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    Le passager de la pluie
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    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 juin 2024
    Mélie (Marlène Jobert) est l'épouse d'un pilote de ligne. Une nuit qu'elle passe seule dans sa grande maison isolée au bord de la Méditerranée, elle est violée par un inconnu de passage, qu'elle avait vu l'après-midi descendre de l'autobus de Marseille sous la pluie. Elle réussit à tuer son agresseur de deux balles de chevrotine et à se débarrasser de son cadavre dans une crique voisine.
    Le lendemain, un mystérieux Américain (Charles Bronson) se présente à elle. Il veut lui faire admettre le crime qu'elle a commis. la police elle aussi commence à enquêter. Mélie ne veut rien avouer.

    "Le Passager de la pluie" a été tourné à la fin des années 60 dans la presqu'île de Giens - que le Toulonnais que je suis identifie avec nostalgie. Son réalisateur, René Clément, était une institution du cinéma français : l'auteur de La Bataille du rail, de "Jeux interdits" et de "Paris brûle-t-il", bizarrement, à la fin de la carrière allait se convertir au polar. Le scénariste, Sébastien Japrisot, écrivait à l'époque à la chaîne des polars sacrément bien troussés pour le cinéma : "Compartiment Tueurs", "Piège pour Cendrillon", "Adieu l'ami", "La Dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil"... Sa popularité culminerait avec "L'Eté meurtrier" et "Un long dimanche de fiançailles" l'un et l'autre adaptés au cinéma avec le succès que l'on sait.

    J'ai trouvé ce film furieusement démodé. Son sexisme décomplexé hystériserait Sandrine Rousseau. La musique de Francis Lai, qui accompagnait la quasi-totalité des films de l'époque comme aujourd'hui celle d'Alexandre Desplat ou de Hans Zimmer, est insupportable. Mais l'est plus encore l'interprétation des deux acteurs principaux. On se demande s'ils avaient reçus des instructions en ce sens, ou s'ils se laissent aller à leurs penchants : Charles Bronson ânonne un Français hésitant avec un demi-sourire de faux dur tandis que Marlène Jobert multiplie les minauderies de petite fille.

    L'intrigue du "Passager de la pluie" est passablement déroutante. On connaît dès le départ le double crime - le viol et l'assassinat - et leurs deux auteurs. Aussi, l'histoire, qui se réduit au jeu du chat et de la souris auquel se livre le personnage interprété par Charles Bronson, ne devient-elle vite qu'un prétexte, un MacGuffin - le mot est même utilisé à la fin du film. Prétexte à quoi ? Je me le demande encore.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 350 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 janvier 2024
    Une jeune femme tue l'inconnu qui vient de la violer. Qu'est devenu le sac que l'homme portait et que le mystérieux américain Harry Dobbs (Charles Bronson, en goguette dans le Midi) voudrait bien récupérer? A vrai dire, on s'en fiche. Et le constat s'impose vite: dans l'esprit et dans le style, le film de René Clément a mal vieilli.
    Déjà, le sujet ne se signale pas par son originalité et sa richesse dramatique. Ensuite, le récit n'atteint jamais le sentiment anxiogène que la mise en scène, dépouillée, affectée, prétend introduire. Précisément, la réalisation de Clément est un condensé de maladresses, de naïvetés et des lieux communs attachées aux intrigues à suspens courantes (pour exemple, cet instant où l'héroine croit que c'est la police qui sonne à la porte, mais ce n'est qu'une visite de courtoisie).
    Puis il se met en place entre Mellie (Marlène Jobert) et son inquisiteur américain un jeu du chat et de la souris, mâtiné de psychologie, très artificiel. Ne serait-ce que parce qu'on ne croit pas un seul instant que Dobbs, malgré ses menaces et ses intimidations, est un méchant tueur. Les dialogues de Sébastien Japrisot, malhabiles et bien peu inspirés lorqu'ils prétendent être spirituels, ne favorisent pas la vraisemblance du récit, déjà bien entamée par les insuffisances d'actrice de Marlène Jobert et l'interprétation figée de Bronson. A quoi s'ajoute un casting international peu homogène, des seconds rôles falots, voire inutiles (Jill Ireland, imposée par son conjoint Bronson?). Enfin, l'ostentation avec laquelle Clément filme les jambes de Marlène Jobert souligne et accentue le caractère superficiel, complaisant de ce polar mal ficelé que l'inattendu dernier rebondissement ne réhabilite pas.
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    228 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2023
    Pas super fan de Marlène Jobert (je n'ai rien contre elle, en fait, mais elle n'a jamais été une de mes actrices préférées et ne le sera jamais), mais le Bronson de l'époque 1967/1974, sa période européenne et le début de sa nouvelle période ricaine, j'aime beaucoup.
    Réalisé par René Clément, film français donc, "Le Passager de la Pluie" distille une atmosphère simenonesque, ce n'est pourtant pas une adaptation d'un roman de l'auteur de "Maigret". Le scénario est signé Japrisot, au passage. Une jeune femme, esseulée temporairement (son mari est très souvent en déplacement, il est navigateur dans l'aviation civile), se fait violer chez elle par un inconnu. Elle le tue en se défendant, se débarrasse du corps. Ceci est le tout début du film, aucun spoiler car n'importe quelle édition DVD ou programme TV raconte ça en tant que pitch.
    spoiler: Peu de temps après, un homme, étranger (un américain), débarque, va lui tourner autour, poser des questions, semblant s'intéresser de près à elle, ou bien est-il là pour l'homme qu'elle a tué ? Est-il au courant ? Qui est-il ? Et qui était le violeur ?

