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Votre avis sur Almamula ?
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Pour son premier long-métrage, l’Argentin Juan Sebastian Torales, qui vit à Paris depuis près de deux décennies, s’est plongé dans ses souvenirs d’enfance pour écrire l’histoire de Nino, un jeune adolescent persécuté par ses camarades en raison de son homosexualité présumée. Issu d’une famille très religieuse, ce garçon secret et solitaire va éprouver une attirance de plus en plus forte pour la forêt jouxtant son lieu de vacances, symbole de tous les interdits, et où vivrait une créature légendaire punie par Dieu en raison de sa sexualité inappropriée. Si le film frôle le cliché du cinéma auteuriste, il n’en distille par moins une atmosphère mystérieuse, sensuelle et envoûtante.
On ne sait pas où ce film va nous mener et c’est l’une des qualités de ce film de nous emmener dans des univers différents. De la violence urbaine à la terreur des esprits de la forêt à moins que ce ne soit la liberté.
L’institution catholique est très présente et le film dépeint a la fois son emprise sur la population et des modes de communion avec elle très originaux.
L’institution catholique est très présente et le film dépeint a la fois son emprise sur la population et des modes de communion avec elle très originaux.
Juste un chef-d'œuvre, melange entre fiction, suspense et sensualité. Les images du film, la photographie juste sublimes. Le personnage principal a bien su montrer sa souffrance intérieur et ses contradictions avec une éducation très traditionnelle, catholique et la découverte et la soif de sa sexualité propre à lui. Oui j'ai bien aimé ce film.
super beau film. une histoire passionnante et touchante, des acteurs au top, des images superbes, un aperçu intéressant de la façon dont l'Argentine traite l'homosexualité... à voir absolument !!!
On suit bien le déroulement, dans la lenteur mais sans s'ennuyer non plus. De belles images, de beaux plans, un peu d'humour parfois..
Sylvain P
Charnelle comme peut l'être l'adolescence, cette fiction mi-fantastique mi-initiatique narre l'exil forcé d'un jeune homme de 15 ans découvrant sa sexualité dans un cadre malveillant (mère bigotte, soeur cruelle, père absent et camarades homophobes). Si l'austère lenteur n'aide pas à se plonger dans l'atmosphère, certaines scènes sont très réussies. Une plongée dans l'Argentine à ne pas manquer.
Un film où on retrouve les ingrédients des films sud américains et argentins.
Questions sur la sexualité versus le poids de la religion , place des "négritos" et indiens versus les classes dominantes intervention d'un fantastique teinté de naturalisme qui opère comme une sorte de révélateur des crises traversées par les protagonistes.
Intéressant donc si vous ne connaissez pas ce cinéma et par contre un peu répétitif pour moi qui en ait vu déjà beaucoup
Questions sur la sexualité versus le poids de la religion , place des "négritos" et indiens versus les classes dominantes intervention d'un fantastique teinté de naturalisme qui opère comme une sorte de révélateur des crises traversées par les protagonistes.
Intéressant donc si vous ne connaissez pas ce cinéma et par contre un peu répétitif pour moi qui en ait vu déjà beaucoup
un récit initiatique touchant qui nous fait découvrir l'argentine puritaine sur une ambiance sonore et visuelle prenante. j'ai personnellement adoré et je recommande vivement ce film.
On y apprend que la confirmation catholique est destinée à calmer les ardeurs des jeunes adolescents au moment de la puberté. La subtilité du cadrage et de la photo dégage une sensualité hors norme dans cet univers catholique de faible tolérance.
Ce film relate le parcours du combattant d’un adolescent pour affirmer son orientation sexuelle dans une société argentine où prédominent la différence de classe sociale et la religion.
Ce film est magnifique. Déjà il est filmé en Argentine, et en le voyant en VOST, l'ambiance est bien là. Ensuite les sujets de la religion, la superstition, la sexualité, l'adolescence, sont des sujets qui touchent chacun et le film les aborde à partir du vécu du cinéaste, sans tabou mais en rapport avec ce que vit un adolescent. J'ai beaucoup aimé ce film et je le recommande, en allant le voir avec un esprit ouvert, comme pour tous les film d'auteur.
Très beau film, touchant, émouvant et sensoriel. C’est un voyage introspectif d'exploration et de découverte que l'on voit à travers la forêt hostile et la légende de l'Almamula. L’histoire pose le dilemme et le conflit de savoir quoi faire quand il ne trouve pas sa place dans une société qui le rejette et le méprise, donc il teste les limites de la moralité et cherche sa voie.
Almamula chamboule, prend aux tripes, dès la première scène. Nino est bloqué et souhaite s'évader ; il prend le chemin de la forêt. Cette forêt qui va nous aussi nous transporter, nous effrayer, nous amener loin d'un monde suffocant, empêtré dans ses croyances délétères, à l'issue douteuse. Les images surprennent par leur beauté, leur force. Elles nous happent et nous plongent dans d'incertaines et fascinantes ténèbres. Bravo.
Film mou et lent qui ne plaira pas à tout le monde .Je trouve que le scénario n'a pas été assez exploité. On dirait que dans le film, tous les personnages sont dépressifs depuis la naissance, je ne trouve pas ça très crédible. Aucune émotion ne se dégage.
Il y a quelques scènes intéressantes sinon la majorité du film consiste en des dialogues lents et sans expression. La scène de fin laisse sur sa faim à l'image du film.
Le bon point, les décors en Argentine.
Il y a quelques scènes intéressantes sinon la majorité du film consiste en des dialogues lents et sans expression. La scène de fin laisse sur sa faim à l'image du film.
Le bon point, les décors en Argentine.
Succession de courtes scènes téléphonées avec clichés et facilités.
Sinon exemples de dialogues :
" -- Je l'ai vu.
-- Qui ? "
Ou bien :
" -- Ça dépend.
-- De quoi ?"
Enfin beaucoup d'affèteries faute de contenu, aussi grotesques que l'épaisse mèche de cheveux plaquée sur la moitié du visage du héros.
À fuir.
Sinon exemples de dialogues :
" -- Je l'ai vu.
-- Qui ? "
Ou bien :
" -- Ça dépend.
-- De quoi ?"
Enfin beaucoup d'affèteries faute de contenu, aussi grotesques que l'épaisse mèche de cheveux plaquée sur la moitié du visage du héros.
À fuir.
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