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    Les Ensorcelés
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    36 critiques spectateurs

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    Alolfer
    Alolfer

    127 abonnés 1 149 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2024
    Quand le cinéma traite le cinéma, on ne peut qu'être ravi. "Les Ensorcelés" est un film si réel qui l'en devient troublant. Facsiné par la construction narrtive du film, sans que l'on décroche un instant. C'est un film de pouvoir où l'on montre le Producteur comme un antagoniste, mais avec de bonnes volontés, jusqu'à que son égoïsme le tue à petit feu. Kirk Douglas représente dans ce film, les producteurs acharnés par leur travail, jusqu'à même trahir les siens. Un super film et également, un des meilleurs films qui parle du Cinéma
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 596 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2024
    Le film vaut d’abord par sa construction, en trois flash-backs qui se complètent, et par l’image qu’il donne de l’univers de Hollywood. Un univers dépeint sans manichéisme, respectant les contradictions internes des personnages (voir le titre original). Certaines scènes atteignent un assez fort degré d’intensité, comme celle de la séparation de Georgia et Jonathan. D’autres sont intéressantes par la place de la créativité dans la production cinématographique (l’évocation plutôt que le « spectacle » choisie par Jonathan). Mais l’ensemble reste un peu trop classique pour ne pas dire convenu, et n’évite pas quelques poncifs. Et on sent, plutôt que la peinture au vitriol ou l’analyse profonde des pouvoirs que cela aurait pu être, une certaine complaisance pour ce milieu auquel Minelli semble fier d’appartenir.
    Zebrakelo
    Zebrakelo

    6 abonnés 284 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2023
    Très bon drame des années 50, bien mené et divisé.
    C’est un bon exemple pour illustrer un genre de cinéma très présent à cette époque, par ces décors, ce jeu et la trame.
    Un beau noir et blanc.
    Charlotte28
    Charlotte28

    124 abonnés 2 003 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 novembre 2022
    Le portrait d'un ambitieux producteur visionnaire à travers les souvenirs de trois êtres qui gravitèrent autour de cette figure symbole des paradoxes du système hollywoodien, entre erreurs de parcours et inspirations géniales, travers de personnalité et nobles desseins, créations artistiques et destructions individuelles. Portée par un impeccable casting au sein duquel trône un charismatique Kirk Douglas (honoré par la voix remarquable de Jacques Dacqmine) et loin d'un manichéisme faussement annoncé, l'intrigue illustre la douce amertume des douloureuses expériences ainsi que l'ambivalence des bénéfices accompagnant les échecs. Une brillante démonstration!
    William Dardeau
    William Dardeau

