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    Fremont
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    Thomas C.
    Thomas C.

    8 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2024
    Très joli film sur une jeune afghane immigrée aux Etats-Unis qui travaille dans une usine de fortune cookies dans la ville de Frémont en Californie. C'est super poétique, drôle et tendre, le rapport au temps change complètement, avec de beaux rôles et supers interprètes dans ce format carré en noir et blanc. Plein de tendresse sur la solitude, l'amour, l'absurdité, très belle découverte.
    Laszlo K.
    Laszlo K.

    25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2024
    Pas mal... un peu gentillet, alors qu'un poil d'âpreté aurait pu toucher au vu du thème - une jeune afghane tente de (re)prendre pied aux States.
    Le noir et blanc ne nous a pas paru indispensable. Sauf s'il sert à cacher un petit côté rom-com.
    En résumé, un bon moment en compagnie d'un film d'été : gentillet mais pas indispensable.
    Arthus27
    Arthus27

    97 abonnés 568 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juin 2024
    A la fois poétique et drôle, Fremont est une vraie bulle de douceur porté par la jeune Anaita Wali Zada absolument bouleversante. L'humour y est grinçant et percutant, soulignant l'absurdité qui envahit nos vies. Le monde du travail, la solitude des exilés, la vie sociale moderne... autant de thématiques traitées avec intelligence et justesse. La mise en scène, qui peut paraitre un peu lourde et auteurisante, vient souligner la joliesse de ses personnage et de leurs interactions. Un vrai bijou de cinéma, et un vrai/faux film feel-good
    romain p.
    romain p.

    9 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2024
    Un fil tenu admirablement de bout en bout, aussi bien dans le style que le propos, entre la mélancolie, le désespoir, le loufoque et l'humanité. Tellement de mondes se rejoignent dans un film relativement court, en noir et blanc, en plans fixes et avec un petit nombre de personnages, une sacrée performance. Et l'esprit d'Aki Kaurismäki s'immisce dans ce contexte si exotique par rapport à ses propres films.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2024
    Donya, vingt ans, a émigré aux États-Unis et travaille à Fremont, une banlieue de San Francisco, dans une fabrique artisanale de ‘fortune cookies’. Elle a fui l’Afghanistan où son poste d’interprète pour l’armée américaine était perçu comme une trahison. Elle débarque dans un pays étranger où elle se retrouve presque seule au monde. Donya passe ainsi ses journées entre l’usine de cookies, le bar chinois où elle regarde la TV, et les séances chez un psychologue un poil farfelu mais ô combien sympathique. Lorsque son patron lui propose de rédiger les énigmatiques messages des cookies, Donya saisit l’occasion pour lancer une bouteille à la mer en laissant son numéro dans un des cookies. Elle ouvre ainsi la porte au destin pour transformer la monotonie de son quotidien, s’autoriser un peu d’ouverture sur le monde qui l’entoure, et qui sait ce que la bonne fortune mettra sur son chemin. En mode minimaliste, Fremont ne se morfond pas sur l’expérience traumatisante des réfugiés déplacés de force, mais s’attache avec humour et sobriété au parcours d’une jeune femme indépendante et volontaire. Au travers de Donya, le sujet est plus large que le sort des réfugiés eux-mêmes, elle incarne le besoin de trouver sa place dans la société. Avec un pas de côté avec le traitement potentiellement lourd du stress post traumatique, le portrait de cette jeune femme mutique et douce est touchant et subtil. Pas de misérabilisme chez Babak Jalali, réalisateur afghan émigré au Royaume-Uni, mais au contraire une vision douce, décalée et mélancolique du quotidien avec ses hauts, ses bas et sa batterie de personnages qu’on appellerait « hauts en couleurs » si le film n’était pas filmé dans un aussi beau noir et blanc ! Noir & blanc, cadrages audacieux et humour décalé qui ne sont d’ailleurs pas sans rappeler Jim Jarmusch ou Aki Kaurismaki. Tout comme le jury du dernier festival de Deauville, on a été séduits, vous le serez aussi !
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    Loïck G.
    Loïck G.

    340 abonnés 1 675 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2024
    C’est un film qui parle de l’exil, de l’Afghanistan, de la mélancolie, des biscuits porte-bonheur et de la dépression soignée en lisant « Croc Blanc » . Le tout joliment amalgamé dans une même histoire où le noir et blanc ne fait pas de retape à l’esthétique. Jarmusch et Kaurismaki sur la même palette. Pour Babak Jalali la simplicité de sa mise en scène, celle de son scénario confortent l’existence de Donya, jeune réfugiée afghane, aux USA qui n’arrive pas à se détacher de son histoire récente. Elle était traductrice pour l’armée américaine … Dans son intimité ( pas d’amoureux, très peu d’amies ) on suit tout aussi paisiblement son parcours pour venir à bout de cette solitude nonchalante, cette torpeur ambiante plus ou moins entretenue par des personnages secondaires tout aussi attachants. Le psychiatre ( particulier comme un psychiatre ) , le patron , bienveillant ( mais pas sa femme ) et surtout le garagiste qui ranimera peut-être la flamme de son rêve américain Anaita Wali Zada, tout en retenue patiente, voire parfois amusée débute ainsi au cinéma. Sans excès, ni tapage. Elle ira loin. AVIS BONUS Un court métrage qui se laisse voir et se fait oublier
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Gaby Genêt
    Gaby Genêt

