Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
FaRem
8 631 abonnés
9 521 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 7 janvier 2024
« Personne n'achètera une voiture qui perd. » De prototypes à voitures de série, "Race for Glory" se déroule à une époque où une victoire en course peut générer des milliers de ventes. La guerre entre constructeurs fait rage et c'est sur la rivalité entre Audi et Lancia lors du Championnat du monde des rallyes de 1983 que se focalise Stefano Mordini. Un duel déséquilibré tel David contre Goliath avec Cesare Fiorio, directeur sportif de Lancia, qui pour tenter de doubler l'éternel rival doit user d'inventivité et de roublardise. Un point de départ intéressant pour un film qui est juste une version cinématographique incomplète de la fiche Wikipédia de la saison 1983... Que ce soit la rivalité entre constructeurs, les courses, les détails mécaniques et techniques, je crois qu'il n'y a pas un seul aspect de l'histoire qui est abouti. On nous dit dans l'intro que les spectateurs peuvent ressentir la vitesse autant que les pilotes, mais pas à travers à l'écran alors... Les scènes de courses n'offrent ni frisson ni la sensation viscérale de vitesse. Elles se succèdent sans créer un grand intérêt à cause d'enjeux mal développés. Il y a un titre en jeu, mais on ne ressent jamais cet esprit de compétition. Après tout, on nous fait comprendre qu'une défaite n'est pas importante, car ils gagneront la prochaine course à coup sûr... Bref, un film qui ne fait rien pour rendre l'histoire vivante, passionnante et divertissante, ce qui donne quelque chose d'assez décevant.
Sûrement mieux en vo qu'en VF, pour l'authenticité des nations représentées dans ce championnat. Le rythme est mou, l'enjeu n'est pas très haletant. Les acteurs ne sont pas motivés. Mieux vaut aller voir Le mans 66 !
Ressusciter le mythe Lancia 037, c était également revenir sur les spectaculaires Rallyes des années 80. Si le film donne une vision intéressante de l'intérieur de l écurie Lancia et de quelques anecdotes, le côté spectacle reste assez décevant, peut-être ne voulait on pas abîmer les superbes exemplaires de ces voitures frisant désormais en collection le demi million d euros ... alors peut-être que l on a raté un recyclage d images d époques suffisamment spectaculaire. On va donc dire merci pour cette revisite mais dommage pour le côté courses, opportunité ratée d en témoigner.
D’une force de propulsion inouïe, Race for glory assure une mise en lumière passionnante sur les coulisses d’une concurrence historique entre deux grands noms du rallye. Des courses en pleine nature, jusqu’aux détails mécaniques les plus minutieux, le film nous offre une virée des plus agréables mais aussi nostalgiques dans les belles années 80.
Tiré de faits réels, l'histoire nous apprend le combat de deux grands constructeurs automobile à travers les rallyes. Enjeu colossal puisqu'il est directement lié aux futurs ventes des autos de la marque gagnante. Les plus anciens apprécieront ce retour en arrière des années 80 à 90 à travers les sponsors et autres grands acteurs de cette époque (la pub Martini sur le capot de la Lancia...), nostalgie. Malgré les nombreuses vraies images de certaines courses, les sensations de la réalité sont tout autre. Pas d'effets de vitesse (on est loin de Gan Tourismo), des acteurs peu charismatiques et des doublages des voix française peu reluisantes. Film à voir pour l'Histoire de ces deux grands constructeur, c'est tout.
Superbe film qui retrace avec brio et panache l'aventure de ces deux écuries et constructeur mythique ! Les acteurs sont tous excellent , on ne s'ennuie pas un instant. Le film est à la fois distrayant et instructif un régal ! Le charme du vintage fait son effet ! Un film qui change des navets habituels ..
Ayant connu la compétition des groupe B dans ma jeunesse, par ce film je voulais me "remettre dedans". Malheureusement tout sonne aussi faux qu'un mauvais téléfilm: ce n'est pas très bien jouer, les dialogues sont parfois limite pathétique et ça parle bien trop ! (Le pire reste le doublage !) Reste que curieusement il y a de très belles images: les bolides mais aussi des décors, des paysages et par moment (trop rare) une bande son sympatoche..
