AlloCiné
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Votre avis sur Fainéant·es ?
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Force et tendresse.
Découverte d'un monde de l'intérieur, le monde des squatteurs, des marginaux.
A travers le road trip de 2 nanas hors normes.
Et puis l'art de Dridi dans la suggestion, l'expression des visages, les noms dit, les regards, la musique, beaucoup plus parlant que les dialogues.
De la tendresse rythmée par le son de l'accordéon, comme un personnage ; le seul qui accompagne les deux amies du début à la fin. Comme le camion et le chien. Et puis un fou rire de plusieurs minutes très communicatif, tout sauf des mots. Et puis des cris, une violence suggérée elle aussi. Ce film nous questionne sur le sens du mot Liberté et change notre regard sur le jeune punk qui demande une pièce devant la boulangerie du coin de la rue. Jeune punk à chien au regard tendre et paumé.
Découverte d'un monde de l'intérieur, le monde des squatteurs, des marginaux.
A travers le road trip de 2 nanas hors normes.
Et puis l'art de Dridi dans la suggestion, l'expression des visages, les noms dit, les regards, la musique, beaucoup plus parlant que les dialogues.
De la tendresse rythmée par le son de l'accordéon, comme un personnage ; le seul qui accompagne les deux amies du début à la fin. Comme le camion et le chien. Et puis un fou rire de plusieurs minutes très communicatif, tout sauf des mots. Et puis des cris, une violence suggérée elle aussi. Ce film nous questionne sur le sens du mot Liberté et change notre regard sur le jeune punk qui demande une pièce devant la boulangerie du coin de la rue. Jeune punk à chien au regard tendre et paumé.
Pas vraiment un roadmovie comme la bande d’annonce le suggère, assurément un film naturaliste et une filiation évidente avec Ken Loach avec cette plongée dans la marginalité, une tendresse qui transpire à l’écran, la violence surtout symbolique d’une société contre laquelle les personnages refusent de se faire écraser. Tant pis pour les dialogues, mais la soif de liberté dont sont éprises les deux femmes n’a guère besoin de bavardage pour se faire ressentir. Si ce n’était pas le propos principal d’un Dridi dont le film est une ode à la sororité, on pourra regretter qu’il n’ait pas voulu explorer plus encore la relation naissante entre Nina et Tof’ à Marseille.
Encore un film magnifique de la part de Karim, qui pose son regard sur l humanité des gens différents non reconnu par rapport a la juste valeur. Porte par un jeu d acteur très proche de la réalité.
Un cinéma a encouragé trop souvent ignorer par les soutiens financiers !
Félicitation pour votre travail du coeur qui permet de sortir ce film malgré des pauvres moyens financiers.
Merci a tous les gens qui ont permis a ce film d exister et de porter ce message du vivre ensemble
Bisous ton beau frère !
Un cinéma a encouragé trop souvent ignorer par les soutiens financiers !
Félicitation pour votre travail du coeur qui permet de sortir ce film malgré des pauvres moyens financiers.
Merci a tous les gens qui ont permis a ce film d exister et de porter ce message du vivre ensemble
Bisous ton beau frère !
Un bijou de sensibilité et une ode à la liberté qui fait du bien en ces temps de formatage idéologique. Une histoire de femmes, de punks, de solidarité, filmée avec classe et pudeur.... Une lumière sublime et un voyage que l'on a envie de continuer avec Djoul et Nina...
Merci pour ce film qui m'a bouleversé.
Merci pour ce film qui m'a bouleversé.
Déstabilisant, déroutant et emouvant.
Si dans fainéant.es il y a le mot néant, ce film nous mettre que le rien ryme avec le tout.
A contre courant évident du monde qui nous pousse à tous nous ressembvler et s'imiter, ce film, donne, tantôt envie de prendre une tondeuse et de se raser la tête et, tantôt, envie de prendre une bonne douche.
Excellent duo d'actrices et belle découverte du personnage de Tof et de l'acteur Lucas Viudez qui est bluffant de naturel et de simplicité.
Si dans fainéant.es il y a le mot néant, ce film nous mettre que le rien ryme avec le tout.
A contre courant évident du monde qui nous pousse à tous nous ressembvler et s'imiter, ce film, donne, tantôt envie de prendre une tondeuse et de se raser la tête et, tantôt, envie de prendre une bonne douche.
Excellent duo d'actrices et belle découverte du personnage de Tof et de l'acteur Lucas Viudez qui est bluffant de naturel et de simplicité.
Ca raconte la puissance de 2 femmes face au système mais aussi face à leurs contradictions !
Sur la route, elles se racontent - Et c'est absolument magnifique.
Pendant 1h40, on les suit vivre hors du cadre mais bien ancrée dans la réalité.
Grande somptuosité
Sur la route, elles se racontent - Et c'est absolument magnifique.
Pendant 1h40, on les suit vivre hors du cadre mais bien ancrée dans la réalité.
