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    Leila et ses frères
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    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 août 2022
    Que dire, c'est un CHOC..."Farhadi peut aller se rhabiller"...Après avoir vu ce film, vous verrez la société iranienne d'iun oeil différent...Que de privilèges avons nous en FRance, vous le réaliserez vraiment après visionnage......Le film est Sartrien, il a l'angoisse d'une pièce de théatre de Jean Paul Sartre, il en a aussi la noirceur et son pendant l'humour noir...J'ai honte d'avoir souri à certains moments, mais n'est ce pas un réflexe quand tout semble désespéré sur terre....Cette chronique d'une famille pauvre de Téhéran, laisse son empreinte : qui faut il écouter quand ça va très mal, Le père, la fille, les frères)....On apprend que l'argent est le nerf de la guerre, et que sans lui, une famille pêut éclater.....Un grand moment du film, un tournant même est le mariage, fastueux et où la gloire est essentielle aux famillles...Vous comprendrez un peu mieux les traditions iraniennes....Le film est moderne, urbain, social, sans concession....Je mange mon chapeau si vous ,n'êtes pas ému par cette fratrie, où les frères sont si différents, et qui au fond ne savent pas où ils vont..( il se lancent dans des affaires plus que louches).Le film peut déconcerter au début (par une certaine hystérie des dialogues qui peut fatiguer) mais si vous vous "accrochez" quelle récompense....DEs mythes sont revisités, la mort est présente, c'est du grand cinéma sur beaucoup de plans (il y a du Elia Kazan à certains moments).....Bref je pourrais en parler des heures, le mieux c'est d'aller le voir, c'est captivant et si humain, trop humain........
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 877 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2022
    A peine digérée la pure adrénaline de La loi de Téhéran, le nouveau film de Saeed Roustayi; Leila et ses frères, montre la capacité de renouvellement de son réalisateur, dans un registre cette fois plus habituel du cinéma iranien. C'est aussi un film d'action, en définitive, avec des coups de théâtre à foison, mais soutenu principalement par ses dialogues, épais comme un jour de brouillard à Téhéran, à la densité affolante mais jamais lassante. Tout ceci, bisbilles comprises, se passe en famille, avec des injures qui volent bas et des camps qui s'affrontent ad libitum. Cela pourrait être pesant mais le cinéaste est un malin qui sait relancer l'intérêt à tout moment et parfois quitter l'intimisme pur pour des scènes grandioses (le mariage). Sur fond de crise économique, de hausse effrénée du coût de l'or indexé au dollar (sic) et de chômage endémique, Roustayi trace un drôle de portrait de l'Iran et de la violence des affrontements dans la sphère privée. Avec virtuosité, le film réussit à parfaitement à caractériser chacun des membres de cette famille déréglée, à commencer par Leila, femme forte face à des frères qui brillent surtout pour leur mollesse et leurs maladresses. L'interprétation des différents comédiens, sans doute formés au théâtre, est plus que parfaite et confère au film une douloureuse authenticité et acuité.
    velocio
    velocio

    1 320 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2022
    L’histoire d'une famille permet au réalisateur de brosser à sa façon un portrait de l’Iran d’aujourd’hui, avec la disparition progressive de la classe moyenne, avec le poids des traditions qui pèse toujours chez les personnes âgées, avec de plus en plus de jeunes qui finissent par baisser les bras face à ce que leur propose le régime politico/religieux en place, avec l’importance du patriarcat qui ne se dément pas, avec le rôle subalterne laissé aux femmes alors que, bien souvent, ce sont elles qui pourraient sortir du marasme aussi bien les familles que le pays. Un portrait à sa façon … Une façon très différente de ce que pratiquent les grands réalisateurs iraniens dont on suit le cinéma depuis des années, tels Asghar Farhadi ou Jafar Panahi.

