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    Apolonia, Apolonia
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    16 critiques spectateurs

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    Ufuk K
    Ufuk K

    472 abonnés 1 405 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2024
    "Apolonia, Apolonia" bien noté par la critique, nommé aux European Film Awards l'an dernier (meilleur film documentaire) est un documentaire biographique pertinent. En effet durant 13 ans, la réalisatrice danoise Lea Glob a suivi la trajectoire de la peintre Apolonia Sokol, je ne connaissais pas du tout Apolonia Sokol, cette artiste authentique, atypique, féministe et engagée, jusqu'à ce documentaire, bien que j'ai trouvé le documentaire un peu long (1h56), la réalisatrice livre aux spectateurs le portrait d'une artiste tourmentée et incroyablement talentueuse.
    evariste75
    evariste75

    109 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2024
    J'ai beaucoup aimé ce documentaire cosmopolite... le Paris cosmopolite du 20ème arrondissement, la mère réfugiée de Biélorussie au Danemark, puis à Paris,...

    assister à sa propre naissance par vidéo... fascinant !

    J'entends Apolonia parler danois, français, anglais, biélorusse (ou polonais?) avec sa grand-mère,...

    Plongée dans le mode de vie bohème artiste dans le 20ème, à New York, Los Angeles, au Danemark, en Pologne...

    Parcours aussi d'une femen ukrainienne qui a peint des icônes religieuses...

    Film fascinant, artiste bohème, ultra-cosmopolite...

    Art et déracinement...

    Film à voir et revoir...
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    337 abonnés 520 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2024
    Ce documentaire sur la vie artistique mais pas seulement de cette artiste peintre devenue célèbre est intéressant à découvrir. La réalisatrice a suivi le parcours de cette artiste peintre d’art contemporain mais le film est aussi le reflet de sa vie personnelle à travers le développement de son art. Dans cette démonstration réussie, la réalisatrice a ainsi dressé un portrait de la féminité dans le monde actuel. Dommage que ce soit un peu trop long.

    Bernard CORIC
    PL06
    PL06

    8 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2024
    Un documentaire authentique, passionnant, émouvant, qui sort de l’ordinaire pour plein de raisons : le caractère farouche et la présence solaire de son sujet, Apolonia Sokol ; l’audace de son œuvre – singulière, libre et bien rendue par la mise en scène du film ; la patience d’une caméra qui la suit durant 13 ans – vie publique et privée, jusque dans certaines images d’une rare intimité.

    Apolonia Sokol, féministe parfois dérangeante, refuse les rails de la société, refuse d’être jugée par des hommes qui l’éconduiront à plusieurs reprises. Humaniste convaincue, sa vie nous parle d’accueil de l’étranger, d’amitié, de liberté. Presque comme un thriller, le film décrit le patient processus de construction de cette artiste. D’échecs en rebonds, elle doit d’abord se libérer d’elle-même, voyager, laisser le corps féminin prendre place dans son œuvre. Que c’est riche !

    On pourra noter quelques imperfections : une caméra parfois trop mobile, un montage un peu confus par moment, un peu de longueur dans la première moitié. Tout cela ne saurait ternir ce documentaire remarquable et à recommander.
    Paul C
    Paul C

    18 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2024
    Un vrai chef d’œuvre à aller voir. Apolonia vous embarque dans son monde. Ouvrez grand les yeux ce film va vous marquer à vie.
    Yves G.
    Yves G.

    1 304 abonnés 3 306 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2024
    Apolonia Sokol est née en 1988 à Paris d’un père français et d’une mère qui a successivement vécu en Pologne et au Danemark. Elle a grandi dans l’ambiance bohême du "Lavoir moderne parisien", au cœur du XVIIIème arrondissement parisien. C’est là que la jeune cinéaste danoise Lea Glob l’a rencontrée en 2009. Les deux femmes se sont liées. Pendant treize ans, de Paris à New York, des premières toiles aux premières expositions, Lea Glob a filmé Apolonia et sa renommée grandissante.

