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    Archimède, le clochard
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    44 critiques spectateurs

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    MGM-ranger
    MGM-ranger

    158 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2016
    Film savoureux avec un Jean Gabin en forme épaulé par des dialogues somptueux écris par le grand Michel Audiard. C'est toujours un plaisir de revoir ce genre de film de l'ancien temps, qui se bonifie même avec l'âge. Le film de Gilles Grangier traverse plus d'une cinquantaine d'années et est toujours aussi drôle. Cette comédie aux ingrédients de la vieille école comme ses traditionnels personnages "gouailleurs" l'emporte en terme de qualité sur la plupart des films comiques actuels.
    HarlemSnake
    HarlemSnake

    9 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2013
    Cette comédie est d' une poésie et d' une sincérité rare reposant sur une vision lucide de la société accompagnée par des dialogues somptueux amenant à nous poser certaines questions autour de notre existence à savoir si notre niveau social impacte sur notre bonheur, nos pensées et nos actes. Archimède est pauvre mais c' est un homme libre à la grande noblesse d' âme, qui ne freine pas ses pulsions et ces dires et ce pour notre plus grand plaisir. Du Gabin, du Blier, du Cowl, du Audiard, tout cela nous donne un très bon millésime qui se déguste comme en un grand cru malgré sa simplicité.
    Julien D
    Julien D

    1 204 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Sans conteste le rôle comique le plus mémorable de la longue et florissante carrière de Jean Gabin, Archimède le clochard est un personnage marginal qui pose un regard aiguisé sur notre société, mitraille des répliques chocs rédigées par Michel Audiard, nous offre des mimiques guignolesques et quelques pas de danse incongrus. Autour de cet attachant vagabond, gravite d’autres personnages, caricaturaux et moins percutants, mais interprétés par des acteurs tout aussi impressionnants (Darry Cowl en SDF timide, Bernard Blier en patron de bar teigneux ou encore Jacqueline Maillan dans un de ses tous premiers rôles). Un excellent casting, au service d’une histoire touchante dont beaucoup de scènes sont hilarantes malgré la gravité de la détresse sociale qu’elle dépeint. , le résultat est une comédie fort divertissante mais, cependant assez peu connue du grand public, peut-être justement à cause de la sincérité de la façon dont menée cette réflexion sur le lien entre la condition sociale et la quête du bonheur.
    Touka Speed
    Touka Speed

    16 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2015
    Un film plein de bonne humeur une pléiade d acteurs qu' on a plaisir à revoir et tout cela doublé d un super documentaire sur la ville De Paris le métro et les vielles voitures délice
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    199 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2010
    encore une grande prestation de Jean Gabin bien entouré par Darry Cowl dans une histoire humoristique aux dialogues charismatiques sur fond sociale !!!
    halou
    halou

    120 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2008
    Une bonne comédie. De toute façon avec Gabin en clodo on pouvait pas se tromper.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mars 2008
    Pas assez connu ce film, désolé pour les amoureux du pompeux mais "moi ça me fait marrer ces conneries là" à voir sauf si vous n'aimez pas Gabin car il est en forme et à tout les étages.
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2010
    Une fois encore, Gabin brille de mille feux sous l'oeil de la caméra de Gilles Grangier, plus cabotin que jamais, avec les mots d'Audiard dans la bouche. Un vrai régal !
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 804 abonnés 12 441 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 septembre 2017
    Quel bonheur de voir Gabin en clodo dans des dialogues percutants de Michel Audiard ("Eh ben moi ce qui me les casse, c'est les faux affranchis, les pètrôleurs syndiquès et les anars inscrit à la sècuritè sociale! ça refait la Chine, ça prend la Bastille et ça se prostitue dans des boulots d'esclave! Ah ils sont beaux les réformateurs du monde")! Un Archimède attachant et pètillant qui n'a soudain plus de refuge et qui va chercher à se faire envoyer en prison juste pour passer l'hiver au chaud! Entre temps il ira tremper en plein mois de mars ses pieds à Cannes face au Carlton Hôtel, et devant le regard ébahi de Noël Roquevert qui se montre comme toujours excellent, même dans un petit rôle! Gilles Grangier a eu la bonne idèe de tourner son film dans le quartier des Halles de Paris, quartier qui n'avait rien à voir avec ce qu'il est devenu, les vieilles Halles de jadis! Gabin et Grangier s'entendaient fort bien puisque c'ètait leur sixième film ensemble, mais il fallut tout de même des trèsors de patience au cinèaste pour que Gabin accepte un moment de danser le charleston dans une scène de soirèe mondaine chez Jacqueline Maillan, qui trouve ici l'un de ses premiers rôles au cinèma! Finalement Gabin accepta de danser et il parait qu'on ne pouvait plus alors l'arrêter ce jour là! Aux côtès de Gabin, on notera de très grands seconds rôles de l'èpoque avec Bernard Blier, Julien Carette et Darryl Cowl, qui impressionnè par Gabin, bègayait tant et plus sur le tournage! Voici donc de très bons moments d'acteurs dans cette petite merveille enjouèe des annèes 50 avec la musique entrainante de Jean Prodromidès...
    rogertg2
    rogertg2

    30 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2007
    Une sympahique comédie qui nous fait rire du début à la fin avec les pitreries de Jean Gabin, toujours aussi formidable, d'après les dialogues de Michel Audiard. De plus, il est entouré de nombreux seconds rôles de qualité. On ne s'ennuie pas une minute.
    TCovert
    TCovert

