J'ai vu ce film au cinéma quand j'étais dans ce cinéma près de la bourse. C'était mon tout premier Diisney, car l'époque les films Disney ne passaient pas à la télé. J'ai été émerveillée. C'est un fil que ensuite montré à mes enfants. Ce dessin animé restera toujours dans mon cœur. Je le conseille vivement. C'était la période naïve et pleine d'aventures.
un super dessin anime vu avec ma film de 5 ans drôle émouvant Bernard est une souris un peu peureuse et Bianca incarne l'élégance le courage il font un duo hors pair
Un souvenir d enfance . Un des premiers films que j ai pu voir en salle . J étais petit et c était ma première fois au Grand Rex avec la féerie des eaux . L avoir revu forcément donne dans la nostalgie mais le film est bon malgré l animation d époque. Le charme des Disney d avant l ère numérique.
Un de mes Disney préférés ! L’histoire varie entre moments drôles, émouvants, d’enquête voir de suspens ! Et surtout le point fort reste la variété des personnages attachants ! Quelques moments cultes à voir et à revoir on ne s’en lasse pas ! Un film parfait à voir en famille !
Bernard et Bianca ! Pas un Disney auquel on pense en premier, et pourtant il s agit d un des meilleurs ! Extrêmement sous coté avec des sujets bien traités. Le seul défaut du film reste les "méchants" qui sont caricaturés, mais pour le reste, tout fonctionne à merveille Le duo de souris fonctionne très bien !
Un Disney amusant et plein de charme qui nous conte les aventures de deux souris attachantes qui viennent en aide avec une belle galerie de personnages secondaires, à une petite fille en détresse face à la méchante Médusa.
Bernard et Bianca est un Disney appréciable, mais pas marquant. Les personnages sont sympathiques sans plus et l'histoire est assez simple, bien qu'elle reste plaisante. Au-delà de ça, les personnages n'ont pas de fond. Bernard est superstitieux, mais cela n'a aucun impact sur l'histoire. Les musiques ne rentrent pas dans la tête et l'univers en général est assez pauvre. La méchante est peu charismatique et pour moi, les crocodiles sont à la limite du grossier. Pourtant, le film possède des idées intéressantes, notamment ce monde animal qui communique spoiler: (mais pourquoi les crocos ne savent pas parler ?) et qui a été usé jusqu'à la moelle. En gros, un divertissement sympa, mais sans plus. Pour 1h15 de film, on apprécie au moins la durée car plus long aurait été irritant.
J’ai beaucoup entendu parlé de ce Disney mais je ne l’avais jamais visionné jusqu’à aujourd’hui. Ce Sherlock Holmes revisité est plutôt pas mal. L’intrigue est prenante. Bernard et Bianca sont attachants, la petite Penny est vraiment mignonne,.. Les moyens de transports de nos deux souris sont plutôt originaux avec l’oiseau albatros Orville et la barque tirée par la libellule. Ici les méchants sont l’affreuse Médusa et ses deux acolytes les crocodiles.
"Bernard et Bianca" n'est peut-être pas le dessin animé Disney le plus mis en avant ni le plus connu mais il comporte suffisamment de bons points pour qu'on l'aime. (D'ailleurs c'est un des films d'animations qui étaient le plus aimés entre 1970 et 2000) : des personnages attachants, un joli message de fin, des voix françaises d'exception dont Roger Carel restera à jamais associé...bref une jolie fable enfantine qui parait nunuche de prime abord mais qui regorge d'émotions et de gentillesse. Mignon et sympathique à voir.
L'aventure avec un beau A, 2 souris de la ville américaine New-York au service de la version souricière de l'ONU pour venir en aide à un petit orpheline, ce film des années 70 égal à "Robin des bois" sur le plan visuel est doté d'une dose humoristique démente avec ces personnage haut en couleur, ses scènes culte et ses actions démonstratives. Mais surtout, Disney à sût mettre en lumière le thème sensible de l'adoption, des enfant orphelin, la tristesse de ces derniers voyant petit à petit leur camarades partir sauf eux, ainsi que la séquestration puisque la grande méchante Ursula fait bel et bien cette action avec notre très jeune héroïne. Des thèmes abordés pour les plus jeunes, mélanger à des scènes poétique, drôle pour faire finalement oublier la douleur psychologique que tous cela engendre. Nos souris elles sont les icônes de leur micro saga comme le sont Mickey et Minnie dans leur aventures respectives, un jeu animer savoureux pour des dialogues géniaux et des situations cultes. Le navires à moitié abandonner dans ce marais géant restera le personnage secondaire de cette aventure tant l'intrigue y prend une place à part entière, tous comme les alligators Néron et Brutus ne favorisant pas forcément la réputation naturelle de ces reptiles. Une comédie, une aventure, un drame, un Disney on ne peut plus réussi pour tous âges, donnant presque l'envie d'acheter un couple de souris en animalerie. Immanquable
L'intrigue de fond est dérangeante mais voir de petits héros au grand cœur porter secours à la veuve et l'orphelin reste attendrissant à voir et une fois encore, grosse mention à nos voix françaises <3
Un dessin animé bien gentillet réalisé par les studios Disney en 1977. On ne retiendra que les scènes de décollage de l’albatros emportant les petites souris Bernard et Bianca. Les autres personnages de l’histoire sont ternes ou déjà vus (la méchante Medusa n’étant qu’une pâle copie de la détestable Cruella d’Enfer dans « Les 101 dalmatiens »). Bref, un classique non indispensable.
Ironie de son histoire, Bernard et Bianca est souvent décrit comme "un film sans ambition" par l'écrivain John Grant (auteur d'une encyclopédie des personnages Disney), alors qu'il marque un tournant dans l'histoire de son studio. Les années 70 n'ont pas été des plus mirifiques d'un point de vue créatif : Les Aristochats évoquant La Belle et le Clochard en version féline, et Robin des Bois fut l'un des opus les moins énergiques. Disney repart donc à quelque chose de plus petit avec les aventures de ces deux petites souris lancées en mission sauvetage. Côté coulisses, l'adaptation des romans signés Margery Sharp signe la transition entre ancienne garde et nouvelle génération. Pas négligeable donc. Alors que les précédentes productions versaient volontiers dans la légèreté, Les Aventures de Bernard et Bianca revient à une tonalité plus dramatique. Le film replace même l'humain en tant que cœur émotionnel (alors qu'ils étaient périphériques ou absents des trois précédents volets). L'identification est renforcée par le fait que le personnage en question soit une petite fille, une première depuis Alice au pays des merveilles (1951). Penny est le centre d'un récit mêlant aventures et humour, pas foncièrement original mais profondément attachant. Le trio de réalisateurs (Wolfgang Reitherman, Art Stevens, John Lounsbery) applique la recette ayant fait le succès du studio, composée d'une bonne louche de poésie, d'une cuillerée d'absurde (cf. le duo de crocodile), qu'on saupoudre avec quelques personnages fantaisistes (Orville, Evinrude ou Luke). De la décennie seventies, Bernard et Bianca représente le meilleur film Disney, le seul à avoir su mêler storytelling traditionnel avec quelques fulgurances. Au final, il permettra au géant de l'animation de retrouver le succès, et réussit un passage de flambeau avec douceur. Pas mal pour un film "sans ambition".