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chrischambers86
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4,5
Publiée le 22 juillet 2019
Les gars de la 7eme compagnie sont de retour! Pierre Mondy / Chaudard, Jean Lefebvre / Pithiviers et Henri Guybet / Tassin reviennent dans une troisième partie à voir et à revoir tant le trio porte cette "Septième compagnie au clair de lune" sur leurs èpaules! Sous l'Occupation allemande, Chaudard revient dans sa fameuse quincaillerie à Vesoul que l'on aurait pu classer comme « monument historique » parce qu'on peut dire qu'il s'en passe des choses à l'intèrieur! Pithiviers et Tassin annoncent leur visite! Une visite qui va s'avèrer poilante car riche en gags: le grelot, le marchè noir, le braconnage, le rèseau Attila...Autant de scènes drôles avec plus que jamais cet humour franchouillard, qui nous va droit au rire a s'en tenir les côtes, même s'il prend parfois des chemins buissonniers (« oh, un mulot ! ») ou le large du côtè de Dahouët (les paniers retournès), magnifique petit port breton des Côtes-d'Armor que j'ai visitè en 2011! Le succès n'a (malheureusement) plus entraînè d'autres suites mais on n'oubliera jamais cette 7eme compagnie de transmission, son trio d'acteur èpatant, ses gags d'anthologies, sa musique mythique et surtout ses rèpliques qui, pour certaines, sont passèes à la postèritè (« Tassine, Downe towne falzar »). Merci Robert Lamoureux...
Un poil moins drôle que le cultisme "On a retrouvé la septième compagnie", cette dernière aventure des trois plus braves soldats que la France à sans doute enfanté n'en reste pas moins excellente. Merci Jean Lefebvre, merci Pierre Mondy, merci Lamoureux, merci tout ce beau monde pour cette trilogie tellement plaisante à revoir année après année. Du cinéma français comme on en fait plus... 16/20
" La 7e compagnie au clair de lune " troisième et dernier volet de la trilogie de " La 7e compagnie " .
En 1942 soit deux ans après leurs mésaventures pendant la bataille face aux allemands qui avaient envahit la France et qui avait amener à la fameuse débâcle de 1940 où les soldats français ont du s’incliner le chef chaudard ( Pierre Mondy ) et ses compagnons d’armes Tassin (Henry Guybert ) et Pitivier (Jean Lefebvre ) sont revenus à la vie civile et se sont adapter à l’occupation allemande . Tassin et Pitivier se rendent à Vesoul rendre visite à Chaudard dans sa quinquaillerie . Suite à un quiproquos ils sont pris pour des résistants et les voilà embarquer dans de nouvelles mésaventures pourchasser par les allemands et la Gestapo ...
Après l’énorme succès des deux premiers volets ( " Mais où est donc passée la 7e compagnie " et " On a retrouver la 7e compagnie ” ) en 1973 et 1975 il était évident qu’un troisième opus verrait le jour pour continuer à surfer sur ce succès . Le réalisateur Robert Lamoureux décida donc de poursuivre l’aventure en lançant une troisième mouture de sa " 7e compagnie ” en 1977 avec toujour la même équipe de choc . Ce troisième et dernier opus de la trilogie de " la 7e compagnie " est sympathique mais un peu décevant et assez inférieur aux deux premiers volets . Le film est un peu moins drôle que les précédents opus avec un peu moins de gags et moins de répliques drôle ( Le réalisateur et scénariste du film Robert Lamoureux était moins inspiré à l’évidence ) ce qui convainquera un peu moins le public à sa sortie le film faisant un succès assez inférieur aux deux premiers volets ( 1,7 millions d’entrées ) . De plus le film n’est pas une suite direct du deuxième volet ( comme c’était le cas avec le deuxième opus qui était une suite direct du 1 qui reprenait tout de suite la ou le 1 c’était arrêter ) mais une suite qui se situe deux ans plus tard pendant l’occupation allemande . C’est un peu dommage j’aurais aimer continuer sur la même lancer et voir notre trio en soldats complètement à la ramasse poursuivre leurs mésaventures pendant la débâcle c’était vraiment amusant . Et la du coup sa fait une suite qui est un peu moins lié aux deux premiers films . Vu que ce 3e opus ne se situe pas tout à fait à la même période sa crée un petit décalage avec les deux premiers films ( Le trio n’est plus soldat mais est revenu à la vie civile , le contexte à changer on est plus