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    La Grâce
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    3,0
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    41 critiques spectateurs

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    Pata Gore
    Pata Gore

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2024
    Raement vu un film aussi ennuyeux. Il ne se passe rien, il n'y a pas de dialogues, c'est filmé avec la technique d'un ado qui tourne un film en super 8 pour son école. Les paysages sont horribles.
    Nul doute que les snobs vont trouver cela absolument génial.
    Le cinéma russe mérite mieux.
    Je viens de perdre deux heures de ma vie.
    philippephilou
    philippephilou

    3 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2024
    Film tellement émouvant entre un père et sa fille adolescente qui découvre l’amour dans l’immensité et la tristesse infinie de la péninsule de Mourmansk.
    En effet, la grâce de la jeunesse est décrite avec une grande sensibilité… et contraste avec la tristesse du père…
    une parabole de la vie.
    Très beau film qui marque.
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 octobre 2024
    Le road-movie dépaysant et désenchanté d’un projectionniste itinérant et sa fille aux confins d’une Russie aride magnifiquement filmée, mais au service d’un récit assez ennuyant tant il ne se passe rien
    JC RIZZO
    JC RIZZO

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 septembre 2024
    Le cinéma Russe est décidément en grande forme. Ce film, ce road movie, est d'une intensité rare. Des images sombres et d'une grande beauté, peu de dialogue (inutile, on comprend ce qu'il y a a comprendre). Des personnages dans leur lassitude, dans leur désir. Du très bon cinéma.
    zwaryszczuk felix
    zwaryszczuk felix

    5 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2024
    Ce film est prenant malgré très peu de dialogues, des questions souvent sans réponse, des gens inexpressifs ou bien tristes.
    Cette Russie sans beuverie sans agressivité particulière est froide et immédiatement triste au point qu'on se demande pourquoi les gens y vivent encore.
    Les deux interprètes principaux sont juste parfaits et que cette fille est belle.
    Un lien extrêmement fort lie ce père et sa fille.
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2024
    On ne peut pas vraiment dire que j'ai été parcouru par la grâce devant ce road trip ennuyeux du Caucase à la mer de Barents. Un père et sa fille adolescente vivotent de petites combines pour financer leur voyage, jamais loin de l'urne funéraire de la mère de famille. Ces deux-là sont des taiseux, donc cela limite les interactions entre eux. La sobriété de la mise en scène vire donc à la contemplation des paysages. spoiler: Cela devient intéressant vers la fin quand la jeune et jolie jeune fille s'émancipe enfin de son père avant de revenir à la raison
    . L'ensemble reste à l'image de la météo qui accompagne nos deux protagonistes, froid et austère.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2024
    Un père et sa fille vivent dans un van en organisant des protections de films dans des territoires reculés. Ensemble, ils affrontent aussi le deuil avec la perte de la mère. Leur voyage, au cœur d’une Russie hostile et violente est captivant par moment et soporifique le plus souvent. Les images sont plutôt belles, mais le manque de dialogues dessert complètement une histoire qui pourrait toucher en plein cœur.
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2024
    trop long, trop froid, trop misérabilisme, la grâce ne nous touche pas. on comprend la démarche de dénoncer ce qu est devenu la Russie mais au prix de quel ennui pour le spectateur lambda
    aurelia brezillon
    aurelia brezillon

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mars 2024
    sans intérêt, la photographie est blafarde tout au long du film, les paysages donnent envie de fuir , l'histoire blafarde aussi, personnages déprimés , sans avenir Déprimant par les temps qui courent.
    Arthus27
    Arthus27

    92 abonnés 562 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2024
    La Grâce est porté par une douce poésie. Chaque plan est à couper le souffle, et nous transporte dans ce road trip familial. Son rythme lent et sa durée (2h) en font un film très contemplatif qui en rebutera beaucoup.
    Erwanb.
    Erwanb.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2024
    Vu ce soir, mais pas en avant-première comme je le croyais initialement, au cinéma Jacques Tati de Saint-Nazaire le film La grâce, en présence de son réalisateur Ilya Povolotsky, qui a répondu, avec grâce, à quelques questions à la fin de la projection. Un film que je recommande très chaudement mettant en scène des personnages reliés charnellement à la nature, mais dont le drame est cet arraisonnement de la nature par la Technique qui les laisse désemparés, exilés, et privés de chez-soi, dans des paysages saccagés, ruinés, vidés de toute substance, comme après le passage d'un ouragan ou comme à l'issue d'une apocalypse provoquée par on ne sait quoi. Les personnages donc ne vivent pas réellement, mais sont comme les survivants d'un cataclysme qui les aurait laissés complètement mutiques, privés des mots qu'ils pourraient mettre sur leurs maux ainsi que nous avons l'habitude de le faire en France, et nous plongent dans leur ennui abyssal qui agit par contagion sur le spectateur. Mais qu'Ilya, cinéaste très sympathique au demeurant, ultrasensible, ne se fasse pas trop d'illusions sur notre pays et ses habitants chez qui, si j'ai bien compris et bien qu'il ne parle pas un mot de français mais très bien l'anglais, il est venu se réfugier. Dans ce pays de l'individualisme cartésien, il ne sait peut-être pas encore que la plupart des hommes sont aveuglés par des idées, progressistes le plus souvent, qui les empêchent d'appréhender le réel avec une perception intuitive typiquement russe, empreinte de fatalisme et de résilience. Autrement dit les paysages sont aussi ruinés par la Technique, ici qu'en Russie, la seule différence est que la plupart des Français n'ont plus un contact assez charnel avec la nature pour s'en rendre compte ; effectivement je ne connais aucun cinéaste en France qui se soit réellement penché sur cette question, peut-être parce qu'à la différence des Russes nous n'avons jamais eu l'expérience de ces grandes étendues isolées et désolées.
    frederic T.
    frederic T.

