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TTNOUGAT
599 abonnés
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5,0
Publiée le 5 avril 2009
5*sans hésitation puisque c'est un flm que je revois régulièrement tellement je le trouve original,intelligent,fascinant même et ou Bronson trouve son plus beau rôle.Il est vrai que c'est René Clement qui dirige et même l'inévitable Jill Ireland n'a pas son mot à dire.Le scénario est somptueux ,extrèmement soigné.Tout se tient parfaitement et les dialogues inhabituels,courts et forts y prennent toute leur place.Du début à la fin,je suis pas à pas cette étonnante histoire qui dégage un petit coté fantastique (l'inconnu du départ venant bien de la pluie comme le dit la maman de Juliette.Cette maman parlant peu et ne mentant jamais ,du moins devant nous puisque elle mentira pour la porte cassée)et même un peu irréel (il n'y a personne dans le car) tant Love-Love se complait dans l'obstination et ce qu'elle désire vrai.Film sur les mensonges bien entendu mais aussi sur les apparences,les ressentis personnels,les frustrations du passé et plus également d'une étrange fçon sur la banalité de la vie quotidienne...Tout est présent pour en faire le film numéro 1 de son réalisateur mais il est sans doute un peu trop complexe pour avoir été bien compris par la majorité du public de 1970.L'avenir saura le remettre en valeur auprès de tous les cinéphiles à venir.
Le casting le plus incohérent que le cinéma ait jamais eu à offrir! Qui plus est, le scénario est si alambiqué qu'une chatte n'y retrouverait pas ses petits. Mais, que voulez-vous, un grand réalisateur, ça sait transcender ce genre de chose et faire d'un handicap, un avantage. Clément mise tout sur une ambiance étrange, quasi-fantastique (nourrie par les invraisemblances du scénario) et le contraste entre ses personnages (Annie Cordy est épatante). Ce film garde encore maintenant un délicieux parfum de mystère. Un film à reévaluer.
Si ce n’est l’orgueil de faire venir jouer Charles Bronson sur la côte d’azur, il est difficile de comprendre ce que René Clément à chercher à obtenir en mettant en scène cette triste histoire de chantage. Nous imposer ainsi deux heures d’un face à face sans enjeu intéressant filmé à un rythme soporifique, ne nous menant que vers une conclusion maladroitement alambiquée passant par de futiles passages mélodramatiques, était déjà un pari risqué, mais quand, en plus, les acteurs ne semblent pas motivés, le projet est voué à l'échec… Dommage l’idée de départ pouvait pourtant sembler prometteuse pour un thriller efficace.
Une personne peut qualifier un film d'excellent quand elle ne se lasse pas de le regarder, ce qui est mon cas. Certes, la première fois je n'ai pas tout compris car l'intrigue peut paraitre complexe pour qui n'est pas forcément amateur de policiers et il m'a donc fallu un second visionnage pour en apprécier tout le scénario, mais derrière ça, l'atmosphère intense du film, le jeu d'acteurs -notamment celui de Marlène Jobert et Annie Cordy- ainsi que la force du jeu du chat et de la souris entre les deux personnages principaux m'ont littéralement transportée. J'ai craqué pour ce personnage de Mélancolie, en proie avec ses démons du passé qui font d'elle une personne pleine de contradictions, à la fois craintive et courageuse, gaie et triste, forte et fragile, prête à se mettre en danger à cause de ses blocages d'enfance; elle est d'ailleurs une femme-enfant. Quant à Charles Bronson, rien à dire, il est parfait dans son rôle de flic à la dent dure mais qui ne peut s'empêcher d'avoir un faible pour sa proie. J'aime énormément ce film qui m'a fait découvrir il y a maintenant plus de trois ans Marlène Jobert dont je suis tombée amoureuse, un coup de foudre cinématographique.
Violée par un inconnu qu'elle a ensuite tué, une femme voit débarquer dans sa vie un mystérieux Américain très curieux... Une très belle surprise que ce long métrage de René Clément. L'histoire est assez passionnante à suivre notamment et surtout dans sa première partie, grâce à une mise en scène assez intriguante et qui propose quelques séquences bien marquantes. Mais si le film s'avère aussi palpitant à visionner, c'est grâce aussi au jeu du chat et de la souris auquel se donnent les deux interprètes principaux que sont Marlène Jobert et Charles Bronson, qui sont tout les deux totalement impliqués dans leurs personnages. A noter aussi les présences sympathique de Annie Cordy ( étonnante dans le rôle de la mère de Marlène Jobert ) mais aussi de Jill Ireland. Il s'agit donc d'un thriller franco-italien qui est assez prenant dans son style et qui mérite largement le coup d'oeil.
