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    Greenhouse
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    45 critiques spectateurs

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    TêteBrûlée
    TêteBrûlée

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2024
    Hélas! La bande d’annonce nous portait à imaginer un film convoquant les esprits. Nous assistons aux errements d’une femme un peu falote.
    Orno13
    Orno13

    10 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2024
    Un thriller psychologique coréen qui sur le papier est intéressant mais un peu décevant dans sa forme.
    Le film nous démontre l implacabilite du destin quand on fait des mauvais choix.
    L heroine, aide soignante, s occupe d un couple malade, un drame va surgir, indépendamment de l héroïne mais elle va faire un choix qui va être déterminant et surtout va accumuler des problèmes de plus en plus grave.
    La mise en scène est assez propre mais d invraisemblance en invraisemblance nuit au scénario.
    Christoblog
    Christoblog

    791 abonnés 1 651 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Ce premier film de la réalisatrice Lee Sol-Hui se situe dans la veine cruelle (voire sadique) que le cinéma coréen aime souvent emprunter, et dont le réalisateurs emblématiques pourraient être Kim Ki-Duk et Lee Chang-Dong.

    L'héroïne est tout d'abord présentée dans la pire des situations : elle est pauvre, s'auto-mutile, vit dans un hangar, son fils est en prison, elle doit s'occuper de sa mère, visiblement atteinte d'une maladie type Alzheimer. Elle gagne sa vie en s'occupant d'un vieux couple, dont l'homme est aveugle et la femme atteinte des mêmes symptômes que sa mère.

    En résumé, c'est glauque, et pour tout dire, plus noir que noir. Mais sans déflorer l'intrigue du film, la vérité est que les choses empirent nettement vers le milieu du film, suite à un concours de circonstance tout à fait coréen dans l'esprit : improbable et particulièrement diabolique.

    J'ai fini par rire noir, si je puis dire, de tant de malheurs accumulés, parfois de façon totalement invraisemblable.

    Le film se laisse toutefois regarder, en partie parce que la mise en scène est solide et efficace, et aussi parce que l'actrice principale réussit parfaitement bien à jouer la Madonne doloriste.

    A voir pour les amoureux de cinéma asiatique.
    Virginie M.
    Virginie M.

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2024
    Une atmosphère glauque, tous les personnages du film souffrent d'un mal - être poisseux, l'aide-soignante au passé difficile, qui vit dans une serre afin d'économiser pour s'offrir un logement et accueillir son fils placé dans un centre de jeunes délinquants, le couple de personnes âgées avec le monsieur aveugle et sa femme paranoiaque et atteinte d'alzeimer, leur fils absent et indifférent, le groupe de parole pour personnes dépréssives que fréquente l'aide soignante avec une jeune fille du groupe, au passé et au quotidien de viols qui se raccroche à elle et la harcèle, la mère de l'aide soignante elle-même atteinte d'alzeimer.Tous ces personnages gravitent avec lenteur, les destins s'entrechoquent, des drames se nouent, l'ambiance s'alourdit sans espoir jusqu'au dénouement ... Quelques invraissemblances néanmoins, et que vient faire l'amant entr'aperçu dans cette histoire ?
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    171 abonnés 2 247 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 juin 2024
    Les thèmes de la vieillesse, de la dépendance et de la fin de vie sont très bien traités, sous l’angle du thriller, dans ce premier long-métrage de la réalisatrice et scénariste Lee Sol-Hui mais que c’est lent ! Ne découvrez pas le Cinéma coréen avec ce film, vous seriez déçu. Une œuvre dispensable qui va très vite être oubliée.
    Corinne76100
    Corinne76100

    41 abonnés 247 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juin 2024
    Film très lent où il ne se passe rien pendant la première moitié puis un accident fait tout basculer. Devient prenant à partir de là. Film non abouti, on sent qu'il manque un petit quelque chose
    22sur20
    22sur20

    14 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juin 2024
    GREEN HOUSE : 14/20

    Ça aurait pu s’appeler : Vie de merde !

    L’histoire d’une aide-soignante tourmentée qui va connaître une vraie descente aux enfers, un peu malgré elle.

    Ce film est assez glauque, sordide et parfois dérangeant.
    Moon-Jung va vivre des situations extrêmement difficiles au fil du temps malgré son implication sans faille pour exécuter ses tâches de la meilleure manière.

