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weihnachtsmann
1 185 abonnés
5 188 critiques
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3,0
Publiée le 12 septembre 2016
Le film possède une ambiance certaine de part sa musique et les longues interrogations de part à d'autres. Il reste quand même énigmatique quant à son contenu.
Le lancement de l'intrigue est bon. A l'arrivée de Charles Bronson, le ton change légèrement et le duo formé avec Marlène Jobert est intéressant. Le duo est très improbable mais j'ai beaucoup apprécié la jeunesse et surtout la simplicité à demie naïve de l'actrice. Son face à face avec Bronson est très bien interprété. Sa défense naturelle est parfaitement crédible et on nage entre comédie et sérieux. Un peu long, tout de même.
Un casting assez détonant. Un Charles Bronson en forme comme jamais. Et un scénario plutot interressant, fait que ce film possede un certain attrait. Pas mal du tout.
Du scénario bien ficelé et riche en rebondissements au jeu convaincant des acteurs, "Le passager de la pluie" sait nous tenir en haleine et entretient une petite brume de mystère qui ne se lève que petit à petit tout au long du développement de l'intrigue. Ce climat intriguant en fait une oeuvre captivante dont ne peut décrocher avant de connaitre le fin mot de l'histoire. Une mise en scène un peu plus folle et une photo plus léchée aurait été la cerise sur le gateau mais le résultat demeure des plus satisfaisant.
Une personne peut qualifier un film d'excellent quand elle ne se lasse pas de le regarder, ce qui est mon cas. Certes, la première fois je n'ai pas tout compris car l'intrigue peut paraitre complexe pour qui n'est pas forcément amateur de policiers et il m'a donc fallu un second visionnage pour en apprécier tout le scénario, mais derrière ça, l'atmosphère intense du film, le jeu d'acteurs -notamment celui de Marlène Jobert et Annie Cordy- ainsi que la force du jeu du chat et de la souris entre les deux personnages principaux m'ont littéralement transportée. J'ai craqué pour ce personnage de Mélancolie, en proie avec ses démons du passé qui font d'elle une personne pleine de contradictions, à la fois craintive et courageuse, gaie et triste, forte et fragile, prête à se mettre en danger à cause de ses blocages d'enfance; elle est d'ailleurs une femme-enfant. Quant à Charles Bronson, rien à dire, il est parfait dans son rôle de flic à la dent dure mais qui ne peut s'empêcher d'avoir un faible pour sa proie. J'aime énormément ce film qui m'a fait découvrir il y a maintenant plus de trois ans Marlène Jobert dont je suis tombée amoureuse, un coup de foudre cinématographique.
Un thriller psychologique qui se laisse regarder. L'histoire tient assez la route mais la tension des premières minutes s'estompe peu à peu pour laissé la place au duel entre les personnages de Charles Bronson (plutôt fade) et de Marlène Jobert, qui elle compose un caractère curieux, mêlant fragilité et malice avec la diction qui lui est particulière.
Passées les vingt premières minutes fortes en tension, "Le Passager de la pluie" s'enfonce peu à peu dans un duel psychologique entre Marlène Jobert (moyenne) et Charles Bronson (bon), jusqu'à une certaine lourdeur. Difficile au final de retenir grand chose du film, malgré de bons moments.
L'intrigue de ce film est réussie. Au début on se croirait dans une Colombo mais le scénario est suffisamment intelligent, la mise en scène assez bonne et les excellentes performances de Marlène Jobert et Charles Bronson nous entraînent sans problème au bout de cette histoire pour le moins originale...
Une sorte de thriller plan-plan qui ne provoque ni frissons ni intérêts.De plus,sur une trame éculée(un inspecteur de police harcèle une femme pour qu'elle avoue un meurtre)préfère les dialogues insipides et les longueurs insignifiantes.Le jeu du chat et de la souris de Charles Bronson et Marlène Jobert n'est pas crédible une seconde à l'image de leur interprétation.Lui,récite son texte en Français phonétiquement,se contente de gonfler les biscottos et de lançer son regard langourant.Elle,passe son temps à minauder et à geindre.Comment croire qu'elle ait pu tuer son agresseur de sang-froid?"Le Passager de la pluie"(1969),sans mystère,ni rebondissements,joue donc sur le rapport de ces deux êtres qui tentent de s'approvoiser.La partie policière est vraiment faiblarde.Seule la musique mélodramatique de Francis Lai remonte un peu le niveau.
Si ce n’est l’orgueil de faire venir jouer Charles Bronson sur la côte d’azur, il est difficile de comprendre ce que René Clément à chercher à obtenir en mettant en scène cette triste histoire de chantage. Nous imposer ainsi deux heures d’un face à face sans enjeu intéressant filmé à un rythme soporifique, ne nous menant que vers une conclusion maladroitement alambiquée passant par de futiles passages mélodramatiques, était déjà un pari risqué, mais quand, en plus, les acteurs ne semblent pas motivés, le projet est voué à l'échec… Dommage l’idée de départ pouvait pourtant sembler prometteuse pour un thriller efficace.