    "Apolonia, Apolonia" est un film profondément original. Alors qu’un documentaire est normalement tourné en quelques semaines, quelques mois tout au plus, qu’il peut certes faire revivre le passé, grâce au recours aux archives ou aux interviews de témoins, celui-ci a été filmé pendant treize ans et nous fait vivre en direct le temps qui passe et un talent qui éclot. Lea Glob ne se contente pas de nous raconter la vie d’Apolonia, elle la filme au jour le jour. Une étrange symbiose naît entre les deux côtés de la caméra, entre celle qui filme – et qui parfois s’autorise à entrer dans le champ – et celle qui est filmée.

    "Apolonia, Apolonia" est donc doublement intéressant.
    D’une part, il montre l’éclosion d’une artiste. Comment devient-on une peintre mondialement reconnue ? Apolonia Sokol est née dans un milieu cosmopolite et bohême. Elle est passée par les Beaux-Arts de Paris (poke à son directeur, collègue et ami). Elle semble surtout tout entière investie dans son art, prête à tous les sacrifices, notamment celui de la maternité, pour le vivre intensément. Est-elle douée ou pas ? je serais bien incapable de le dire, vaguement méfiant envers l’art contemporain et ses brusques emballements dont on se demande parfois s’ils dépendent plus des stratégies d’investissement des collectionneurs que du réel talent des artistes.

    D’autre part, il témoigne d’une amitié. Amitié entre Apolonia et Lea. Mais amitié aussi avec un troisième personnage, Oksana Chatchko, la co-fondatrice des "Femen", réfugiée politique en France en 2013. Le documentaire témoigne du lien si fort qui unissent les trois jeunes femmes. On imagine l’émotion d’Apolonia et de Lea à sa première projection. On pourrait s’en sentir exclu – et on le pourrait d’autant plus en tant qu’homme car ces féministes radicales tangentent la misandrie – mais au contraire on est ému par cette brûlante sororité.
    capirex
    capirex

    72 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2024
    Très intéressant et enrichissant documentaire sur une singulière Artiste contemporaine dont il faut bien l'avouer je n'avais jamais jusqu'à lors entendu parler . Lea Glob la réalisatrice a réussit à en tirer toute l'essence de cette Artiste puisque treize année inévitablement ça crée des liens !
    Hervé L
    Hervé L

    63 abonnés 603 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Un mauvais documentaire mal filmé sur le quotidien inintéressant d'une artiste reconnue. L'image est floue et le cadrage sans intérêt. La cinéaste amateur en école de cinéma à du mal à faire la mise au point et l'image est bougée . Il n'y a pas de scénario et les dialogues sont d'une banalité affligeante. Difficile de rester jusqu' au bout
    Clef en or Dulac
    Clef en or Dulac

