Mon compte
    Rebecca
    Note moyenne
    4,0
    4847 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Rebecca ?

    166 critiques spectateurs

    5
    45 critiques
    4
    61 critiques
    3
    36 critiques
    2
    14 critiques
    1
    9 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 205 abonnés 5 231 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2023
    Rebecca est un fantôme. Mais c'est aussi une torture pour le mari. Et c'est cela que devra combattre la nouvelle femme: sa paranoïa.
    Il s'agit d'un trio qui doit se défaire d'un membre de trop. Et le déroulé de l'histoire est mystérieux et captivant
    Parkko
    Parkko

    162 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mai 2014
    Je suis embêté. Parce que je crois que Rebecca était le dernier film considéré comme un bon Alfred Hitchcok que je n'avais pas vu. Et maintenant je crois que j'ai vu tous ses principaux. Et bon, ça fait un peu chier parce que j'adore le réalisateur, et même si j'aurais plaisir à revoir Les oiseaux, Rear Windows, Psychose, La mort aux trousses, etc etc... j'crois qu'il m'en reste plus. Ou peut-être un. Bref. Parce que bon, quand on voit Rebecca, encore une fois on voit bien que le mec avait un sens de la narration vraiment très bon. C'est un style élégant, ça marche à fond. Le film est bien en fait. Y a rien à dire de plus, tout est bien. C'est pas mon préféré d'Hitchock, c'est pas un coup de coeur, mais ça fait plaisir de voir un film maîtrisé comme ça, du début à la fin, qui tient la route.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    603 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2013
    Bien que reconnaissant les qualités de Rebecca, je ne suis pas emballé par ce film, je le trouve trop tordu et en même temps pas assez soigné sur les personnages que je ne ressens pas. A partir du moment où madame de Winter (comment l’appeler autrement ?) décide de ne pas écouter son mari, je décroche, je n’arrive plus à m’identifier à elle, tous les autres personnages me deviennent artificiels alors même à posteriori comme Mrs Van Hopper. Dommage, car le début me ravissait grâce à une mise en scène brillante. Tout ce qui se passe dans l’hotel est visuellement superbe. Bien entendu, le thème principal du film me convient: donner le rôle principal à une morte est cinématographiquement intéressant mais Judith Anderson, Laurence Olivier ainsi que Joan Fontaine exagèrent ce qui rend la cohérence interne du récit discutable. Il reste la superbe demeure de Manderlay et ses 25 domestiques qui traumatisent tant la nouvelle venue et le charme romantique anglais qui s’en dégage malgré la tristesse ambinate que le réalisateur est obligé de faire ressentir. Hitchoch commence moins bien sa période américaine qu’il n’a fini sa période anglaise mais il se rattrapera avec les suivants plus cohérants quoique non dépourvus eux aussi de défauts.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    195 abonnés 1 876 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Sans être le meilleur Hitchcock, ça reste un très bon film même si l'histoire est assez prévisible. Le film se défend par la réalisation et le jeu des acteurs. Les effets spéciaux datent un peu sont très visibles. J'y ajouterai une petit lenteur dans le rythme..
    ER  9395
    ER 9395

