Un des derniers films de la Belle Epoque... «si le cinéma doit à Louis Lumière, essentiellement, son existence en tant que moyen d’analyse et de reproduction du mouvement, c’est à Griffith essentiellement qu’il doit son existence en tant qu’art, en tant que moyen d’expression et de signification.» (Jean Mitry) La performance de Lillian Gish dans un de ses premiers rôles principaux est sans fausse note.
Arthur Debussy
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2,5
Publiée le 18 mai 2012
Le court-métrage en lui-même n'a rien d'extraordinaire : le scénario est simpliste au possible (un homme devenu fortuné qui trompe sa femme) et la réalisation de Griffith assure franchement le minimum syndical, même si l'on reconnaît ça et là son talent de monteur ou son sens du cadrage. Pourquoi 2 étoiles alors? Pour Lillian Gish. 20 minutes lui suffisent pour passer par toutes les émotions possibles et inimaginables, des plus ...
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