Avis sur Marchands de Douleur

Mélange de plusieurs genre de films , qui nous rappel une quantité de déjà vu, approche agressive médicament addictif ascension fulgurante de personnes qui arrivent ou elles veulent pour à la fin jamais contente . Mais bon en ce moment c’est la tendance qui marche

"Pain Hustlers" est vaguement inspiré de l'ascension et de la chute de Insys Therapeutics, un laboratoire pharmaceutique appartenant à John N. Kapoor. Une immersion au sein du milieu puant du lobbying pharmaceutique avec ici Zanna Therapeutics qui essaie de se faire une place sur le marché. Une place qui potentiellement représente des milliards, ce qui les pousse à tout faire pour que leur médicament soit prescrit. Tous les moyens sont utilisés, du pot-de-vin classique à l'embauche de représentants commerciaux spécifiques pour cibler les médecins qui sont à un coup de stylo de les rendre très riches. Un milieu cupide et impitoyable où les principaux intéressés à savoir les patients sont relégués au dernier rang. "Pain Hustlers" se présente d'une certaine manière comme une success-story avec le portrait d'une mère célibataire strip-teaseuse qui va gravir les échelons petit à petit. On retrouve les hauts et les bas habituels avec ces premiers qui sont caractérisés par une montagne de cash. Le film de David Yates enfonce les portes ouvertes et ne cherche pas à dénoncer. Il joue la carte de l'amusement et ça fonctionne. La première heure est réussie. On se prend au jeu de ce grand plan mis en place pour s'accaparer le marché et on en oublie même la nature du produit qu'ils vendent... La deuxième partie, beaucoup plus sérieuse, joue trop la sécurité et n'est pas assez pertinente ou incisive pour avoir l'impact émotionnel attendu. On peut d'ailleurs s'interroger sur la nécessité de faire un film de 2H si c'est pour être aussi frileux et superficiel. Au final, "Pain Hustlers" est un divertissement sympathique qui doit beaucoup à son bon casting.

Evocation d'un scandale, des dérives du milieu pharmaceutique et du commerce médicamenteux aux ravages associés. Une mise en scène dynamique, un casting solide emmené par E. Blunt (également productrice). Le genre de métrage intéressant, important pour les mémoires mais l'intérêt s'arrête là, ne développant guère d'émotions.

Dans la même lignée que la série "PainKiller", ce film montre le démarchage commercial agressif et illégal de certaines sociétés pharmaceutiques aux USA.

Ce long métrage est plutôt bien réalisé, et le scénario tient la route. Un bon casting avec une excellente Emily Blunt. On peut, toutefois, regretter le côté stéréotypé des personnages de cette histoire; mais dans l'ensemble, j'ai plutôt passé un bon moment.

Une production abordant le même sujet de la crise des opioïdes que l'excellente série Painkiller sortie également sur Netflix il y a quelques mois. Ce film est globalement correct et se laisse regarder, bien qu'il n'apporte pas grand chose de nouveau. La présence d'Emily BLUNT et Chris EVANS en est le principal atout.

Une comédie d'action pétillante qui est servie par un casting explosif avec en tête Emily Blunt qui prouve à chaque film être de plus en plus la nouvelle Meryl Streep ! Celle qu'on a vu grimer en Mary Poppins, ou récemment en épouse dévouer dans Oppenheimer, démontre à nouveau qu'elle est l'une des meilleures.

On est très loin de Scorsese ou McKay pour cette enieme « rise and fall » bas de gamme. Blunt et Evans font ce qu’ils peuvent mais c’est trop basique, prévisible et simple pour transcender son sujet pourtant intéressant. Le film n’est pas aidé par David Yates qui confirme un statut de petit faiseur sans ambition á la triste mise en scène.

"Marchands de douleur" ("Pain Hustlers" en version originale), réalisé par David Yates, nous plonge au cœur du scandale de la crise des opioïdes aux États-Unis. Mais à l’instar de "Dopesick" ou "Painkiller", le film moins sérieux sur le sujet se sert malheureusement des clichés pour raconter son histoire plutôt que de creuser les choix profonds et les actions morales de ses personnages. Malgré un casting cinq étoiles avec Emily Blunt, Chris Evans et Andy Garcia, l'histoire se révèle inintéressante et parfois ridicule, délaissant une exploration peu percutante de la crise pharmaceutique en question. C’est dommage que le long-métrage Netflix ne soit pas aussi impactant, notamment sur les conséquences de son histoire.
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11/20
Critique sur Marchands de douleur (film)
Vu le 05.11.2023 sur Netflix

Il y a quand même une chose qui pique très vite les yeux , c'est le nombre effarant de toilettes différentes portées par Emily Blunt, à force c'en est gênant. Le sujet est intéressant même si l'on peu déplorer quelques ellipses ou autres déficits d'explication et même si le déroulé de l'histoire tourne à l'évidence (d'autant que le réalisateur commet la faute de commencer par la conclusion. Sinon, la mise en scène sans être flamboyante est très correcte. Parlons de la distribution, et là je dois dire qu'on est subjugué par la prestation exceptionnelle d'Emily Blunt qui crève l'écran de son talent et de sa beauté. Andy Garcia, méconnaissable est bon tandis que Chris Evans est transparent.

Quoi ? J'ai lu tout un tas d'avis étranges sur ce film. Certains se plaignent du dressing du personnage d'Emily Blunt. D'autres n'ont juste rien compris du tout (ils ne sont pas jamais contents).

