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Bellerophon44
4 abonnés
113 critiques
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5,0
Publiée le 30 juin 2022
Encore un chef d'oeuvre d'hilarité ! Les gars de la 7eme compagnie sont de retour ! Pierre Mondy / Chaudard, Jean Lefebvre / Pithiviers et Henri Guybet / Tassin reviennent dans une troisième partie ! Vous avez vu les 2 premiers alors le 3eme est du même gabarit ! Bravo à l'équipe qui a renouvelé l'affaire pour un 3eme volet ! on ne s'en lasse pas de les voir. c'est vraiment très drôle et presque mal au ventre tellement on rit ! A voir absolument.
Le film le moins réussi des trois. Des acteurs comme Tornade où Lamoureux font cruellement défaut. Certaines scènes restent quand même cultes, mais elles sont moins nombreuses que dans les deux premiers épisodes. Bon film malgré tout dans l'ensemble.
Le dernier épisode, toujours aussi drôle, voir pour ma part le meilleur des 3, je trouve que les épisodes de cette trilogie sont tous biens, dans celui ci, Pierre Mondy est au top, surtout avec ces mimics. Un chef d'oeuvre du cinéma français, vive le chef
Le dernier épisode de la trilogie...et malheureusement çà se ressent. Les scènes humoristiques sont plus rares, moins travaillées et surtout moins spontanées. Les 3 acteurs principaux surjouent un peu, et le scénario est vraiment limite. Bref, on retiendra surtout les 2 premiers volets. Celui-ci vaut beaucoup moins le coup d’œil selon moi. A noter la présence d'André Pousse, de Gérard Jugnot et de Jean Carmet.
Dernier volet de la trilogie qui renouvelle un peu la série puisque nos héros ont quitté le front pour se retrouver lors d'un petit week end tranquille chez le "Chef". On a le droit dans cet épisode à de seconds rôles bien choisis (Jugnot, Pousse...). L'ensemble s'enchaine parfaitement. Que du bonheur
Des trois opus, c’est celui dont on se souvient le moins. Il contient beaucoup moins de scènes cultes et il ne fait clairement pas partie de la culture populaire. De toute évidence, au-delà de sa qualité intrinsèque, c’est déjà un indice sur sa capacité plus limitée à faire rire. L’idée, sur le papier, est pourtant plutôt bonne : après la démobilisation, nos trois amis se retrouvent, bien malgré eux évidemment, associés à une action de la Résistance. Plus bêtes que jamais (Jean Lefèbvre et Henri Guybet en tiennent quand même une sacrée couche ici !), ils enchaînent les bévues et les actes de bravoure involontaires à un rythme moins effréné et dans des proportions moins hilarantes, ce qui n’empêche cependant pas l’ensemble de se tenir. La présence de quelques seconds rôles savoureux (André Pousse en habituel méchant de service, Gérard Jugnot en beau-frère grinçant, Jean Carmet dans un tout petit rôle de passeur pas très malin non plus) donne lieu à de sympathiques scènes même si certains gags se révèlent plutôt lourds. Moins trépidant et pétaradant que le précédent opus (même si Jean-Marie Poiré participe aussi au scénario et apporte, de ce fait, son goût du rythme), le film suit un découpage très scolaire en trois parties (les retrouvailles, la péripétie avec la Résistance puis la fuite) qui, s’il est équilibré, empêche toute surprise narrative. Ainsi privé de tout pas de côté, le récit manque singulièrement d’originalité. Le résultat, s’il est sympathique, est en retrait de ses prédécesseurs, la faute très certainement à un sujet pas suffisamment exploité. Certains passages donnent l’impression que Robert Lamoureux tire à la pellicule (en dépit de cela, le film ne fait qu’1h18) alors que le postulat aurait dû donner lieu à une avalanche de péripéties plus dynamiques et plus fouillées. Faire de nos trois amis, très tôt dans l’histoire, des fuyards ramène, en outre, le récit à un copier-coller des précédents, ce qui est dommageable. La trilogie se clôture donc gentiment mais paresseusement.
Après un essoufflement sur le 2ème film, cette dernière partie est finalement une bonne surprise. Ce retour à la vie civile est l’occasion de scènes démontrant tout le savoir-faire de Robert Lamoureux et du trio Mondy-Lefebvre-Guybet ; le repas de retrouvailles sonne très juste, Pousse est un collabo de premier ordre, Jugnot un beau-frère horripilant à souhait. Sans prétention mais souvent drôle.
Pour moi, le meilleur film de la trilogie. La séquence dans la chapelle avec Jean Carmet est une pépite. Le personnage de Gaston Gorgeton (joué par Gérard Jugnot) est le seul qui refuse de croire à "l'héroïsme" des 3 compères. En cela, il est le prolongement du colonel (Pierre Tornade) des 2 épisodes précédents, qui lui aussi est très incrédule.
Comme souvent le 3 eme c'est celui de trop. Se regarde mais il est tres loin des 2 premiers, beaucoup moins drole, pas de réplique culte, rien de marquant.
Ce film est vraiment sous estimé. Il aurait mérité un meilleur score au box office lors de sa sortie, et on aurait aimé avoir une suite. L'humour est présent du début à la fin, avec des scènes et des répliques mémorables.Certes, le cadre s'éloigne des 2 premiers films, mais justement, cela permet à la série de se renouveler. Notre trio de bras cassés commet bourde sur bourde, mais par un pur hasard la situation tourne à chaque fois à leur avantage, et la France entière les considère comme des héros, alors qu'ils n'y sont pour rien dans leurs exploits... On ne s'en lasse pas !
Les jeux de rôles sont exécutés a la perfection , les répliques sont bien écrites et je trouve que le film bien filmé. A noter , les retrouvailles du chef chaudard avec Pithivier et Tassin font une belle entame , s ensuit des tas de situations comiques . André pousse , Gérard Jugnot , Patricia Karim et tous les acteurs sont formidables, encore un bon moment passait avec la 7eme compagnie . Merci a Robert Lamoureux.
Beaucoup moins bien que les deux premiers, on ne peut que être déçu de ce volet. Des moments de lenteurs entre quelques grands moments de rire. Rien a voir avec les premiers de la série, triste déception.
Même si pendant ce film on assiste à une histoire et non pas à une suite de sketchs (comme dans le 2ème opus), la série s'essoufle et ce troisième et dernier "Septième Compagnie" est le moins drôle des trois. Reste la sympathie que l'on porte aux personnages. Distrayant, sans plus.