    32 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2021
    The bad and the beautiful peut être considéré comme le Citize Kane de Minnelli. C’est un portrait acide d’un magnat d’Hollywood cynique, calculateur mais ayant « le cinéma dans le sang ». Kirk Douglas est évidemment parfait dans le rôle. Les trois personnages qui l’ont le plus côtoyé vont présenter leur vérité à son propos : une actrice (Lana Turner), un metteur en scène (Barry Sullivan) et un écrivain (Dick Powell). Aucun ne veut retravailler avec lui, et on comprend vite pourquoi. Cette dénonciation d’un tyran n’est pas le meilleur film de Minnelli, car on peut trouver la charge un peu lourde., surtout si on compare au Eve de Mankiewicz ou au Sunset Boulevard de Wilder. Il s’agit toutefois d’une œuvre solide, superbement jouée, indispensable pour un cinéphile.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 568 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 mai 2021
    C'est l'un de ces films dits classiques que je ne comprends pas. Son générique est impeccable et le réalisateur Vincente Minnelli avait fait un travail brillant pour d'autres films. Le scénario a été récompensé par un Oscar Gloria Grahame a remporté cet Oscar. Avec mes excuses à Mlle Grahame qui a fait du bon travail au fil des ans cela ne semble pas mérité. L'histoire de l'ascension de la chute et de la renaissance d'un producteur impitoyable dont on pense généralement qu'il a été modelé sur David Selznick n'est rien de plus qu'une série de clichés et de blagues. Comme je ne suis fan d'aucun des deux je n'ai pas été particulièrement amusé. Kirk Douglas est incroyable dans le rôle principal. Il peut incarner le tourment et l'ambition mais pas l'intelligence. Il a toujours l'air d'un acteur qui joue un rôle et Lana Turner est légèrement meilleure. J'ai l'impression que le film est populaire pour ses références et ses descriptions à peine voilées de personnages réels d'Hollywood ou le plaisir que les initiés et les profanes du cinéma ont à relier tous ses points. C'est ce que j'ai fait moi aussi, en regardant le film mais à la fin ça ne collait pas...
    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2020
    Dès son titre le film pose une ambiguïté. « The Bad and the Beautiful ». S’agit-il de l’opposition entre deux personnages : Jonathan Shields (Kirk Douglas) the Bad et Georgia Lorisson (Lana Turner) la Beautiful ? Ou plus probablement les deux aspects de la personnalité de Shields, charmeur ou abject, dont la fin justifie tous les moyens à ses yeux. Homme fragile qui souffrit dans son enfance à l’ombre d’un père dictatorial (dont la photo est celle de Jack Warner le concurrent détesté par Louis B. Mayer), qui peut éprouver des sentiments : amitié, admiration, amour, mais prêt à tout sacrifier pour réussir les films qu’il produit, ne reculant devant aucune manipulation, si vile soit-elle. Ce portrait de David O’Selznik, que Minnelli n’appréciait pas, offre aussi une certaine ironie acide, car le grand film sur la guerre de sécession qui se plante lamentablement est bien sur “Gone with the Wind” (Autant en emporte le vent).
    Découpé en trois flashes back, chacun représente un étage de la descente (morale) aux enfers de Shields. Tous inspirés de personnages réels. A commencer par Fred Amiel (Barry Sullivan) de Maurice Tourneur (Minnelli au passage se moque de CAT PEOPLE et des séries B fantastiques), qui eut maille à partir avec le producteur Val Lewton. Puis Georgia Lorisson (Lana Turner), fille alcoolique d’un acteur fameux est clairement basée sur Diana Barrymore. Enfin le couple Bartlow (Dick Powell et Gloria Grahame) l’est du couple F. Scott et Zelda Fitzgerald. Cette démonstration en règle d’un système auquel appartient pourtant le réalisateur qui après le succès de « Meet Me in St Louis » put faire le cinéma qu’il désirait (les majors d’aujourd’hui ne financeraient pas un film comme « The Clock »).
    Elégant quant à la mise en scène avec la caméra de Robert Surtees (oscarisé) aux éclairages si significatifs qu’ils en deviennent illustratifs des situations, aux travellings si fluides qu’ils ne se remarquent pas. Exigeant dans les décors, l’ancien métier de Minnelli à Broadway, pour lesquels Cedric Gibbons, Edward Carfagno, Edwin B. Willis et Keogh Gleason reçurent un Oscar. Ce film somptueux met une fois de plus en exergue la qualité exceptionnelle de la direction d’acteur du cinéaste. En effet, Lana Turner, actrice fragile, se réfugiant derrière son physique, à la réputation d’un jeu limité et cantoné dans les rôles de femme sexy ou de garce ou les deux de manière presqu’exclusive si l’on excepte sa transparente apparition dans le « Dr Jekyll & Mr Hyde » de Fleming dix ans plus tôt, manquait de confiance en elle face à celui qui était considéré comme le directeur prodige de la MGM. Minnelli débriefa avec elle la première scène qu’elle venait de tourner, lui démontrant qu’elle n’était pour rien dans chacune des reprises. Sa carrière de grande actrice commença avec ce film (1). De même, selon Kirk Douglas, le réalisateur en lui expliquant que son personnage serait d’autant plus odieux qu’il serait doux et sympathique, plutôt que violent et agressif, plus ambigu que manichéen, ouvrit des possibilités d’interprétation qu’il ne soupçonnait pas en lui. Enfin, l’insignifiante Gloria Grahame livre une prestation oscarisée, malgré le peu de temps à l’écran.
    Ce chef d’œuvre incontestable est aussi, avec « The Band Wagon » (Tous en scène), le sommet de l’œuvre cinématographique de ce génie. La profession, plus rancunière qu’il n’y paraît au travers des cinq oscars attribués, ne le retint pas pour celui du meilleur film, ni du meilleur réalisateur. Pourtant à chaque nouvelle vision, le seul regret est que malgré près de deux heures, le film paraît trop court.
    (1) Minnelli avec sa gentillesse et sa patience désinhiba ainsi l’immense talent de la star. Elle obtiendra une nomination pour « Les plaisirs de l’enfer » de Mark Robson (1958) et surtout livrera une extraordinaire performance dans le « Mirage de la vie » de Douglas Sirk l’année suivante.
    Romaric44
    Romaric44

    18 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juillet 2020
    Magnifique interprétation notamment de Kirk Douglas et Lana Turner. Des personnages que l'on aime et déteste à la fois.
    Le film est très accrocheur malgré l'absence d'intrigue ou de scènes d'action.
    Un bon sujet que celui des studios hollywoodiens traité dans le contemporain!
    A voir absolument!
    Roub E.
    Roub E.