en bataille face aux allemands mais sous leur occupation...) . Bon après ce changement de contexte permet d’apporter également un peu de nouveauté par rapport aux deux premiers films ce qui n’est pas désagréable non plus . Malgré ses quelques points négatifs sa reste une comédie sympathique avec toujours quelques scènes et répliques amusante qui nous divertissent bien . On se marre pas comme des baleines mais c’est distrayant dans l’ensemble . Le film est toujour porter par le trio culte Pierre Mondy , Henry Guybert et Jean Lefebvre qui sont toujour excellent dans le rôle de Chaudard , Tassin et Pitivier ses trois compagnons d’armes complètement à la ramasse qui vont réussir une fois de plus à s’embourber dans de nouvelles mésaventures délirantes quand ils vont être pris pour des résistants et que la gestapo va les traquer . Au cour de leur mésaventures ils vont rencontrer de sympathique seconds rôles comme Jean Carmet dans le rôle d’un type qui va les aider à s’enfuir et à passer la ligne de démarcation , Gérard Jugnot dans l’un de ses premiers rôle à l’écran qui joue le beau frère de Chaudard ou encore André Pousse excellent en membre de la gestapo qui va traqué notre trio . Un 3ème opus qui contient toujour son lot de scènes cocasses
spoiler: ( Pitivier and co déguiser en aviateur anglais et qui tente de s'exprimer en anglais alors qu'ils ne connaissent pas la langue , le trio déguisé en membre de la gestapo et qui infiltre la commandantur , le quiproquo avec le résistant dans la cave que Tassin prend pour l'amant de la femme de Chaudard , le trio sur le bateau qui tente de rejoindre l’Angleterre ...)
et de répliques amusantes
spoiler: ( " Je t'aime joli fleur des champs " , " Tassine donne ton falzar ... " )
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Pour résumer " La 7e compagnie au clair de lune " , même si elle n’atteint pas le niveau comique des deux premiers volets , est un 3e et dernier opus sympa qui conclu bien cette sympathique trilogie .
Les nouvelles péripéties comiques de nos joyeux trouffions sont tellement tordantes et les acteurs naturellement excellent (en premier Mondy et Lefebvre) que finalement on ne peut que passer un bon moment avec ce 3ème volet des aventures de la 7ème compagnie. Pierre Tornade et Robert Lamoureux ayant déserté les rangs, les héros vont se retrouvé à faire malgré eux de la Résistance et devront toujours se tirer des pires embuches afin d'échapper au terrible "Lambert" de la Gestapo joué par André Pousse et bien sur les Allemands. Les répliques sont comme de coutume aussi fendart que de coutume et la musique toujours culte. De la comédie française fait pour distraire, sans violence ni vulgarité, un cinéma qui ne se fait plus du tout de nos jours, hélas.
Un film sans prétention où règne une bonne ambiance plutot sympa. On dirait qu'il y a moins de niaiseries que dans les précedents mais qu'il y a encore beaucoup de trucs pas très réalistes. En tous cas il reste simple, de qualité moyenne à l'image des précedents mais assez distrayant pour le coup même si il n'a rien d'extraordinnaire
Troisième et dernier volet des aventures de nos 3 héros impromptus. Toujours écrit et réalisé par Robert Lamoureux, "La 7ème compagnie au clair de lune" s’avère être l’épisode le moins bon de la trilogie. Pourtant, les rangs du casting ont été gonflés par la présence de Gérard Jugnot, celle d’André Pousse, ainsi que celle de Jean Carmet. Les gags sont pour certains un peu plus gros, et on pourrait même penser qu’ils seraient plus à leur avantage dans une pièce de théâtre, comme le coup de la chaise reculée. Mais quel plaisir de retrouver ce trio hors du commun, ce trio qui nous a fait partager tant d’aventures aussi folles et cocasses les unes que les autres ! L’esprit bon enfant est toujours là, peut-être même un peu trop. "Hein Tassin ?" "Hein Pithivier ?" Car il faut quand même bien le reconnaître : ça tombe parfois dans une certaine puérilité, certes déjà auparavant présente, mais quelque peu démultipliée ici. "Oh ! un mulot !" par ci, des "Haaaaaaaaah" par là… Il n’empêche qu’il reste pas mal des scènes drôles qui réussissent à compenser largement cette baisse de qualité : le quiproquo dans la cave, la scène des paniers retournés, et le summum