    Très beau duo d'acteurs (on trouve aussi Annie Cordy et Jill Ireland, alors femme de Bronson, que ce dernier imposait quasi systématiquement dans ses films, et qui n'était franchement pas une très bonne actrice), belle réalisation, belle ambiance, scénario réussi pour ce petit classique du cinéma français. Un de mes films préférés avec Bronson, à l'époque dans sa meilleure période.
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 644 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2022
    René Clément fit partie des réalisateurs ciblés par la nouvelle vague française. Qualifié de " technicien" par Godard et bien que Clément ait montré avec " Monsieur Ripois" qu'il avait découvert la réalisation en décor naturel avant lui, l'importance de son oeuvre est restée ( est toujours ?) minorée.

    Certes, la cinémathèque française lui rendit un hommage en 2013 en diffusant l'ensemble de sa filmographie, Alain Delon lui dédia son film " le battant" et enfin bien que Clement soie le seul réalisateur français ayant obtenu deux oscars du meilleur film étranger, sa réputation dans le cercle de la cinéphilie est un secret trop bien gardé.

    " le passager de la pluie " fut le dernier grand succès public du cinéaste et son impact aujourd'hui sur le spectateur, du moins à mes yeux est toujours aussi fort.

    Clément au travers d'un scénario original de Sebastien Japrisot propose une confrontation psychologique policière entre deux personnages qui prend parfois des allures de huis clos virevoltant.

    Dans l'exercice du huis clos au cinéma, il y a de nombreux échecs et seuls les grands réalisateurs, même les très grands, parviennent à donner du rythme à l'exercice et a captiver le spectateur.

    C'est le cas de ce film ou Bronson produit sans doute une des prestations les plus réussies de toute sa filmographie.

    La première partie est absolument admirable et on est pas loin d'assister à un chef-d'oeuvre sans la seconde partie qui perd un peu en intensité, en raison d'une transition trop rapidement expédiée, créant la confusion dans l'esprit de beaucoup de spectateurs.

    Sans dévoiler l'intrigue, on peut dire que c'est en cherchant un cadavre qu'on en trouve un autre.

    Le cadavre qui en cache un autre, c'est aussi l'illustration de la problématique du personnage incarné par Marlène Jobert ( grande vedette du cinéma français de l'époque).

    Ce qu'elle vit dans le présent, la renvoie à un traumatisme d'enfance : elle se reproche et se sent toujours coupable de la séparation entre ses parents. Pour cette raison, elle ne révélera plus jamais de secrets, quel qu'il soit et quoi qu'il arrive.

    Pour Clément et Japrisot " on ne guérit pas facilement de son enfance".

    Le réalisateur tentera ensuite, sans succès ni public, ni artistique de reproduire l'exercice ( polar avec distribution internationale, comprenant un arrière plan psychologique profond ) avec " la course du lièvre à travers les champs"

    Malheureusement, le réalisateur durant les vingt dernières années de sa vie ne parvint plus à monter de film.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 668 abonnés 12 406 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2021
    En raison de la disparition de Annie Cordy, le Cinèma de Minuit lui rend hommage en rediffusant ce curieux « Passager de la pluie » , rèalisè en1970 par Renè Clèment et ècrit par Sèbastien Japrisot himself! Ce dernier ètait un grand admirateur de Lewis Carroll, au point de transformer la menue Marlène Jobert en une espèce de Alice au pays des Merveilles terrorisèe et hantèe par l'obsession du viol! Grâce à l'insaisissable Charles Bronson qui mène une enquête parallèle pour dècouvrir la vèritè, elle se tirera tant bien que mal des situations extravagantes et angoissantes dans lesquelles elle se trouve placèe bien malgrè elle! Une nouvelle recherche de style pour le rèalisateur de "Plein soleil" qui casse ici tous les codes du suspense qu'on a l'habitude de voir! Le film est devenu depuis un classique...
    selenie
    selenie