Le Passager de la pluie de René Clément, avec Marlène Jobert et Charles Bronson en tête d'affiche ; je m'en léchais les babines d'avance. Le résultat m'a un peu déçu. Nous avons à faire à une histoire pas du tout folichonne. Tout est basé sur le jeu de l'esprit, qui sera le plus fort pour faire céder l'autre. Et à Charles Bronson de mené la vie dure à la douce et belle Marlène Jobert. Hélas ! le tout est assez ennuyeux, une fois qu'on a compris la trame du film. Reste que c'est plaisant de voir ces deux magnifiques acteurs nous offrir un jeu parfait.
Que ce fût dur... C'est spécial, je m'y attendais pas. Deux heures éprouvantes qui m'a donner l'effet de deux somnifères. La cause ? c'est son histoire qui s'embourbe quelque peu au fil de sa durée et j'ai eu quasiment aucuns moments qui mon absorbé. Sinon pour ce qui est du casting, Bronson tient la classe dedans, et Marlène Jobert toute mignonne, puis tous deux à fond dans leurs personnages. Pour les cinéphiles aimant ce film, je peux comprendre, il à son charme et bien original pour un thriller qui part à son envie dans un drama. Jill Ireland jamais vu aussi belle. J'ai aimé le passage ou Bronson s'adresse à Marlène et lui dit je cite "Si vous recommencer je vous fesse. Vous quoi ?! Je vous mets sur mes genoux, je vous déculotte et je vous donne une bonne fessée" (tu m'étonnes), toute craquante.
Violée par un inconnu qu'elle a ensuite tué, une femme voit débarquer dans sa vie un mystérieux Américain très curieux... Une très belle surprise que ce long métrage de René Clément. L'histoire est assez passionnante à suivre notamment et surtout dans sa première partie, grâce à une mise en scène assez intriguante et qui propose quelques séquences bien marquantes. Mais si le film s'avère aussi palpitant à visionner, c'est grâce aussi au jeu du chat et de la souris auquel se donnent les deux interprètes principaux que sont Marlène Jobert et Charles Bronson, qui sont tout les deux totalement impliqués dans leurs personnages. A noter aussi les présences sympathique de Annie Cordy ( étonnante dans le rôle de la mère de Marlène Jobert ) mais aussi de Jill Ireland. Il s'agit donc d'un thriller franco-italien qui est assez prenant dans son style et qui mérite largement le coup d'oeil.
Un film très décevant de la part de René Clément. L’intrigue en elle-même semble apporter suffisamment de matière pour faire un film intéressant mais on se trouve au final devant un thriller très plat. Le casting est pourtant alléchant : la jolie Marlène Jobert dans le rôle principal et le mythique Charles Bronson pour lui faire face. Seulement voilà, pas d’étincelles, Jobert campe son rôle de femme encore adolescente sans y apporter la profondeur nécessaire et Bronson se contente de promener son charisme affublé d’un doubleur plus que moyen. Les seconds rôles aussi semblent bien ternes à commencer par le mari italien caricatural ou encore les blondes potiches qui se succèdent, la mère et l’ami policier s’en sortent plutôt bien et viennent un peu relever le niveau. Mais les comédiens sont presque excusés par les dialogues qui semblent tirés d’un téléfilm de mauvaise qualité, probablement dû aux différentes langues parlées sur le tournage (anglais, français, italien), qui plombent un peu trop des scènes de confrontation verbale qui aurait eu besoin d’un meilleur traitement. La musique de Francis Lai présente des parties intéressantes mais finit par être dévalorisé par une mauvaise utilisation et des placements pas toujours judicieux, rien de mémorable de ce côté-là non plus. La réalisation de René Clément en revanche est déjà plus intéressante est présente quelques séquences très réussies, notamment lors de la scène du meurtre. Mais là encore on trouve des flashbacks dont on se demande ce qu’ils font là au premier abord tellement leur placement est incongru, puis on comprend qu’ils sont sensés expliquer la condition psychologique de notre héroïne, ça marche pas fort. Reste au final que le film reste fidèle à lui-même et garde une certaine unité et qu’on a toujours plaisir à voir Bronson déambuler mais sinon je ne vois pas de raison pour découvrir ce film.
Rapidement René Clément a su installer un climat intriguant ce qui fait de Le Passager de la pluie un film prenant dès le début, durant trois quart-d'heure Le Passager de la pluie est un bon thriller et le duo Jobert/Bronson fonctionne très bien ; on peut regretter que durant la 2nde heure le film s'égare un peu mais l'ensemble de Le Passager de la pluie est réussi et se laisse regarder jusqu'au bout sans déplaisir.