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    Keoma
    Note moyenne
    3,8
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    Votre avis sur Keoma ?

    45 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 janvier 2009
    Excellent film. L'histoire est génial et les paysages magnifiques. Mais... Ce film peut aussi ne pas plaire à tout le monde à cause de ses longues scènes d'action. Enfin, ce film vaut le coup d'être vu.
    Ah et avant de refermer la critique, pour Keoma ils auraient quand même dut prendre un autre acteur car un peau rouge châtain avec des yeux bleus et de la barbe, je crois que c'est assez rare ( Mais sinon l'acteur assure ).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 décembre 2008
    Comme quoi, un réalisateur est capable du pire (bronx warriors) comme du meilleur, entre autre "keoma". Ce western spaghetti est tout simplement sublime (il y a tout de même quelques petits trucs un peu nanar mais on le pardonne facilement). En effet, la mise en scène est extraordinaire de par son originalité et sa force. Enzo G Castellari prouve qu'un film à petit budget permet de trouver pleins d'idées créatives pour compenser le manque de moyens. A ranger sans hésiter dans votre DVDthèque aux côtés de "Il était une fois dans l'ouest".
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 février 2008
    J'ai vraiment eu du mal à croire que ce film ait été réalisé par Enzo G. Castellari...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 février 2008
    Une réussite! Un classique du genre! Contrairement à ce que j'ai pu lire dans certains ouvrages, ce film est cent fois mieux que "django"-il n'y a même pas de comparaison, à vrai dire.
    Un film prenant, biblique, à l'ambiance unique. La chanson est prenante, inoubliable.
    Pour l'anecdote, ce film est un remake du western "La lance brisée", interprêté notamment par Spencer Tracy dans le rôle du père (ici tenu par William Berger).
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 janvier 2008
    Une oeuvre atypique et ambigue, plus philosophique que la moyenne, qui mélange les époques par le biais de nombreux flash-backs, ce qui peut paraître déroutant. Mais la réalisation, assez soignée, respecte les codes du genre : étranger énigmatique à la gâchette facile, affrontements entre deux clans, bagarres à la pelle... Dans la longue filmographie d'Enzo G. Castellari, "Keoma", sans être transcendant, reste un titre à sauver. C'est également le tout dernier western spaghetti, marquant l'agonie du genre.
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juin 2008
    Un western spaghetti extraordinaire ! La seule ombre au tableau est la fameuse chanson qui se répète sans cesse. Mais ce défaut est vite oublié face à l'interprétation parfaite d'un Franco Nero totalement habité par son personnage solitaire ; face une fusillade menée de main de maître par Castellari qui oppose Keoma, son père adoptif et son pote George à l'armée de Caldwell ; face à un duel final de toute beauté avec les cris de l'enfant en bande son... Un western extraordinaire, je vous dis !
    Vladimir.Potsch
    Vladimir.Potsch

    20 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le film reprend vaguement l'histoire de Django, avec un homme qui revient dans son village après la guerre de sécession, qu'il trouve aux mains de voyous de la pire espèce. Mais là où Django faisait dans le simplisme, dans la parodie avec des morts à la pelle, des scènes de torture, des morceaux de bravoure sans relief, Keoma impose son style très années 70, à commencer par l'allure hippie (il a les cheveux longs) du héros. La musique lancinante, ponctuée de belles chansons qui commentent l'action, inspirèes notamment de Leonard Cohen, crée une ambiance lyrique, accentuée par des ralentis et de flash backs discrets mais efficaces. De plus, les personnages sont mieux dessinés psychologiquement que dans Django, avec une histoire de frères qui s'entredéchirent et d'un père honnête qui a tojours défendu son film opprimé. Des thèmes tels que le racisme, l'ostracisme (il est même question de pestiférés), sont abordés de front. Enfin, des imagessymboliques, telles que cette vieille femme qui apparait à chaque moment important de la vie de Keoma, où la vision christique du héros attaché à une roue, renforcent encore le caractère mythique de ce beau western, chant du cygne d'un genre qui a rarement atteint ce niveau.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Hormis les Leone, le meilleur spaghetti jamais réalisé. Franco Nero est assez ridicule au début avec ses grandes phrases ridicules ("tout le monde a le droit d'etre né" ou "la terre tourne, donc on finit toujours par revenir!").

    Mais au bout d'un moment, la sauce prend vraiment et le film devient vraiment très bon(surtout grace aux excellentes interprétations des trois frères et du père William Berger, ils s'imposent réellement face au cabotinage sympathique de Nero).

    Le choix de la langue anglaise est une très bonne idée, la fusillade finale est de très bonne qualité et j'ai trouvé la chanson très fun!!!