    6 213 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 novembre 2021
    Le film n'aurait sans doute pas déplu à un certain Alfred Hitchcock. Plus que le viol, c'est donc l'homme mystérieux/Bronson qui arrive après qui devient le fil conducteur. Qui est-il ?! Que veut-il vraiment ?! Et surtout comment sait-il autant de chose sur le drame qu'a vécu Mélancolie/Jobert ?! Le face à face façon jeu du chat et de la souris peut alors commencer, bien qu'au final il s'agit surtout d'une blanche colombe souillée par un vautour avant l'arrivée d'un aigle solitaire. Mais dans ce face à face il y a un défaut malencontreux, la victime est montrée comme une femme-enfant, sorte d'ado attardée pourrie gâtée qui fini souvent par être surtout agaçante. Sans doute une direction d'acteur ici peu judicieuse. Le récit vire doucement vers une autre voie qui, là aussi, n'aurait sans doute pas déplu à Hitchcock, quand l'homme/Bronson menace la femme/Jobert d'une "bonne fessée" tandis qu'il se met à la surnommer "Love Love". Dans le même temps, le film fait étonnament écho à une actualité récente, se positionnant ainsi dans une modernité qu'on attendait pas forcément lors d'un dialogue sur le viol. Un très bon moment
    Site : Selenie
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 521 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 avril 2021
    Nous sommes dans le sud de la France la superbe et mélancolique Mellie découvre qu'un mystérieux étranger la harcèle. Elle est alors violée par l'homme et après l'avoir trouvé encore dans la maison après l'attaque elle le tue et jette son corps à la mer. Les fans de film du macho Bronson aimeront car c'est un animal complètement différent qui sait s'adresser aux femmes en leur donnant la fessée. Ceux qui aiment le cinéma d'art et d'essai aimeront l'impression de paysage onirique qui se dégage ici. René Clément connaît ses oignons c'est certain et j'ai été personnellement fasciné par la performance de Marlène Jobert dans le rôle de Mellie si je peux obtenir d'autres films dans lesquels elle a joué je serai un spectateur intéressé. Pourtant le film tombe à l'eau pour moi parce qu'après un premier tiers assez brillant qui me fait sentir qu'un sentiment de peur et d'effroi a envahi mon bien-être le film sombre dans un mélange de style qui semble se plier à tous les gouts des spectateurs....
    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 décembre 2020
    Je ne vais pas le cacher, j’ai lutté une bonne partie du film pour ne pas m’endormir, ce qui n’est pas bon signe. L’histoire se veut alambiquée, mais se trouve au final assez simpliste. La tentative pour donner de la profondeur aux personnages n’aboutit pas. Si Marlène Jobert Jobert a de jolies jambes elle est loin d’être convaincante dans ce film à l’inverse d’une surprenante Annie Cordy qui est celle pour qui cela vaut le coup de découvrir le film. Charles Bronson a un rôle qui joue beaucoup sur l’ambiguïté mais j’ai fini par m’en désintéresser comme du reste d’ailleurs.
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 987 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 septembre 2020
    On est loin du René Clément de Plein Soleil. Ce film alimentaire à l'intrigue pas crédible (l'épisode du club privé à Paris est grotesque car non expliqué) ne vaut que par le charme des deux vedettes de l'époque : Marlene Jobert en femme-enfant et Bronson en gros matou viril qui sait tout (sans qu'on sache comment). Mineur mais plaisant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 juillet 2020
    Excellent thriller des années 1970.
    Jeu remarquable de justesse pour Marlene Jobert, adorable et si canon à l'époque !!
    CHARLES Bronson campe un mystérieux personnage,tantôt menaçant,tantôt protecteur, et particulièrement troublant..(cela change des westerns,mais quel talent,quelle justesse
    Excellent scénario qui nous livre aux derniers moments les dessous d'une affaire troublante
    Dialogues et mise en scène efficaces.
    Quel talent pour les 2 principaux acteurs!
    Ricco92
    Ricco92

