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Un visiteur
5,0
Publiée le 2 janvier 2008
the faculty est un très bon film pour ados . Ce n'est pas un film d'horreur comme on pourrait le croire mais plutôt un film fantastique ou de science fiction . Les acteurs ont été bien choisis , il y a du suspense , de l'action , une petite dose d'horreur et des rebondissements notamment à la fin . A voir car c'est un excellent film malgré quelques longueurs .
ça un super film d'horreur , action , reondissement , coup de theatre , marrant , grossier , les scène gor enfin bon du pur rodrigez . Je le note car déjas j'aime bien les de rodrigez , d'horreur , d'allien... l'histoir est bien chercher les acteur joue archie bien , le de mélangée des autres film d'alien comme mib ou e.i.t je trouve ça exellent l'un des meilleur rodrigez . acheter le louer en gros voyer-le .
Dans ce film Rodriguez ne fait que reprendre des idées déja exploitées autre part et ne parvient pas a convaincre , le scénario est maigre et bancal on n'arrive pas a rentrer dans le film.Toutefois Rodriguez emet une théorie très interressante sur les films de science fiction et les extraterrestres.Le tout est quand meme plutot décevant.Heureusement Rodriguez se rattrapera plus tard avec des films comme "sin city "et "planète terreur"...
Comme beaucoup, je ne suis pas en totale admiration devant le travail de Robert Rodriguez. Néanmoins, force est de constater qu'il lui arrive d'accoucher parfois, de longs métrages funs et plaisants à regarder. A mon sens, The Faculty a le grand honneur de faire parti de ce comité. C'est simple, carré et efficace, une bonne série B qui revisite L'invasion des profanateurs, à la sauce "teenagers". En outre, ce n'est pas politiquement correct: la drogue qui est considérée comme ultime planche de salut. Puis il y a pas mal de références et de clins d'oeils à des oeuvres antérieures (qu'elles soient littéraires ou cinématographiques) traitant de près ou de loin ce sujet là. Comme d'habitude chez le cinéaste au sombrero, le casting est hétéroclite et de qualité. A peu près tous les acteurs ont la tête de l'emploi, surtout Robert Patrick, que j'ai toujours trouvé excellent dans ce rôle de professeur de sport gueulard et intransigeant (c'est le plus flippant de tous). Je finirai ma critique, sans trop m'attarder sur quelques éléments qui donnent aussi de l'attrait à ce film: la bande originale est sympa car elle s'ancre bien dans l'univers, la mise en scène est sans éclat mais correcte, et enfin les effets spéciaux n'ont pas trop mal vieillis (pas mal le design de la créature finale); et pourtant ce n'était pas un gros budget à l'époque, loin de là.
Attention,du Kevin Williamson au scénario se prend toujours avec une certaine appréhension,et avec The faculty il ne faudrait surtout pas changer les habitudes.D'autant que dans celui la,le pauvre etait apparamment victime de paresse tellement le scénario est médiocre au possible.L'histoire déja bien banale est transformée en une soi disant critique de l'éducation merveilleusement illustrée par la BO.De quoi ameuter les teenagers les plus rebelles.Le pire n'est pas le scénario mais la mise en scéne peut-étre volontairement sacagée par Rodriguez qui nous transforme ce produit en une sorte d'épisode pour AB productions avec un budget de fou.Bref une bonne daube qui fait bien rire.
Dans la lignée de "l'invasion des profanateurs" de Don Segel, auquel il fait d'ailleurs référence à plusieurs reprises, le film de Robert Rodriguez ne m'a pas convaincu pour autant. Un peu comme dans ces nombreuses comédies pour teenagers, on retrouve les recettes qui font les scénarios à 3€ : les bimbos apeurées par des vilains monstres extraterrestres, les jeunes loups qui protègent leur dulcinée... Bref, rien de bien passionnant. On retiendra une distribution de comédiens débutants à l'époque et déjà épatants : Salma Hayek, Elijah Wood, Josh Hartnett. Et une intrigue qui nous tient en haleine un moment. Un moment seulement.