    79 abonnés 383 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2009
    Film sans ambition, tourné simplement, il reste un très bon moment de détente grâce au rythme des dialogues du maître Audiard et à ce personnage de clochard-aristocrate attachant. C'est Jean Gabin qui l'incarne, et si l'on a droit à ses mimiques habituelles (qui restent cultes) on a droit aussi à des pas de danse qu'il exécute mi-beurré-mi-cultivé.
    loeil38
    loeil38

    19 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2010
    un régal se film un jean gabin magistrale dans sont role du clochard ivrogne un peu déjanté on passe vraiment un bon moment devant se film a l'ancienne
    Max Rss
    Max Rss

    199 abonnés 1 769 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 octobre 2017
    La collaboration Gabin-Audiard, c’était du sérieux, débouchant sur de très bons films. On ne va pas les citer hein. Premièrement, parce qu’on les connait par cœur. Et deuxièmement, car la liste est assez longue. En revanche, il y en a eu aussi des beaucoup moins bons. A l’image de cet « Archimède le clochard » qui à mon goût est une comédie bien décevante et qui n’est jamais capable de nous offrir une poilade qui, sur le papier, était des plus alléchantes. Une poilade qui n’a malheureusement pas lieu. Pourtant que ce soit Audiard ou Gabin (qui en fait d’ailleurs des tonnes) aucun ne ménage ses efforts. Mais cette fois ci, la mayonnaise ne prend absolument pas. Ça démarre pas trop mal, mais l’on finit par s’ennuyer et décrocher complètement. Cela aurait pu être très drôle, mais ça ne l’est pas. Pourtant, il y a une forte connotation sociale dans ce film. Avec au passage un foutage de gueule bien appuyé adressé aux gens de la Haute. Une connotation en quelque sorte « noyée » sous un flot de franchouillardise totalement assumée. Mais ça ne peut pas marcher à tous les coups. La classe et le charisme animal de Jean Gabin ne peuvent pas tout faire non plus. Et l’on ne peut pas compter non plus sur un Bernard Blier, qui est malheureusement trop peu présent. Entre deux ou trois verres de pinard, de champagne et de tapanel supérieur de la réserve du père Grégoire, on n’a pas grand-chose à se mettre sous les chagnottes. Tant pis.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 189 abonnés 4 177 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 avril 2024
    Sorti de sa longue traversée du désert d'après-guerre avec "Touchez pas au grisbi" de Jacques Becker qui le remet en selle en 1954, Jean Gabin rattrape le temps perdu en enchaînant pas moins de 22 films en cinq ans. "Archimède le clochard" arrive alors que sa collaboration avec Jacques Audiard fonctionne à plein tout comme celle avec Gilles Grangier. Il s'agit de leur sixième film en commun. Inutile de préciser que les automatismes sont désormais rodés, chacun sachant ce qu'il attend de l'autre. C'est ce moment précis de la carrière du grand acteur que lui reprocheront les jeunes Turcs de la Nouvelle Vague qui jugent le cinéma prôné par les trois hommes un peu rance et teinté de relents anarchistes aux accents franchouillards mal venus de la part de grands bourgeois.
    "Archimède le Clochard" suivi peu de temps après par "Les vieux de la vieille" (1960) constitue l'archétype de ce que la critique de l'époque adore abhorrer. Le film attirant quatre millions de spectateurs sera pourtant le septième plus grand succès de la carrière de Gabin et lui rapportera un Ours d'argent au Festival de Berlin en 1959. Les péripéties de ce vieux clochard, aux saillies, empreintes d'un savant mélange entre argot et poésie, trahissant ses origines nobles sont quoiqu'on en dise un véritable régal tant pour les yeux que pour les oreilles. Le propos léger voulu par Gabin (cité au générique sous son véritable patronyme pour l'idée) permet certes à l'acteur de se détendre après deux films à forte intensité dramatique (Les Grandes Familles" d'Henri Verneuil et "En cas de malheur" de Claude Autant-Lara) mais il semble avoir retrouvé une vitalité que l'on avait crue envolée avec les rôles de notables accomplis qui défilaient depuis "Le Grisbi".
    Il faut le voir effectuer avec un plaisir non feint plusieurs numéros directement inspirés de sa jeunesse passée au cabaret. Derrière un Gabin ragaillardi sous sa barbe blanche, c'est toute une troupe d'acteurs fidèles et au meilleur d'eux-mêmes qui débitent les petites perles que leur propose un Audiard parfaitement dans son élément. Dary Cowl, Bernard Blier, Julien Carette, Paul Frankeur, Jacqueline Maillan, Albert Dinan, Dora Doll, Paul Mercey et l'inénarrable Noël Roquevert nous rappellent que les grands seconds rôles n'ont pas besoin de longues minutes pour exister même face à un géant comme Jean Gabin.
    Ode à la désobéissance civile et à la liberté comme mode de vie, "Archimède le clochard" n'en promeut pas moins certains grands principes qui vont de pair comme la fraternité, la responsabilité de ses actes et surtout le maintien d'une forme de cohérence. Des principes aujourd'hui quelquefois un peu oubliés qu'il n'est pas inutile de se rappeler en passant un excellent moment avec "Archimède le clochard" qui soixante ans après sa sortie, nous parle encore.
    Chaill
    Chaill

    19 abonnés 397 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2016
    Un personnage haut en couleurs taillé sur mesure pour Jean Gabin, qu'on s'amuse à suivre dans son quotidien de squatteur d'immeuble en chantier et de saccageur de bars. Les seconds rôles sont remarquables, avec en tête Bernard Blier qui campe un patron de bar caractériel et influençable au possible, et Darry Cowl émouvant en paumé peu érudit. La réflexion principale du film émane de la scène ou Archimède (bohémien sans le sou) laisse un ouvrier (prisonnier de sa routine) rêveur en lui annonçant son intention d'aller vivre sur la côte.
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