    Du très bon bis italien.
    Biehn
    Biehn

    17 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Beaux décors. Belles bagarres. Bonne interprétation de Franco Nero. Belle musique. Intéressant cette histoire d'un homme qui lutte contre ses trois demi-frères et leur chef, tyran d'une ville.
    thethythy
    thethythy

    21 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Il s'agit d'un western-spaghetti mystico-philosophique dont l'action est située dans une ville en état de décrépitude avancée. La réalisation est à peu près bien grâce à quelques effets narratifs intéressants (flash-back, intrusion du passé dans le présent, montage de plans asynchrones). L'histoire est truffée de symbolisme religieux. Elle est baroque et alambiquée à souhait. C'est donc surtout sur un plan formel que ce film sort du lot.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Si, comme moi, vous n'avez jamais pu supporter les westerns spaghetti, ne perdez pas votre temps à regarder ce film car il ne fera que confirmer, voire empirer, vos préjugés à l'égard de ces ersatz. "Il était une fois dans l'Ouest" fait figure de chef-d'oeuvre à côté, c'est tout dire. Mise en scène hiératique au symbolisme confus et lourdingue, scénario linéaire et pourtant brouillon, interprétation über-lamentable (je vous défie de ne pas vous tenir les côtes devant le jeu halluciné/hallucinant de Franco Nero) et enfin, une musique... ah, la musique! Vous imaginez un duo entre Catherine Ringer imitant Montserrat Caballé et Renaud imitant Leonard Cohen, le tout avec un accent anglais digne de Jacques Delors? Eh bien voilà à quoi ça ressemble - en pire. En résumé, en conclusion, une heure trois quarts d'un supplice cinématographique à faire baver d'envie tous les grands inquisiteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Enzo G. Castellari prend le pari dans son western de traiter de beaucoup de sujets a la fois, du racisme la guerre et la liberté en usant voir des fois abusant de scenes a la limite de la peinture. Mais la ou la plupart des realisateurs se seraient emportés Enzo arrive a tout lier grace notamment aux acteurs et la bande qui sont excelent. Un western peu classique que je recommande.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce KEOMA démarre à la manière d'un remake de DJANGO, réalisé dix ans plus tôt (un étranger énigmatique, tireur d'élite à ses heures, sauve une jeune femme des griffes de mauvais cow-boys), mais le script change néanmoins rapidement de cap, pour nous conter, tout juste après la guerre de Sécession, l'affrontement entre un brave métis indien (l'excellent Franco Nero, dans le rôle-titre) et une bande de malfrats impitoyables qui règnent dans son village natal, le tout entrecoupé de très beaux flash-backs sur l'enfance du héros et les souvenirs qu'il en a conservés. Les ans ont passé, les techniques cinématographiques ont évolué avec, et KEOMA s'avère tout simplement l'un des westerns spaghettis de sa génération les plus brillamment réalisés; Enzo G. Castellari, réputé pour figurer d'ordinaire dans la grosse liste des tâcherons transalpins vulgaires cuisiniers de bis, surprend l'assemblée, et cisèle la mise en image de son film à grand renfort de superbes plans tour à tour panoramiques ou subjectifs, de travellings novateurs, et de ralentis - sans doute hérités de Peckinpah - à couper le souffle lors des séquences de fusillades, fusillades dont le découpage nerveux à l'extrême avec lequel elles alternent entre deux slow motions renvoie parfois directement aux films d'action asiatiques de l'époque. Il faut dire que les vastes et somptueux décors naturels où KEOMA fut tourné ne sont pas sans contribuer à la réussite plastique de l'ensemble. Et comment faire abstraction de cette musique à la fois entêtante, belle, simple et déchirante, où les cordes de guitare et le son d'un harmonica se mêlent à une voix féminine rageuse ? Par ailleurs, l'on reconnaîtra deux fameuses têtes du cinéma Gore latin: la sublime Olga Karlatos dans la peau de la jeune infortunée que Keoma prend sous son aile, ainsi que Donald O'Brien dans celle du grand méchant. L'un des chants du cygne d'un genre alors moribond, doublé d'un grand film.
    twingolot
    twingolot

    23 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 juillet 2010
    Dernière cartouche du western spaghetti, ce fameux sous-genre du western, genre pourtant déjà enterré par le très beau "Mon nom est personne" quelques années auparavant. Plus qu'un hommage au sous-genre, c'est un hommage au western dans son ensemble : empruntant des éléments tant à John Ford qu'à Sergio Corbucci, Castellari fournit à l'ouest un dernier baroud d'honneur, doublé d'un amer champ du cygne, se plaisant à s'auto-contempler à travers de nombreux ralentis (hommage évident à Peckinpah, soit le fossoyeur du cinéma US). Un lyrisme fabuleux s'échappe de ces images, complètement transcendées par une musique qui s'affirme telle la lecture d'un évangile. Les acteurs eux-mêmes possèdent une prestance incroyable (Franco Nero, avec sa figure christique, fournit une interprétation inoubliable). C'est du cinéma bâtard, mais ça monte haut.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Attention!! dernier western spaghetti (de qualité) !

    Cet un bon film qui mis a fond sur le symbolisme avec de fortes quonotations religieuses . Bonne interpretation de franco nero et belle réalisation imaginative d'enzo G. castellarie.

    mais a force d'être encré dans le sybolisme la toute fin est un peu bête je trouve.
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