    957 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2020
    Un film à flash back ayant pour décor le vieil Hollywood. On va suivre l’histoire d’un réalisateur , d’une actrice et d un écrivain qui ont pour point commun un producteur avide de succès (Kirk Douglas) et vont se remémorer les rencontres, leurs succès, les trahisons. Ce qui m’a plu c’est vraiment le portrait de cet Hollywood, la manière de montrer l’envers du décors, dans ses côtés magiques et usine à rêves mais aussi plus tragique et cynique. Kirk Douglas l’un des géant de cet Hollywood est formidable dans son rôle de producteur ambitieux avide de succès. En racontant ses trois histoires le film à malheureusement par moment quelques redondances qui l’alourdissent un peu mais ce fut tout de même un vrai plaisir de le découvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 décembre 2019
    Ce film se laisse regarder mais il manque de tension. Il n'a pas choisi suffisamment clairement la gravité.. La musique semble vouloir porter un entrain pailleté qui joue sur le contraste rêve hollywoodien/l'envers du décor mais du coup l'ambiance manque de noirceur et d'intensité. On suit le film avec son cerveau et un certain plaisir des yeux (il faut dire que la réalisation est très belle) mais pas avec ses tripes, ce qui est bien dommage. C'est moins subtil et prenant que "La comtesse aux pieds nus" et on n'osera pas le comparer au "Boulevard du Crépuscule" de Wilder qui culmine bien trop haut au panthéon du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juillet 2018
    Un film hollywoodien à flashbacks très classique. Très réussi aussi, mais l’enjeu du scénario et son point de départ ne m’ont pas vraiment accroché. C’est très bien écrit, joué et réalisé, mais les trois flashbacks sont un peu répétitifs, comme dans Chaînes conjugales, et chacun illustre la même idée, ce qui rend les deux tiers du film assez prévisibles.
    Newstrum
    Newstrum

    47 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 novembre 2017
    Un des chefs-d'oeuvre de Minnelli qui rend hommage aux hommes et aux femmes de l'âge d'or d'Hollywood. C'est merveilleusement mis en scène avec des mouvements de grue d'une élégance princière. Kirk Douglas, impressionnant, joue le rôle d'un producteur inspiré de Selznick et voulant poursuivre le rêve de cinéma de son père, comme s'il avait été ensorcelé par le blason du studio. Voir ma critique complète sur mon blog : newstrum.wordpress.com
    Cyril J.
    Cyril J.

