Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un portrait magnifique et fascinant.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Très beau film sur l'art et la vocation, « Apolonia, Apolonia » raconte aussi une grande histoire d'amitié.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'Obs
par Isabelle Danel
Dans le plan d’ouverture, Apolonia, face au miroir, se coupe la frange. D’autres surfaces refléteront la réalisatrice en train de saisir leurs deux images. Car ce documentaire au long cours raconte les vies de jeunes femmes du XXIe siècle. Et leur liberté. Voulue, volée, arrachée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Son documentaire addictif, Apolonia, Apolonia, dont le tournage a duré treize ans, est en forte empathie avec son personnage – son talent, l’attraction qu’elle exerce autour d’elle –, tout en le regardant au fond des yeux, avec ses côtés insupportables.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Grâce à une temporalité hors norme, "Apolonia, Apolonia" invente le documentaire d’apprentissage en montrant avec grâce la fin de l’enfance et de ses illusions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sonya Faure
Un portrait de femme foisonnant sur l’apprentissage et l’art face au doute.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Éric Derobert
C’est tout un art du récit dont fait montre la réalisatrice danoise, avec les trois éléments ainsi évoqués : la virtuosité du montage, une proximité empathique avec sa protagoniste, et un dispositif ultraléger: les maquettes.
Télérama
par Virginie Félix
De ce portrait intime naît un fascinant jeu de miroirs entre âmes sœurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Anaëlle Paccard
Lea Glob dresse un portrait sensible de la peintre Apolonia Sokol. C’est une mosaïque d’instants, d’échanges, de rencontres, qui permettent de peindre le visage de la jeune femme, avec tout ce qu’il contient d’aspérités et de paradoxes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Comme rarement, la proximité sans fard permet un point de vue circonstancié sur le monde de l’art, avec pour point d’orgue la rencontre d’un mécène que la presse désigne comme « Satan » et sous l’aile duquel la quête de liberté vacille.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Si, tel un aimant, Sokol attire tous les regards, le film tire sa richesse des détours qu’il ménage pour révéler la fragilité des autres personnes l'entourant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
En s’attachant à un personnage qui ne connaît de l’attachement que celui des sentiments et de pérennité que celle d’une vocation dévorante, Lea Glob livre un film parfois déconcertant, aussi chaotique que son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
Apolonia reste tout au long du documentaire une figure insaisissable pour les spectateur·rices comme pour la cinéaste, qui capture sa féminité volcanique avec d’autant plus de fascination qu’on la sent opposée à la sienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Nicolas Moreno
De sa relation bouleversante avec la Femen ukrainienne Okasana Shachko aux pratiques scandaleusement néolibérales du marché de l’art américain, le documentaire donne à voir suffisamment de séquences originales pour dépasser le stade du simple exercice égocentrique.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Un portrait magnifique et fascinant.
Les Echos
Très beau film sur l'art et la vocation, « Apolonia, Apolonia » raconte aussi une grande histoire d'amitié.
L'Obs
Dans le plan d’ouverture, Apolonia, face au miroir, se coupe la frange. D’autres surfaces refléteront la réalisatrice en train de saisir leurs deux images. Car ce documentaire au long cours raconte les vies de jeunes femmes du XXIe siècle. Et leur liberté. Voulue, volée, arrachée.
Le Monde
Son documentaire addictif, Apolonia, Apolonia, dont le tournage a duré treize ans, est en forte empathie avec son personnage – son talent, l’attraction qu’elle exerce autour d’elle –, tout en le regardant au fond des yeux, avec ses côtés insupportables.
Les Fiches du Cinéma
Grâce à une temporalité hors norme, "Apolonia, Apolonia" invente le documentaire d’apprentissage en montrant avec grâce la fin de l’enfance et de ses illusions.
Libération
Un portrait de femme foisonnant sur l’apprentissage et l’art face au doute.
Positif
C’est tout un art du récit dont fait montre la réalisatrice danoise, avec les trois éléments ainsi évoqués : la virtuosité du montage, une proximité empathique avec sa protagoniste, et un dispositif ultraléger: les maquettes.
Télérama
De ce portrait intime naît un fascinant jeu de miroirs entre âmes sœurs.
aVoir-aLire.com
Lea Glob dresse un portrait sensible de la peintre Apolonia Sokol. C’est une mosaïque d’instants, d’échanges, de rencontres, qui permettent de peindre le visage de la jeune femme, avec tout ce qu’il contient d’aspérités et de paradoxes.
Cahiers du Cinéma
Comme rarement, la proximité sans fard permet un point de vue circonstancié sur le monde de l’art, avec pour point d’orgue la rencontre d’un mécène que la presse désigne comme « Satan » et sous l’aile duquel la quête de liberté vacille.
Critikat.com
Si, tel un aimant, Sokol attire tous les regards, le film tire sa richesse des détours qu’il ménage pour révéler la fragilité des autres personnes l'entourant.
Culturopoing.com
En s’attachant à un personnage qui ne connaît de l’attachement que celui des sentiments et de pérennité que celle d’une vocation dévorante, Lea Glob livre un film parfois déconcertant, aussi chaotique que son sujet.
Les Inrockuptibles
Apolonia reste tout au long du documentaire une figure insaisissable pour les spectateur·rices comme pour la cinéaste, qui capture sa féminité volcanique avec d’autant plus de fascination qu’on la sent opposée à la sienne.
Première
De sa relation bouleversante avec la Femen ukrainienne Okasana Shachko aux pratiques scandaleusement néolibérales du marché de l’art américain, le documentaire donne à voir suffisamment de séquences originales pour dépasser le stade du simple exercice égocentrique.