    16 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2024
    S’il n’était que contemplatif, « La grâce » ne nous dirait pas grand-chose…Mais par la maitrise des cadrages, le rythme du récit qui souvent se suspend sur l’immensité des paysages traversés ou un visage en gros plan, Ilya Povolotsky sait si bien rendre les contrastes de l’univers mental de sa jeune héroïne. Le film s’éclaire à mesure qu’il avance, et transcende ce road-movie en un envoutant portrait initiatique et périple de deuil.
    Âpre mais captivant…
    JnnT
    JnnT

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2024
    Exceptionnel, ce film.
    Une initiation couplée à un travail de deuil, avec, en arrière plan, la Russie du côté de Mourmansk, où tout est déglingué, les humains comme leurs œuvres, tout grandiose, désolé, rude comme la brutalité inhospitalière des paysages.
    Étonnant qu'un tel film n'ait eu aucun prix, aucune reconnaissance. Cruelle injustice qui ressemble fort à la cruauté représentée sans emphase, qui est celle de la vie même.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2024
    Ce film russe, très mal distribué en France, a été pour moi une véritable découverte au dernier festival de Cannes.

    Alors, autant le dire tout de suite, La grâce est sûrement l'une des oeuvres les plus lugubres qu'on pourra voir cette année.

    Une fille adolescente et son père parcourent les paysages désolés des confins russes du sud au nord du pays, au volant d'un van délabré, projetant difficilement quelques films sur un écran de fortune, dans des localités qui suintent l'ennui et la violence.

    Le propos est donc désespérant au possible, la lumière est grise et blafarde, les dialogues épars. Les péripéties (celles d'un coming of age assez classique) flottent vaguement à la surface d'une sorte d'océan de dépression. Un des intérêts de ce voyage est sans conteste la Russie, dont on mesure ici l'immensité, et l'état de délabrement généralisé : tout semble y tomber en ruine.

    Il y a dans le film d'Ilya Povolotsky quelque chose de magique : une sorte d'étincelle toujours présente dans les yeux de l'actrice Maria Lukyanova, une beauté de fin du monde dans les paysages de la mer arctique, une mélancolie diffuse qui semble sortir de l'écran pour imprégner directement notre coeur. Probablement ce qu'on peut appeler la grâce.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 février 2024
    Un homme taiseux et une jeune fille boudeuse sillonnent le Caucase russe à bord d’un vieux van rouge à bout de course. Lentement on comprend qu’ils sont père et fille et qu’ils s’arrêtent dans des villages reculés pour y projeter sur un écran blanc des films et y vendre sous le manteau des DVD interdits. Leur errance les mènera sur les bords de la mer de Barents.

    Ilya Povolotsky est un jeune réalisateur russe exilé en France. Son premier film a été sélectionné à la Quinzaine des cinéastes à Cannes.
    Cette entrée en matière pose question. Apprécierait-on différemment ce film si son réalisateur n’était pas réfugié politique ? Aurait-il été sélectionné à Cannes s’il avait été un thuriféraire de Vladimir Poutine ?

    "La Grâce" est un film aride et exigeant. Son titre louche du côté de Bresson, de Tarkovsky, de Bergman ou de Bruno Dumont. Excusez du peu. De quoi parle-t-il ? D’une relation père-fille sans parole, de deuil, d’émancipation…

    Je comprends qu’on puisse le tenir pour un chef d’oeuvre. Je comprends tout aussi bien qu’on puisse s’y ennuyer copieusement. C’est que "La Grâce" dure près de deux heures alors que son propos aurait pu, sans préjudice, tenir en moins d’une heure trente. Estimons nous heureux : il aurait pu durer trois heures !

    Que s’y passe-t-il ? Quasiment rien. On y voit ce fameux minivan rouge sillonner la campagne.. Aux langues utilisées – le géorgien, le balkar, l’adyguéen – on comprend qu’on est au nord du Caucase. Quasiment aucun mot n’est échangé entre la fille et son père, qui entretient quelques liaisons avec des inconnues de passage au grand dam de sa fille, laquelle de son côté, se languit de connaître un premier amour émancipateur.

    Sans transition – ou alors l’ai-je raté dans un moment d’assoupissement – on se retrouve dans une station météorologique désaffectée sur les bords d’un océan glacé. Il faut lire le dossier de presse pour apprendre qu’il s’agit de la mer de Barents, à quatre mille kilomètres au nord. C’est là que se déroule l’ultime scène finale, qu’on avait devinée par avance et qu’on attendait impatiemment depuis deux bonnes heures.
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