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Le documentaire Apolonia Apolonia tire sa force et son originalité tant de la durée de son tournage, s’étendant sur 13 années, que de la puissante personnalité de la peintre Apolonia Sokol, dont le film brosse un portrait : le portrait de l’artiste en jeune-femme, qui, de son affirmation au sortir des Beaux-Arts jusqu’à la consécration internationale, embrasse une trajectoire humaine touchant à l’universel.
    La réalisatrice a monté dans son film les images, intimes et rares au cinéma, que tournaient les parents d’Apolonia au moment de sa conception, ou encore de sa naissance, tissant ainsi un sous-texte de la maternité, et plus largement, du corps féminin, resurgissant à divers moments. En effet, Apolonia, qui se montre d’une étonnante force morale, charrie avec elle son histoire familiale, une histoire difficile pour les femmes avant tout. Peindre dans un corps de femme n’est d’ailleurs pas évident pour elle, se confie-t-elle, même si l’investissement de ce corps semble un combat de chaque instant, qu’elle l’offre à la caméra dans les gestes intimes de la toilette, qu’elle le mette en scène par des choix de vêtements d’un style rebelle étudié, qu’elle le dédie entièrement à l’art, lui refusant ainsi l’accès à toute maternité, justement, ou encore, qu’elle fasse de son exhibition son étendard libérateur qui l’affranchira de la domination du « requin de l’art contemporain » dans laquelle l’a jetée sa soif de réussite. C’est aussi que ce corps a réchappé à la mort durant l’enfance.
    Se décentrant peu à peu vers une certaine dimension chorale, en contrepoints mineurs, le film s’intéresse aussi à d’autres femmes, marquées elles aussi dans leur chair par leur destinée de femme. Il y a, surtout, Oksana Chatchko, l’amie-sœur, la Femen ukrainienne originelle, arrêtée et torturée en Biélorussie, exilée et touchée par l’anorexie et la dépression, poursuivie, encore, au Lavoir Moderne de Château Rouge, qui fut la résidence d’Apolonia Sokol et où cette dernière avait recueilli les Femen, raison pour laquelle le lieu avait été la cible d’un incendie criminel et d’un attentat à l’arme blanche. Son évocation est déchirante. Il y a aussi, par un retournement de la caméra, l’irruption dans le film de la réalisatrice, Léa Glob, au moment où l’un de ses accouchements a failli lui coûter la vie.
    La peinture de Sokol est plutôt survolée par le documentaire, mais celui-ci réussit à montrer, par touches successives, l’avènement social d’une femme forte – parmi d’autres qui le sont moins – en femme puissante, et les épreuves de l’empouvoirement.
    Isabelle Blottiere
    Isabelle Blottiere

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2024
    J'ai adoré ce documentaire car Léa Glob comme Apolonia montre comment elles vont vers ce que leur dicte leur intuition et leur désir. Le film nous mène dans l'univers de l'artiste sans trop en faire. L'artiste Apolonia Sokol transcende l'impératif social afin d'exprimer son talent dans ces peintures. Léa Glob parvient tout en ne s'excluant pas de son film à transmettre là aussi son talent de réalisatrice.
    Emy8282
    Emy8282

    7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Ce qui est beau et profond dans ce documentaire c’est que le sujet -Apolonia Sokol- et la réalisatrice -Léa Gobol- finissent par s’observer l’une et l’autre à travers la caméra. Alors nous -le spectateur.trice- on observe non seulement le parcours d’artiste peintre d’Apolonia mais aussi la vie de ces deux femmes, artistes en mouvement, vivantes…
    On est inclus dans toute les épreuves et les joies. Ceci tient je pense à la forme de ce documentaire organique et sûrement à la sincérité du sujet et de la réalisatrice. Bravo!
    FRANCESCA C.
    FRANCESCA C.

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Apolonia est lumineuse authentique douée.
    La réalisatrice excellente animée par une amitié indéfectible.
    Une fois sous le charme de leurs deux talents et de la saga on a envie d'en être !!
    Courez y vite
    Photofilm
    Photofilm

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2024
    Ce film nous plonge dans les affres et les joies d'une vie d'artiste, perturbante, riche, complexe. Suivie pendant 13 ans, la peintre Apolonia se livre et vit sans retenue. En miroir, les destins d'une fondatrice des Femen et de la réalisatrice se révèlent. Cette épopée moderne dédiée à des femmes et hautement bouleversante nous emporte comme dans un suspense.
    Lydielahogue
    Lydielahogue

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2024
    Un film à voir absolument sur une jeune artiste Apolonia Sokol, la création artistique, les ogres que peuvent être les marchands d'art, le corps, le sien ceux des femmes, la sororité, ses rapports amour / amitié avec Oksana militante des Femen et la relation avec la réalisatrice Léa Glob qui a filmé Apolonia durant 13 ans. Poignant, passionnant.
    Nicolas Laugero Lasserre
    Nicolas Laugero Lasserre

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 avril 2024
    Foncez voir ce film incroyable !!!
    Il retrace la vie de l’artiste Apolonia Sokol, diplômée de l’école nationale des beaux-arts de Paris et ancienne résidente de la villa Médicis
    Les meilleurs films de tous les temps
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