Au départ, fut la rencontre entre un artisan du film de genre en pleine ascension post-"Une nuit en enfer" qu'est Robert Rodriguez et le scénariste à succès après la déferlante "Scream" Kevin Williamson, puis au final, on a droit à un film de genre en forme d'hommage pour toutes ces fictions de science-fiction tel The thing ou Body snatchers. Car le scénario de Kevin Williamson ne cache pas de quel côté son histoire va. Comme pour "Scream", on a droit à tout un tas de référence du film d'extraterrestres tel Independence day, Men in black, The thing ou de réalisateur comme Steven Spielberg ou Roland Emmerich. Ainsi il sait jouer avec les codes du genre, avec humour, la scène du sniffage pour reconnaitre qui n'est plus humain renvoie directement à "The thing". Combinée à la sauce teen-movie, Robert Rodriguez, entouré d'une pleiade de jeunes acteurs talentueux Elijah 'Frodon' Wood en tête, s'en tire avec les honneurs dans un remake ado et rock'n roll (délicieuse reprise de The wall notamment lors du match de football américain) des invasions de profanateurs et de The thing, lorgnant sur le droit à la différence. Un vrai film pop corn qui prend pas le spectateur pour un imbécile car production honnète et sincère de son réalisateur pétri de talent.
Un film qu'on oublie aussitôt l'avoir vu.... la mièvrerie est tellement présente que c'est trés laid parfois Les acteurs font ce qu'ils peuvent mais c'est trés laid... Vraiment. Aucun intérêt de gaspiller de son temps pour regarder un tel déchet.. une étoile pour quelques scènes plutôt réussies.. le scénario est bancal.
Exclusif : les extraterrestres ne sniffent pas. Pour les anéantir, il suffit de leur expedier dans les narines une bonne dose poudre blanche fabriquer par le dealer du campus, "caféine plus quelques ingrédients", lui font dire les scénaristes, soucieux de ne pas trop froisser les censeurs. La fac, puis la ville, puis le pays doivent être entièrement plagocytés par des "Aliens" prenant forme humaine pour asservir les Terriens. ça vous rappelle quelque chose ? Gagné : les dialogues de Kevin Williamson, auteur de Scream et cinéphile comfirmé, ne cessent de citer L'Invasion des profanateurs de sépultures, ce classique cauchemardesque de Don Siegel. Mise en scène musclée de Robert Rodriguez.
L'avantage en regardant un film de Robert Rodriguez c'est qu'on est sur de pas se faire chier (vous me direz, je n'ai pas vu les Spy Kids, assez nuls parrait-il...). L'inconvenient c'est qu'on sait que ce ne sera pas un chef d'oeuvre non plus (sauf peut-être Desperados 2). Une nouvelle preuve ici avec The Faculty. Efficace, bien ficcelé, on ne vois effectivement pas le temps passer. Les ados sont presque crédibles, pour une fois dans un film, ce qui aide sans doute à s'attacher aux héros. Prestation honnorable des différents acteurs, et révélation du fadasse Josh Hartnett et du mystérieux Elijah Wood...
Pourquoi, à l’image de Men in Black, faut-il toujours que les extraterrestres qui débarquent sur notre planète soient des monstres absolument horribles et dont les desseins sont mauvais ? Oui, bon d’accord… Il faut bien faire un film… Celui-ci est assez réussi avec un Elijah Wood très convaincant dans ce rôle de geek-héros malgré lui. Si l’on écarte les grosses facilités de scénario, c’est un film plaisant et bien emmené que l’on regarde avec plaisir.
Robert Rodriguez est un réalisateur qui apporte toujours son lot de surprises dans ses réalisations. Ici, on retrouve des jeunes toujours intelligents, physiquement agréables, et un extra-terrestre plutôt bien foutu. C'est du film pour teenagers qui ne se prend pas la tête. C'est appréciable mais sans plus. Le film nous présente quelques comédiens en devenir : Josh Hartnett et Elijah Wood. Voila. Que dire d'autre ? Ah oui, on légitime la drogue comme super produit pour se défoncer mais pas que ça...puisque ça peut aussi être une arme d'enfer pour lutter contre les forces du mal. Coté enseignants, Robert Patrick, Salma Hayek, Famke Janssen sont très bons et font froid dans le dos...dès lors qu'ils changent de camp. Un film sacrément bien balancé avec une réalisation efficace. Rodriguez nous montre toute l'étendue de ses facultés. Peut mieux faire cependant.
Un teenage movie juste divertissant, sans plus. Respectant les bases du genre, Robert Rodriguez n'hésite pourtant pas à nous emmener la où il veut aller, c'est à dire pas très loin. Du coup, le scénario est aussi faible que truffé d'invraissemblances. Pourtant, l'idée d'installer l'attaque des extraterrestres dans un lycée paumé d'Amérique avec comme résistants différents profils de la marginalité chez la jeunesse est séduisante voire pertinente. Le casting est également à la hauteur, et ce film a servi de tremplin à Elijah Wood et Josh Hartnett, tous les deux très bons, et à un degré moindre, à Clea Duvall(une vie volée, Ghost of Mars, Heroes). Cependant, l'ensemble reste très moyen. Dommage!