Passées les vingt premières minutes fortes en tension, "Le Passager de la pluie" s'enfonce peu à peu dans un duel psychologique entre Marlène Jobert (moyenne) et Charles Bronson (bon), jusqu'à une certaine lourdeur. Difficile au final de retenir grand chose du film, malgré de bons moments.
Un casting assez détonant. Un Charles Bronson en forme comme jamais. Et un scénario plutot interressant, fait que ce film possede un certain attrait. Pas mal du tout.
Jouant sur la relativité de la normalité & sa part d'illusion, le film trouve son apogée dans ce subtil combat mi-rêve/mi-réel de fin ainsi que l'avaient, de toute façon, souhaités ces scientifiques: une oeuvre expérimentale sinon intéressante en dépit de quelques lourdeurs...
Du scénario bien ficelé et riche en rebondissements au jeu convaincant des acteurs, "Le passager de la pluie" sait nous tenir en haleine et entretient une petite brume de mystère qui ne se lève que petit à petit tout au long du développement de l'intrigue. Ce climat intriguant en fait une oeuvre captivante dont ne peut décrocher avant de connaitre le fin mot de l'histoire. Une mise en scène un peu plus folle et une photo plus léchée aurait été la cerise sur le gateau mais le résultat demeure des plus satisfaisant.
Une sorte de thriller plan-plan qui ne provoque ni frissons ni intérêts.De plus,sur une trame éculée(un inspecteur de police harcèle une femme pour qu'elle avoue un meurtre)préfère les dialogues insipides et les longueurs insignifiantes.Le jeu du chat et de la souris de Charles Bronson et Marlène Jobert n'est pas crédible une seconde à l'image de leur interprétation.Lui,récite son texte en Français phonétiquement,se contente de gonfler les biscottos et de lançer son regard langourant.Elle,passe son temps à minauder et à geindre.Comment croire qu'elle ait pu tuer son agresseur de sang-froid?"Le Passager de la pluie"(1969),sans mystère,ni rebondissements,joue donc sur le rapport de ces deux êtres qui tentent de s'approvoiser.La partie policière est vraiment faiblarde.Seule la musique mélodramatique de Francis Lai remonte un peu le niveau.
Le lancement de l'intrigue est bon. A l'arrivée de Charles Bronson, le ton change légèrement et le duo formé avec Marlène Jobert est intéressant. Le duo est très improbable mais j'ai beaucoup apprécié la jeunesse et surtout la simplicité à demie naïve de l'actrice. Son face à face avec Bronson est très bien interprété. Sa défense naturelle est parfaitement crédible et on nage entre comédie et sérieux. Un peu long, tout de même.
Je ne vais pas le cacher, j’ai lutté une bonne partie du film pour ne pas m’endormir, ce qui n’est pas bon signe. L’histoire se veut alambiquée, mais se trouve au final assez simpliste. La tentative pour donner de la profondeur aux personnages n’aboutit pas. Si Marlène Jobert Jobert a de jolies jambes elle est loin d’être convaincante dans ce film à l’inverse d’une surprenante Annie Cordy qui est celle pour qui cela vaut le coup de découvrir le film. Charles Bronson a un rôle qui joue beaucoup sur l’ambiguïté mais j’ai fini par m’en désintéresser comme du reste d’ailleurs.
Casting international pour navet intersidéral. Si vous voulez voir Annie Cordy en tenue d'Eve dans son lit, Charles Bronson affublé pendant deux heures d'un sourire charmeur agaçant à la eddie constantine, ou encore Marlène Jobert mettre une paire de claques à Jill Ireland, ce film est fait pour vous, sinon passez votre chemin car ce drame/thriller sans suspense est à vomir tant ses situations stagnent dans la bêtise, son intrigue est inexistante; les intimidations et affrontements sur le thème dominant-dominé se succèdent, avant qu'on apprenne après plus d'une heure insupportable de film ce que le moustachu fait vraiment là. l'essentiel du film est un jeu d'intimidation bébête entre la jeune ingénue et le mystérieux américain et son faux accent à couper au couteau... Sans intérêt donc.
Rapidement René Clément a su installer un climat intriguant ce qui fait de Le Passager de la pluie un film prenant dès le début, durant trois quart-d'heure Le Passager de la pluie est un bon thriller et le duo Jobert/Bronson fonctionne très bien ; on peut regretter que durant la 2nde heure le film s'égare un peu mais l'ensemble de Le Passager de la pluie est réussi et se laisse regarder jusqu'au bout sans déplaisir.
L'idée de voir Charles Bronson dans un thriller français était très alléchante. Malheureusement le résultat n'est pas du tout à la hauteur des espérances. Le film est mou, les personnages manquent de profondeur et très vite on s'ennuie.