Mon compte
    Le Vrai du faux
    Note moyenne
    2,8
    109 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Vrai du faux ?

    27 critiques spectateurs

    5
    10 critiques
    4
    11 critiques
    3
    4 critiques
    2
    1 critique
    1
    0 critique
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Nina
    Nina

    14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2024
    Le film hyper inattendu, on s'ennuie jamais. L'interaction avec les gens locaux est très drôle. C'est tellement rare de voir un documentaire avec de l'humour décalé comme ça !
    Alex Motamots
    Alex Motamots

    7 abonnés 319 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2024
    Filmé comme un documentaire, je me suis demandé tout au long du film qu'elle était la part du vrai dans cette histoire : comme nous devrions faire avec les réseaux sociaux.
    On voit peu le visage d’Armel qui filme, un peu plus celui de son double Gromix.
    J'ai aimé la fin et le tag Etat escroc : un état qui contraint son peuple à devenir escroc également pour pouvoir vivre.
    Même si Armel parait obnubilé par FB, il n'oublie pas de filmer la ville et la campagne, la vraie vie.
    Un film qui mêle habillement vrai et faux : le titre nous avait prévenu.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2023
    Le réalisateur Armel Hostiou (Une Histoire Américaine - 2015) découvre un beau jour qu’il a un deuxième profil sur le réseau social Facebook, comprenant plusieurs photos de lui. Ce faux profit à l’évidence, se fait passer pour un réalisateur qui organise des castings à Kinshasa. Il contact Facebook pour signaler ce faux compte et reçoit une réponse négative de leur part, confirmant qu’il s’agit d’un vrai compte. Cette situation kafkaïenne sous-entendrait que le faux compte n’en serait pas un et que le vrai serait un faux… Partant de ce constat, le réalisateur décide de se rendre sur place pour enquêter et mettre la main sur son usurpateur.

    A-t-on affaire à un véritable documentaire ou à un "mockumentaire" ? C’est la question qui nous taraude pendant toute la durée du film tant les situations burlesques et ubuesques s’enchaînent à un rythme certain. Au Congo, Armel Hostiou va faire tout un tas de rencontres pour le moins surprenantes : des hackers, des brouteurs, une artiste plasticienne qui fait fondre des chaises en plastique, un marabout, des chiens appelés Macron & Trump, ainsi que son usurpateur qui semble ne pas vouloir se soucier du mal qu’il fait.

    Le réalisateur s’amuse à jouer avec les faux-semblants et finit par nous perdre, ne parvenant pas à faire la distinction entre la réalité et la fiction, dommage. Plus ou moins dans le même registre, le film nous rappel Vivre riche (2017) de Joël Akafou, sur les brouteurs d'Abidjan.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Luciled
    Luciled

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juin 2023
    C’est une rencontre très touchante. J’ai adoré la découverte de chaque personne et la rencontre avec une autre culture. La distance avec la prise de position est d’une grande intelligence. J’ai aussi beaucoup ri. Bref j’ai voyagé en toute simplicité !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 juin 2023
    si vous voulez perdre de l'argent et du temps inutilement alors allez voir ce film ou documentaire on ne sait pas. Comme la pseudo enquête, tout est faux. Pas étonnant en même temps lorsqu'on connait la prod
    Fblois3
    Fblois3

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 juin 2023
    A partir d'un fait réel, le film donne à vois un mix de documentaire et de fiction, sans sacrifier à aucun de ces deux genres. Le film va au bout de ce que peut proposer un documentaire et il nous emporte dans une histoire contextuelle de grand intérêt. Une vraie réussite et un film passionnant de bout en bout, avec son lot de suspens, son lot d'informations sur le contexte culturel et une sorte de simplicité qui rend le tout très fluide.
    Anneclaire
    Anneclaire

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juin 2023
    C’est l’histoire de la quête d’un double surprenant de créativité et de surprises. Un documentaire fluide accompagné de personnages généreux et dévoués à démasquer l’imposteur. La construction au fil des événements est juste et spontanée, créant ainsi un documentaire d’une grande fraîcheur dans les rues de Kinshasa.
    Laë-Roc'h
    Laë-Roc'h

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2023
    Le réalisateur part sur les traces de celui qui a piraté son compte Facebook. Cela l'amène à Kinshasa. L'enquête qui est menée par Armel Hostiou, caméra sur l'épaule, et par ses jeunes amis africains nous donne à voir une histoire à la fois drôle et tragique. L'intérêt du film tient à la singularité de cette histoire, à la façon dont l'inspecteur Hostiou mène l'enquête, aux obstacles auxquels il se heurte pour démêler le vrai du faux. Mais avec ce film Armel Hostiou nous fait aussi et peut-être surtout découvrir une ville, Kinshasa, confrontée à bon nombre de problèmes sociaux et économiques. Il filme enfin une population qui, coûte que coûte, garde espoir.
    Xa Rouge
    Xa Rouge