Grande somptuosité
Nous avons passé une super soirée avec ce film lors de l’avant-première au cinéma UGC Les Halles
Ce film nous a fait découvrir un monde méconnu avec une finesse extrême. Karim DRIDI est vraiment un très Grand cinéaste.
Bravo a lui, aux deux actrices principales qui sont merveilleuses, et à tous les figurants qui nous font passer du rire aux larmes pendant 1h40, le tout sur une musique envoûtante.
Bref, du Super cinéma
Ce film nous a fait découvrir un monde méconnu avec une finesse extrême. Karim DRIDI est vraiment un très Grand cinéaste.
Bravo a lui, aux deux actrices principales qui sont merveilleuses, et à tous les figurants qui nous font passer du rire aux larmes pendant 1h40, le tout sur une musique envoûtante.
Bref, du Super cinéma
Beaux portraits de femmes j'adore beauté force humour et rudesse a voir plus plus Forza et drôlerie
Un très beau film, hors de sentiers battus! Des parcours de vie différents qui nous amènent à réfléchir sur nos vies!
Un film magnifique sur la puissance des femmes! Jamais vu au cinéma. Merci pour cette découverte, je le conseille autour de moi!
Quelle liberté, quelle générosité dans ce regard posé sur celles et ceux qui ont choisi la marge. Karim Dridi semble avoir retrouvé la verve de ses débuts et confirme, à peine quelques mois après son si émouvant documentaire "Revivre", une faculté à voir et montrer l'autre avec respect et même amour. (Vu dans le cadre d'un prévisionnement exploitants)
film vu en avant première ...à recommander...sort de l'ordinaire ! vision positive d'un monde de punks..une très belle balade
Yves G.
Deux amies inséparables, Nina et Djoul, partagent une vie d’errance. Au volant d’un camping-car hors d’âge, elles sillonnent la France au gré de leurs envies et des amitiés qu’elles nouent.
Je me souviens dans les années 90 des premiers films, écorchés vifs, de Karim Dridi : "Pigalle", "Bye-bye" (qui lançait la carrière de Sami Bouajila), "Hors jeu"… Depuis lors, il avait quasiment disparu des radars, signant en 2009 "Le Dernier Vol", un film à grand spectacle avec Marion Cotillard et Guillaume Canet, qui fit un four et que je n’ai pas vu.
La soixantaine bien frappée, il revient avec un film qui tangente avec le documentaire. On y suit deux personnalités rarement vues au cinéma, deux femmes d’une trentaine (?) d’années, deux punks à chiens, rasées, tatouées, piercées.
"Fainéant.es" souffre d’une absence cruelle de scénario. Il n’y a rien qui tende le récit, sinon l’accumulation d’épisodes sans gradation. On y voit par exemple Djoul revenir dans les Alpes aux funérailles de sa mère, Nina filer le parfait amour en travaillant dans les vignes, ou les deux femmes organiser pour un pote en fin de vie une ultime rave.
Ce road-trip pourrait décevoir et lasser. Mais ses deux héroïnes sont si authentiques, si attachantes qu’on se laisse prendre à l’histoire de leurs vies. On peut être, comme moi, aux antipodes de leurs valeurs anarchistes et, pour autant, comprendre ces deux femmes et les admirer.
Je me souviens dans les années 90 des premiers films, écorchés vifs, de Karim Dridi : "Pigalle", "Bye-bye" (qui lançait la carrière de Sami Bouajila), "Hors jeu"… Depuis lors, il avait quasiment disparu des radars, signant en 2009 "Le Dernier Vol", un film à grand spectacle avec Marion Cotillard et Guillaume Canet, qui fit un four et que je n’ai pas vu.
La soixantaine bien frappée, il revient avec un film qui tangente avec le documentaire. On y suit deux personnalités rarement vues au cinéma, deux femmes d’une trentaine (?) d’années, deux punks à chiens, rasées, tatouées, piercées.
"Fainéant.es" souffre d’une absence cruelle de scénario. Il n’y a rien qui tende le récit, sinon l’accumulation d’épisodes sans gradation. On y voit par exemple Djoul revenir dans les Alpes aux funérailles de sa mère, Nina filer le parfait amour en travaillant dans les vignes, ou les deux femmes organiser pour un pote en fin de vie une ultime rave.
Ce road-trip pourrait décevoir et lasser. Mais ses deux héroïnes sont si authentiques, si attachantes qu’on se laisse prendre à l’histoire de leurs vies. On peut être, comme moi, aux antipodes de leurs valeurs anarchistes et, pour autant, comprendre ces deux femmes et les admirer.
Voilà un film très bien ficelé qui nous entraine, sans temps mort, sur les routes de France. Deux marginales au bon coeur nous font partager les aleas de leur vie d'errance.
Un Road movie puissant, plein d'énergie et d'émotions.Comme à son habitude Karim Dridi dépeint avec brio les portraits de personnages du quotidien souvent invisibilisés, par touches justes, tendres et réalistes. Je conseille fortement !
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