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    Dream Scenario
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    181 critiques spectateurs

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    ATON2512
    ATON2512

    60 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2025
    De Kristoffer Borgli (2024).
    un curieux film parfois dérangeant entre fantastique et parodie .
    Nicolas cage est très convaincant dans la peau de ce professeur un peu particulier . Pour autant malgré son thème à la limite du spirituel ne cherchez pas d'explication métaphysique .
    Avec aussi Julianne Nicholson, Jessica Clement
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    65 abonnés 989 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 décembre 2024
    Je me suis dit que pour une fois Nicolas Cage - que j’aime beaucoup - changeait de registre, en prof de Fac à moitié chauve et un peu perdu, ça devait être bien. Oui mais non. Malgré sa bonne interprétation et un scénario original - tout le monde rêve de lui - le film aurait pu être bien plus caustique ; il est juste ennuyeux et devient même frustrant.
    gerard stevenson
    gerard stevenson

    20 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    Un scénario qui pouvait emmener cette histoire vers un film de rêve d'autant plus que Nicolas Cage est parfait dans son jeu. Mais de la lenteur, du manque de profondeur de l'idée de départ (un professeur d'université apparaît dans les rêves de pratiquement tout le monde) font que "Dream scenario" nous laisse sur notre faim, sur nos espoirs d'assister à un chef d'oeuvre.
    Delicious Dreams
    Delicious Dreams

    4 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    L'archétype du film qui démontre qu'une très bonne idée peut déboucher sur pas grand chose si on n'y met pas de d'ambition. Le film est porté par Nicolas Cage, le reste du casting est loin d'être à la hauteur et le scénario accrocheur pendant 30 minutes part en vrille pour terminer sur une fin bâclée qui ne donne même pas à réfléchir. spoiler: la scène d'intimité avec Molly censée servir de pivot est totalement ratée et limite gênante tant elle est surjouée
    . L'histoire du couple est esquissée par des fausses pistes permanentes qui n'apportent rien. Le passage avec Michael Cera est prévisible au possible. Aurait mérité un moyen voir court métrage là il y a trop de remplissage sans objectif de scénario ou de mise en scène.
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    40 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 novembre 2024
    “Dream Scenario” sonne comme un scénario prometteur, gaspillé par une narration mollassonne. Malgré son postulat intéressant, le long-métrage n’arrive pas à donner une conclusion percutante qui aurait permis au film d'en faire des éloges.

    Le personnage de Paul Matthews (Nicolas Cage) possède peu de discernement, incapable de se remettre en question et incarner son propre changement, la plupart des situations auxquels Paul fait face le montre de plus en plus passif et ridicule. Paul est antipathique, il est bien difficile de s’attacher à lui. Son personnage casse donc la dynamique initiale du film, pour en faire quelque chose de “lambda” en plus de rapidement tomber dans le pathétique avec un fatalisme qui m’exaspère, force le pathos et la malchance hasardeuse de Paul, cette dernière ne résout en rien sa situation et ne font que l’enfoncer : spoiler: exemple avec l’accident de la porte refermée sur les doigts de la dame qui garde l’entrée de la représentation de théâtre, c’est juste trash, cela ne nourrit rien du tout narrativement parlant. Autre exemple avec le néon qui tombe sur la tête de Paul lorsqu'il dédicace son nouveau livre,
    pour moi c’est gratuit et cela nous fait penser “il est vraiment malchanceux ce Paul, le pauvre”.
    Ce n’est pas la première fois que Nicolas Cage incarne ce genre de rôle passif (“The Weather man”, “Pig”), mais dans ce cas, je trouve que son inaction impacte gravement sur la dynamique du film dans la durée.

    De même que le postulat de départ, Paul s’incarne dans le rêve d’inconnu(e)s et cette incarnation passe par différentes phases : Paul est passif au départ, puis Paul devient spoiler: violent, et parfois sexué (mais c’est assez peu abordé et timide de ce côté là), mais le Paul optimiste, sauveur, aidant ou aimant n'apparaît à aucun moment et ne fait pas partie du processus.
    Pourquoi ? Pour renforcer l’aspect dramatique, c’est sûr, mais il manque une facette de notre héros, plus évolutive. Il y a également peu de théorie sur l’incarnation de la personne de Paul dans les rêves d’autres personnes là où des théories et de concepts existent : exemple avec celui de la Noosphere (concept de flux de pensée commun et unifié théorisé dans les années 30) qui aurait pu en faire une bonne base théorique pour le film.

