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    Apolonia, Apolonia
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    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juin 2024
    film émouvant sur la trajectoire pas fluide du tout d'une artiste ( pas très attachante et assez insupportable, pas très talentueuse mais qui crève l'écran). Bel hommage à Oksana Chatchko.
    Noise&sound
    Noise&sound

    87 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2024
    13 ans de tournage, du matériel remontant à la naissance d’Apolonia Sokol et pourtant Api reste un mystère à mes yeux. Qui est elle vraiment ? Je ne sais pas. Le sait- elle ,elle même ?… les temps se succèdent, les profils aussi. Féminine ou non genré, tribale oú égo centrée, entière ou manipulatrice, anarchiste ou business woman, exubérante ou réfléchie, elle oscille sur une terre mouvante sans pouvoir s ancrer. D Apolonia on ne lèvera pas les secrets. Ce n est pas qu elle souhaite les cacher. Le documentaire explore sa vie en toute sincérité, de sa naissance en gros plan, de sa nudité physique et morale mais sans que cette sincérité semble lui importer. Or il est de notoriété que la sincérité coûte. Dans le cas contraire, c’est que l’introspection n’a fait qu’effleurer la surface. Soyons honnêtes, Apolonia a vécu dans un happening permanent, ceci explique peut être cela.
    Mais en fait, l’intérêt du documentaire ne se trouve peut-être pas là, ce n’est pas Apolonia en tant que personne, toute charismatique soit-elle qui importe mais l’obsession comme moteur de vie, comme moyen de donner un sens. Ces obsessions nous les découvrons dans le parcours des 3 femmes qui habitent ce documentaire. La peinture pour Apolonia, le documentaire pour Léa Glob la réalisatrice, le combat pour la liberté pour Oksana Chachtko fondatrice du mouvement femen, 3 femmes artistes, créatrices, 3 femmes qui se reconnaissent et tissent un lien tenu aux travers de ces obsessions croisées.
    Christine SALAVERT GRIZET
    Christine SALAVERT GRIZET

    42 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juin 2024
    Extraordinaire documentaire
    Cette artiste est fabuleuse, et cette facon de filmer très intime sur 13 ans facinante
    Ces 3 femmes dégagent une force terrible et leur amitié magnifique
    Quand on voit l'évolution des tableaux, on comprend les réflexions des professeurs des Beaux Arts
    Cette artiste grandit et son oeuvre aussi
    Apolonia est extraordinairement sympathique, elle me fait penser à Frida Khalo
    Bravo pour ce documentaire plein de vie, d'amour, de beauté et de force
    sapram
    sapram

    3 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juin 2024
    Superbe, film abordant la question de la création picturale , de la place des femmes dans le marché de l'art, des doutes permanents quand on crée, j'ai adoré !!! Quel grand moment de cinéma.
    Clef en or Dulac
    Clef en or Dulac

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Le documentaire Apolonia Apolonia tire sa force et son originalité tant de la durée de son tournage, s’étendant sur 13 années, que de la puissante personnalité de la peintre Apolonia Sokol, dont le film brosse un portrait : le portrait de l’artiste en jeune-femme, qui, de son affirmation au sortir des Beaux-Arts jusqu’à la consécration internationale, embrasse une trajectoire humaine touchant à l’universel.
    La réalisatrice a monté dans son film les images, intimes et rares au cinéma, que tournaient les parents d’Apolonia au moment de sa conception, ou encore de sa naissance, tissant ainsi un sous-texte de la maternité, et plus largement, du corps féminin, resurgissant à divers moments. En effet, Apolonia, qui se montre d’une étonnante force morale, charrie avec elle son histoire familiale, une histoire difficile pour les femmes avant tout. Peindre dans un corps de femme n’est d’ailleurs pas évident pour elle, se confie-t-elle, même si l’investissement de ce corps semble un combat de chaque instant, qu’elle l’offre à la caméra dans les gestes intimes de la toilette, qu’elle le mette en scène par des choix de vêtements d’un style rebelle étudié, qu’elle le dédie entièrement à l’art, lui refusant ainsi l’accès à toute maternité, justement, ou encore, qu’elle fasse de son exhibition son étendard libérateur qui l’affranchira de la domination du « requin de l’art contemporain » dans laquelle l’a jetée sa soif de réussite. C’est aussi que ce corps a réchappé à la mort durant l’enfance.
    Se décentrant peu à peu vers une certaine dimension chorale, en contrepoints mineurs, le film s’intéresse aussi à d’autres femmes, marquées elles aussi dans leur chair par leur destinée de femme. Il y a, surtout, Oksana Chatchko, l’amie-sœur, la Femen ukrainienne originelle, arrêtée et torturée en Biélorussie, exilée et touchée par l’anorexie et la dépression, poursuivie, encore, au Lavoir Moderne de Château Rouge, qui fut la résidence d’Apolonia Sokol et où cette dernière avait recueilli les Femen, raison pour laquelle le lieu avait été la cible d’un incendie criminel et d’un attentat à l’arme blanche. Son évocation est déchirante. Il y a aussi, par un retournement de la caméra, l’irruption dans le film de la réalisatrice, Léa Glob, au moment où l’un de ses accouchements a failli lui coûter la vie.
    La peinture de Sokol est plutôt survolée par le documentaire, mais celui-ci réussit à montrer, par touches successives, l’avènement social d’une femme forte – parmi d’autres qui le sont moins – en femme puissante, et les épreuves de l’empouvoirement.
    Hervé L
    Hervé L