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2023
    Un film qui commence comme une enquête et qui finit par nous interroger sur l'identité dans son sens large aussi bien à l'échelon individuel que collectif.
    J'ai aimé le voir, j'ai aimé réfléchir pendant la séance, j'ai aimé y réfléchir après et j'aime encore à y penser.
    Un film à voir tant il ne s'arrête pas au générique de fin !
    Elie Blanchard (Yro)
    Elie Blanchard (Yro)

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2023
    Un film drôle (on a beaucoup rit), touchant et décalé ... l'enquête d'un réalisateur dans la mégalopole de Kinshasa à la recherche de la personne qui a usurpé son identité.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2023
    En voyant "Le vrai du faux", présenté comme étant un documentaire, on se demande en permanence si on est en face d'un vrai documentaire ou d'une fausse fiction. Une certitude, c’est bien le vrai Armel Hostiou qui l'a réalisé….
    Aujourd’hui âgé de 46 ans, Armel Hostiou est diplômé de la FEMIS, et, après avoir réalisé des court-métrages et des vidéo-clips, il a réalisé deux long-métrages, « Rives », en 2011, puis, « Une histoire américaine », avec Vincent Macaigne en tête d’affiche, en 2015, Armel Hostiou s’est lancé 4 ans plus tard dans le documentaire avec « La pyramide invisible », tourné en Bosnie. C’est de nouveau un documentaire qu’il nous présente avec « Le vrai du faux », mais un documentaire très particulier qui donne aux spectateurs l’impression de visionner un film de fiction.
    Un jour, il découvre qu’il a un deuxième profil Facebook : un faux Armel Hostiou avec de vraies photos de lui et plein d’amies vivant toutes à Kinshasa. Il est sensé les inviter aux castings de son prochain film censé se dérouler en République démocratique du Congo... Face à cette situation, son premier réflexe est de contacter Facebook pour signaler cette usurpation d’identité et leur demander de clôturer ce faux compte. Face à l’impossibilité de clôturer ce compte, il décide de partir à la recherche de mon double…
    Toutefois, Armel Hostiou est conscient des difficultés qui l’attendent s’il arrive sans relai local dans cette ville tentaculaire qui, avec ses 16 millions d’habitants, est la plus grande agglomération francophone du monde et c’est pourquoi il commence par prendre contact avec « Ndaku ya, la vie est belle », une coopérative d’artistes située dans le quartier de Matonge, un des principaux lieux de la vie nocturne de Kinshasa. Non seulement cette coopérative lui facilite l’obtention d’un visa pour Armel ainsi que pour Amaury Arboun, son ingénieur du son, mais ses membres l’accueillent à bras ouverts et décident de l’aider à retrouver l’usurpateur. C’est ainsi qu’une petite équipe se constitue, comprenant Peter Shotsha Olela, le manager de la coopérative, Sarah Ndele, une artiste de la résidence et Elie Mbansing à qui Armel Hastiou a confié la seconde caméra, lui permettant ainsi de devenir un des protagonistes de son film.
    spoiler: Malgré le gigantisme de Kinshasa, l’enquête menée par l’équipe franco-congolaise n’est finalement pas trop difficile à mener, ne serait-ce que parce que certains membres de « Ndaku ya, la vie est belle » avaient des amis Facebook communs avec le faux Armel Hostiou. L’homme que l’on découvre à la suite d’une rencontre en caméra caché ne s’avère pas du tout gêné d’être démasqué, expliquant qu’Armel n’est pas le seul réalisateur dont l’identité a été usurpée, expliquant aussi qu’il lui parait tout à fait normal de demander 10 dollars à toutes les jeunes femmes se montrant désireuses de participer aux (faux !) castings qu’il organise : « tu ne vas pas devenir star comme ça, sans payer quelque chose ! ». Concernant la suite du film, il se montre prêt à y participer, à 2 conditions toutefois : être rémunéré et que le résultat final ne soit pas à charge contre lui. En fait ce Cromix Onana Genda Cristo s’avère être tellement bon comédien dans son comportement que l’on ne peut s’empêcher de se demander si ce « démasquage » de l’usurpateur n’aurait pas été monté de toute pièce par Peter Shotsha Olela qui aurait donné à Cromix Onana tous les détails nécessaires pour jouer le rôle du faux Hostiou, afin que le vrai ait le plaisir que peut donner le sentiment d’avoir bouclé son enquête
    . Une sorte de film dans le film, en quelque sorte
    On en restera là, à essayer de démêler le vrai du faux… et Armel Hostiou se met en scène en naïf enquêtant mollement sur l’arnaque dont il est la victime…A la recherche de ce mystérieux double, il plonge dans cette mégalopole géante qui l’aspire…une quête existentielle où passent certaines réalités troublantes de l’immense Congo et, de l’autre, la manifestation de l’emprise psychologique qu’a laissée la colonisation sur le peuple congolais avec, par exemple, cette remarque qu’on entend dans le film : « on vit au Congo mais nos esprits sont ailleurs ». Je dois avouer que mon intérêt s'est un peu dissous à ce moment...
    Catherine Belkhodja
    Catherine Belkhodja