    C’est là que le film est très fort et nous montre le contraste de cette femme, entre ange et démon.
    D’un côté, la bienveillance et l’altruisme, de l’autre, la manipulation morbide et la détermination cruelle.

    On se demande jusqu’où son destin va basculer, tellement que la fin résonne un peu comme une sorte de : stop, arrêtons les frais ! Car le film pourrait continuer encore 2 heures.

    Le rythme est quand même assez lent à la limite du soporifique, et j’ai trouvé le temps un peu long.

    En bref, un film psychologique intéressant qui hypnotise par sa brutalité sans avoir besoin de balancer des images explicites ou graphiques.

    Plus de notes sur insta : 22sur20
    Cat
    Cat

    3 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2024
    Ovni cinématographique dans les salles noires. Sujet abrupt cerné au plus juste. Entre fou rire et répulsion. Jeu d'acteurs excellents. Du grand art !
    Joce2012
    Joce2012

    198 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juin 2024
    Très bon film coréen, scénario déroutant et captivant du début à la fin, suspens assuré, situations cocasses qui prêtent à sourire....
    Yves G.
    Yves G.

    1 411 abonnés 3 428 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juin 2024
    Pour Moon-Jung, la vie est une vallée de larmes. Chaque matin, après s’être levée, s’être lavée, elle se gifle silencieusement. Pour expier une faute qu’elle aurait commise ? Pour se donner le courage d’affronter une nouvelle journée ? Son fils est en prison et, s’il en sortira bientôt, refuse de revenir vivre avec elle. Son travail : assistante de vie auprès d’un couple de personnes âgées. Lui, un ancien professeur, est aveugle ; elle, atteinte de la maladie d’Alzheirmer, manifeste parfois de sombres accès de violence. Moon-Jung fréquente un groupe de paroles dont l’une des membres va se rapprocher d’elle.

    Nous vient de Corée ce premier film tourné par une jeune réalisatrice née en 1994. Il contient les mêmes ingrédients que ces films coréens dont, pour notre plus grand bonheur, nous sommes devenus familiers au fil des ans : des drames familiaux, un zest de polar, des figures féminines shakespeariennes. "Parasite" de Bong Joon-Ho est évidemment le titre le plus célèbre ; mais il ne doit pas occulter d’autres pépites : "Memories of Murder" et "Mother" du même Bong Joon-Ho, "Secret Sunshine" et "Burning" de Lee Chang-Dong, "Old Boy" et "Decision to Leave" de Park Chan-Wook…

    "Greenhouse" coche scrupuleusement toutes les cases de ce programme désormais bien rodé. Son héroïne , bien mal récompensée de son altruisme, est particulièrement poignante. Chacun de ses bienfaits se retourne contre elle avec un malin plaisir. "Greenhouse" (ce titre énigmatique désigne la serre dans laquelle Moon-Jung s’est temporairement installée en attendant de louer un appartement avec son fils) est le récit des mauvaises décisions qu’elle prend à chaque étape de sa vie et qui finiront toutes par se retourner contre elle.

    Il y a quelques chose d’un peu trop systématique dans cette accumulation. Elle deviendrait presque lassante si elle n’était pas aussi dramatique. L’ultime rebondissement est le plus terrible. On le sent venir et on en redoute l’issue. Le film se termine juste avant de savoir si notre prémonition s’est ou pas réalisée.
    PLR
    PLR

    443 abonnés 1 534 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juin 2024
    Une trame sociale devenue classique dans les films Coréens (du Sud) qui arrivent régulièrement sur nos écrans. Une face moins reluisante que celle de la réussite économique du pays. Un cadre sociétal, l’aide-soignante à domicile dévouée qui encaisse la violence d’une patiente, démence oblige. Des conditions de vie précaires (situation connue chez nous aussi). Puis on passe au thriller. Un accident. Ce n’est pourtant qu’un accident mais les propos démentiels annonciateurs de la patiente craignant pour sa vie pourraient se transformer en accusation. Déjà que le fils est sous les barreaux (pour une raison inconnue). On suppose que la société coréenne est prompte à porter l’accusation sans trop chercher à comprendre. Reste le cadavre. Qu’en faire ? Quelques stratagèmes dans un premier temps. Puis, une conclusion / solution scénaristique puisqu’il faut bien qu’il y en ait une. Quelque chose d’assez ouvert, laissant le spectateur à son interprétation. J’avoue que j’ai décroché à ce moment-là.
    Jipéhel
    Jipéhel

