Votre avis sur Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan ?
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Superbe réalisation, un film touchant, une histoire incroyable. À voir absolument, j’ai adoré n’étant pas du tout fan de Sylvie Vartan.
Une claque un film extraordinaire et Leïla quel actrice enfin tout le casting en fait allez-y les yeux fermés, qu’est-ce que ça fait du bien un film comme ça ? Et quel dommage pour Sylvie Vartan
Un film sublime et fort en émotions
Les acteurs sont excellent dans leur rôle!
Ce film, tiré de la véritable histoire de l’avocate Roland Perez est une ode à la vie. Comment Esther, de par la force de son amour maternel, n’a pas baissé les bras et s’est battu pour que le handicap de son fils ne soit plus! Une relation fusionnelle entre une mère et son enfant. On y retrouve à la fois du Romain Gary et le livre de ma mère d’Albert Cohen…
Un joli film à voir en famille ❤️
Les acteurs sont excellent dans leur rôle!
Ce film, tiré de la véritable histoire de l’avocate Roland Perez est une ode à la vie. Comment Esther, de par la force de son amour maternel, n’a pas baissé les bras et s’est battu pour que le handicap de son fils ne soit plus! Une relation fusionnelle entre une mère et son enfant. On y retrouve à la fois du Romain Gary et le livre de ma mère d’Albert Cohen…
Un joli film à voir en famille ❤️
j’ai rie , pleurer, j’ai vécu une expérience exceptionnelle dont l’actrice Leila Bekthi exquise dans son rôle Jonathan Cohen se détacher vaguement de la comédie par moment peu crédible mes on s’y fais se film es bien touchant rigolo intéressant en plus tirer de fait réel dont pour sa je suis aller voir se film es que sa m’as attirer en salle de cinéma bravo à Ken Scott just fais en pas trop à l’avenir merci .
Un pur chef d’œuvre… j’en suis encore boulversé. Merci pour ce film good mood on en a besoin ! À voir absolument !
Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan est un film de Ken Scott sorti en 2025.
Ce long métrage, inspiré d'une histoire vraie, est porté avec maestria par Leïla Bekhti, à la fois drôle et touchante dans le rôle de cette mère courage prête à tout pour qu'un miracle vienne frapper à sa porte pour aider son fils Roland. Elle touche à plusieurs registres, passant du drame à la comédie avec une aisance qui n'est plus à prouver. Elle est magnifiquement secondé par Jonathan Cohen qui sort un peu de son personnage pour livrer une prestation nuancée, l'homme étant tiraillé entre la volonté de faire sa vie et l'amour inconsidéré que lui porte sa mère.
Le film est également touchant en ce qu'il montre à quel point la variété française des années 60, par le prisme de Sylvie Vartan, a marqué l'inconscient collectif. Les reconstitutions historiques sont, à cet égard, réussies dans le film, en particulier la première partie qui sent bon les sixties. Certains seconds rôles sont vraiment bien pensés (Jeanne Balibar en tête), d'autres aspects du film auraient mérités d'être plus développés (Joséphine Japy touchante mais sous-exploitée) mais l'ensemble est bien équilibré et fonctionne bien.
Cette comédie dramatique réussit son pari : être une adaptation fidèle de la vie de Roland Perez à la fois drôle et émouvante, un magnifique hommage à sa mère. Une belle réussite portée par d'excellents acteurs.
Ce long métrage, inspiré d'une histoire vraie, est porté avec maestria par Leïla Bekhti, à la fois drôle et touchante dans le rôle de cette mère courage prête à tout pour qu'un miracle vienne frapper à sa porte pour aider son fils Roland. Elle touche à plusieurs registres, passant du drame à la comédie avec une aisance qui n'est plus à prouver. Elle est magnifiquement secondé par Jonathan Cohen qui sort un peu de son personnage pour livrer une prestation nuancée, l'homme étant tiraillé entre la volonté de faire sa vie et l'amour inconsidéré que lui porte sa mère.
Le film est également touchant en ce qu'il montre à quel point la variété française des années 60, par le prisme de Sylvie Vartan, a marqué l'inconscient collectif. Les reconstitutions historiques sont, à cet égard, réussies dans le film, en particulier la première partie qui sent bon les sixties. Certains seconds rôles sont vraiment bien pensés (Jeanne Balibar en tête), d'autres aspects du film auraient mérités d'être plus développés (Joséphine Japy touchante mais sous-exploitée) mais l'ensemble est bien équilibré et fonctionne bien.
Cette comédie dramatique réussit son pari : être une adaptation fidèle de la vie de Roland Perez à la fois drôle et émouvante, un magnifique hommage à sa mère. Une belle réussite portée par d'excellents acteurs.
Film sur l’amour inconditionnel d’une mère, très bien porté par les acteurs. Pas le film de l’année mais pas déçue
En 1963, Esther Perez (Leïla Bekhti) met au monde son sixième enfant. Il est affligé d’un pied bot et condamné par les docteurs à être handicapé et lourdement appareillé. Mais sa mère s’y refuse, contre toute raison, et attend un miracle.
"Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" est l’adaptation de l’autobiographie éponyme de l’avocat Roland Perez. Il y raconte, à la première personne, son enfance dans un HLM du 13e arrondissement parisien, son handicap, sa scolarité dans un cours de théâtre puis sa brillante carrière au barreau. Il y raconte surtout en filigrane l’amour démesuré de sa mère.
Leïla Bekhti se glisse avec gourmandise dans ce personnage de mamma juive séfarade immigrée du Maroc, plus vraie que nature. Comme la mère de Romain Gary elle prophétise à son fils bien-aimé un avenir prestigieux. Elle réussit à être profondément attendrissante dans l’amour qu’elle porte à son enfant, capable de déplacer des montagnes, et horripilante dans ses excès caricaturaux. Le maquillage qui la vieillit outrancièrement dans la seconde partie du film est bien lourd à porter ; mais Leïla Bekhti est une si bonne actrice qu’elle le supporte sans se ridiculiser.
Le scénario du film boîte, comme son héros. Il est l’adaptation, je l’ai dit, d’une autobiographie. Mais il se focalise, non sans raison, sur le handicap de naissance du jeune Roland et l’entêtement insensé de sa mère à le soigner. Cette histoire-là aurait suffi à nourrir un film. Elle constitue d’ailleurs les deux tiers de Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan. Elle est l’occasion de croquer une famille nombreuse et joyeuse dans le Paris coloré et rock’n roll de la fin des années 60.
Mais le film est lesté d’un troisième tiers qui le déséquilibre. On pourrait penser, à en croire son titre, que ce troisième tiers est consacré à Sylvie Vartan. Ce n’est qu’en partie vrai. Certes, on y voit la chanteuse, aujourd’hui âgée de quatre-vingts ans passés, le visage à ce point corrigé par la chirurgie esthétique qu’on le dirait redessiné par une intelligence artificielle. Mais on y voit surtout Roland Perez adulte, interprété par Jonathan Cohen, se marier, fonder une famille, et tenter de se sevrer de la relation vampirique qui l’unit à sa mère. Cette partie-là du film n’est pas inintéressante… mais c’est un autre film qui dévoie le premier.
"Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" est l’adaptation de l’autobiographie éponyme de l’avocat Roland Perez. Il y raconte, à la première personne, son enfance dans un HLM du 13e arrondissement parisien, son handicap, sa scolarité dans un cours de théâtre puis sa brillante carrière au barreau. Il y raconte surtout en filigrane l’amour démesuré de sa mère.
Leïla Bekhti se glisse avec gourmandise dans ce personnage de mamma juive séfarade immigrée du Maroc, plus vraie que nature. Comme la mère de Romain Gary elle prophétise à son fils bien-aimé un avenir prestigieux. Elle réussit à être profondément attendrissante dans l’amour qu’elle porte à son enfant, capable de déplacer des montagnes, et horripilante dans ses excès caricaturaux. Le maquillage qui la vieillit outrancièrement dans la seconde partie du film est bien lourd à porter ; mais Leïla Bekhti est une si bonne actrice qu’elle le supporte sans se ridiculiser.
Le scénario du film boîte, comme son héros. Il est l’adaptation, je l’ai dit, d’une autobiographie. Mais il se focalise, non sans raison, sur le handicap de naissance du jeune Roland et l’entêtement insensé de sa mère à le soigner. Cette histoire-là aurait suffi à nourrir un film. Elle constitue d’ailleurs les deux tiers de Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan. Elle est l’occasion de croquer une famille nombreuse et joyeuse dans le Paris coloré et rock’n roll de la fin des années 60.
Mais le film est lesté d’un troisième tiers qui le déséquilibre. On pourrait penser, à en croire son titre, que ce troisième tiers est consacré à Sylvie Vartan. Ce n’est qu’en partie vrai. Certes, on y voit la chanteuse, aujourd’hui âgée de quatre-vingts ans passés, le visage à ce point corrigé par la chirurgie esthétique qu’on le dirait redessiné par une intelligence artificielle. Mais on y voit surtout Roland Perez adulte, interprété par Jonathan Cohen, se marier, fonder une famille, et tenter de se sevrer de la relation vampirique qui l’unit à sa mère. Cette partie-là du film n’est pas inintéressante… mais c’est un autre film qui dévoie le premier.
En 1963, quand une maman promet à son petit dernier atteint d'une malformation au pied qu’il ira un jour à l'école sans appareillage, cela offre un sacré combat familial, dopé à l’instinct, aux prières et à Sylvie Vartan en boucle dans le transistor !
Cette adaptation du roman éponyme de Roland Perez (2021) possède beaucoup d’attraits, à commencer par son humour tendre et son énergie rétro.
Leïla Bekhti est remarquable, quel que soit son âge dans le film : elle insuffle à Esther Perez une foi inébranlable et un franc-parler qui décoiffe.