    221 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2020
    Le Passager de la pluie n’est pas le film le plus célèbre de René Clément. En effet, il faut reconnaître que ce n’est pas sa meilleure œuvre. L’ensemble est un peu confus et on se demande parfois s’il était judicieux de prendre Marlène Jobert pour ce type de film, bien que sa prestation soit bonne, car son grain de voix enfantin entraîne un contraste un peu gênant. Le Passager de la pluie est donc un polar qui se suit sans déplaisir mais qui est loin d’être très marquant.
    Chaill
    Chaill

    18 abonnés 397 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mai 2019
    Casting international pour navet intersidéral. Si vous voulez voir Annie Cordy en tenue d'Eve dans son lit, Charles Bronson affublé pendant deux heures d'un sourire charmeur agaçant à la eddie constantine, ou encore Marlène Jobert mettre une paire de claques à Jill Ireland, ce film est fait pour vous, sinon passez votre chemin car ce drame/thriller sans suspense est à vomir tant ses situations stagnent dans la bêtise, son intrigue est inexistante; les intimidations et affrontements sur le thème dominant-dominé se succèdent, avant qu'on apprenne après plus d'une heure insupportable de film ce que le moustachu fait vraiment là. l'essentiel du film est un jeu d'intimidation bébête entre la jeune ingénue et le mystérieux américain et son faux accent à couper au couteau... Sans intérêt donc.
    pierrre s.
    pierrre s.

    425 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 janvier 2019
    L'idée de voir Charles Bronson dans un thriller français était très alléchante. Malheureusement le résultat n'est pas du tout à la hauteur des espérances. Le film est mou, les personnages manquent de profondeur et très vite on s'ennuie.
    Jrk N
    Jrk N

    38 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2018
    L'intrigue n'est pas plus absurde, invraisemblable et tordue que dans de nombreux polars noirs américains.
    La musique de Francis Lai n'est pas plus sirupeuse que d'habitude.
    La pluie ne fait pas plus cliché que dans de nombreux romans noirs.
    Ce n'est pas plus mal filmé que la plupart des thrillers habituels et la violence n'est pas décrite (un bon point) comme souvent avec la sinistre complaisance fréquente à Hollywood.
    Bref Le Passager de la Pluie de René Clément (70) n'est pas un mauvais film pour toutes ces raisons-là ; mais pour d'autres.
    Il s'agit essentiellement d'un affrontement psychologique entre deux personnages. Donc ce sont ces deux personnages qui importent.
    Une femme de pilote d'air france au mode de vie bourgeois mais au comportement enfantin et un détective (qui n'est pas flic) au comportement direct, viril mais assez peu brutal finalement. Il veut savoir, elle ne veut rien dire. Classique, ça peut marcher.
    Mais ça ne marche pas car les acteurs sont mauvais. Extraordinaire femme-enfant Marlène Jobert pouvait être très émouvante lorsqu'elle était tenue et qu'on ne la laissait pas faire ses petits "poui !" à la Marilyn de seconde zone (rétrécie de surcroît).
    Dans Nous ne Vieillirons pas ensemble (72) ou Pialat la surveille comme de l'huile sur le feu, Marlène Jobert nous a fait tous pleurer.
    Bronson, avec son masque indien et les muscles qu'on voit sous ses vêtements, n'a même pas besoin de bouger pour être l'incarnation de l'homme-le-vrai (pourquoi pas ?). Quand il est impassible il est devenu un mythe avec Sergio Leone. Mais là, il parle beaucoup, il s'explique, il tente de convaincre, il sourit (l'horreur totale : Bronson sourit !), il fait les yeux doux : bref il essaye de faire exactement de l'anti-bronson et ça, le vrai Bronson ne sait pas faire.
    Résultat, le face-à-face pyschologique est totalement raté.
    Si ce n'est pas une erreur grave de casting c'est une faute désastreuse de direction d'acteur (ça doit être les deux comme souvent).
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 novembre 2016
    Est-ce la météo adverse qui m’inspire, ou ces mots ont-ils un pouvoir d’évocation particulier ?
    Ce titre-là est magique, il promet tout et ne dit rien, il est parfait.
    Le passager de la pluie, c’est un film de René Clément sorti en 1970, avec Marlène Jobert, trop Mignonne, et Charles Bronson, trop Viril. Lui, c’est un dur à cuire et elle, elle a besoin d’être protégée. Pourtant, ce n’est pas pour jouer les gardes du corps qu’il s’est introduit dans sa vie, mais pour lui poser des questions (et lui extorquer des réponses) au sujet d’une bien vilaine affaire…
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