    89 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2013
    Ce n'est surement pas le meilleur Hitchcock car la première partie est très quelconque mais dès
    que le couple vedette arrive dans le château de Manderley on retrouve toute la maestria du maître pour installé le spectateur dans une ambiance des plus angoissante et cette demeure est la vraie vedette
    du film.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 112 abonnés 3 974 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2012
    Le premier film américain d'Hitchcock avait un titre et un synopsis me rappelant celui de Laura de Preminger. Une morte qui "hante" les vivants (sans parler des deux titres qui sont tous les deux des prénoms féminins). Seulement la comparaison entre les deux s'arrête là je pense, mais un autre grand classique peut prendre la relève question comparaison et ceci de manière beaucoup plus flagrante : Citizen Kane. En regardant le film je ne savais pas lequel des deux avait été réalisé en premier, je ne connaissais pas la date de sortie de Rebecca. J'aurai parié sur le Welles sortant en premier, mais non, c'est bel et bien le Hitchcock qui est le plus ancien.
    Je ne sais pas si Welles s'est inspiré ou non de Rebecca, mais les ressemblances sont troublantes. Rien que l'introduction, c'est limite si on ne revoit pas un panneau "no trepassing" et la caméra qui s'infiltre malgré tout dans une cage dorée Xanadu ou Manderlay jusqu'à finir sur un plan très similaire.
    Après entre Welles et Hitchcock pour moi il n'y a pas photo je prends Welles, idem entre CK et Rebecca.
    Mais Rebecca est un bon film, le seul défaut serait que je l'ai trouvé un chouilla long, 2h10 c'est pas ma durée préférée.
    On retrouve Joan Fontaine, magnifique, qui tombe amoureuse de ce jeune veuf et qui s'enferme dans la maison où vivant la mystérieuse Rebecca.
    J'apprécie beaucoup l'ambiance devenant de plus en plus angoissante où tous les personnages gagnent en ambigüité et à l'instar de Fontaine on est un peu perdu, on ne sait plus trop quoi penser ni des bonnes, ni de Rebecca, ni des invités.
    J'aime bien ce genre d'ambiance où les protagonistes sont dans un large manoir, ça me rappelle d'autres films dans des genres différents que j'aime beaucoup comme les autres ou bien les innocents.
    Néanmoins il est loin d'être mon Hitchcock préféré, il manque peut-être un petit quelque chose pour m'emporter définitivement dans cette ambiance paranoïaque.
     Kurosawa
    Kurosawa

    594 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2014
    Ce film divisé en trois parties est loin d'être le meilleur Hitchcock même s'il vaut largement le détour. Un premier moment à Monte-Carlo élégant et charmant qui prend le temps de fonder les bases d'une histoire mystérieuse et inquiétante; puis une partie centrale, la plus forte, la plus angoissante, qui fait confronter son héroïne (Joan Fontaine) au fantôme de Rebecca: un face-à-face invisible assez fascinant qui rend le déroulement du film incertain. Je reste un peu déçu d'une dernière heure qui reste au minimum intéressante, mais dont le suspense judiciaire n'est pas toujours des plus prenants. Cela reste un film tenu et efficace de la part du maître, qui nous offre un final et un dernier plan à la beauté insolente.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    210 abonnés 1 920 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2013
    Sur le plan formel, le film est parfait, les comédiens impeccables. On trouve déjà dans Rebecca les thèmes chers à Hitchcock, du mystérieux tableau à la lingerie féminine et aux femmes dragons. Pourtant, je n'ai pas été pleinement captivé par Rebecca, en dépit de certains morceaux d'anthologie. Peut-être parce que le film est très long et surtout très daté, très connoté à un univers désuet d'aristocrates et de parasites mondains pour qui on ne peut guère éprouver d'empathie. Le personnage féminin manque aussi de caractère.
    Si l'atmosphère du château est superbement rendue, l'intrigue criminelle est en revanche peu crédible. Dans la catégorie des films gothiques, il me semble que Corman et Mankiewicz ont fait nettement mieux.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    327 abonnés 3 018 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2019
    comment le souvenir d'une être disparue peu encore hanter un lieu, des personnes... une manipulation psychologique manichéenne, merveilleusement distillée par une ambiance lourde et une J. Anderson inquiétante à souhait face à la douce J. Fontaine. un résultat troublant et Oscar du meilleur film en 1945!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 janvier 2021
    Un classique d'Alfred Hitchcock, dans lequel une demoiselle de compagnie se marie avec un riche noble anglais, mais doit faire face au passé de celui-ci et tout particulièrement, l'ombre de sa précédente épouse, mystérieusement décédée. La fameuse Rebecca. Après une première partie qui m'a semblé un peu laborieuse et répétitive, appuyant peut-être un peu trop le caractère et les complexes d'infériorité de l'héroïne, l'histoire se met en place et le scénario révèle des ressorts inattendus. Le suspense et le dénouement se montrent à la hauteur des enjeux, et permettent de finir la session sur une bonne impression !
    Philippe C
    Philippe C

