il se retrouve, lui, Keoma, en martyre christique délivrant les pestiférés comme le Christ les lépreux pour finir sur une croix.

    Citant successivement John Woo (même s'il lui est ultérieur), Il était une fois dans l'Ouest (la scène des lattes de parquets), "Blueberry" (l'arrivée dans la ville et le découpage des plans de la scène du saloon) et Les Grands espaces (le fratricide et la scène de bagarre entre les quatre frères, tout droit sortie d'un Corbucci de la Grande époque), le film ressemble plus finalement à une prolongation nihiliste du western hollywoodien qu'à un western spaghetti.

    Le must du genre.

    Ps : BO splendide.
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