    En définitive, il n’y a pas assez de cohérence et le film finit par nous assommer avec l’absurdité du Norio, spoiler: bracelet connecté qui permet de choisir de qui on va rêver et d’introduire des publicité à l’intérieur du rêve
    , c’est clairement pas l’orientation narrative que j’aurais souhaité. C’est une déception.
    Le Chat du Cinéphile
    Le Chat du Cinéphile

    30 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2024
    Côté mise en scène, il manque aux rêves cette inquiétante étrangeté qui les caractérise. Ce je-ne-sais-quoi qui nous fait douter de ce que nous vivons au sein d’un rêve et cette sensation de se réveiller avec une énigme dans la tête.
    L’inquiétante étrangeté s’appelle Nicolas Cage et fait office de bonne blague qui, hélas, ne tient pas sur le long terme.
    Le succès critique et public de ce film pourrait provenir d’un soulagement. Celui de retrouver Nicolas Cage en tant qu’acteur et non en tant que cabotin (que j’aime tout autant).
    Hélas, le traitement accordé à cette popularité puis impopularité acquises par son omniprésence dans les rêves de toute une population s’avère assez frustrant : le sujet des rêves, pourtant riche par sa complexité et son potentiel créatif, est ici réduit à son plus simple appareil. Sans doute aurait il été plus pertinent d’adopter le point de vue des rêveurs que celui de l’être rêvé et de faire intervenir Nicolas Cage en tant que personnage réel dans la deuxième partie.
    romain42000
    romain42000

    3 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2024
    L’idée n’est pas mauvaise, Nicolas Cage est plutôt bon dans le rôle principal, mais on a du mal à comprendre d’où on vient et où on va. Le scénario paraît un peu bâclé, on reste clairement sur notre faim.
    Et les rôles secondaires ne sont pas tous tres bien joués.
    dhaikha phan
    dhaikha phan

    3 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juillet 2024
    Drôle de film estampillé "comédie" dans un univers dit "fantastique" alors que cela touche le domaine du rêve qui n'a rien de fantastique, car chacun peut raconter ce qu'il veut , personne ne pourra vérifier la véracité de sa narration. Le meilleur moyen d'ailleurs pour détruire la vie de quelqu'un bien étabi dans sa vie sociale , professionnellement faisant partie de l'élite scientifique opposée à l'irrétionnalité du rêve, en général.
    Ce film dévoile plusieurs pistes de narration qui n'aboutissent vraiment à rien de concret ou de logique pour le spectateur...Il y a des ruptures de ton scénaristique qui déroutent notre tentative de raisonnement.
    Pour parvenir jusqu'à la fin du film, il faut se laisser aller sans prise de tête , inutile, et qui n'apportera aucun éclairage. Finalement tout peut s'expliquer par l'innovation technologique pouvant s'introduire dans le rêve de quiconque en n'importe quel endroit de la planète, ce qui est faible comme explication, quand on imagine tout le processus complexe pour parvenir à réaliser ce tour de force ...
    Au mot "fin" du film, je me suis interrogé sur ce que je venais de voir et aussi dépité par la performance d'acteur de NICOLAS CAGE que j'aimais bien jusqu'ici...De plus son apparence physique m'a fort surpris, même si je sais que tout le monde doit vieillir...Pas à son avantage, il faut l'admettre...
    Mla
    Mla

    18 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2024
    On regarde ça évidemment que si on est Fan de Nicolas Cage et sa folie ! Il est prof à l’université et sans raison du jour au lendemain des millions de gens rêvent de lui . Ila critique a été très dithyrambique, finalement c’est vraiment pas le meilleur Nicolas Cage du genre .
    William
    William

    4 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2024
    Ce film est un OVNI. Un gars transparent apparaît dans les rêves des gens, d'abord comme type couleur muraille puis avec un portrait peu flatteur.
    Le film se veut film d'auteur avec des thèmes qui auraient pu être intéressants : la rivalité universitaire, la génération wokes qui met sa sensibilité façon peau de bébé en avant pour tourmenter ses cibles, la bêtise, le couple et la place de l'homme dans un couple"matriarcale", le monde du marketing, la stratification des relations sociales, le thème du bouc-émissaire... Le problème est que tout est évoqué mais rien n'est creusé. On peine à voir la thèse du film et on en sort avec le sentiment de raté ou presque un "tout ça pour ça".
    Bref c'est dommage
    amonavis
    amonavis

    4 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2024
    le début est pas mal et assez prometteur, mais j'ai vite décroché, à partir du moment où le professeur devient méchant dans les cauchemars la réaction des élèves n'est pas réaliste c'est le premier détail qui fait que on voit que le scénario patine , et la suite est laborieuse..
    Ciné-13
    Ciné-13

    127 abonnés 1 093 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2024
    Tout le pitch pourrait tenir sur un confetti, avec une idée de base complètement irréaliste, inexpliquée, qui disparait aussi soudainement qu'elle apparait!
    Nicolas CAGE est remarquable dans ce personnage de docteur en science qui enseigne en université.
    Ils rêvent tous de lui (des centaines), certaines le voient libidineux et lui font des avances, d'autres le cauchemardent en Freddy et le rejettent ou le menacent. Mais tout devient foutraque : les menaces, les agressions, la famille qui ne le soutient pas, les publicistes, les éditeurs,... On a même droit à une séance ridicule de thérapie cognitive collective pour évacuer les cauchemars traumatiques... Et puis le film bâcle, via une pirouette scénaristique, une tentative technologique d'immiscion dans les rêves. Pour terminer sur une gentillette embrassade...
    Camau92
    Camau92

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2024
    Un film qui ne peut pas laisser indifférent.
    Mais ce n'est sûrement pas un "film comique". Si vous vous sentez déprimé ou que votre vie vous parait difficile en ce moment... passez votre chemin !
    L'étrangeté du sujet, " un type qui apparait dans les rêves de la majeure partie de la population humaine", devient vite secondaire. L'histoire n'apportera aucune réponse. Seuls des opportunistes se serviront de cette histoire pour ce faire de l'argent et enfoncerons même un peu plus, par leurs discours commerciaux, notre infortuné professeur...