    72 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Un mauvais documentaire mal filmé sur le quotidien inintéressant d'une artiste reconnue. L'image est floue et le cadrage sans intérêt. La cinéaste amateur en école de cinéma à du mal à faire la mise au point et l'image est bougée . Il n'y a pas de scénario et les dialogues sont d'une banalité affligeante. Difficile de rester jusqu' au bout
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2024
    Apolonia Sokol est née en 1988 à Paris d’un père français et d’une mère qui a successivement vécu en Pologne et au Danemark. Elle a grandi dans l’ambiance bohême du "Lavoir moderne parisien", au cœur du XVIIIème arrondissement parisien. C’est là que la jeune cinéaste danoise Lea Glob l’a rencontrée en 2009. Les deux femmes se sont liées. Pendant treize ans, de Paris à New York, des premières toiles aux premières expositions, Lea Glob a filmé Apolonia et sa renommée grandissante.

    "Apolonia, Apolonia" est un film profondément original. Alors qu’un documentaire est normalement tourné en quelques semaines, quelques mois tout au plus, qu’il peut certes faire revivre le passé, grâce au recours aux archives ou aux interviews de témoins, celui-ci a été filmé pendant treize ans et nous fait vivre en direct le temps qui passe et un talent qui éclot. Lea Glob ne se contente pas de nous raconter la vie d’Apolonia, elle la filme au jour le jour. Une étrange symbiose naît entre les deux côtés de la caméra, entre celle qui filme – et qui parfois s’autorise à entrer dans le champ – et celle qui est filmée.

    "Apolonia, Apolonia" est donc doublement intéressant.
    D’une part, il montre l’éclosion d’une artiste. Comment devient-on une peintre mondialement reconnue ? Apolonia Sokol est née dans un milieu cosmopolite et bohême. Elle est passée par les Beaux-Arts de Paris (poke à son directeur, collègue et ami). Elle semble surtout tout entière investie dans son art, prête à tous les sacrifices, notamment celui de la maternité, pour le vivre intensément. Est-elle douée ou pas ? je serais bien incapable de le dire, vaguement méfiant envers l’art contemporain et ses brusques emballements dont on se demande parfois s’ils dépendent plus des stratégies d’investissement des collectionneurs que du réel talent des artistes.

    D’autre part, il témoigne d’une amitié. Amitié entre Apolonia et Lea. Mais amitié aussi avec un troisième personnage, Oksana Chatchko, la co-fondatrice des "Femen", réfugiée politique en France en 2013. Le documentaire témoigne du lien si fort qui unissent les trois jeunes femmes. On imagine l’émotion d’Apolonia et de Lea à sa première projection. On pourrait s’en sentir exclu – et on le pourrait d’autant plus en tant qu’homme car ces féministes radicales tangentent la misandrie – mais au contraire on est ému par cette brûlante sororité.
    Eric Mie
    Eric Mie

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 avril 2024
    Je suis sorti de la salle de ciné abasourdi. ça faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas remué ainsi.
    evariste75
    evariste75

    152 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2024
    J'ai beaucoup aimé ce documentaire cosmopolite... le Paris cosmopolite du 20ème arrondissement, la mère réfugiée de Biélorussie au Danemark, puis à Paris,...

    assister à sa propre naissance par vidéo... fascinant !