    C’est justement dans la façon choisie par Saeed Roustaee de faire du cinéma qu’on va trouver les éléments susceptibles de mettre un frein à un enthousiasme quelque peu prématuré concernant ce réalisateur. Tout d’abord, la longueur de ses films : 2 h 14 pour "La loi de Téhéran", c’était déjà limite ; 2 h 45 pour" Leila et ses frères, c’est trop" ! Cela donne une première partie du film épuisante avec des discussions familiales qui n’en finissent pas. Le réalisateur le reconnait : « lorsque les choses doivent être clairement explicitées par les personnages, il peut leur écrire des dialogues jusqu’à plus soif ». En fait, avec Leila et ses frères, on a droit à 2 films pour le prix d’un : d’un côté, un film bavard et fatigant, de l’autre, un film à la fois plus intéressant et offrant des passages dans lesquelles la virtuosité est de mise dans la mise en scène. Toutefois, là aussi, l’enthousiasme doit être tempéré : comme dans "La loi de Téhéran", Saeed Roustaee s’inspire trop ostensiblement d’œuvres existantes. Ici, c’est du côté du cinéma italo-américain de Visconti et de Coppola qu’il lorgne. Alors, certes, c’est beau, c’est grandiose, mais, pour vraiment devenir un grand réalisateur, il faudrait que Saeed Roustaee arrive à faire un grand film qui soit du … Saeed Roustaee. Il n’a que 33 ans, il devrait y arriver !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2022
    Saeed Roustaee nous avait déjà sidérés avec “La loi de Téhéran” en 2021. Un an plus tard, le cinéaste Iranien revient avec une fresque familiale absolument passionnante. “Leila et ses frères” raconte l’histoire d’une famille touchée par la crise économique. Alors que ses quatre frères sont au chômage, Leila tente de lancer une affaire familiale en achetant une boutique. Alors que chacun y met ses économies, il manque encore une somme pour donner que la fratrie se relève. Cette somme, le père l’a justement promos pour devenir le parrain de sa communauté persane… D’une durée proche de trois heures, le drame va de révélation en révélation dans chacun de ses arcs narratifs et nous tient en haleine continuellement. Le casting est foudroyant de réalisme avec une mention spéciale pour Taraneh Alidoosti déjà remarquée en France dans “Le Client” d’Asghar Farhadi.
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    Christoblog
    Christoblog

    835 abonnés 1 684 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 août 2022
    Pour ceux qui ont vu La loi de Téhéran, il y aura peut-être une petite déception lors de la découverte du nouveau film de Speed Roustaee : si le film a le même sens du rythme que son prédécesseur, il est moins tape à l'oeil et moins immédiatement spectaculaire.

    Pourtant Leila et ses frères est d'une profondeur et d'une subtilité qui surpasse le film précédent de Roustaee.

    On est littéralement emporté par le flux insensé que propose cette chronique familiale qui emprunte à la fois au machiavélisme millimétré des scénarios de Farhadi et aux thrillers américains. Les personnages sont fermement et subtilement dessinés, l'évolution de l'intrigue terriblement efficace et le tableau de la société iranienne d'une férocité éclairante (patriarcat, poids des traditions, décisions politiques). Les punchlines se comptent par dizaine et sont à la fois d'une grande cruauté et pleines de sentiments, évoquant par instant la tradition du grand roman russe.

    Par le foisonnement de ses intentions et la maestria de sa mise en scène (la scène du mariage est un chef d'oeuvre), Leila et ses frères s'impose comme un des meilleurs films de l'année, si ce n'est le meilleur. Il s'avère aussi être un des films plus féministe de la rentrée : l'avis des femmes, qui est d'évidence le plus juste, n'y est jamais pris en compte.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    116 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 août 2022
    Ai vu "Leïla et ses frères" du réalisateur iranien Saeed Roustaee. On savait depuis sont premier film "La loi de Téhéran" 2019, que Roustaee était un immense metteur en scène, dans ce second opus il confirme son prodigieux talent. Ce film est une épopée familiale dont l'héroïne est Leïla trentenaire. Leïla n'est pas mariée donc vit chez ses parents très âgés qui sont enfermés dans les traditions séculaires imposées par la religion et le patriarcat. Leïla a 4 frères dont aucun n'a une situation professionnelle stable, ils vivent également donc pour la plupart chez les parents. Leïla est une femme, Leïla travaille et toute sa famille vit principalement de son salaire. Leïla veut que ses frères réfléchissent et soient maitres de leurs destins, Leïla n'en peut plus que sa vie soit régie par les diktats de l'apparence sociale. Leïla est une femme entourée d'hommes, battante qui a des soifs de réussite, de revanche. Leïla est une vraie héroïne contemporaine. Son interprète Taraneh Alidoosti vampirise l'écran de sa présence et par l'intensité de son jeu. Roustaee ouvre son film par une scène magistrale qui superpose une faillite d'entreprise sidérurgique dont tous les hommes ouvriers sont chassés et frappés par la police et une scène de cérémonie à la mosquée où les hommes sont tous en prières et frappés par le poids des coutumes. Sa caméra à toutes petites touches nous apprend toujours beaucoup plus que les dialogues. Le scénario devient de plus en plus palpitant et le film de presque 3 heures que ne voit pas passer, nous cloue littéralement par un véritable suspens. C'est très opératique dans la façon de filmer et shakespearien dans le fond. Nous ne sommes pas très loin non plus de "La Terre" de Zola. Le patriarche, clé de voute de cette famille, est joué superbement par Saeed Poursamimi, vieux monsieur dont on devine encore les traits de l'enfance sur son visage. Tous les personnages sont très écrits et on a l'immense plaisir de retrouver les deux acteurs principaux de "La loi de Téhéran" Navid Mohammadzadeh (le frère qui vient d'être licencié) et Payman Maadi (le frère que l'on devine homosexuel). Roustaee tient son film de bout en bout et le montage subtil ne garde que l'essentiel. Rien n'est démonstratif, rien n'est décoratif, aucun remplissage. On aime de suite cette famille en pleine mutation et s'est un vrai déchirement au bout de 2h49 de sortir de la salle et de quitter ses personnages auxquels on s'attachent tant. "Leïla et ses frères" est un film sublime, universel et essentiel. Chef d'Oeuvre.
    CINÉ FEEL
    CINÉ FEEL

