Sur un scénario tout simple, un film plein d'émotion et de sentiments à fleur de peau. Karine Viard au top c'est habituel et Franck Dubosc très juste, loin de ses clichés comiques
Plutôt pertinent, ce nouveau départ créé un pléthor de situations ubuesques, suffisamment modérées et consciencieuses, toutefois, pour rester rationnel.
Une comédie romantique, remake d'un film argentin, qui sort des sentiers battus, balayant dès les premières scènes le schéma classique ( si l'on fait abstraction de quelques procédés facile comme le copain aux bons conseils, la copine nympho...). Le scénario, coécrit par l'écrivaine Maria Pourchet, ose affronter le thème délicat de l'usure du couple au fil des années et qui nous renvoie à notre propre vie. Mais la réussite du film ne serait rien sans son interprétation, et surtout son duo tête d'affiche. Nous n'avons jamais vu Dubosc aussi touchant et Viard laisse encore éclater son talent habituel pour nous faire sourire et nous émouvoir.
un film assez malaisant car infiniment plus triste que drôle. Le désespoir d'une femme en perdition est ici plombé par les clichés vus et revus : la fille homosexuelle et sa petite amie issue de la diversité qui se font inséminer pour obtenir un enfant, le beau gosse de la boite trop beau pour être vrai, la ménopause et ses chaleurs, les métaphores de voitures, le Viagra et ses effets, l'énurésie nocturne des vieux... Claude Sautet aurait pu en faire une merveilleux film mais pas Philippe Lefebvre qui s'est borné à réaliser des sketchs hétéroclites
Un film assez classique sur la crise du couple de la cinquantaine, la perte du désir. De l'humour et de la fantaisie . Karine Viard est bien sûr très bonne et tient le film sur ses épaules . On s'amuse, on sourit , on se reconnait dans cette envie de liberté et de renouvèlement .
Un quiproquo qui va exacerbé les problèmes de couple après de longues années de mariage. Diane, interprété par Karin Viard s'ennuie au quotidien avec Alain, joué par Dubosc, va allé jusqu'à s'inventer un amant à son boulot histoire de retrouver un peu la lumière, peu enthousiaste face à se mensonge de sa femme, Alain décide de rompre. Comédie flirtant avec le drame familiale, le film navigue entre les deux genres sans jamais briller dans l'un des deux registres, c'est rarement vraiment drôle et c'est trop téléphoné sur l'issu finale, même si le film reserve quelques surprises notamment spoiler: le bébé d'Alain avec une femme rencontrer quelques jours auparavant, qui pourrait servir de point de non-retour pour le couple, mais qui finit par revenir tout de même sur les rails. Film pas spécialement mauvais sur le moment, mais suffisamment anecdotique pour vraiment marquer les esprits.
Personnages bourgeois et égocentriques qui s'ennuient dans un confort total et qui se reprochent l'un l'autre d'aller bien. Ce film ne parlera pas à tout le monde. spoiler: En supplément dans ce film un dose de wokisme...
Léger et drôle ça donnerait presque envie de vieillir, on retrouve un Franck Dubosc étincèlement et une Karin Viard solaire. Les deux réunis forment un magnifique duo dans ce petit nanard qu’on regarde avec le sourire .
J’étais très curieux du couple Karin Viard - Frank Dubosc pour ce « Nouveau Départ » ; j’ai été rassuré, le couple fonctionne bien. Diane (Karin Viard) reproche à son mari Alain (Frank Dubosc) que sa vie manque de surprises ; en ce qui me concerne, le film de Philippe Lefebvre manque aussi de surprises. En soi ce n’est pas gênant que le scénario soit cousu de fils blancs, mais je n’ai pas accroché. L’ennui m’a gagné par moments. Mais c’est loin d’être un film déplaisant.