    52 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juin 2024
    그만하면 충분 해

    Autrement dit : geumanhamyeon chungbun hae ! Ah pardon, vous ne parlez sans doute pas coréen ! Alors dans la langue de Voltaire et Franck Ribéry, ça signifie « trop, c’est trop ». Je sais bien que le cinéma venu du Pays du matin frais a le vent en poupe depuis pas mal d’années avec Old boy, Parasite, Dernier train pour Busan ou encore Mademoiselle. Hélas ces 100 minutes de thriller sauce coréenne signées par Sol-hui Lee ne sont pas du tout à la hauteur de ces illustres prédécesseurs. A vouloir trop en faire, le film finit par être ridicule… Aide-soignante à domicile, Moon-Jung s’occupe avec bienveillance d'un vieil homme aveugle et de sa femme. Mais quand un accident brutal les sépare, tout accuse Moon-Jung. Elle se retrouve à devoir prendre une décision intenable. Et encore, ce pitch est très en dessous de ce que nous réserve le scénario. Germinal à côté, c’est La la Land.

    Alors donc, essayons de ne rien oublier. Le personnage central – difficile d’écrire l’héroïne -, est une malade mentale, qui fait dans l’automutilation et, qui, pour se soigner, participe à des ateliers des Déglingués anonymes. Elle élève seule un grand fils, qui pour l’instant est en prison. Pour gagner sa vie, elle s’occupe donc d’un couple formé d’un brave bougre aveugle et de sa femme, ville folle, méchante, mutique et totalement dépendante. Déjà, c’est du lourd, mais comme ça ne suffisait pas à la charge mentale de cette pauvre femme, elle prend soin de sa vieille mère hospitalisée dans un mouroir… Quand tous ses fils, déjà passablement tordus, vont se rejoindre, ça donne une sorte de thriller pesant et dont l’intérêt m’a passablement échappé. Certes l’image est belle avec ses cadrages soignés, sa photographie glacée, qui s’attarde sur des visages inexpressifs à souhait. On s’ennuie ferme d’autant que le film est d’une lenteur, certes calculée, mais à la limite du supportable et l’« héroïne » tout sauf sympathique. Il y a évidemment la volonté de nous parler des oubliés de la société coréenne, mais où donc est la Corée dans tout ce drame plombant… et le mot est faible. Pour son 1er film, cette cinéaste de 30 ans est bien loin des Lee Chang-dong, Bong Joon-ho, Park Chan-wook et Cie.
    Coincés dans un film à la charnière du drame, du thriller psychologique et du film d’horreur les Seo-Hyeong Kim, Jae-sung Yang, So-Yo Ahn, se débattent mollement dans cette histoire aux limites extrêmes du crédible – mais hélas parfois aussi du ridicule -. A vouloir trop charger la mule, on risque fort de l’empêcher d’avancer. On patauge dans le mélo misérabiliste à la noirceur forcée et sans l’once d’une émotion. Je le répète, « trop, c’est trop ». Et comme le dit le vieux proverbe français : Trop tendue, la corde casse.
    Maria Soto
    Maria Soto

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2024
    Encore une surprise, encore la mémoire qui s’enfuit, la douleur, la souffrance, la perte de repères, l’attachement, et les protagonistes sont très attachants, comme parfois, irritants, et même effrayants. Mais un bon film à la Coréenne avec tous les ingrédients déjà en marche dans des films comme le percutant et grandiose Parasite ou avant lui Old Boy. Pour moi en ce moment, le cinéma japonais, comme coréen ont de grand jour devant eux. J’en suis ravie !
    lucile75
    lucile75

    11 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juin 2024
    Un scénario qui ne tient pas bien la route avec beaucoup d'incohérences, une lenteuuuuuuuur insupportable, bref un film franchement ennuyeux.
    Alexis Robisson
    Alexis Robisson

    5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juin 2024
    Ce thriller de Sol-Hui Lee pêche pas une entrée en matière assez poussive qui ne sert pas assez bien un scénario qui aurait pu être terriblement efficace. La mise en scène, austère, n’appuie pas la mécanique à l’œuvre.
    On reste sur sa faim.
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