    27 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juillet 2017
    Dans le milieu du cinéma hollywoodien, un ambitieux jeune producteur, fin stratège, résolu, autoritaire, mégalomane, sachant flirter avec l’argent, les hommes et l’immoralité s’il le juge nécessaire, bâtit sa maison cinématographique à force de talent et de pragmatisme.
    Son portrait se dessine en trois parties, au travers de l’histoire de trois célébrités de Hollywood qui l’ont côtoyé, aimé, puis haï : un réalisateur, une actrice et un écrivain, respectivement spolié, séduite et endeuillé. Néanmoins leurs expériences communes les ont transcendés vers la gloire, la fortune et l’accomplissement de soi. C’est donc dans une ambiance lourde et tendue que les affaires les rattrapent de nouveau à la table d’une terrible ambivalence, où se disputent haine, mépris et rancœur d’une part, et amour, fascination et reconnaissance de l’autre.
    Ce drame de 1952, hollywoodien dans le fond comme dans la forme, et porté par de jeunes, beaux et regrettés Lana Turner et Kirk Douglas, nous invite à découvrir les coulisses d’un univers de pouvoirs, de contraintes, et de la disproportion des drames comme ses succès du cinéma américain. Il illustre surtout une intéressante apologie culturelle dans un pays en pleine voie de domination mondiale, où les règles de la morale cèdent déjà le trône au pragmatisme et au culte de la réussite à tout prix, avec la bénédiction de tous.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 184 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2016
    En 1950, Billy Wilder avait brisé un tabou avec "Sunset Boulevard", son film noir dénonçant la face sombre d'Hollywood à travers les destins tragiques d'un jeune scénariste ambitieux (William Holden) et d'une star du muet (Gloria Swanson) tombée dans la folie après avoir été abandonnée par les studios lors de l'arrivée du parlant. Quoique salué par la critique, le film n'avait remporté que des oscars mineurs, les pontes des studios n'appréciant que modérément ce miroir tendu à leur cynisme. Deux ans auront malgré tout suffi pour que Vincente Minnelli enfonce le clou de manière sans doute moins brillante et moins désespérée mais tout aussi juste. Le projet lui a été paradoxalement proposé par John Houseman, le nouveau producteur de la MGM, alors que Minnelli était jusqu'alors spécialisé au sein du studio dans des comédies ("Le père de la mariée", "Allons donc papa !") et des comédies musicales ("Yolanda et le voleur", "Le pirate", "Un américain à Paris") qui l'avaient amené au sommet. Ecrit par Charles Schnee à partir d'une nouvelle de George Bradshaw remaniée par Dore Schary, le scénario prend appui sur la place centrale du producteur dans le système des studios pour proposer le portrait de Jonathan Shields (Kirk Douglas) sorte d'hybride de Val Lewton et de David O'Selznik se hissant à la force du poignet jusqu'à la production de séries B (une parodie savoureuse de "La malédiction de hommes chats" de Robert Wise est concoctée par Minnelli) pour finir par réaliser lui-même une superproduction qui causera sa chute. Minnelli montre tous les méandres qui jalonnent le chemin menant à la réussite au sein de la Mecque du cinéma, parsemés de fausses promesses, trahisons et autres bassesses auxquelles sacrifiera l'ambitieux producteur pour parvenir à ses fins. La narration en flashback emprunte de manière successive le récit de trois victimes de la soif de pouvoir de Shields. spoiler: Tout d'abord, Georgia Lorrison (Lana Turner), fille d'acteur vaguement inspirée de Diana Barrymore (fille de John Barrymore) à la psychologie fragile que Shields sauve de son alcoolisme pour la mener au sommet en lui faisant croire qu'il est amoureux. Fred Amiel (Barry Sullivan) ensuite, réalisateur de série Z, compagnon des débuts à qui Shields dérobe ses idées et qu'il n'hésitera pas à évincer pour monter son premier film important. James Lee Barlow (Dick Powell) enfin, écrivain en vogue qu'il convainc de se reconvertir à l'écriture de scénarios et dont il trahira la confiance en provoquant accidentellement la mort de sa femme (Gloria Grahame) suite à un stratagème diabolique destiné à détourner Lee Barlow de l'emprise de celle-ci
    . S'ils ont eu à subir la détermination cynique de Shields, force est de constater que, le succès leur a souri à tous les trois après leur rencontre avec celui qui a fini par payer un lourd tribu à son ambition et à sa morgue en devenant un paria de la profession. Le portrait que l'on pourrait croire à charge rétablit au final une certain équilibre, Minnelli considérant sans doute que la position d'homme orchestre occupée par le producteur l'oblige quelques fois malgré lui à user de tous les ressorts pour faire éclore les films qui sont commandités, il ne faut pas l'oublier, par des financiers exigeant un retour sur investissement. Il tente donc et réussit plutôt bien à éviter une démonstration manichéenne mais son sens du mélodrame trop appuyé qui sied merveilleusement aux comédies musicales rend les enchainements de situations parfois un peu prévisibles ce qui nuit ici à la force de son entreprise. Un péché mignon que l'on retrouvera par la suite faisant dire à certains que Minnelli est un réalisateur certes doué mais incapable de sacrifier ses artifices à son propos. On reste donc assez loin de la fascination que dégage le chef d'œuvre de Billy Wilder même si le film a reçu des critiques dans l'ensemble favorables. Kirk Douglas fort satisfait du résultat et content d'avoir pu varier son registre qui le cantonnait jusqu'alors aux rôles de durs travaillera deux nouvelles fois sous la direction de Minnelli. Quant à Gloria Grahame elle remportera l'oscar du second rôle lui laissant entrevoir une brillante carrière qui ne sera malheureusement pas au rendez-vous. Enfin Lana Turner grâce à ce rôle difficile confirme un talent d'actrice qui lui était jusqu'alors contesté.
    Eselce
    Eselce

    1 396 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 septembre 2016
    Le film est basé sur de longs flash back des trois personnages fréquentés par Jonathan Shields (Kirk Douglas) et de leurs relations cinéma avec ce dernier. Personnellement, je me suis ennuyé. Trop vieux malgré de bonnes prestations. Difficile d'atteindre le final. D'autant que, lorsque les premiers flash back arrivent, on peut quasiment aller directement à la demie minute finale.
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