    54 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2022
    Un grand film ! La confirmation du talent de son auteur qui nous avait bluffé dans La Loi de Téhéran, et de l’importance du cinéma iranien qui ne cesse de nous surprendre. Rien que cette année trois coups de cœur : Le Diable n’existe pas, Hit the road, et aujourd’hui Leila et ses frères.
    Clairement on est plutôt du côté de la rigueur d’un Farhadi que de la poésie de Kiarostami : même précision du scénario, même enchaînement fatal des séquences jusqu’au drame final, certains diront sans doute :«  encore un film programmatique ». Peut être, mais avec quel talent., quelle ampleur du récit et de la mise en scène. Quelle virtuosité dans le melange de l’intime ( tous les huis clos familiaux portés par une troupe d’acteurs inspirés) et du collectif ( l’usine en faillite, la grande scène du mariage qui évoque les plus grands réalisateurs)
    Mais ce n’est pas tout : ce film c’est aussi un tableau social d’un Iran très conservateur sous un angle finalement peu exploité : l’obsession du fric et du paraître, un patriarcat archaïque criminel, la lâcheté , lr conformisme et le mépris de la femme comme valeurs principales.
    Mais aussi , au milieu de ces affrontements, ces humiliations et ces émotions, il y a aussi de la fantaisie Non, il n’est pas honteux de rire à ce spectacle car les répliques sont sanglantes , et il flotte un léger parfum du grand cinema italien des années 60 et 70, si fort pour parler de la famille ( d’ailleurs l’un des fils a des faux airs de Nino Manfred dans certains plans)
    Bref, j ai été subjugué, sous tension du début à la à fin ( près de 3 heures de projection) et suis sorti de la avec cette question dont tout le monde se fout, que je partage néanmoins avec vous : Mais pourquoi ce grand cinema est il reparti bredouille de Cannes ????
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    920 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 août 2022
    Excellent film ! Saeed Roustaee prouve après la Loi de Téhéran qu'il estun des cinéastes qui compte désormais


    Ici on est dans un registre bien différent: une chronique familiale renvoyant au Coppola des débuts, tout en explorant l'Iran comme on l'a jamais vu au cinéma.


    Au centre le magnifique personnage de Leila (interprêtée par Taraneh Alidoosti), tentant de porter vers le haut ses 4 frères sans le sou (avec notamment les acteurs fétiches du réal que sont Payman Maadi et Navid Mohammadzadeh).

    Film long de 2h45 mais jamais lent, on se plait à découvrir ce beau monde, comme le père qui semble tout droit sorti de Succession.


    Ainsi ce qui s'apparente initialement à un film d'arnaques se transforme en réelle exploration socio-politique d'un Iran instable économiquement et patriarcal, ainsi qu'une brillante étude d'une famille faisant constamment le mauvais choix.


    On notera un final particulièrement réussi, une mise en scène d'apparence sobre mais totalement maitrisée (qui se déploie même au début dans d'impressionnants plans de foule renvoyant à La Loi de Téhéran)


    Bref, c'est très très bon et ça mérite la Palme
    Pierre Mrdj
    Pierre Mrdj

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 juin 2022
    « Leïla et ses frères » réinvente le portrait de famille pour en faire un drame intense et jamais complaisant. Il y a un sens du rythme inouï (sur un film de pourtant près de 3h !), dans ce qui devient peu à peu une réflexion subtile sur la société iranienne : son sens de l’honneur, de la filiation, de la fratrie et des traditions. C’est un chef d’œuvre que l’on ne voit pas venir, mais qui assène progressivement quelques scènes coup de poing et plonge ses personnages dans des dilemmes indécidables. Fascinant et extrêmement juste, de la part d’un cinéaste qui n’a encore que 33 ans !
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 515 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2022
    Pour les sortir de la mouise, Leila incite ses quatre frères à réunir leurs économies pour acheter une boutique dans le centre commercial ultra-modrene où elle travaille. Mais leur maigre épargne n’y suffisant pas, ils doivent solliciter l’appui de leur père qui le leur refuse : il préfère en effet consacrer les quarante pièces d’or qu’il a patiemment épargner toute sa vie durant pour devenir le parrain du clan Jourablou. Des cousins guère scrupuleux lui ont laissé miroiter cette position qui flatte son amour-propre au risque de le ruiner.