    Ici, l'on suit une part de la vie d'un type intelligent mais ordinaire dont la caractéristique principale est l’incapacité totale à comprendre les gens qui l'entourent et surtout à se défendre.

    Nicolas Cage sera, malgré le rare avertissement qui viendra du Directeur de l'université où il est employé, victime de la "cancel culture".

    Le personnage sera quasi sans soutien, abandonné même par sa propre épouse et incompris par ses enfants.
    Il sera tour à tour l'objet d'interrogations, d'intérêt puis très rapidement moqué, rejeté, agressé puis visé par la vindicte populaire.
    "Perdant les pédales" il perdra son travail, son logement, sa famille. Se mentant à lui-même, il finira utilisé par des firmes commerciales peu scrupuleuses de son image et de son bien être. Tout cela pour s'accrocher à son propre rêve : un peu de reconnaissance du public pour ses connaissances et ses recherches universitaires.

    Pour ce "looser" (comme il est traité par un groupe d'étudiants), la fin du film n'apporte aucune vraie morale, ni même un réel soupçon d'espoir de retour à une vie normale, avec une image publique réhabilitée.
    On sort de là avec un mauvais gout dans la bouche...
    jule C.
    jule C.

    1 abonné 34 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    J'ai pas aimé
    J'ai trouvé que c'était long
    Ça commence bien mais non je ne me suis pas éclatée
    J'ai aimé la chute
    Donc un point positif
    Audrey L
    Audrey L

    655 abonnés 2 596 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Attention, petit manuel du film A24 pour les Nuls... Un scénario étrange (un homme se retrouve dans les rêves de tout le monde, d'abord de façon anodine puis devenant le croque-mitaine qui effraie tous les jeunes... Oui, Freddy quoi), un visuel au filtre terne et aux plans qui durent, aux dialogues copieux, des scènes d'hallu qui déboulent de partout et s'arrêtent aussi sec, un héros qui a peur de tout le monde (Beau is Affraid, le retour... Ah tiens, Ari Aster est le producteur, coïncidence ? Ça m'étonnerait), et une fin tellement ouverte qu'elle ne conclut rien. Nicolas Cage semble se faire plaisir de nouveau (en même temps : sur quel projet, aussi moisi soit-il, ne prend-il pas son pied ?), et on ne boude pas l'ouverture intrigante du film, qui malheureusement s'effondre très vite avec la balourdise éléphantine de la critique sociétale amorcée par Borgli (on avait déjà remarqué sa finesse de bulldozer dans son précédent Sick of Myself, mais on avait passé l'éponge du fait de l'originalité de son propos). Ici, on va faire une exception à notre aversion pour cette expression ridicule, et la dire juste une fois : "OK boomer." Borgli regarde les jeunes (il doit le prononcer "d'jeuns" dans sa tête) comme des accrocs aux réseaux sociaux, incapables de faire la différence entre réalité (les cours de la fac) et la fiction (leurs rêves du prof qui les malmène), prêts à se jeter dans n'importe quel show de téléréalité débilitant (on n'a pas compris ce que cette émission "Les Anges versus Les Rêves" fichait au milieu de la fin), et porter un bracelet qui clignote pour les protéger de la folie (oui... Borgli voit les "d'jeuns" comme ça...). On s'étonne de ne pas voir une seule personne âgée affligée par les cauchemars, ni même la terreur que cela pourrait provoquer chez une personne schizo, non, on cible uniquement une partie de la population sans trop d'explications (le principe de l'effet Mandela justement évoqué au début du film, c'est qu'il touche absolument tout le monde, sans distinction d'âge, de genre, de nationalité, ou de catégorie sociale...). La balourdise du film va même jusqu'à citer explicitement Freddy Krueger (des fois qu'on soit trop bête pour comprendre la réf'... On doit être trop "d'jeuns") en faisant porter un gant à griffes à Nicolas Cage à qui on demande de parodier Freddy lors d'un shooting photos... On peut comprendre ceux qui aimeront le côté décalé de l’œuvre (même si la bande-annonce vendait un délire bien plus conséquent : ils ont simplement mis tous les rêves les plus fous dans la bande-annonce, histoire de laisser penser que le reste est du même niveau d'inspiration, et surprise : non.), le jeu de Cage (comme d'habitude : il s'amuse, lui, au moins), l'illusion que ce film est original (avant de capter qu'il est une lointaine resucée de Beau is Affraid croisé avec Freddy Krueger), et une critique de la société qui devrait plaire aux cancres du fond du cours d'analyse filmique. On aurait adoré que pareil scénario tombe dans les mains (moins griffues) de quelqu'un de plus fin, à bon entendeur... On peut rêver.
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