C'est un très bon film, dynamique, divertissant, et important.
La crise des opioides est bien réelle et bien montrée ici.
Les prescriptions hasardeuses à coup de pot de vin en nature ou pas sont bien réelles.

C'était bien réalisé, bien fait, j'ai passé un très bon moment. N'en déplaise à ceux qui bloquent sur des choses... Superflues.

Allez j'avoue ! L'argument pour moi du film c'est Emily Blunt. Incroyable dans ce role, touchant, réaliste. L'histoire est captivante car basée sur des faits réels. On est choqué et surpris par ce fond de buisness autour des médicaments.

Marchands de Douleur aborde un sujet très sensible aux Etats Unis, la crise des opioïdes. À partir des années 90, suite à la promotion agressive de ces médicaments, elle a causé plus de 500.000 morts. Cela a pris une ampleur telle qu'en 2022, le fentanyl est devenu la première cause de décès chez les 18-49 ans.

L’approche de ce film est plutôt originale. Dans un premier temps, tout semble positif dans ce laboratoire pharmaceutique. Les discours sont bienveillants en mettant en avant les nobles intentions de ces médicaments. Selon eux, ils ont uniquement pour but de soulager les douleurs des gens attient d’un cancer. Le personnage de Chris Evans incarne parfaitement cet aspect faussement angélique. L’entreprise connaît un succès fulgurant qu’on trouve mérité selon les uniques éléments du film. C’est un peu une industrie pharmaceutique de rêve pensant au bien-être d'autrui.

De plus, il y a un attachement au personnage d'Emily Blunt. Cette commerciale fait ce qu’elle peut pour gagner sa vie. Elle a en charge sa petite fille. Cela rajoute une certaine dimension émotionnelle.

Malheureusement, ce rêve d'un laboratoire pharmaceutique de rêve s'effondre. Andy Garcia en est le symbole. En tant que patron, il dévoile sa facette cupide faisant passer l’argent avant la santé des patients. Marchands de Douleur commence alors à révéler les dessous du scandale. La corruption à tout-va allant jusqu’à acheter les médecins. Les dessous sont sales à voir. Pour appuyer sur cet aspect, on peut compter sur la narration. Celle-ci est en voix off, tels des témoignages des protagonistes. Elle parvient à captiver davantage le spectateur, tout en enrichissant l’intrigue.

Un excellent film plutôt bien documenté sur le système hallucinant des américains pour faire de l argent avec n importe quoi.
Les acteurs sont très bons et on reste complètement ahuri par ces événements.
A voir .

"Marchands de Douleur" est un film qui est complètement passé inaperçu auprès du grand public, la faute venant sûrement de sa sortie assez confidentielle sur Netflix. Pourtant, quand on voit le casting, que l'on se rend compte de quoi va traiter le film et que l'on voit que le tout est réalisé par David Yates, il y avait de quoi être intrigué. Et globalement, même si je trouve que l'ensemble à des défauts, j'ai passé un très bon moment devant ce long-métrage ! Ce qui est assez contradictoire, c'est que l'un des reproches que l'on peut faire à ce projet semble quand même assez handicapant, à savoir la façon dont le sujet est traité. Il est vrai qu'il n'y a rien de très original dans la manière dont est racontée l'histoire, c'est même assez prévisible. Mais comme je dis souvent, je préfère clairement voir une histoire classique, mais qui est bien exécutée. Plutôt que de voir une histoire complexe, mais que celle-ci soit particulièrement ennuyante. Ici, le rythme est vraiment bien mené selon moi et il fait que je n'ai pas vraiment senti le temps passé. David Yates a un sens du montage qui fonctionne bien, les séquences allant assez vite et permettant au tout de ne pas s'éterniser. L'ajout d'un peu d'humour offre également un dynamisme qui n'est pas à négligé. Alors quand le montage réussit aussi bien à faire enchaîner les scènes et quand le ton réussit à être aussi pêchu, même si l'ensemble ne propose rien de grandiose, on reste quand même assez maintenu dans le récit. Sachant également que le film réussit vite à nous attacher à tout cela, principalement grâce au personnage de Liza. Elle n'a rien de sensationnel, mais la prestation d'Émily Blunt apporte énormément au projet ! Elle est vraiment excellente, et, par conséquent, on s'attache assez naturellement à elle. Son personnage n'a rien de complexe, mais c'est une héroïne parfaitement humaine, à laquelle on peut vite s'identifier. Forcément, elle est une critique du rêve américain, qui peut se permettre tout, sans y voir les mauvais côtés. La thématique est donc légère, mais elle permet de donner un peu de poids à ce personnage. Sa relation avec sa fille sera également très touchante, ce qui fait que nous avons suffisamment de point d'accroche pour réellement se sentir investi dans le film. Donc même si l'histoire n'est pas extrêmement fine, je suis quand même satisfait de mon visionnage. J'ai réussi à me sentir impliquer et j'ai trouvé un certain rythme qui fonctionnait vraiment bien. Pour conclure, un film qui est loin d'être un chef-d'œuvre, mais qui se regarde plutôt très bien.

J'ai aimé cette histoire vraie que je connaissais pas je trouve que les acteurs jouent bien Emily Blunt, Chris Evans, Andy Garcia, ça parle d'une femme qui a perdu son emploi et qui élève seule sa fille pour subvenir à ses besoins elle accepte de vendre des médicaments soit disant anti douleur qui sans le savoir va avoir de terrible conséquences je vous conseille ce film.