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2023
    En prenant comme postulat qu'il faut prêcher le faux pour avoir le vrai, un homme enquête sur son double, localisé à Kinshasa. Qu'à cela ne tienne, le voici parti avec caméra et bagages sur le lieu même où un homme se fait passer pour lui . Le film aurait pu s'appeler " Candide à Kinshasa" .
    Tant que le réalisateur n'a pas rencontré le "vrai faux" il passe pour le " faux vrai ! '
    Cette recherche éperdue de son double l'entraîne dans de multiples aventures qui le conduiront dans les faubourgs de Kinshasa rencontrer des rappeurs ou des sorciers.
    Les différentes étapes de l'enquête sont tout aussi hilarantes. Le vrai réalisateur apprend ainsi comment gagner de l'argent en organisant de faux castings. Pour ce faire, il doit se mettre lui même dans la peau d'un faux assistant , filmant le casting du faux réalisateur devant des actrices rêvant de devenir stars ...
    Le pire, c'est qu'il doit absolument clôturer son faux compte facebook sous peine de devenir complice de toutes ces petites combines. Néanmoins, impossible de faire appel à la police car le coupable serait torturé avec des peaux rugueuses d' hyppopotame ! Pour sortir de tous ces quiproquos , il faudra bien passer par une cérémonie d'égorgement d'un coq , si il ne veut pas mourir dans un accident d'avion !
    Ce film , structuré comme une enquête , donne la part belle à l'autre en lui permettant d'expliquer sa démarche.
    Sans parti pris, sans jugement hâtif , l'enquête permet de confronter deux points de vue, escroc et escroqué avec la plus grande objectivité.
    Ce regard malicieusement naïf propose un regard presque ethnologique sur ces questions de piratage internationaux mais a su éviter tout regard pompeux ou moralisateur.
    reste un petit bijou plein d'humour et d'amitié, sur la découverte d'un alter égo, sur un autre continent.
    Jch
    Jch

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2023
    J-C H.
    Une belle surprise et une vraie réussite que ce vrai faux documentaire contant les tribulations du réalisateur à la recherche de son double qui a – réellement - emprunté son identité et son profil à Kinshasa et procède à des castings qui sont de véritables arnaques sans jamais réaliser de films. J’ai beaucoup aimé la façon dont, par quelques touches, il dépeint cette mégapole à la fois foutraque et dangereuse, l’humour avec lequel il présente ses personnages, la vitalité et la fantaisie des occupants de la résidence (« La vie est belle ») qui l’accueillent et l’accompagnent, son respect à l’égard de la micro société dans laquelle il évolue et qu’il se garde de juger, le côté thrilleur et réaliste de son enquête dont on ne saura pas si celui qui finit par accepter de se présenter comme le vrai usurpateur n’est pas en réalité un faux double … Un vrai régal
    Domi
    Domi

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2023
    J’ai adoré le film d’ Armel Hostiou. De l’intelligence, de l’humour dans l’enquête menée à Kinshasa pour retrouver son usurpateur.
    J’ai ri aux manigances de Sarah pour trouver la vérité et peut-être la compliquer un peu. Elle est tellement jolie, star sans le savoir.
    J’ai été émue par Cromix, arnaqueur plein de talents de toutes sortes.
    Je serais bien restée dans la salle des Variétés de Marseille, quelques heures de plus, en leur compagnie
    Ceci n'est pas une guerre
    Ceci n'est pas une guerre

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juin 2023
    Un film frais étonnant drôle mystérieux libre et vertigineux aussi, que j'ai découvert autant par curiosité que par hasard. Comme quoi, ça fait du bien de s'ouvrir aussi à des films qui prennent moins de place que les blockbusters (que je vais voir aussi d'ailleurs) et Le vrai du faux y a toute sa place, en vrai selon l'expression utilisée de nos jours de 7 à 77 ans !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top