    103 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2023
    un film d'angoisse en 3 parties, qui date de 3/4 de siècle et n'a pas très ben supporté le passage du temps. La première partie (Monte-Carlo), celle de la rencontre, est polluée par le jeu trop exagéré de l'insupportable douairière, les 2 tourtereaux se contentant, eux de surjouer. Dans la deuxième partie, c'est la jeune mariée qui exagère son jeu, n'ayant pas compris que l'ère du muet, c'était terminé en 1947, la musique, exagérée elle -aussi, en rajoutant une couche pour ceux qui n'auraient pas compris le côté inquiétant de ce château aux domestiques nostalgiques de l'ex épouse noyée. Jusque là, on s'ennuie devant les longueurs en se disant que cela va mal finir, mais comment ? Vient alors, à partir du bal, la dernière partie, que j'ai trouvée très réussie, qui bouleverse nos attentes et préjugés et nous fait comprendre que même si c'était pénible, les deux parties précédentes étaient nécessaires
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    43 abonnés 2 544 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    A l'origine le sujet de Daphné du Maurier ne semble pas se démarquer des principes élémentaires d'une certaine littérature féminine. C'est tout le mérite d'Hitchcock, dans un style déjà bien identifiable, que d'avoir associé au romantisme initial du sujet une noirceur et une esthétique pleines de mystère. "Rebecca" est même un des films les plus représentatifs de l'oeuvre d'Hitchcock, en ce sens où la défunte Rebecca permet au cinéaste de développer successivement un drame psychologique puis une pure intrigue policière.
    Tel que dans un conte de fée (quoique le ton du film soit déjà désenchanté), la jolie Jane rencontre et épouse à Monte-Carlo le riche et séduisant veuf de Rebecca, lequel vit, comme la domesticité, dans le culte de la disparue.
    Jusqu'à un certain et inattendu rebondissement, coup de théâtre assez décevant parce qu'il initie une intrigue superficielle, Jane doit tenter d'exister en dépit de ce fantôme obsédant qui semble hanter la demeure de Manderley, au risque de sombrer.
    Hitchcock joue avec les ombres et les physionomies inquiétantes de quelques uns. Mais, à l'image de l'interprétation de Joan Fontaine, la mise en scène (de son premier film hollywoodien) n'est pas sans emphase, et c'est là sa faiblesse. On ne retrouvera guère la légèreté et l'humour du cinéaste que dans ses allusions aux moeurs de la sévère gouvernante!
    Nicothrash
    Nicothrash