    J'entends Apolonia parler danois, français, anglais, biélorusse (ou polonais?) avec sa grand-mère,...

    Plongée dans le mode de vie bohème artiste dans le 20ème, à New York, Los Angeles, au Danemark, en Pologne...

    Parcours aussi d'une femen ukrainienne qui a peint des icônes religieuses...

    Film fascinant, artiste bohème, ultra-cosmopolite...

    Art et déracinement...

    Film à voir et revoir...
    Emy8282
    Emy8282

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Ce qui est beau et profond dans ce documentaire c’est que le sujet -Apolonia Sokol- et la réalisatrice -Léa Gobol- finissent par s’observer l’une et l’autre à travers la caméra. Alors nous -le spectateur.trice- on observe non seulement le parcours d’artiste peintre d’Apolonia mais aussi la vie de ces deux femmes, artistes en mouvement, vivantes…
    On est inclus dans toute les épreuves et les joies. Ceci tient je pense à la forme de ce documentaire organique et sûrement à la sincérité du sujet et de la réalisatrice. Bravo!
    Nicolas Laugero Lasserre
    Nicolas Laugero Lasserre

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 avril 2024
    Foncez voir ce film incroyable !!!
    Il retrace la vie de l’artiste Apolonia Sokol, diplômée de l’école nationale des beaux-arts de Paris et ancienne résidente de la villa Médicis
    Ufuk K
    Ufuk K

    516 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2024
    "Apolonia, Apolonia" bien noté par la critique, nommé aux European Film Awards l'an dernier (meilleur film documentaire) est un documentaire biographique pertinent. En effet durant 13 ans, la réalisatrice danoise Lea Glob a suivi la trajectoire de la peintre Apolonia Sokol, je ne connaissais pas du tout Apolonia Sokol, cette artiste authentique, atypique, féministe et engagée, jusqu'à ce documentaire, bien que j'ai trouvé le documentaire un peu long (1h56), la réalisatrice livre aux spectateurs le portrait d'une artiste tourmentée et incroyablement talentueuse.
    Lydielahogue
    Lydielahogue

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2024
    Un film à voir absolument sur une jeune artiste Apolonia Sokol, la création artistique, les ogres que peuvent être les marchands d'art, le corps, le sien ceux des femmes, la sororité, ses rapports amour / amitié avec Oksana militante des Femen et la relation avec la réalisatrice Léa Glob qui a filmé Apolonia durant 13 ans. Poignant, passionnant.
    PL06
    PL06

    10 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2024
    Un documentaire authentique, passionnant, émouvant, qui sort de l’ordinaire pour plein de raisons : le caractère farouche et la présence solaire de son sujet, Apolonia Sokol ; l’audace de son œuvre – singulière, libre et bien rendue par la mise en scène du film ; la patience d’une caméra qui la suit durant 13 ans – vie publique et privée, jusque dans certaines images d’une rare intimité.

    Apolonia Sokol, féministe parfois dérangeante, refuse les rails de la société, refuse d’être jugée par des hommes qui l’éconduiront à plusieurs reprises. Humaniste convaincue, sa vie nous parle d’accueil de l’étranger, d’amitié, de liberté. Presque comme un thriller, le film décrit le patient processus de construction de cette artiste. D’échecs en rebonds, elle doit d’abord se libérer d’elle-même, voyager, laisser le corps féminin prendre place dans son œuvre. Que c’est riche !

    On pourra noter quelques imperfections : une caméra parfois trop mobile, un montage un peu confus par moment, un peu de longueur dans la première moitié. Tout cela ne saurait ternir ce documentaire remarquable et à recommander.
    FRANCESCA C.
    FRANCESCA C.

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Apolonia est lumineuse authentique douée.
    La réalisatrice excellente animée par une amitié indéfectible.
    Une fois sous le charme de leurs deux talents et de la saga on a envie d'en être !!
    Courez y vite
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