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 janvier 2024
    Une très belle réalisation avec des acteurs très forts. Le noir et blanc rend le film beau!
    J'ai vraiment aimé!
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    27 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    Un beau portrait d'une réfugiée afghan refaisant sa vie au US ; réalisme, finesse psychologique et qualité cinématographique font de cette histoire une leçon de vie prenante même si il ne se passe pas grand chose.
    sandrine75
    sandrine75

    63 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 décembre 2023
    c'est long, il ne se passe rien. perso, je suis passé à côté.
    Corinne76100
    Corinne76100

    50 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Un film de toute beauté sur la recherche de l'amour, d'une grande sensibilité. Le noir et blanc, la douceur des personnages apportent beaucoup de sérénité
    Joce2012
    Joce2012

    210 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Très beau film en noir et blanc sur la vie et ses aléas, sur la capacité à être exilé et sur les rencontres fortuites
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    25 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2023
    Le portrait de cette jeune fille vivant dans un quartier cosmopolite a quelques airs de Kaurismaki. Elle rencontre des gens tout aussi déracinés qu'elle. Le film retrace sa recherche un peu timide de contacts amicaux ou même amoureux avec quelques moments émouvants.
    Jipéhel
    Jipéhel

    31 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2023
    Autopsie d’une solitude

    L’iranien Babak Jalali nous propose tout en finesse le portrait d’une déracinée, qui tente de briser la solitude. 88 minutes d’une subtilité rare. Donya, jeune réfu¬giée afghane de 20 ans, tra¬vaille pour une fabrique de for¬tune cookies à San Fran¬cis¬co. Ancienne tra¬duc¬trice pour l’armée amé¬ri¬caine en Afgha¬nis¬tan, elle a du mal à dor¬mir et se sent seule. Sa rou¬tine est bou¬le¬ver¬sée lorsque son patron lui confie la rédac¬tion des mes¬sages et pré¬dic¬tions. Son désir s’éveille et elle décide d’envoyer un mes¬sage spé¬cial dans un des bis¬cuits en lais¬sant le des¬tin agir… Un de mes coups de cœur de cette fin d’année.
    D’abord, il faut savoir que Fremont est une ville de la baie de San Francisco qui abrite la plus grande communauté afghane des Etats-Unis. Outre l’intérêt que l’on porte dans ce drame doux-amer à cette communauté d’immigrés, le regard s’est porté ici en priorité sur une femme afghane, combattant ainsi les clichés qui les montre quasi systématiquement cloîtrées, pauvres, opprimées, toujours dans la souffrance, toujours victimes. Bien que l’héroïne soit une femme immigrée, solitaire, faisant un job alimentaire qui ne correspond pas à ses qualifications, le personnage de Donya n'apparaît pas comme une victime, mais comme une femme digne et déterminée. A l’image des fortune cookies qui sont au centre de l’intrigue, le film donne simplement une piste de questionnement, un petit rayon d’espoir, et laisse entrevoir certaines possibilités de la vie. Bien que tourné en 4/3, en plans fixes et en noir et blanc, ce film lent et volontairement répétitif, n’engendre pas un instant d’ennui. Cette petite perle a reçu le Prix du Jury à Deauville et c’est amplement mérité. A découvrir de toute urgence.
    C’est un 1er rôle pour l’afghane Anaita Wali Zada et c’est une vraie découverte. J’espère qu’on la reverra. Elle est entourée par Hilda Schmelling, Avis See-tho, Jérémy Allen-White, Greg Turkington, tous très sobres, très justes, forment une galerie de personnages plus ou moins névrosés mais qui apportent leur pierre à cet édifice original mais tellement attachant. Jalali préfère en rire et c’est tout à son crédit. J’ai irrésistiblement pensé au Paterson de Jarmush ou à l’univers de Kaurimäki, et ce ne sont pas les moindres des références. Un sommet de comédie dramatique.
    corbettsky
    corbettsky

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2023
    Un de mes films favoris de 2023. Subtil, intelligent, drôle et poétique. La presse française est trop sévère ou bien ne comprends pas l'humour de l'absurde si délicat. Rough and stylized at once.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    146 abonnés 571 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 décembre 2023
    Donya est une immigrée Afghane qui travaillait pour les États-Unis comme traductrice. Arrivée depuis quelques mois dans une ville proche de San Francisco, elle travaille pour une usine de gâteaux chinois. Lorsque sa collègue décède, elle accepte de reprendre son job d'écriture des petits mots de bonne fortune cachés dans les gâteaux. En salle le 6 décembre.

    spoiler: "Fremont" ne m'a pas accroché une seule fois et a suscité en moi un ennui abyssal au moins aussi profond que le vide que représente l'intrigue du film. La noir et blanc couplé à une mise en scène lente, qui étire les transitions et les interludes, donne un vernis faussement intellectuel à l'œuvre. Dès que le verni est gratté, on réalise que l'on a affaire à une croûte qui ne développe aucune émotion, ne s'intéresse pas à ses personnages et n'est qu'une coquille vide comme les gâteaux chinois de bonne fortune qui sont une thématique du film. A fuir.
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