Une vrai histoire qui était une vrai guerre à l'époque mais aucune émotion dans ce film , un dérouler de phrase dite par les comédien 2 trois image de rallye "d autrefois" et c tt , franchement très déçu
A moins d'être un grand passionné de sport mécanique, et même spécifiquement de rallye on ne peut pas dire que cette histoire soit bien passionnante. D'un côté on pense beaucoup trop à "Rush" et "Le Mans 66", à la différence près que ces deux films reposent sur des rivalités mythiques bien plus universelles que celle entre Lancia et Audi sur une année. D'ailleurs, si la grande ligne reste historiquement intéressante et ce malgré l'unique point de vue de Cesare Fiorio il y a aussi des idées plus ou moins saugrenues comme une médecin britannique complètement fictive ou l'idée stupide que "les italiens ont battu les allemands grâce à un pilote allemand qui n'avait pas vraiment envie de gagner car c'était un type romantique." (?!)... Le film raconte une histoire intéressante mais loin d'être assez mythique pour passionner, le scénario est très classique et seul les instants de courses offrent à minima un peu de tension et d'émotion. Un film hyper académique et sans enjeu pour la postérité. Site : Selenie.fr
Enchantée de ce film qui n'est pas un réel biopic. Des scènes fictives ont été rajoutées. Une réalisation qui pourrait parfois manquer de souffle, mais tout n'est pas axé sur les courses, mais sur ce qui se passe, aussi, en coulisses. Et quel bien fou, ce film qui parle d'un sport trop méconnu du grand public. À voir ❤
Film très plaisant et pédagogique. Il manque juste un peu de moyens, pour proposer davantage de prises de vue des courses. il aurait également été sympa d'avoir un peu plus de musiques d'époque !
Alors en ce moment, c'est un peu la mode de raconter des histoires autour des marques de bagnoles, des personnes qui sont derrière et bien-sûr des pilotes, comme par exemple "Lamborghini, l'homme derrière la légende", "Le Mans 66", "Gran Turismo" et bientôt "Ferrari" et c'est cette fois le réalisateur italien Stefano Mordini qui s'y colle. Le film nous raconte ici le parcours de Lancia dans le championnat du monde des rallyes qui se faisait constamment écraser par Audi et son Audi Quattro jusqu'en 1983 où Cesare Fiorio développe une voiture plus légère, la Lancia Rally 037. Il faut bien préciser que le film est "inspiré" de faits réels et n'est donc en aucun cas représentatif de la réalité, le générique de fin fait d'ailleurs tout un laïus là-dessus en précisant notamment que pas mal de choses sont inventées pour, je cite, "enrichir la narration". Alors pour le coup, quitte à raconter des trucs qui n'ont pas existés pour enrichir la narration, autant y aller à fond, parce-que là, c'est tout de même très maigre ! Eh oui car le film tente de raconter des évènements qui nagent dans un film de presque deux heures ; un docu d'une demi-heure et c'est plié. Ce n'est pas foncièrement inintéressant, du moins si on s'intéresse de près ou de loin à la course automobile, mais c'est un sujet qui ne peut pas remplir un film entier. D'ailleurs, on le voit, il y a des scènes qui s'étirent en longueur, le film survole la vie personnelle des personnages pour faire genre on s'intéresse quand même à eux et surtout remplir des cases vides. Puis alors tout est prévisible, le récit ne parvient jamais à happer son spectateur et l'histoire est sur des rails. Du coup, tout ça sonne creux, les seules scènes intéressantes étant celles des courses. Enfin les premières parce-quelles deviennent assez vite répétitives, notamment dû à une mise en scène qui ne met jamais en valeur les courses et les voitures. C'est toujours les mêmes mouvements de caméras, toujours les mêmes plans et toujours les mêmes emplacements de caméra. "Race for Glory : Audi vs Lancia" est donc un film qui n'a pas grand-chose à proposer et dont j'ai l'impression que tout le monde se fout, ce qui ne risque pas, je pense, de changer avec le temps.
D'un côté les allemands d'Audi avec leur supériorité technologique : quatre roues motrices, moteur surpuissant et échappement en titane et de l'autre les italiens de Lancia avec une voiture légère à propulsion arrière...La lutte de David contre Goliath. On comprend petit à petit ce qui pousse le directeur sportif de Lancia: Cesare Fiorio vers la victoire. Avant guardiste il met en place le régime alimentaire des équipes, des pilotes. Un coup de châpeau pour la reconstitution des "bases routières" de l'époque avec leurs montagnes de pneus, leurs camping cars étroits. Un petit rappel au passage les cigarettiers et les marques d'alcool avaient droit de cité. Les actualités d'époque sont bien "recyclées". Un film a voir pour se remmémorer le rallye auto: une discipline très exigeante.