avec les déguisements en aviateurs anglais qui inspirent encore des répliques cultes ("Tas-sine ! Do-nne ton fal-zar !" spoiler: avec un pseudo accent british aussi déformé que par quelqu’un qui ne connait pas un traître mot de la langue de Shakespeare ; et ça ose dire qu’ils ne comprennent pas parce que l’accent de leur interlocuteur n’est pas bon… hilarant ). Des scènes savoureuses avec des quiproquos utilisés à bon escient pour meubler une nouvelle réalisation moins épique et surtout moins dense. Le rythme est en deçà de ce que nous avaient offert les retrouvailles avec la 7ème compagnie, et on sent bien que des pages ont été tournées et que la franchise arrive à son terme. Si le premier épisode tendait à ridiculiser la débâcle de l’armée française, et si l’armée allemande en prenait pour son grade aussi dans le deuxième, ce coup-ci c’est la milice française aux services de la Gestapo qui est visée. La réalisation laisse parfois à désirer, notamment celle du bateau où la séquence-clé a été montée en accéléré. Peu importe, la trilogie est restée dans toutes les mémoires et va y rester encore pour un bout de temps. Flanqué de ses deux hommes pour des vacances bien méritées et qui ne seront pas de tout repos, Pierre Mondy est encore une fois excellent avec ses mimiques dont lui seul a le secret. Deux ans après avoir retrouvé la 7ème compagnie, le spectateur n’a pas de mal à se remettre dans le bain, grâce au rappel des folles aventures fait par l’intermédiaire de rapides extraits venus constituer le générique de début, porté par le sempiternel thème musical que tout le monde connait. Au final, on ne peut critiquer cette trilogie : on ne peut que louer l’adéquation qu’il y a eu dans le trinôme constitué par les acteurs/personnages/dialogues. Et en prime, nous, les spectateurs, repartons avec des répliques cultes sous le bras et le sourire aux lèvres. Que demander de plus ?
Dans cet opus , notre bande de anti -héros se trouve impliquée dans une affaire de résistant. Ils se retrouveront héros malgré eux. Le scénario est assez mince, et le film vaut surtout par la bonne interprétation impeccable du trio : Guybet, Mondy, Lefevre, qui focntionne très bien.
Ce volet est le moins bon des trois,Lamoureux ayant deja exploité de très bonne manière ses personnages dans les deux épisodes précédents,se retrouve moins inspiré. Néanmoins le film reste sympathique meme s'il n'est pas vraiment de scènes hilarantes comme dans les deux précédents volets.
Le pari était osé de donner une nouvelle suite aux aventures de Chaudart, Tassin et Pithiviers en transposant les 3 soldats hors du front dans une France Occupée. La volonté de renouvellement de Robert Lamoureux était louable mais le risque était grand de voir les 3 soldats perdre de leur drôlerie privés du front et de leur uniforme et cantonnés à leur vie civile. Au final, si "La 7e compagnie au clair de Lune" est l’épisode le moins réussi, il n’en demeure pas moins une excellente comédie qui retrouve un peu du mordant du 1er opus dans sa critique des collaborateurs (ici la traque des résistants par la milice française aux services de la Gestapo). Certes, le rythme est moins soutenu, les gags paraissent plus émoussés et l’effet de surprise s’estompe de plus en plus. Mais Robert Lamoureux (qui n’apparaît pas dans le film) peut toujours compter sur l’alchimie hilarante liant ses 3 comédiens vedette avec l’hilarant Pierre Mondy qui se voit affublé d’une épouse dominatrice, Jean Lefebvre qui nous ressert son numéro de grand naïf si attachant et Henry Guybet qui traîne son air de grand dadais gaffeur. Ils sont très clairement l’atout majeur d’un film qui, pour le reste, se repose un peu sur ses lauriers même s’il réserve de très bons moments (les retrouvailles du début, Chaudart imaginant que sa femme a un amant, les 3 héros déguisés en aviateurs anglais…) et qu’il s’offre les services de l’énorme André Pousse en collabo, de Jean Carmet en passeur dépassé ou encore de Gérard Jugnot en beau-frère. La saga de la 7e compagnie finit certes sur sa note la moins glorieuse mais, avec le temps et la nostalgie, impossible de dissocier ce 3e opus des 2 premiers films et de considérer la trilogie dans son ensemble comme une très grande comédie comme on n’en fait plus.