L’amour maternel peut soulever des montagnes, et comme le dit le proverbe juif : "Dieu ne pouvait pas être partout, alors il a créé les mères" !
Cette comédie dramatique, en forme de biopic de l'auteur de cette histoire vraie, dégage quelque chose de solaire, d'émouvant et de sincère à la fois, et tant pis si j'ai été un peu déçu que certains passages de la vie de ce jeune homme n'aient pas été plus approfondis.
Lumineux et assez touchant !
Site CINEMADOURG.free.fr
Cette adaptation du roman éponyme de Roland Perez (2021) possède beaucoup d’attraits, à commencer par son humour tendre et son énergie rétro.
Leïla Bekhti est remarquable, quel que soit son âge dans le film : elle insuffle à Esther Perez une foi inébranlable et un franc-parler qui décoiffe.
L’amour maternel peut soulever des montagnes, et comme le dit le proverbe juif : "Dieu ne pouvait pas être partout, alors il a créé les mères" !
Cette comédie dramatique, en forme de biopic de l'auteur de cette histoire vraie, dégage quelque chose de solaire, d'émouvant et de sincère à la fois, et tant pis si j'ai été un peu déçu que certains passages de la vie de ce jeune homme n'aient pas été plus approfondis.
Lumineux et assez touchant !
Site CINEMADOURG.free.fr
Un excellent film à ne pas manquer , Leïlla Betki et Jonathan Cohen sont remarquables dans leur rôle sans oublié le petit garçon qui joue celui du fils jeune , quel beau film qui merite le déplacement dans nos salles .
Film remarquable touchant et incroyable
Leila Bekhti dans son rôle de maman frôle la perfection et Jonathan Cohen est exceptionnel !
Un peu triste mais une histoire hors du commun ..
Leila Bekhti dans son rôle de maman frôle la perfection et Jonathan Cohen est exceptionnel !
Un peu triste mais une histoire hors du commun ..
Fou rire et pleure garantis Histoire incroyable mais vraie, écrite par Roland Perez, À voir absolument !!!
Entre l histoire émouvante d’une mère qui fait tout pour son enfant et l hustoir d amour magnifique avec sa femme ce film est à voir à tout prix !!!
Encore ébranlé, et émerveillé par l'adaptation du roman autobiographique de Roland Perez, par le canadien Ken Scott. Cette réalisation qui brosse le portrait de ce garçon depuis sa naissance dans les années "60" avec toutes les reconstitutions de décors intérieurs et extérieurs, à nos jours. Littéralement subjugué par le personnage de sa maman, magistralement interprétée par Leila Bekthi, une mère juive, généreuse, un petit peu envahissante, entièrement dévouée à sa famille et particulièrement au jeune Roland d' abord interprété par Gabriel Hyvernaud, puis Naïm Naji, puis Noé Schecroun, et enfin Jonathan Cohen. Cette maman promet plusieurs fois à son fils un avenir "fabuleux", une épouse "fabuleuse", et elle réussit à concrétiser ses prédictions avec une tendresse, une certaine ligne de conduite "non négociable", un amour indescriptible et débordant. L Bekhti mérite sans aucun doute une récompense à venir ! Apparition sympathique de Sylvie Vartan jouant son propre rôle, en toute humilité, et presque sans chansons... Ce film nous fait traverser des années, pas toujours faciles, mais avec le plus grand bonheur, une émotion poignante, notamment sur la dernière partie. La musique accompagne judicieusement les grands moments de la vie de Roland, avec une photographie superbe et fidèle. Ce film est exceptionnel, une pépite 2025 assurément, à ne pas manquer..... Juste exceptionnel ....!!**
Une jolie première partie ,Roland Jeune avec ses frères et sœurs ,sa maman …et tous ceux qui participeront à
sa marche ,les décors sont très plaisants à l’œil …Leila Beîkti aimante l’écran et puis vient la deuxième partie Roland adulte ..pour moi je décroche malgré la belle présence de Sylvie Varin il y a quelque chose dans ce personnage réel Roland Perez qui finalement me déplaît vis à vis de celle
qui lui a tout donné …il se montre ainsi c’est déjà pas mal …
Le réalisateur ne réalise pas ´ son Film’sûrement à cause de ce surcroît de voix off…
On passe un agréable moment sans plus ..finalement le milieu auquel a accédé Roland nous paraissant bien moins intéressant que celui de sa jeunesse …
sa marche ,les décors sont très plaisants à l’œil …Leila Beîkti aimante l’écran et puis vient la deuxième partie Roland adulte ..pour moi je décroche malgré la belle présence de Sylvie Varin il y a quelque chose dans ce personnage réel Roland Perez qui finalement me déplaît vis à vis de celle
qui lui a tout donné …il se montre ainsi c’est déjà pas mal …
Le réalisateur ne réalise pas ´ son Film’sûrement à cause de ce surcroît de voix off…
On passe un agréable moment sans plus ..finalement le milieu auquel a accédé Roland nous paraissant bien moins intéressant que celui de sa jeunesse …