    Un an après "La Loi de Téhéran" qui avait fait sensation, Saeed Roustaee revient sur les écrans. Son troisième film (après "Life and Day" tourné en 2016 mais inédit en France) souffre de la comparaison avec son précédent qui le surpasse. On ne retrouve pas dans "Leila…" les mêmes qualités que dans "La Loi de Téhéran" qui nous plongeait vertigineusement dans les bas-fonds interlopes de la capitale iranienne.

    Leila et ses frères nous raconte l’image d’une famille iranienne qu’on imagine moyenne. Deux parents désormais retraités ; cinq enfants entre trente et cinquante ans aux vies cabossées. Alireza vient de se faire licencier d’une entreprise en faillite frauduleuse. Parviz suffoque sous ses kilos excédentaires et les cinq enfants en bas âge que son épouse lui a donnés. Farhad conduit un taxi. Manouchehr mouille dans des trafics louches. La seule à s’être stabilisée et à jouir d’un emploi stable est Leila, la sœur cadette. Le manque d’argent oblige Alireza, Farhad et Leila à se serrer sous le toit de leurs parents, en attendant des jours meilleurs.

    "Leila et ses frères" raconte comment cette espérance va tenter de se concrétiser grâce au plan de Leila. Sa réalisation suppose de trancher quelques conflits familiaux et, en premier lieu, de venir à bout de l’égoïsme forcené de Heshmat, patriarche presque gâteux qui n’a jamais su donner à ses enfants l’amour et l’éducation qu’ils attendaient. Elle doit aussi s’accomoder de quelques coups du sort.

    En regardant "Leila et ses frères" (dont le rôle titre est interprété par une actrice qui avait souvent tourné avec lui), on pense au cinéma de Ashgar Farhadi, à ses drames familiaux poignants qui laissent ses héros brisés. Ici, la recette est un peu indigeste. Le film dure en effet près de trois heures. C’est sans doute nécessaire au déploiement d’une intrigue qui connaît de multiples rebondissements. Mais c’est beaucoup pour le spectateur qui ressort groggy de cette épreuve où chaque scène est un match de boxe où des combattants acharnés se disputent en hurlant.
    Napoléon
    Napoléon

    146 abonnés 1 570 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2022
    Malgré des longueurs et des clichés le film est une réussite. Le casting est totalement réussie avec spécialement une excellente Alidoosti incarcants des personnages à la fois atypiques et attachants auxquels le spectateur peut facilement s'identifier. Le scénario fait de péripéties rend le film captivant et rythmé. L'humour est d'une grande finesse avec des dialogues hilarants.
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2022
    Un autre sommet du cinéma iranien, qui confirme l'influence de la démarche de Farhadi. On est ici surpris par l'importance des huis clos, comparativement au sens de l'espace de "La loi de Téhéran", précédent film de Saeed Roustaee. Les interprètes sont remarquables, et en particulier l'actrice Taraneh Allidousti.
    Ralf Vogel
    Ralf Vogel

    30 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2022
    J y suis allé inquiet par la durée du film : 2h40, et finalement on ne voit pas le temps passer tellement c est prenant comme film. Un film super bon, quelle bonne surprise ! Le scénario est très bien ficelé avec de nombreux rebondissements. N hésitez pas à aller voir un film dont on se souviendra très longtemps. Chapeau.
    Yann C.
    Yann C.

    35 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 août 2022
    Film en huit clos aux dialogues fatiguant et avec beaucoup de gesticulations. C’est trop dans la caricature pour convaincre et intéresser. Je m’attendais à mieux après l’excellent film « la loi de Téhéran »
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    205 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2022
    Le film retrace le destin d’une famille déchirée pour montrer l'Iran en faillite morale et en perte de valeurs. Le film décrit avec beaucoup de précisions les complexités des personnages et les liens qui les unissent. La lumière du film est superbe, Les acteurs sont tous magnifiques. Saeed Roustaee prend le temps de nous montrer le délitement inexorable de cette famille avec un sens aigu du cinéma. Une grande réussite.
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