    383 abonnés 3 051 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2015
    Passablement déçu par ce Hitchcock, le seul oscarisé de surcroit. La toute première scène laissait pourtant présager d'une atmosphère incroyable avec la découverte du château de Manderley, immense et inquiétant, et puis sans transition on rencontre nos deux personnages principaux, l'un mystérieux et l'autre ingénue et agaçante durant les 3/4 du film. En deux minutes, coup de foudre, démission, mariage et arrivée au château ! Et là c'est l'ennui pendant plus d'une heure, aucun rebondissement si ce n'est les mesquineries de la bonne, très bien interprétée au demeurant. Point d'ambiance et un infime suspens jusqu'à ce qu'enfin, dans la dernière partie, les masques tombent et les motivations de chacun éclatent au grand jour. Cette dernière partie est par contre excellente, la tension monte en même temps que l'enquête avance et on ressent enfin quelque chose pour nos protagonistes. En outre la morale est intéressante et mise à mal mais quelle patience pour en arriver là ! Reste une imagerie parfaite et un scénario finalement prenant mais l'ensemble manque cruellement de souffle, d'ambiance et s'avère beaucoup trop long. Une oeuvre pour ma part mineure du grand Hitchcock et largement sur-évaluée.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 756 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2018
    Sans être le meilleur Hitchcock, ça reste un très bon film même si l'histoire est longue à démarrer et est finalement assez prévisible. Le film même s'il comporte donc quelques longueurs, se défend aisément tout de même par la réalisation impeccable,le jeu des acteurs assez bons et la photo superbe.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 635 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2013
    Une jeune femme simple, dame de compagnie d’un millionnaire, va tomber sous le charme du richissime et veuf Maxim De Winter dans un palace de Monte Carlo. Vite mariés, ils vont prendre leurs quartiers dans le manoir familial anglais de Manderley. Le lieu est encore très imprégné de la précédente Mme De Winter, Rebecca, décédée en mer dans un accident de bateau. La présence de Rebecca, encore palpable dans la maison, est relayée par une gouvernante sombre et n’ayant pas fait le deuil de sa « maîtresse ». Ce dernier mot est fort de sens. A l’époque le code Hays sévissait aux EU et la sexualité devait être inexistante des films, certains réalisateurs jouaient donc habilement et intelligemment à le détourner. La fameuse gouvernante, Mme Danvers, est un prototype d’ambigüité sexuelle. Une homosexualité sous jacente mais jamais énoncée effleure du personnage ; Hitchcock, qui n’est pas manche, nous renvoie aussi un doute sur une possible bisexualité de le nouvelle Mme De Winter. Ce n’est pas le sujet du film, mais une curiosité qui fait bien parler les cinéphiles : ah la scène de la « fourrure ».
    Hitchcock réalise ici son premier film américain mais ne délaisse pas totalement son pays d’origine, ce dernier est très présent via le manoir de Manderley. Ce dernier est même un personnage à part entière du film. Il adapte ici le roman éponyme qui lui vaudra l’Oscar du meilleur film en 1940 et prend la direction d’un genre de film qui fera son identité et son succès ; le suspense psychologique. Il fait ses premières armes avec ce film, même s’il ne s’agit pas à mon goût de son meilleur, on sent le potentiel.
    Son film débute comme un conte de fées, l’ambiance changera radicalement dès l’arrivée à Manderley. Dans la demeure de la famille De Winter plane encore l’ombre de la défunte, ex épouse du Lord. Dès lors, Hitch prend un malin plaisir à distiller une atmosphère trouble, à la lisière du fantastique et de l’histoire de fantôme. La nouvelle Mme De Winter est campée par la belle Joan Fontaine, oscarisée aussi à l’occasion. Toute en vulnérabilité et loin des codes sociaux de l’aristocratie anglaise, la douceur et son visage angélique tranche avec la réelle maîtresse des lieux ; la gouvernante Mme Danvers. La jeune épouse est totalement effrayée et impressionnée par Mme Danvers ressemblant à Nosferatu. La splendide Joan Fontaine (nouvelle Mme De Winter) n’est jamais appelé par son prénom, tandis que la morte est omniprésente par la répétition incessante de son prénom : Rebecca. Cela participe à la négation même de l’identité de la nouvelle épouse, tandis que cela donne une présence palpable à un personnage que nous ne verrons pourtant jamais. La personnification de Rebecca s’effectue aussi au travers des murs, des objets, des vêtements. Le spectateur dans ce climat est fragilisé et s’identifie très vite à la nouvelle venue dans ce monde hostile aux codes bien étranges loin de son milieu. David Lynch dans « Twin Peaks » usera du même stratagème avec Laura Palmer au centre d’une histoire au sein de laquelle elle n’apparaîtra jamais. Hitchcock est allé plus loin puisqu’il ne nous offre aucune photo à nous mettre sous la dent.
    Et puis ce film passe aussi au scalpel toute l’hypocrisie des rapports sociaux de ce microcosme. Tous portent un masque social, lorsque la vérité tombe comme dans le cas de Maxim De Winter, la nouvelle Mme De Winter paraît être la seule à ne jouer aucun jeu.
    Parce que c’est l’amorce du cinéma qui rendra célèbre Hitchcock, parce que Joan Fontaine est splendide en petit oiseau sous la patte du gros chat noir, parce que Rebecca existe sans exister, parce qu’au travers du jeu avec la lumière et les ombres se dessinent des rapports humains malsains… Il faut absolument voir ou revoir ce très vieux bourré de talent.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top