Ce troisième et ultime volet manque cruellement d'action et d'humour. C'est désespérément plat et basé sur un faux rythme. On suit les aventures de nos héros malgré eux de manière détachée et sans plaisir. On ne retrouve pas leur bonhomie et l'on s'ennuie ferme.
Réalisé par Robert Lamoureux, en 1977, ce troisième et dernier épisode de la saga « La septième Compagnie » est assurément le moins bon. Durant l’occupation allemande, nos trois compagnons (Pierre Mondy, Jean Lefebvre et Henri Guybet) sont revenus à la vie civile. L’humour franchouillard est bien présent et l’ensemble reste très quelconque. Bref, comme toute série, il était certainement temps que cela prenne fin.
La Septième compagnie au clair de lune n’est pas aussi réussi que les deux premiers films, mais reste un bon divertissement. La mise en scène de Robert Lamoureux est correcte, les acteurs comme Jean Lefebvre, Pierre Mondy ou encore Henri Guybet sont convaincants dans leurs rôles et soutiennent même pratiquement entièrement le film. Bref, c’est une bonne comédie, même si le scénario n’est pas très recherché…
Le troisième et dernier film de la saga, même s'il est moins bien que ses précédents épisodes, est toujours très drôle. Jean Lefebvre, Pierre Mondy et Henri Guybet sont toujours présents et s'en donnent à coeur joie !
La 7ème compagnie au clair de lune est très différent des deux précédents épisodes. Il leur est inférieur certes, mais surtout il y a un coté étonnamment mélancolique, un peu crépusculaire. Il y a de l’humour, et pourtant on sent que la saga touche à sa fin, beaucoup de pages se sont tournées par rapport aux épisodes antérieurs, des personnages ont disparu. Cela fait qu’il est probablement plus difficile d’entrer pleinement dans le film. Le trio principal est toujours au rendez-vous avec Mondy-Lefèbvre-Guybet. Ils livrent tout trois un numéro sans surprise, mais qui parvient toujours à être efficace et amusant, même si la complicité Lefèbvre-Guybet est moins bien exploitée ici. Il y a par ailleurs quelques seconds rôles de qualité, notamment ceux de Gérard Hérold, Gérard Jugnot et André Pousse. A noter le petit rôle de Jean Carmet aussi. Tout ce casting assure un divertissement sympathique, mais il est vrai qu’il y a un coté plus réaliste, avec une absence presque totale de personnages décalés, au contraire de ce que proposait les deux films antérieurs, et surtout le 2. Le scénario est ici un peu étrange. En fait il avance assez péniblement, s’intéressant cette fois au milieu de la résistance, mais en paraissant stagner. Après un début prometteur, jusqu’à la séquence de l’avion, ensuite le film s’enlise, ne sachant trop quelle direction prendre. Il n’a plus vraiment d’enjeu, les décisions des personnages sont plutôt contradictoires. Par ailleurs le rythme est nettement moins soutenu, et les gags s’enchainent de façon plus poussive. Si quelques-uns sont toujours efficaces, malheureusement leur fréquence est assez rare, avec de surcroît, une dimension « aventure » moins cocasse. Sur la forme, la 7ème compagnie au clair de lune est dans la continuité des épisodes antérieurs. La mise en scène est assez convaincante. Lamoureux souffre toujours d’un léger manque de fluidité dans son travail, avec quelques séquences d’action qui en souffrent un peu (celle du bateau à la fin), néanmoins c’est très convenable, et il y a des passages réussis (la course poursuite avec les allemands). La photographie est sobre mais réaliste et élégante. Elle sert parfaitement les décors naturels et la reconstitution d’époque, qui s’avère très bonne. C’est bien l’âme des années 40 que délivre ce film, et c’est franchement prenant. De ce point de vue il n’y a rien à redire. Enfin, la musique est toujours au rendez-vous, le thème bien connu de la série qui d’entrée saisit le spectateur. Au final, la 7ème compagnie au clair de lune est un métrage convenable, mais qui marque un certain essoufflement par rapport aux deux précédents films. L’intention de Lamoureux en changeant l’univers de sa saga est louable, mais il s’est coupé de beaucoup trop d’éléments pour inscrire ce troisième film dans la continuité des deux autres. Par ailleurs, il a visiblement peiné lui-même pour garder le même dynamisme, et le même allant comique. Heureusement il reste les acteurs principaux et un travail formel de qualité, pour continuer d’entretenir un réel intérêt.